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La pimbêche : piégée par son ennemie

Chapitre 4

Dépucelage et humiliations

Trash
Chapitre 5) Dernière chance pour Aline
Résumé : Venue à une fête pour aider son copain, Maxime, à intégrer l’équipe de foot, Aline tombe dans un traquenard : c’est la maison de sa pire ennemie. Elle se fait humilier par Béatrice et Yasmina dont elle a provoqué l’exclusion, puis quand elle rencontre l’équipe de foot, ceux-ci veulent tester sa virginité… Elle est donc emmenée à l’étage pour se faire baiser par un grand noir qui la dépucelle. Pendant ce temps, le téléphone qu’elle a laissé en bas sonne…
Le téléphone sonnait. Béatrice jeta un œil dessus, il y avait écrit : « Maman »
Béatrice aurait aimé suivre sa première impulsion, décrocher et dire :
« Bonjour Caroline. Votre fille est à l’étage en train de se faire dépuceler et baiser à mort par un black. Oui, votre petite fille chérie, votre pimbêche crâneuse, votre sainte-nitouche, elle perd sa petite fleur en ce moment même, et s’apprête à devenir une vraie salope, à sucer de la queue au kilomètre. Je vais la transformer en grosse pute prête à offrir son cul pour dix euros… »
Mais elle se contint, l’accomplissement de son plan le nécessitait. Elle n’obtiendrait une vraie victoire que lorsqu’elle aurait obtenu l’absolue soumission d’Aline, et pour ça elle avait planifié toute une machination devant amener Aline aux pires humiliations. Humiliations qu’elle méritait amplement pour l’avoir dénoncée au CPE, pour l’avoir fait exclure du lycée, et plus généralement pour se comporter comme si elle lui était supérieure. Et pour ça, elle devait avoir les mains libres et donc empêcher que la maman d’Aline ne vienne. Elle se résolut à laisser sonner jusqu’à ce que le téléphone s’éteigne.
Dix secondes plus tard, la sonnerie retentit à nouveau. Visiblement la mère allait appeler jusqu’à obtenir une réponse. Et si personne ne répondait, elle risquait bien de venir à la fête voir si son bout de choux allait bien… Béatrice se résolut à décrocher et à se montrer calme :
« Allo ?— Qui est à l’appareil ? demanda Caroline Houiller, ne reconnaissant pas la voix de sa fille.— C’est Béatrice, Aline est ici, à faire la fête.— Passez-la-moi. »
Béatrice grimaça, la mère avait un ton cassant et se montrait aussi arrogante que sa fille.
« Euh… je peux pas pour l’instant… elle est euh… occupée.— Amenez-lui le téléphone. »
Béatrice cogna du pied contre la table de colère. Pourquoi cette grognasse ne pouvait-elle pas laisser sa fille tranquille deux minutes ? Connaissant Moussa il en avait encore pour dix bonnes minutes minimum à défourailler l’autre greluche. Et si la mère parlait à sa fille, celle-ci voudrait sans doute repartir. Il fallait à tout prix empêcher ça.
« Je suis désolée, elle ne peut vraiment pas vous parler. Elle s’est isolée dans les toilettes, elle a mal digéré un truc… Mais ça va, quand je suis passé la voir il y a deux minutes, elle m’a dit qu’elle allait déjà mieux.— Alou est malade ?! Dites-lui de tenir bon, j’arrive tout de suite. »
La maman raccrocha pendant que Béatrice fulminait. Elle allait devoir changer de plan, elle ne voulait pas laisser fuir Aline aussi facilement.Pendant qu’en bas le cerveau de Béatrice bouillait, à l’étage c’était la chatte d’Aline qui chauffait. Si on s’approchait de la chambre, on pouvait entendre des grincements de lit explosifs ; dessus Moussa enfournait la lycéenne comme s’il cherchait à percer un trou. Quant à Aline, elle avait perdu la notion du temps. Son cerveau s’était mis en veille, elle n’avait plus qu’une sensation : celle d’être devenu un fourreau à bite. Parfois elle se rappelait sa situation : celle d’être baisé par un noir qu’elle ne connaissait pas y a une demi-heure. Mais avant qu’elle ne trouve un instant pour réfléchir, les coups de pines lui coupaient le souffle, asphyxiait son cerveau et la rendait aussi idiote qu’une bimbo de télé-réalité. Et, lorsque le chibre de Moussa profondément enfoncé dans sa chatte libéra sa semence au fond de ses ovaires, elle ne se rendit même compte du sperme foisonnant s’engouffrant dans son abricot.
Elle ne reprit contact avec la réalité qu’au moment où Moussa lui jeta sa jupe à la tête. Lui s’était déjà rhabillé et s’était même essuyé du sperme gouttant de sa queue avec cette même jupe. Il lui ordonna :
« Dépêche-toi, les autres attendent que je rende mon verdict, » dit-il en la regardant maintenant avec mépris. Il avait l’habitude de baiser des groupies blanches qui se pressait auprès de lui après les matchs de foot, et celle-ci s’était montrée décevante, beaucoup trop passive, limite chiante. Il pensa un moment qu’il pourrait être amusant de la dresser pour l’obliger à vénérer sa bite noire, mais il savait que Béatrice avait des plans pour elle, et il ne souhaitait pas interférer en la privant de sa proie. Après tous, c’était lors de ces soirées du samedi soir qu’il pouvait pratiquer quelques plans à trois et il ne tenait pas à être exclu des invitations.
Aline se rhabilla, elle ne trouva pas son soutien-gorge. Elle soupçonna Moussa de lui avoir volé, mais n’osa pas l’accuser… elle était maintenant encore plus craintive et soumise face à lui. Elle enfila donc sa jupe et son top sans sous-vêtement dessous. Comme elle avait une poitrine assez imposante, on pouvait voir ses tétons se presser contre le tissu. Quant à sa jupe, tous ceux qui passaient derrière elle pouvaient voir le contraste flagrant entre les nombreuses taches de foutre blanc et le rouge bordeaux de la jupe. Les deux amants descendirent les escaliers sous des sifflements un peu cochons du public. Aline garda la tête baissée, espérant sans trop y croire que cela suffirait à dissimuler son identité. Moussa rejoignit l’équipe de foot en tenant la petite blonde pas les épaules.
« Alors ? — Elle était vierge, et très serrée. »
 Il leva la main en l’air et chaque membre de l’équipe se mit à lui en claquer cinq. Le capitaine se rapprocha de la jeune femme :« On dirait que tu n’avais pas menti, t’es pas si pute. Même si maintenant que Moussa te soit passé dessus, tu ne pourras plus jamais prétendre à une étroitesse de pucelle. Ha ha ! — Alors vous allez prendre Maxime dans l’équipe ? »
Aline se souvenait parfaitement de la raison de son "sacrifice", prouver que Maxime avait dit la vérité et donc qu’il puisse incorporer l’équipe. Et si elle était honteuse d’avoir copulé avec un quasi-inconnu, elle n’en oubliait pas pour autant les leçons de sa maman, dont l’une était : « Toujours se montrer à la hauteur, surtout quand on est au plus bas ! »
« Tu es souple, pas une pute, ça fait déjà deux bons points. Je dirais que Maxime est en bonne voie d’intégration… on va en discuter un peu entre nous… »
Il fit un geste de la main comme pour chasser un chat ou un pigeon. Aline recula, espérant que son calvaire n’avait pas été vain. Elle chercha du regard Maxime, elle le remarqua dans un coin de la pièce et se dirigea vers lui. Alors qu’elle s’arrêtait à la hauteur, il la regardait avec une expression intense, comme s’il était furieux. D’ailleurs il l’attaqua avec virulence :
« Comment as-tu osé ?! — Que… quoi ? — Ne fais pas semblant, tu es montée pour baiser avec ce noir.— Je oui… c’est vrai.... mais c’était pour toi, pour prouver que j’étais vierge, pour prouver que tu ne mentais pas  !— Mouais… Et c’est pour ça que tu as choisi celui avec la plus grosse queue ? Tu t’es comportée comme une salope oui, moi qui croyais te connaître, j’suis furax ! »
Aline se mit à pleurer. Elle trouvait la situation injuste, même si elle prenait conscience de sa responsabilité… Elle avait trompé Maxime de son plein gré.
« Je suis désolé, je voulais pas....— C’est ça… personne t’as entendue protester. Dire que tout ce que j’ai eu moi, c’est une branlette…— C’est pas ma faute, je te jure !— Alors si vraiment t’as fait ça pour moi, ça veut dire que je suis dans l’équipe.— Euh… je sais pas… ils ont dit d’attendre que…,— Quoi ! T’es même pas capable de m’obtenir une petite place dans une équipe de foot amateur… je sais pas pourquoi je reste avec toi…— Ils vont accepter, j’en suis sûre !— Tu me fais honte, je vais te dire un truc. Si je n’entre pas dans l’équipe ce soir, je te quitte. Et comme tout le monde va savoir que t’es une salope, bonne chance pour te trouver un mec qui cherche autre chose qu’un coup facile… — Mais…— Va-t’en… Je te reparlerais quand j’aurais ma place. »
Aline recula, elle vit Maxime tourner la tête et s’éloigner d’elle pour rejoindre un groupe en pleine conversation. Elle ne savait pas quoi faire, c’est à ce moment que Béatrice lui passa le bras autour des épaules :
« Ça va pas ? t’as l’air triste… Tu n’as quand même pas l’intention de gâcher l’ambiance de ma fête ?— N... non, je suis désolé c’est juste que…— Allez, viens avec moi, on va s’amuser. »
Béatrice un peu désarçonnée par le coup de fil de Madame Houiller avait retrouvé le sourire en voyant Aline descendre honteusement de l’étage. Elle était parvenue, par l’intermédiaire de Moussa, à la dépouiller de sa virginité, et plus important encore, d’une grande partie de sa dignité. Elle mouillait rien qu’en imaginant Aline tomber encore plus bas…
Les deux lycéennes retournèrent au groupe de filles. Celles-ci souriaient en regardant Aline approcher, mais n’eurent aucun mot pour se moquer d’elle, rien qui indiquait qu’elles l’aient vue monter et redescendre avec Moussa. Aline se joignit aux conversations sur les dernières émissions de télévision, quand Béatrice lui cria :
« Attention, derrière toi ! »
Elle se retourna pour apercevoir Yasmina glisser alors qu’elle tenait une bouteille de Coca-Cola. La bouteille lui échappa des mains et une énorme ration de liquide noir aspergea tout le haut d’Aline.
« Oups… » dit en riant Yasmina.
Derrière elle quelqu’un s’agitait à lui soulever son top. C’était Béatrice. Et avant qu’Aline ne puisse protester, elle se retrouva seins nus. Aline se couvrit les seins précipitamment en criant :
« Mais qu’est ce que tu fous, t’es folle ?— Calme-toi, je vais t’apporter un autre haut… tu peux quand même pas garder ce truc trempé sur toi, je m’occupe de le nettoyer…— Mais je suis à moitié à poil.— Bah ça… je ne pouvais pas savoir que t’aimais pas les soutifs. Attends bien sagement, je te ramène quelque chose. »
Béatrice partit pour la salle de bain. Aline la regarda s’éloigner avec son vêtement sans réagir, gardant simplement ses mains devant ses gros nichons. Quand Coralie lui tapa sur l’épaule :
« Aline, y a les mecs de l’équipe de foot qui t’appellent. »
Aline regarda dans leur direction, et en effet ils gesticulaient pour attirer son attention. Elle hésita, elle ne voulait absolument pas y aller la poitrine découverte… Mais d’un autre côté, si elle n’allait pas les voir, c’était sûr qu’ils prendraient ça comme un affront et n’intégreraient pas Maxime dans l’équipe. Elle se dirigea donc vers eux, les bras croisés au niveau de ses seins. C’était ainsi qu’elle pouvait au mieux cacher sa nudité, et si elle ne pouvait empêcher de laisser un peu de chair dépasser, au moins elle ne passait pas pour une exhibitionniste.
« Aline, on a un peu soif, on se demandait si tu voulais bien nous servir un verre.— Euh… oui, bien sûr quoi ?— Martini, whisky coca deux glaçons, un jus d’orange, un autre martini, une vodka pomme, un whisky classique, un coca, un martini, une vodka orange, un pastis.— Euh, tu peux répéter ?— J’ai dit : Vodka orange, coca, pastis, vodka pomme, whisky, martini, grenadine vodka, jus de raisin, whisky coca sans glaçon, Suze.— Euh attends… tu… c’est la même chose ?— Bien sûr, je comprends que tu sois perturbé avec ce que Moussa t’a mis. On va te faciliter la tâche pour t’aider à te souvenir, on va écrire ce qu’on veut, d’accord ?— D’accord ! »
Aline respira un peu. Si elle n’était pas parvenue à tout retenir, ils auraient tenu un bon prétexte pour exclure Maxime. Mais avec tout noté sur papier, elle ne pouvait pas se tromper. Julien, le capitaine sortit un marqueur et se rapprocha d’Aline. Celle-ci ne comprit pas immédiatement son intention, se demandant pourquoi il tenait un marqueur et où était le papier... Elle se posait encore des questions quand il posa le feutre juste au-dessus de son gros nichon gauche et écrivit : "vodka-pomme".
« Qu’est-ce que… Vous pouvez pas écrire sur moi !— T’as un papier avec toi ?— Quoi ? Non. »
Elle n’avait que sa jupe, et rien en dessous ! D’où voulait-il qu’elle sorte du papier !
« Faute de papier, faut bien trouver une surface où écrire… »
Il confia le marqueur à un deuxième footballeur, le grand noir, qui s’approcha.
« Tu peux bouger des bras ? Sinon y aura assez de place. »
Aline hésita, mais c’était Moussa qui avait parlé, et elle se voyait refuser ça après la façon dont il l’avait baisé dans la chambre à coucher. Il écrivit "Martini" en plein milieu de son sein avec le "t" placé sur le téton.
Le marqueur fut passé entre les dix footballeurs qui inscrivirent sur sa peau ce que chacun souhaitait consommer. Au final son torse fut couvert d’écriture, et elle ressemblait à une strip-teaseuse avec les consommations des clients consignées sur sa nudité.
Alors qu’elle allait recroiser les mains pour se cacher la poitrine, Julien précisa :
« N’oublie pas de prendre le plateau pour transporter les verres, » dit-il en désignant un plateau rond posé sur la table basse. Aline s’en empara et l’utilisa pour cacher ses seins, même si elle savait qu’une fois les verres posés dessus elle n’aurait plus aucun moyen de dissimuler sa demi-nudité.
Elle retourna vers le buffet où elle croisa Béatrice qui lui apportait un haut. Aline poussa un soupir de soulagement. Elle tendit la main pour récupérer le vêtement, mais quand Béatrice remarqua les écritures inscrites sur son corps,elle se ravisa et garda le haut avec elle :
« Je vois que les mecs ont trouvé une utilisation à tes gros nichons… du coup tu enfileras ça une fois que tu auras fini de servir… ce serait dommage que tu te trompes pendant le service. »
Aline pesta silencieusement et se dépêcha de remplir les verres en s’aidant des écritures sur son corps : whisky, martini, cocktail, etc. Puis elle retourna vers l’équipe, elle regrettait d’avoir mis des talons hauts. Les dix verres commençaient à peser, et le plateau n’était pas étudié pour contenir plus de sept ou huit verres. En marchant jusqu’au coin des footballeurs, les verres s’entrechoquaient, et l’alcool éclaboussait sa peau nue. Elle parvint cependant jusqu’à l’équipe sans renverser de verre. Là, les joueurs de foots ne se ruèrent pas pour prendre leur verre. Ils discutaient match et ballon, tandis qu’elle essayait de ne pas faire tout tomber. Elle savait aussi qu’ils regardaient ses seins, et que l’alcool qui les avait éclaboussés les rendait brillants et d’autant plus alléchants.
Chaque fois que l’un des garçons prenait son verre, il utilisait le marqueur pour raturer la commande passée sur son corps. C’était humiliant d’être ainsi marqué sur la peau, mais elle intériorisa sa honte. Elle avait de plus en plus le sentiment d’être traitée comme un objet durant cette soirée, qu’elle se pliait à toutes les demandes, et qu’au lieu de se rebeller, elle trouvait plus simple d’accepter les humiliations. Elle resta donc dix minutes avec le plateau avant que tous n’eussent fini leur verre. Quand elle revint dans le salon en déposant le plateau et les verres vides, Béatrice lui fit signe de venir :
« Voilà ton haut, j’espère qu’il te plaira. Et je t’ai aussi apporté une autre jupe.— Hein ? Pourquoi ?— Parce qu’elle est déchirée et tachée de sperme… Je comprends que t’aimes te faire baiser… je ne porte pas de jugement de valeur… mais c’est une fête décente ici, et je ne veux pas que des dévergondées se promènent avec des vêtements couverts de foutre, tu comprends ça ?— Oui… bien sûr »
Aline parlait d’une toute petite voix, n’arrivant pas à croire que Béatrice lui donnait une leçon de morale. Et pourtant elle pouvait difficilement lui donner tort. Si une autre qu’elle avait porté une jupe tachée de semence, elle aurait trouvé ça indécent et indigne. Elle récupéra les vêtements que lui tendait Béatrice et partit les enfiler dans les toilettes. C’est là qu’elle se rendit compte d’un problème : le t-shirt était ultra-serré et "Je SUCE !" était imprimé dessus. Quant à la jupe, elle était si courte qu’il était difficile d’appeler encore ça un vêtement.
Elle hésita, encore une fois elle aurait pu accepter l’humiliation et fermer sa bouche. Mais elle était agacée que Béatrice, cette fille vulgaire et fielleuse lui ait fait la morale. Elle repensa à sa maman qui disait : "N’hésite jamais à montrer à la canaille qui est le chef !", regonflée de fierté, elle sortit en colère -mais tout de même habillée des habits indécents- et alla directement voir Béatrice :
« C’est quoi ces trucs que tu m’as donnés ?!— C’est ce que j’ai trouvé dans ma garde-robe… tu n’aimes pas ?— Si je n’aime pas !? La jupe est trop courte, et je suis trop serrée dans ce t-shirt.— Désolée, c’est vrai que tes seins ont l’air complètement écrasés, ça doit faire mal, non ?— Un peu oui !— Pas de soucis, j’ai la solution… »
Alors qu’Aline s’attendait à ce qu’elle reparte à l’étage chercher des vêtements plus présentables, elle se contenta d’aller chercher des ciseaux sur le buffet. Quand elle revint, Aline ne manqua pas de demander :
« Mais qu’est-ce que tu fous ?— T’inquiète, tu vas être moins serrée. Les filles, tenez-la ! il faut pas qu’elle se blesse en bougeant. »
Coralie, Nolwen et Delphine prirent position derrière Aline alors que Béatrice s’amusait à jouer avec les ciseaux. Aline se mit à trembler, repensant à l’exclusion de Béatrice dont elle était responsable. Voulait-elle se venger en la débitant en petits morceaux ?
Béatrice était maintenant devant elle, elle tira sur le t-shirt au niveau du téton et approcha les ciseaux…
« Arrête ! Fais pas ça ! On peut discuter ! »
Béatrice coupa.
Aline se prépara à une douleur intense… mais rien. Elle baissa les yeux, et vit Béatrice occupée à couper le tissu autour de ses seins, elle y mettait de l’application, et quand elle eut fini, ses deux gros nichons étaient à l’air libre, débordant du t-shirt. Béatrice semblait contente de son travail :
« Alors, tu respires mieux comme ça, non ?— Hein ?— Tu m’as bien dit que tes seins étaient trop comprimés… et bien, c’est plus le cas.— Mais…— Oui ? Tu veux que je coupe autre chose ?— Non ! C’est très bien comme ça. »
Aline était mortifiée, en plus d’être dégradante, la tenue qu’elle portait était maintenant indécente. Et elle avait peur que si elle critiquait sa mise, Béatrice ne déniche un moyen pour rendre les choses encore pires. Aline se rendit compte que malgré les conseils de sa maman, elle n’avait plus la force de s’opposer à Béatrice.
Au même moment Béatrice jeta un œil dehors et sembla soudainement pressée :
« Je crois qu’il y a les garçons de l’équipe souhaitent te voir. Peut-être qu’ils ont décidé si Maxime rejoignait l’équipe… tu devrais y aller. »
Aline regarda et, effectivement, Julien lui faisait un signe de main. C’était le moment de vérité.
Pourquoi Béatrice est-elle si pressée de renvoyer Aline ? Qu’a-t-elle vu dehors ? Et que vont donc décider les garçons ? Toutes ces questions auront leur réponse dans le chapitre suivant de cette abominable histoire. Alors, abonnez-vous pour être averti de la suite du récit, et n’hésitez pas à cliquer sur « J’aime » si cela vous a plu !
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