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Pierre mon ami et les WC

Chapitre 1

Confession partielle de mon ami Pierre

Gay
J’ai un vieil ami nommé Pierre, âgé de 50 ans et qui est gay depuis 30 ans. Il ne s’est jamais marié, mais il a parfois vécu en duo avec un ami ou l’autre, à son choix et pendant des durées ne dépassant jamais un an. Il a eu de toutes sortes d’aventures parmi ses amis, ses collègues de travail, en vacances, enfin un peu partout. C’est un beau gosse, car il a toujours été bien charpenté avec un corps bien servi. Pratiquement imberbe, et avec un derrière et des fesses bien blanches, rondes et douces. Il a même des seins assez développés à force d’être manipulés par ses amants; et leurs sombres boutons, nettement gonflés, attirant follement les doigts et la bouche. Et puis il a une belle gueule, un visage toujours net et même légèrement pommadé, des cheveux gris autrefois noir corbeau et suffisamment longs lui donnant un air bohème, désenchanté et libre à toute aventure.
Il a toujours été facile à draguer, mais il choisissait ses amants, non seulement à la gueule et au verbe, mais surtout à son paquet sexuel. Pierre a toujours été affolé par les queues longues, épaisses et à la tête assez grosse pour lui faire ressentir la force de la pénétration initiale dans son anus. Et si cela marche, il était prêt à tous les sacrifices avec son amant. Pierre est instruit, car il a étudié et décroché un diplôme de comptable, ce qui lui a permis d’être suffisamment riche pour vivre à l’aise et propriétaire d’un studio type étudiant en ville, souvent, très souvent utilisé; et une maison bien équipée en banlieue. Cette villa n’est utilisée que pour travailler tranquillement (il fait des prestations de comptables privées), se reposer et recevoir des amis intimes (comme moi), ou quelques parents qu’il veut séparer de ses activités érotiques.
Une chose m’a toujours étonné chez Pierre. Bien qu’il possède tous les lieux nécessaires pour draguer et se faire sodomiser à l’aise, il y a un endroit qu’il préfère et qui lui donne toujours le maximum de plaisirs et de jouissances dans son cul et dans ses fantasmes, ce sont les w.c. publics. Quand il veut goûter à ce plaisir qui le rend toujours fou de sexe, il va dans des w.c. publics. Puis il dégrafe son pantalon et fait semblant de pisser, mais laisse le vêtement descendre assez par-derrière pour découvrir une bonne partie de ses fesses et de leur sombre sillon mystérieux. Comme il a un large derrière et des fesses merveilleuses, rondes, laiteuses, douces, cela marche toujours; ce n’est pas un homme qui sort sa queue, mais plusieurs qui lui offrent immédiatement de faire honneur à son cul. Il a toujours le choix des zeb présentés, puis il s’invite avec son homme dans un des cabinets des w.c..
Dans cet étroit refuge, il commence toujours par goûter la queue offerte en la léchant, la suçant et la branlant. Puis il se tourne vers le mur, se dénudant du dos aux chevilles, et se courbant au maximum; il offre le spectacle affolant de son derrière, de ses fesses, et son anus déjà entrouvert et palpitant, à la grosse bite qu’il a choisie. Ce tableau a toujours un effet sur son amant qui est poussé par une onde de désir incontrôlable, dès que son zeb arrive au niveau de l’anus, il l’enfonce brutalement et à fond jusqu’aux couilles. Et presque toujours, dans un râle prolongé et bruyant de plaisir. Cet enfoncement brutal du zeb, ce râle bruyant de fond de gorge, cette claque du ventre de l’homme contre les fesses de Pierre lui décuplent toujours son désir et ses jouissances. C’est un choc sexuel qui le fait hurler de joie et hoqueter de désir. Son cul envahi par la grosse queue lui transmet ses ondes de jouissances et il gémit et hurle à son amant de continuer, fort.
Alors, les coups de reins puissants et les va-et-vient de la grosse queue dans la chaude Terma provoquent et amplifient les gémissements des deux partenaires qui s’oublient dans le plaisir, jusqu’à l’explosion de la jouissance. Quand l’amant ressent le plaisir, monter de ses couilles, il se colle encore plus sur les hanches de Pierre et par trois ou quatre coups de reins, il éjacule dans les entrailles enflammées de notre ami. Ensuite, après que le zeb se soit retiré de son cul, Pierre s’assoit sur le bidet et vide son cul du sperme visqueux et encore chaud. Mais, si la sodomie fut intéressante et du goût de Pierre et que la queue de l’homme reste assez gonflée, notre ami souhaite et provoque toujours un second coup.
Alors, toujours assis sur le bidet, il empoigne le zeb et recommence à le lécher, le sucer et le branler pour le regonfler au maximum. Puis, il glisse son dos un peu plus en arrière sur le couvercle plat du bidet pour allonger son corps en partie couché. Ensuite, il lève haut ses jambes, écarte largement ses cuisses; et retenant son paquet sexuel, il offre par-dessous son anus et sa Terma à son amant. Celui-ci, ayant maintenant le cul bien en face de son zeb, sait exactement ce que désire Pierre. Et tenant sa queue à la main, il la pousse dans l’anus palpitant de Pierre et l’enfonce jusqu’aux couilles. Puis, il redémarre ses puissants va-et-vient et sodomise notre ami, face à face. Pierre a toujours aimé la sodomie face, car il m’a avoué que cela lui permettait de toucher son amant, à la poitrine, souvent des gens choisis très velus. Et Pierre a toujours été affolé par les hommes poilus, surtout à la poitrine, au pubis et aux cuisses.
Il peut aussi provoquer son amant pour se faire embrasser, parfois la bouche, mais surtout les seins. En fermant les yeux et ressentant les caresses et manipulations brutales de ses seins, Pierre a des fantasmes féminins. Parfois, il laisse échapper des « mon chéri » à l’homme qui le baise, et certains ont marché et lui répondent par des « ma chérie », « ma pute » et bien d’autres choses encore plus cochonnes qui amplifiaient les jouissances du cul de Pierre.
Après le départ de son amant, presque toujours, il y a un autre qui se présente comme candidat pour sodomiser Pierre. Généralement, c’est Pierre, qui a fait le choix. En effet, c’est tout à l’heure, lors de la première drague générale, quand il a découvert en partie son derrière en pissant, et qui a attiré plusieurs hommes qui se sont présentés avec leurs zeb prêts, que Pierre choisissait le premier, mais aussi le second et peut-être même plus pour le suivre dans le cabinet. Quand le premier a tiré son coup, le second se présente à Pierre qui a vidé le sperme de son cul et prêt à recevoir cette nouvelle grosse queue, et même les suivantes si nécessaire. C’est cela qui faisait aimer et même adorer à Pierre, les sodomies dans les w.c.. D’ailleurs, il m’a avoué que c’était dans des w.c. qu’il avait été dépucelé et initié d’abord par un petit vieux vicieux.
En effet, par un trou au mur, alors que Pierre faisait ses besoins, pantalon baissé sur les talons, le vieux a vu son gros derrière et ses blanches fesses imberbes et laiteuses, et cela l’a emballé sexuellement. Alors, il a suivi Pierre dehors et, par son expérience et sa technique propre, il a su toucher les fibres sexuelles de Pierre et l’a ramené aux w.c. pour lui ouvrir le cul et le sodomiser. Il faut croire que la tendance sexuelle de Pierre était prédominante. Il m’a dit que lorsque le vieux, en lui faisant des flatteries sur son beau corps, lui a caressé doucement et disertement le derrière avec ses doigts agiles sur les fesses et même leur sillon dans la rue, Pierre a coulé. Il a senti son cul aller de lui-même vers ces caresses et son cœur s’est emballé. Il avait compris tout de suite que ce vieux, fragile et inoffensif, en voulait à sa Terma, qu’il voulait le niquer.
Mais cette pensée, au lieu de l’effrayer, l’a plutôt emballé à demander au vieux d’aller plus loin; et ainsi, il se collait à l’homme pour accentuer les caresses, après ce fut très facile pour le suivre dans les w.c. et lui offrir sa Terma. Puis, chaque jour, Pierre avait rendez-vous avec le vieux qui l’a initié durant quatre après-midi. Mais le cinquième jour, le vieux se sentant incapable de bander, a ramené un ami à lui pour donner sa ration à Pierre. C’était un homme d’âge moyen, un noir, et dont le zeb était deux fois plus gros et plus longs que celui du vieux, et pour Pierre, ce fut un second dépucelage. Mais, la sodomie, qui a fait un peu mal à Pierre, l’a séduit et même enchanté ; à tel point qu’il n’a plus lâché son nouvel amant noir durant tout un mois, mais pas dans les w.c., il a préféré goûter à fond ce gros, épais et long zeb dans son lit, dans son studio.
Leur ménage a duré un mois, puis Sam, c’était son amant noir, et à la demande de Pierre, a amené avec lui un autre copain, plus jeune, mais à la queue aussi grosse que celle de Sam; sinon plus puissante et surtout plus résistante. Si Sam pouvait le sodomiser trois fois dans la soirée, l’ami, Tiam, pouvait aller jusqu’à quatre et même cinq sodomies entre la journée et la nuit. Et le sperme, ce fut aussi toute une autre affaire. Avec Sam, ce fut presque toujours trois éjaculations par sodomie; mais Tiam résistait en fabriquant plus vite et mieux, et pouvant éjaculer trois ou quatre fois dans chaque sodomie. Avec ses deux amis, Pierre a vécu trois trimestres de plaisirs et de jouissances. Et ils ne l’ont quitté qu’avec les vacances d’été, car Pierre allait à l’étranger. Comme il a aussi dragué quelques-uns, blancs et noirs à l’étranger, à son retour, il a retrouvé sa pleine liberté pour choisir. Toute une nouvelle vie commençait, et cela dès la première année de son initiation.
Depuis lors, ce fut encore plus et encore mieux.
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