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Pierre, le journaliste

Chapitre 5

SM / Fétichisme
L’appartement d’Emma est assez grand, deux chambres, un bureau, salle, salon cuisine américaine. Le tout est arrangé de manière agréable, Pierre se sent bien. Alors qu’Emma prépare le thé, Pierre demande.
— Tu me fais visiter.
Emma se tourne vers Pierre et avec un grand sourire :
— Oui, bien sûr. Suivez-moi.
Elle met l’eau à chauffer et va vers le couloir.  Pierre prend une spatule en bois qui traîne sur la paillasse et la suit.Elle lui fait voir la chambre d’amis, les toilettes, la salle de bain. Pierre tapote la spatule en bois sur sa cuisse en signe d’impatience. Emma ouvre une porte.
— Voici ma chambre et au fond c’est la porte de mon dressing.
Pierre donna un coup de spatule sur la fesse gauche d’Emma.
— On va à ton dressing, je veux voir tes sous-vêtements.
Emma ouvre un tiroir. Il est rempli de culottes et de soutien-gorge. Pierre prend une culotte du bout des doigts, la met devant les yeux d’Emma.
— Mes femelles ne portent pas de culotte. Jamais, même pendant leurs règles.
Emma comprend immédiatement, soulève le pan de sa robe, enlève sa culotte, regarde Pierre, s’approche de la poubelle et la jette dedans. Elle retourne près du tiroir des culottes, les prend et les envoie rejoindre leur copine dans la poubelle.
— Voilà, je ne mettrai plus jamais de culotte, maître. Mais pour la piscine, je fais comment ?
— Pour la piscine ? J’accepte que tu mettes une culotte, mais dans ce cas, tu auras, dans ta chatte, des boules de geisha.
Emma acquiesce.
— Enlève ta jupe et à quatre pattes sur ton lit !
Emma s’exécute fébrilement. Elle sent la chaleur dans sa chatte, elle va se faire baiser par son maître. Elle n’attend que cela. Un grand coup de spatule sur sa fesse gauche et un autre qui suit immédiatement sur sa fesse droite. Emma est surprise, elle retient ses cris. Les coups s’arrêtent, Emma reste en position. Elle sent Pierre derrière elle. La queue la pénètre doucement.
— Tu mouilles, femelle, j’aime beaucoup.
Pierre reprend la spatule en bois et tape sur la fesse gauche, toujours au même endroit. Il pilonne Emma à grands coups de reins. Plus son excitation monte, plus il tape. Il sent Emma trembler, et juste après, un cri de plaisir. Pierre n’a pas encore joui, il continue. Il accélère le rythme. La fesse d’Emma est bleue, enfin, il lâche son foutre. Pierre s’écroule sur le lit.
Emma en larmes, regarde Pierre et lui sourit. Pierre a les yeux fermés. Il est crevé, entre la nuit blanche et les acrobaties, il n’a plus l’habitude ni l’âge pour cela. Emma se lève doucement, recouvre Pierre d’une couverture, ferme la porte de la chambre.
Après être allée aux toilettes, elle va dans la salle de bain et regarde dans la glace. Elle va avoir un énorme bleu. Elle a une marque que son maître lui a faite. Elle est fière d’avoir cette marque, elle préfère nettement le réel au virtuel. En plus, cerise sur le gâteau, son maître dort dans son lit.
Pierre sent une odeur de café, il ouvre les yeux, regarde autour de lui et se souvient. Il est chez Emma. Quand il arrive dans la salle, Emma est là en train de préparer le petit-déjeuner. Elle est nue.
— Avez-vous bien dormi, mon maître ?— Très bien, j’étais vraiment fatigué. Tu as la tenue de la parfaite soumise. C’est ainsi que tu dois être chez toi, nue.— Je vous ai préparé un petit-déjeuner, j’espère que cela vous plaira.
Elle s’assoit à côté de lui en grimaçant. Sa fesse gauche la fait atrocement souffrir. Elle sert le café. Des toasts sont sur la table avec du beurre et de la confiture.Pierre la regarde.
— Tu as de belles mamelles.
A ces mots, Emma se crispe un peu, elle n’aime pas ce terme. Le reste du repas se passe en silence. Une fois que Pierre a fini, il se lève et demande à Emma de le ramener chez lui.Celle-ci va dans le dressing, sort ses sous-vêtements et s’arrête. Elle se souvient de ce qu’a dit Pierre, une femelle ne porte pas de culotte. Elle referme le tiroir laissant les sous-vêtements à leur place. Elle ouvre sa penderie et prend une robe et l’enfile. Elle rejoint Pierre et sort de l’appartement. Pierre n’a pas dit un seul mot depuis le petit-déjeuner, elle ne sait plus quoi penser.
Alors qu’ils sont en route, Pierre se décide à parler.
— Tu vois, tu veux être mon esclave, mais pour cela il faut le mériter. Je te dis "mamelle" et toi, tu fais la gueule, tu crois que c’est cela être une esclave ? Alors que les choses soient bien claires, j’emploie les termes que je veux et je me fous de ce que tu penses. J’exige une obéissance absolue et une esclave ne doit penser qu’au plaisir de son maître, pas au sien. Alors si c’est pour faire la gueule au seul mot "mamelle", ce n’est même pas la peine. Voilà, on est arrivé, au revoir.

Emma est restée de longues minutes garée, interdite. Elle ne s’attendait pas à une telle tirade, elle pleure doucement. Elle rentre chez elle. La route lui semble interminable. Une fois arrivée, elle va dans sa chambre et se jette sur son lit en sanglots.
Pierre est dans son appartement, toujours en colère. Putain à soixante-cinq ans, ce n’est pas une petite conne de trente ans qui va lui apprendre comment faire. Décidément, elles sont toujours aussi chiantes. C’est bien pour cela qu’il n’a jamais voulu s’encombrer d’une femelle.
Un coup de fil de son patron le remet dans la réalité. Après avoir pris de ses nouvelles, il lui dit que ce serait pas mal qu’il fasse un article sur ce qu’il lui est arrivé, les gens adorent cela, et là, il est sûr que ce sera du vécu. Pierre se dit qu’il ne va pas pouvoir tout mettre, il va enjoliver un peu. Il faut qu’il ponde rapidement un article, son rédacteur attend.
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