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La pimbêche : piégée par son ennemie

Chapitre 7

Inceste mère-fille

Trash
Résumé :  

Après une soirée pleine de dépravations, Béatrice est parvenue à piéger Madame Houiller pour qu’elle participe à un gangbang. Et pour pimenter la chose, c’est sa fille, Aline, qui est chargée d’inviter les mecs à venir baiser sa mère. La pauvre ignore cependant que la participante principale à la tournante est sa maman chérie.


Chapitre 8) Ma maman, métier : vide-couille.
Après plus d’une heure, Béatrice revint voir Aline. Elle avait apporté une coupe de champagne pour trinquer avec elle. Celle-ci accepta :
« À cette grosse salope ! » rigolèrent-elles en cognant leur verre.
« T’as bien travaillé, et je crois que tout le monde est passé au moins une fois, » dit-elle alors qu’un mec sortait de la chambre. « Il est temps pour toi aussi de profiter du spectacle. »
Il y avait encore beaucoup de monde dans la file d’attente, il faut dire que la plupart des mecs désiraient avoir un rab de chatte de leur proviseur adjointe. Béatrice ouvrit la porte et Aline entra. Elle était excitée à l’idée de découvrir quelle fille pouvait être aussi salope. Baiser tous ces mecs sans s’arrêter, ce devait vraiment être la pire des souillons. Elle regarda la forme vautrée sur divan, ce qui attira d’abord son regard fut la chatte écartée et pleine de sperme. Quelle honte ! Elle leva les yeux, et c’était curieux, mais si elle avait déjà vu ces vêtements, elle n’arrivait plus à mettre le doigt sur la fille qui les portait. Puis, elle s’attarda sur le visage, la femme était beaucoup plus âgée que ce à quoi elle s’attendait, elle avait plus de trente ans et elle ne se rappelait pas avoir vu cette femme à la soirée, et pourtant, oui elle la connaissait, c’était…
C’ÉTAIT SA MAMAN !!!!!
Elle regarda autour d’elle, sans comprendre, c’était une blague non ? On la faisait marcher, c’était un sosie ? Ou une poupée réaliste ?
Mais plus elle l’observait moins elle avait de doute, c’était bien sa mère, la proviseur adjointe du lycée, Madame Caroline Houiller… Il y avait cependant une grosse différence par rapport à la maman qu’elle avait l’habitude de voir. Généralement Caroline se maquillait précisément, prenait soin de sa peau, et avait toujours les cheveux propres. La femme en face d’elle n’était rien de tout ça, sur son visage le maquillage avait coulé et s’était mélangé à une couche de sperme, le torchon dans sa bouche était baveux, et une grosse quantité de salive s’était accumulée entre ses seins. Ses cheveux étaient gluants d’une quantité de foutre abondante et ses vêtements étaient encore plus découpés que les siens. Mais le plus dégoûtant était la quantité faramineuse de crème blanche qui s’était accumulée dans ses trous. Elle débordait littéralement de semence, à tel point qu’une flaque de sperme s’était formée sur le parquet.
Qu’est-ce qu’elle faisait là ? Pourquoi ? Comment ?
Béatrice jouissait de regarder sa pire ennemie prendre conscience de toutes les bites qui avaient défouraillé sa mère. Que c’était elle qui avait fait entrer les garçons pour que sa maman soit embrochée par plusieurs dizaines de grosses saucisses juteuses.

« Béatrice, qu’est ce que ça veut dire ? — Tu vois bien, ta maman s’est invitée à notre fête, et on a su la recevoir… Quand elle a vu tous les beaux mecs de la soirée, elle s’est dit que c’était une occasion à ne pas manquer. C’est peut-être la dernière fois qu’elle aura droit à autant de queues dans ces trous.— Mais elle est mariée ! Avec papa.— Eh bien, avec tout le sperme qu’elle a dans la chatte elle pourra bientôt lui annoncer un heureux événement.— Non !— Y a bien une méthode pour empêcher ça…— Une pilule, vite !— Non, j’ai pas ça ici. Contrairement à toi et ta mère, je suis pas du genre à coucher avec le premier venu… Mais si tu te dépêches d’aspirer tout le sperme qui a été déposé dans sa chatte, tu pourras éviter que ta mère soit mise en cloque.— Quoi ? »
Béatrice poussa Aline vers sa maman.  
« Tu as compris ? Si tu veux éviter de te retrouver avec un petit frère dans neuf mois, je te conseille de tout gober rapidement. »
Aline était paniquée, Béatrice la poussait.
« C’est impossible, c’est de l’inceste ! Je t’en prie, trouve autre chose… »
Malgré ses protestations, Béatrice venait de voir quelque chose de rare dans les mots d’Aline : de l’humilité. Pour une fois dans sa vie, elle prenait conscience de ne pas être le centre du monde. Et au contraire d’être à la botte de Béatrice.
« Aline, tu te rends compte que tu t’es comportée comme une salope tout au long de la soirée ? — Oui… »
Face à la vision de sa mère complètement gangbangée et fourrée, Aline se rendit compte que ce qui s’était passé cette nuit n’était pas un simple accident. La soumission à la lycéenne avait été progressive, mais elle ne pouvait contester que son asservissement était maintenant total. Cela avait démarré quand elle avait léché les pieds de Yasmina et avait ainsi perdu la bataille morale. Puis, elle s’était conduite comme une pute, et compromise de toutes les manières, elle avait conscience que Béatrice s’était montrée supérieure à elle en tout, l’avait menée par le bout du nez. Quatre heures plus tôt, elle aurait réagi en l’agressant, mais maintenant elle n’y pensait même plus. Tout ce qu’elle pouvait demander était sa pitié, qu’elle lui fasse une faveur.
Mais Béatrice n’était pas d’humeur à se montrer bienveillante, elle avait gagné, et elle voulait en profiter. Qu’Aline et sa salope de mère boivent la lie jusqu’au bout. Et en l’occurrence, elle avait une nette idée de ce que devait être "la lie"....
« Quand je dis que tu vas lécher ta maman, tu obéis ! »
Béatrice lui mit le nez sous la chatte de sa génitrice, Aline écarquilla les yeux, horrifiée. Lécher la chatte de sa maman était ce qu’elle pouvait imaginer de plus répugnant, sans compter tout ce sperme à avaler… Mais, elle ne voulait pas désobéir à Béatrice. Et puis si elle n’aidait pas sa maman, avec toute cette semence qui macérait dans son antre duveteux, nul doute qu’elle tomberait enceinte si elle n’agissait pas…  
Voyant son hésitation, Béatrice ajouta :
« Ce qui est rigolo, c’est que ta maman est venue parce qu’elle s’inquiétait pour toi. Oui, c’est à cause de toi si elle a la chatte fourrée de sperme, mais on dirait que tu t’en fiches…  — Non !— Alors qu’est-ce que tu attends. »
Aline ne savait plus quoi faire. Elle sortit timidement la langue et récolta quelques gouttes de sperme qui s’écoulaient de la chatte distendue de Madame Houiller.
« Je vois que tu t’es décidé, » constata Béatrice. « Alors, laisse-moi t’aider. »
Elle poussa la tête de son ennemie contre l’abricot de la maman. Son nez se posa contre le clitoris, tandis que sa bouche embrassait pleinement la moule dégoulinante de jus. L’odeur de toute cette déjection de chibre était écœurante. Elle ouvrit la bouche et sa langue s’enfonça dans le con. Elle avait espéré qu’il suffirait d’un ou de deux coups de langue pour vider sa maman de toute la sauce fertilisatrice, mais cet espoir fut vite déçu quand sa langue plongea plus avant. Tout l’ovaire de sa mère était rempli, c’était une véritable décharge à foutre qu’elle avait à nettoyer. Elle passa en revue tous les mecs qui étaient entrés dans la chambre, tous ces mecs à qui elle avait demandé de baiser sa maman, à se montrer brutaux et ignobles avec elle. Elle les visualisa décharger leur bourse, l’arroser de semence. Et maintenant elle était là, à genoux, à boire tout le sperme qu’ils avaient déversé dans sa maman.
Béatrice à côté d’elle commentait :
« C’est la première fois que tu goûtes au jus de couille, non ? J’espère que tu aimes ça, parce que tu ne pourras pas te plaindre de ne pas avoir assez à manger… »
Non elle n’aimait pas ça. Elle était transie de honte de devoir avaler le sperme amalgamé d’une bonne partie des mecs de sa classe. Mais ça, ce n’était que psychologique. Le plus terrible était bien plus terre-à-terre : c’était le goût. Un goût de yaourt gluant et aromatisé à la bite. Elle lapait pitoyablement ce jus blanc visqueux débordant de la chagatte de sa mère, elle avait l’impression que les spermatozoïdes se mouvaient sur sa langue avant de s’engouffrer dans son gosier.
Pendant ce temps, sa mère était tétanisée. Elle avait constaté de première main comment cette salope de Béatrice venait de manipuler sa fille. Lui faire croire qu’elle agissait pour éviter qu’elle tombe enceinte alors que son unique but était de les humilier toutes les deux. Mais elle était plus admirative qu’énervée par la fourberie de la lycéenne alors qu’elle sentait la langue de sa fille se tortiller dans sa grotte gluante. Elle pouvait sentir le foutre gonflant son fourneau se vider sous la succion de sa fille, elle admirait sa fille pour son dévouement à boire tout ce sperme. Elle, par contre, était méprisable de bêtise, honteuse d’avoir été piégée par Béatrice comme une crétine. Et contrairement à Aline, qui avait le nez plongé dans son con et ne pouvait pas voir le reste de la chambre, elle voyait les dizaines de lycéens en train de rire devant le spectacle grotesque d’une fille gouiner sa maman. Le pire est que son fourreau avait souffert ces dernières heures en subissant un pistonnage intensif, et la petite langue agile et humide de sa fille lui procurait un plaisir indéniable.  
Alors que sa chatte se vidait peu à peu de toute la semence engloutie en elle, et bien qu’ait mal au cœur pour sa fille qui devait ingurgiter tout cet amoncellement de sève poisseuse, elle ne pouvait nier une profonde extase à se faire purger de toute cette saleté.
Sa fille était pourtant loin d’avoir fini sa tâche herculéenne. Ce n’était pas par paresse, sa langue n’arrêtait pas de travailler et était aussi consciencieuse que pour la rédaction de ses devoirs. La quantité à écluser était simplement gargantuesque, et elle avait encore du boulot devant elle alors que son estomac était déjà rempli par tout ce lait séminal. Ayant besoin de prendre un peu d’air, elle écarta la tête de réservoir encore bien plein de sa maman pour s’accorder une pause.
Elle constata alors qu’elle était devenue le centre d’attraction de la fête. Car quel spectacle elle offrait avec son menton barbouillé de jus de couille et sa petite langue travailleuse de lécheuse de chatte. Les spectateurs autour d’elle assistaient à sa performance en sirotant des bières et en mâchonnant du pop-corn, tandis que son repas à elle consistait uniquement en du foutre. D’ailleurs elle sentit une remontée de l’infâme liquide spermatique le long de son œsophage ; elle ouvrit la bouche et offrit à l’assistance un énorme rôt de sperme. Béatrice secoua la tête devant ce spectacle peu ragoutant, et Aline s’en retrouva mortifié. N’osant affronter plus longtemps le regard de la foule, elle replongea à la tâche avalant la résine de mâle qui continuait à goutter de l’antre visqueux de sa maman. Elle avait aussi remarqué que depuis plusieurs minutes, ce n’était pas que du sperme qu’elle engloutissait, mais que la chatte à sa mère commençait à s’humidifier de mouille. Elle réalisa que sa maman jouissait grâce à ses coups de langue. Elle se sentait gênée d’être responsable de cette humiliation supplémentaire, mais elle ne se découragea pas et s’appliqua. Elle voulait éliminer toute trace de spermatozoïdes pour ne pas que sa génitrice ne devienne enceinte d’un de ses camarades de classe.  
Quand elle eut fini, qu’elle fut sûre que la chatte de sa maman était bien propre et vide de tout résidu de jus de couille, Béatrice lui confia des ciseaux comme récompense :
« Je te laisse libérer ta maman. »
Elle s’empressa de couper les liens qui la retenaient puis de la débâillonner. Elle se colla à elle malgré le sperme gluant qui recouvrait son corps.
« Maman ! Je suis désolée.— Non c’est moi. »
Les deux femmes se serraient l’une contre l’autre. Ç’aurait paru touchant, si la plus jeune n’était pas en jupe mini-courte et les nichons à l’air, et que la mère n’avait pas ses habits complètement coupés. On aurait pu les prendre en photo pour illustrer un DVD porno appelée : "Destruction par le sperme de deux gouines sexy".
« C’est bientôt fini ces simagrées ? Je vous signale que vous avez du travail. Vous avez vu la file qui attend derrière la porte ? »
En effet, même s’il y a déjà beaucoup de monde dans la pièce, une grande quantité de mecs attendait aussi à l’extérieur, espérant encore se vider les couilles.
« Laquelle des deux veut servir de pute ? »
Madame Houiller voulant protéger sa fille cria : « Moi ! »Quant à la fille, après avoir constaté, langue la première, à quel point sa maman avait été besogné, elle s’exclama : « Prenez-moi plutôt ! »
Leur sentiment de protection l’une envers l’autre était si beau et si intense qu’aucune des deux ne songea à protester contre le sort qui leur était réservé. Béatrice avait du mal à contenir sa joie, elle avait réduit les deux hautaines et orgueilleuses femmes à être ses esclaves. Elle était crainte et respectée comme une déesse et pouvait exiger d’elles tout ce qu’elle souhaitait.
« Vous me touchez tellement que je n’ai pas le cœur à choisir. Alors plutôt que de sacrifier l’une ou l’autre, vous allez nous offrir un petit show… Ouais, vous allez vous baiser l’une l’autre. Oh, pas la peine de faire des mimiques de sainte-nitouche Madame Houiller. Aline vient de vous lécher un bon quart d’heure, et je vous aie vu jouir alors qu’elle vous bouffait la hutte… »
Elle tapota le lit, elle y avait posé quelques petits ustensiles. Certains qu’elle avait commandés spécialement pour cette soirée et d’autres dont elle profitait au contraire quotidiennement comme un gros gode rouge. Les deux femmes s’avancèrent vers le lit, prêtes à accomplir leur devoir. L’une et l’autre hésitaient à s’emparer des jouets, Béatrice se trouva contrainte de jouer à la metteuse en scène.  
« Madame Houiller, après le soin qu’a pris votre fille pour vous nettoyer la chatte, ne vous faites pas prier pour la faire jouir.— Béatrice, est-ce que je…— Dorénavant, Madame Houiller, tu m’appelleras Maîtresse, ta fille aussi m’appellera Maîtresse. Car vous êtes mes deux esclaves. Et grosse salope, quand je donne un ordre tu m’obéis, compris ? »
La maman fut choquée. Aucun élève n’avait jamais pris un tel ton avec elle. Le pire est qu’elle ne pouvait qu’accepter la validité des propos de sa nouvelle maîtresse. Elle prit donc le gode et s’approcha de la chatte fraîchement rasée de sa fille. Elle voulait s’assurer de sa coopération, mais comment demander à sa fille si celle-ci voulait bien se laisser goder ? elle bafouilla en demandant
« A-aline, Béatrice veut que je… »
Elle reçut un coup sur les fesses. La redoutable lycéenne venait de la frapper.
« Putain ! T’es conne ou quoi ? Je t’ai dit y a deux secondes de m’appeler maîtresse… J’ai l’impression que ça va être compliqué de te dresser, conne comme t’es… »
Caroline se sentit vraiment stupide. Elle qui passait une bonne partie de ses journées à expliquer aux élèves d’être plus attentifs en classe. Voilà qu’elle n’était pas parvenue à se rappeler ce que sa maîtresse venait de lui dire. Elle se rectifia immédiatement :
« Notre Maîtresse veut que je te gode… est-ce que…— Vas-y maman. »
Au ton de sa voix, Caroline comprenait que sa fille avait pleinement accepté sa soumission à Béatrice. Elle ouvrit les cuisses pour permettre l’entrée du massif tube rouge. Sa mère eut une hésitation, elle trouvait la taille du gode vraiment trop gros pour le petit minou de sa fille.
« Aline, je suis pas sûre que le gode puisse entrer…— Pourquoi ? il est pas plus gros que le sexe de Moussa. »  Caroline frémit en se rendant compte que sa fille avait subi les coups de gourdin endiablé de Moussa. Elle se souvint aussi que les coups de matraque pénétrant son fourreau lui avaient fait vivre l’extase. Elle se demanda si sa fille avait aussi connu la petite mort sous la houlette du grand noir. Rassurée que sa fille puisse supporter la grosseur de l’engin, mais un peu jalouse de ne pas être la seule à avoir été saillie le colosse black et son énorme pieu, elle enfonça le chibre en plastique dans la fente de sa fille sans montrer de grande tendresse. Savoir que sa fille servait de repose-queue pour un noir rabaissait d’un cran son estime pour elle, il lui vint même à l’esprit que sa progéniture n’était peut-être bien qu’une salope.  
Si Aline ne fut absolument pas surprise par la taille du gode, elle eut un choc quand le mode vibreur s’actionna. Elle essaya de garder bonne figure, de ne pas montrer ce qu’elle ressentait, mais elle était bien forcée de se mordre les lèvres. Les vibrations à cet endroit intime étaient si nouvelles et délicieuses… Le gode devenant de plus en plus humide, il fut aisé de constater pour Caroline que la chair de sa chair y prenait plaisir. Il ne lui laissait plus beaucoup de doute quant à sa fille… Elle avait beau lui avoir donné la meilleure des éducations, une fois une queue dans la chatte, elle se montrait aussi dépravée que la première catin venue.
Béatrice constatant l’effet produit déclara :
« Madame Houiller, votre salope de fille est toute mouillée, il est temps pour vous de la lécher. »
Ses ordres furent automatiquement suivis, et Aline sentit son minou commencer à être dévoré par sa bonne maman. Pendant ce temps les mecs ne restaient pas sans rien branler… ou plutôt, ils restaient justement à se branler. Lorsque l’un d’eux fut prêt à juter, il se rapprocha du lit, et sans bien savoir où viser, il se mit à asperger les deux femmes de sa semence. Béatrice intervint immédiatement :
« Qu’est-ce que vous attendez ! Ne laissez pas ce sperme refroidir, dégustez ! »
Aline et Caroline se firent face à face. Aline commença à lécher les perles de foutre recouvrant les seins de sa mère, tandis que Caroline attendit d’être nettoyée pour passer des coups de langue sur la giclée de liquide visqueux recouvrant les fesses de sa fille. Elles se léchaient comme de jeunes chattes se régalant de petit lait. Béatrice continua à donner des ordres :
« Maintenant, je veux un bisou bien baveux, je sais que vous autres salopes vous adorez le sperme, alors soyez généreuses et partagées. »
Les lèvres des deux Houiller se rencontrèrent, puis les langues. Dans toutes autres circonstances, Aline et Caroline auraient immédiatement cessé et se seraient excusées de cette intimité. Mais devant obéir à Béatrice elles continuèrent à mélanger leur salive, et plus que leur salive, le sperme que contenait leur bouche. Elles pouvaient ainsi déguster le suc mâle passant sur leur langue. Caroline trouvait cela troublant, n’ayant pas l’habitude de sucer son mari, elle gardait longtemps le jus gluant dans sa bouche avant de le déglutir. Aline pas contre venait d’en avaler plusieurs kilos. Elle n’avait plus rien à apprendre au sujet du sperme et avalait sa portion sans rechigner.  

Si elles n’hésitaient pas à obéir, elles agissaient encore comme des robots, n’osant prendre aucune initiative sans un ordre direct de Béatrice. Elles prolongeaient leur étreinte, échangeant des baisers mouillés, et quand de la semence aspergeait leur visage, elles se mettaient alors à passer leur langue sur leurs joues, nez, et menton avant de mélanger la crème blanche et juteuse entre leur deux bouches. La salive s’ajoutant au jus de foutre, elles avaient souvent la bouche pleine et de grandes quantités de liquide séminal et salivaire glissaient dans leur gorge.
Ce fut aussi des soixante-neuf. Mère et fille goûtant au même moment à leur abricot, tandis que des lycéens les recouvraient de sperme. Tout ceci, elles apprirent à l’apprécier, à se comporter comme des salopes prêtes à tout pour l’approbation de leur Maîtresse. Le plus dur pour elles, fut quand Yasmina tendit une règle à Aline et lui ordonna de fesser sa maman. Elle tenta de limiter les coups en caressant plus qu’en frappant son derrière, mais la foule s’indigna immédiatement de ce spectacle médiocre et chiqué. La méchante arabe exigea :
« Comme tu ne veux pas obéir, enfonce le gode dans le cul de ta mère, salope ! »
Heureusement pour Caroline, le gode était tellement couvert de sécrétion de la moule de sa fille qu’il coulissa facilement. Malgré tout, la grosseur du gode donna à Madame Houiller l’impression d’être écartelée. On lui tendit la règle et Yasmina expliqua :
« Sois tu donnes une bonne correction à ta fille, soit tu lui enfonces ce gode dans le cul. »
Caroline ayant souffert fortement lors de l’enculage, elle se montra redoutable en voulant sauver sa fille de l’effroyable sodomie. Elle donna de grosses frappes sur les fesses de son enfant qui se mit à pleurer quand les coups se déchaînèrent. Puis Aline infligea ce supplice à sa mère quand on lui proposa la règle ou une batte de baseball pour l’enculer. Les deux femmes Houiller avaient le cul rouge à force de s’être corrigées le derrière.  
Ce ne furent pas les seules marques qui couvrirent leur corps, on leur confia des feutres avec des mots à écrire l’une sur l’une. Aline écrivit "Sac à Sperme" sur le ventre de sa maman, tandis que Madame Houiller inscrivait "Petite Pute" dans le dos de sa fille. Chacun des spectateurs eut alors des idées pour décorer le corps des deux femmes. La jeune fille eut droit à : "Lécheuse de Chatte", "Avaleuse de Foutre", "Fille Indigne". La mère servit de pancarte pour : "Salope", "Garage à Bite", "Maman Cochonne", "Grosse Vache".
Puis Aline vit Yasmina embrasser Maxime. Elle en eut le souffle coupé. Ils ne se cachaient pas, et après le fougueux baiser, Yasmina se rapprocha d’Aline pour la narguer  :
« Tu ne vas pas être jalouse quand même ? Si tu t’étais intéressée un peu à lui, tu aurais su que c’était mon petit copain depuis des mois. Mais j’ai bien voulu lui accorder un break, pour voir si derrière tes airs de pimbêche, tu n’étais pas une salope prête à niquer pour le premier beau parleur venu. Je crois qu’on a la réponse… »
Aline comprit que Maxime s’était joué d’elle, et l’avait amenée dans cette maison pour qu’elle devienne la pute de Béatrice. Et à la place de se révolter, elle l’accepta. Si elle avait des récriminations à faire, c’était contre elle ; de ne pas s’être rendu compte plus tôt d’à quel point ses médisances contre Béatrice et Yasmina étaient indignes. Qu’elle n’aurait jamais dû les dénoncer, et au contraire tenter de se lier d’amitié avec elles ! Maintenant, il était trop tard, elle était devenue leur esclave.
Caroline était occupée à tout autre chose : brouter le minou de sa fille. Pour les spectateurs, la ressemblance physique entre la mère et la fille rendait ce spectacle saisissant. Voir une mère faire jouir sa fille en lui enfonçant les doigts ou la langue dans la foufoune avait une saveur torride. Mais pour les deux femmes qui se gouinaient et se repaissaient l’une de l’autre, ce summum de perversion s’estompait peu à peu. Elles se rendaient compte qu’elles avaient passé un point de non-retour. Lorsqu’elles s’embrassaient, la mère ne considérait plus sa fille comme celle qui avait soufflé sur les dix-huit bougies d’anniversaire il y a deux mois, mais comme une autre salope à la botte de Béatrice. Quant à Aline, jusqu’à présent elle avait toujours eu un respect immense pour sa maman, c’était son modèle à suivre. Mais ce modèle s’écroulait dans le caniveau, non pas qu’elle ait cessé de l’aimer, mais une femme supérieure lui était apparue, Béatrice. Sa maman en comparaison n’était qu’une salope avec laquelle jouer. Béatrice était maintenant leur Maîtresse, et quand elles se léchaient en 69 ou s’enfonçaient des godes jusqu’à hurler, elles étaient transies de respect et de vénération envers leur souveraine.
Alors quand celle-ci demandait : « Qu’est-ce que vous êtes ?! » Elles répondaient en cœur et presque avec fierté : « Des salopes, Maîtresse ! »
Quand la fête fut finie, Béatrice ne se montra pas vache. Maintenant qu’elle avait obtenu leur entière subordination, elle se montra généreuse en leur offrant de la baume apaisante à appliquer sur les zébrures causées par les règles. Les deux femmes appliquèrent la crème l’une sur les fesses de l’autre avec amour, et frisson quand leur doigt touchait la chair sensible.  
Le retour à la maison fut silencieux. Ni l’une ni l’autre n’osait parler de ce qui venait de se passer. À la maison, le papa s’était endormi. Heureusement pour les deux femmes dont les vêtements n’étaient plus que des haillons et qui sentaient le foutre à cent lieues à la ronde.

Épilogue : Madame Houiller
Caroline reprit le travail lundi, comme si de rien n’était, espérant mettre tout ça derrière elle. Mais cet espoir fut de courte durée, à la pause de dix heures sa secrétaire lui annonça qu’une élève prétendait avoir rendez-vous avec elle.  
L’élève était Béatrice, elle n’était pas venue seule, mais avec trois membres de l’équipe de foot.
Béatrice ne resta pas longtemps, elle lui dicta la conduite à tenir en une phrase :   
« Tu vas arrêter de donner des leçons aux élèves et commencer à en prendre.  — Oui Maîtresse ! »
Caroline suivit cet ordre à la lettre, et quand les trois joueurs de foot repartirent, Caroline avait fait bon usage de sa bouche en avalant trois bonnes doses de semence fraîche…Avec cette nouvelle vie, son travail au lycée passa au second plan. Son premier devoir était de garder heureux tous les mâles qui avaient assisté à la fête. Et pour ça il y avait du boulot. N’ayant plus le temps de se rendre en salle des profs, elle expliqua aux autres professeurs et membres d’administration qu’elle était débordée.  
Ce n’était pas faux, à la fin des pauses elle débordait de sperme après avoir rejoint les élèves souhaitant la prendre en tournante. Lorsqu’elle revenait à son bureau sa culotte était devenue visqueuse de tout le foutre coulant de sa moule juteuse. Ses habits se transformèrent aussi. Elle n’avait droit de porter que des tailleurs courts et des chemisiers moulants. Mais c’est surtout ce qu’elle portait en dessous qui changea, de la lingerie fine et en dentelle, une bonne part de son salaire passait dessus, les élèves lui volant souvent ses sous-vêtements en souvenir.
Elle passait beaucoup de temps dans les couloirs, certains professeurs s’étonnèrent de la voir fraterniser avec les élèves, ces derniers l’appelant par son prénom, ou par des sobriquets familiers comme « ma poule. » Les mains sur son cul étaient innombrables.
Au bout d’un mois, elle s’aperçut qu’elle était tombée enceinte. Elle n’avait aucune idée de l’identité du père, mais elle était sûre que ce n’était pas son mari.  
Épilogue : Aline Houiller
Lundi matin Aline espérait repartir sur des bases saines, mais son espoir fut vite douché quand elle croisa Béatrice qui lui dit :
« Aline, y a Luc qui te cherche, tu lui as promis quelque chose. »
Aline se rappela le SMS envoyé lorsqu’elle avait perdu au dé.
« Mais…— Tu ne vas pas rompre tes promesses quand même ? Qu’est-ce que tu penserais si moi je rompais les miennes ? Dépêche-toi de le retrouver salope.»
Aline se sentit vaincue avant même d’avoir pu commencer à batailler pour retrouver sa liberté. Elle savait qu’elle avait perdu son honneur ce week-end. Elle alla voir « Gros Cul » Luc, et celui-ci l’amena timidement aux toilettes, puis toujours un peu craintif, il lui baissa la culotte de la lycéenne et commença à enculer une des filles les plus canon du lycée.
Au cours des mois qui suivirent, leur relation fut officialisée, et suivant les conseils de Béatrice, Aline demanda le mariage. Son père fut dévasté de voir sa fille chérie devenir l’épouse d’un porc puant et idiot. Il chercha à objecter, mais Caroline se montra au contraire enchantée à cette perspective. Il faut dire qu’il y avait un match de foot le lendemain, et qu’elle espérait que Béatrice intervienne pour éviter qu’elle ne soit enculée trop de fois dans le vestiaire.  
Lorsque Béatrice organisait une soirée, les deux femmes Houiller étaient invitées. Caroline avait pris l’habitude de ses séances de baise marathon. Après vingt ans de vie sexuelle morne, elle attendait ces soirées avec impatience. Quant à Aline, elle était heureuse d’échapper à une nuit d’amour avec son mari obèse et elle se montrait pleine d’entrain à obéir à toutes les demandes.
Elle montra son dévouement pour Béatrice deux mois plus tard, peu avant le bac. Aline pour rendre service à Béatrice était allée chercher de la marijuana, et fut arrêtée dans un coup de filet. À la demande de Béatrice et pour éviter que les amies de cette dernière ne soient accusées, elle endossa toute la responsabilité du trafic. Elle fut envoyée en prison, chaque jour elle espérait une visite de Béatrice, et chaque fois elle était déçue quand à la place elle retrouvait Luc pour une visite conjugale.
À la sortie de prison, huit ans plus tard, elle reçut une offre d’emploi qu’elle ne put refuser : femme de ménage auprès de Béatrice. Celle-ci vivait en PACS avec une autre femme assez dominatrice. La nouvelle bonne apporta beaucoup de bonheur au couple lesbien qui se réjouissait de pouvoir réaliser leurs fantasmes les plus salés sur la petite salope sexy toujours habillée dans son uniforme de bonniche.
Fin.
Merci d’avoir lu cette histoire jusqu’au bout, et si vous l’avez aimé, n’hésitez pas à le montrer en cliquant sur j’aime.
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