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Pierre, le journaliste

Chapitre 4

SM / Fétichisme
Le gardien ouvre la porte de la cellule. Pierre a très peu dormi. La nuit, il y a beaucoup de bruit à la maison d’arrêt. Le moindre bruit est amplifié. Pierre a juste envie d’un café qu’il n’aura pas, il le sait. Il suit le gardien. Ils passent les différentes portes, longent des couloirs, et rejoignent les policiers qui l’attendent à l’entrée de la prison. Ils l’emmènent sur les lieux du crime, enfin du soi-disant crime.
Là, Emma est là, souriante. Elle vient l’accueillir et lui dit :
— vous avez l’air fatigué. Je vais vous faire libérer pour que vous puissiez vous reposer.
La juge arrive avec sa greffière. Elle regarde la véranda.
— Messieurs les policiers, vous allez devoir rester dehors, il n’y a pas assez de places.
S’adressant à Pierre
— Mettez-vous à votre place.
Pierre entre dans la véranda, s’installe sur la chaise juste dans un petit espace. Son avocate se met à côté de lui. Elle est coincée entre Pierre et le mur. Il reste un grand espace central avec une porte au milieu.
La juge rentre par cette porte. Au moment où elle passe le seuil, la voix de Jean-Pierre Marielle retentit :
— Tu es en retard comme toujours.
La juge s’arrête et ne comprend pas. A ce moment-là, la machinerie se met en route. La juge se retrouve emprisonnée dans les pinces des bras articulés et la greffière bloquée à la porte par un robot qui l’enserre et l’empêche de bouger. Les bras rentrent en action, la juge se retrouve nue, un bâillon sur la bouche. Des lanières sifflent et claquent sur sa peau. La juge ne crie pas, elle est étonnée. Elle se laisse aller, se détend et perd tout contrôle. Sa peau mate commence à avoir des marques rouges. Ses petits seins sont marqués, les tétons sont sortis. Une corde descend et passe autour du cou, elle se resserre un peu, très peu. Un gode guidé par un laser se présente à son entrejambe, il cherche, tourne et rentre profondément dans son vagin. La juge commence à gémir,
Pierre regarde et bande. Emma s’en aperçoit, elle descend sa main au niveau du pantalon de Pierre et le caresse doucement. Celui-ci lui sourit.La juge rougit, le nœud serre un peu plus, elle peut encore respirer, mais difficilement. Son bassin bouge sur le gode. De la cyprine coule sur sa cuisse. A l’intérieur de la cuisse gauche, il y a un petit tatouage représentant une femme enchaînée. Pierre se dit qu’il ne s’était pas trompé, c’est bien avec elle qu’il avait dialogué. Le monde est petit.
Il n’en peut plus et ouvre sa braguette. Emma ne se fait pas prier, se penche et commence à le sucer.Pierre passe la main dans le corsage d’Emma, caresse le sein gauche, trouve le téton. Emma frissonne. Il pince fortement le téton déjà très sensible. Emma pousse un petit cri, mais continue à pomper Pierre.
La juge a les yeux révulsés, le visage tout rouge, sa poitrine se soulève par saccades rapidement, la cyprine coule. Les robots n’arrêtent pas, il continue. Le corps de la juge est plein de stries, le gode fait des va-et-vient rapides. La juge est évanouie.Pierre en voyant ce spectacle ne peut s’empêcher de jouir. Emma avale, se relève et dit :
— Merci mon maître de m’avoir donné votre semence.
Pierre regarde la juge, se lève d’un bond, la queue à l’air, appuie sur le gros bouton rouge, se précipite vers la corde et la desserre. La juge, après quelques secondes, avale de l’air bruyamment pendant plusieurs minutes. Pierre soutient la juge, le temps qu’elle retrouve ses esprits.
Emma s’approche à son tour, voit la greffière, pousse le robot inerte. La greffière, toute paniquée, enlève son manteau et le pose sur les épaules de la juge. Celle-ci lui sourit et lui demande gentiment de les attendre dehors. La greffière s’en va à regret. La juge regarde Pierre.
— Je vous connais. On s’est rencontré sur des sites un peu particuliers, n’est-ce pas ?— Oui, je n’en étais pas sûr, mais votre tatouage m’a convaincu.— Bien, je crois que j’ai compris ce qui s’est passé. Le robot s’est emballé, il a fait comme tout de suite et heureusement que vous étiez là. C’est un accident. Irène est morte parce qu’elle avait mal réglé les robots. Vous n’y êtes pour rien. Madame l’avocate, votre client est libre. Au fait, vous pouvez rentrer votre queue.— Merci Madame la Juge, de reconnaître mon innocence.— tout ce qui s’est passé ici doit rester confidentiel. J’y tiens.— Il sera confidentiel, Sylvia.
La juge sursaute. C’est le pseudo qu’elle s’est choisie. Elle tremble et perd immédiatement de son assurance. Elle enfile le manteau que la greffière lui a mis. Au moment de le fermer, Pierre l’en empêche, la détaille, la regarde droit dans les yeux. La juge au bout de quelques secondes baisse les yeux, Pierre a gagné, mais il ne pousse pas l’avantage. Il dit simplement :
— Tu es bien mieux en vraie que par écran. J’espère que tu as bien joui tout à l’heure.— Merci pour le compliment, et j’ai bien joui, en plus, je comprends pourquoi elle vous demandait de venir. De savoir que vous me regardiez, cela a décuplé la jouissance. Je suis désolée, Monsieur Pierre, il va falloir que je parte. Il y a plein de dossiers qui m’attendent. Est-ce que je peux ?— Tu peux y aller, on se reverra plus tard.— C’est comme vous voulez, au revoir.
Ils sortent tous les trois de la maison. Arrivés près des voitures, la juge s’approche à nouveau de Pierre. La greffière est déjà installée dans la voiture.
— Tout à l’heure, Monsieur, j’avais envie de sentir votre main sur moi. Je n’en dégouline rien que d’y penser.
Elle fait demi-tour, monte dans sa voiture et démarre.
Emma ouvre la portière passager et attend. Pierre s’installe dans la voiture. Une fois partis, Emma demande :
— Je vous ramène où ?— Chez toi, je veux voir où tu habites.
Emma sentit un picotement au bas-ventre. Peut-être qu’il voudra d’elle comme esclave ?
Elle va tout faire pour être celle qu’il choisit et elle gagnera, elle en est sûre.
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