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Pincesà linge et poids à couilles

Chapitre 3

Mal d'amour

SM / Fétichisme
La première pince à linge, un modèle en plastique assez courant mais au ressort puissant, ne m’a quasiment rien fait. Posée sur le téton droit, bien enfoncée, elle le broie peu. Si ce n’est que ça ! Mais Christian a vu ma réaction !
-  On joue les héros ?
Et il prend la seconde. Là, il ne me rate pas. A l’extrémité du téton gauche, trop ! Elle glisse, tombe à terre. Il la ramasse, repince. Douleur ! Douleur vive. Là ça fait mal et je le dis. Fermement. Du coup on me replace la première.
-  Putain, ça fait mal vot’ truc. Enlevez-moi ça tout de suite !-  Ta gueule...
Et une baffe solide pour assortir.Je me débats. Les menottes me gênent bien sûr mais je bouge les jambes. Combat perdu d’avance. Où pourrais-je fuir. Mais la bête (la bite?) traquée ne réfléchit pas plus que cela.
-  Immobilisez ce connard !
Jérôme ne bouge pas mais Christian et Mathis suffisent. Les mains entravées, que pouvais-je faire ?Je me retrouve plié en deux sur la table. Quand mon tronc la touche, les pinces tordent les seins et ravivent la douleur. L’une saute.On m’attache une jambe au pied de la table, puis l’autre, façon grand écart.Jérôme ne bouge plus. Il est spectateur passif. Je croise son regard, inexpressif.Les deux autres ont raflé le panier de pinces à linges et m’en couvrent le corps. Ils savent y faire. Si la prise de chair est trop épaisse, la douleur est inexistante, si la peau est fine, là, je douille.
-  Mets-lui un ballstretcher !
Mathis me prend les couilles me les tire pour tendre la peau et les enferme dans un truc en cuir. Il me pince en serrant. Je crie, il détend.
-  Mets-lui un kilo !
-  Tant que ça, pour commencer ?-  Il lui faut ça. Monsieur fait des manières.
C’est lourd mais pas désagréable. J’aime plutôt la sensation... plus que les pinces sur le corps.Christian se colle contre moi, son sexe dressé dans ma raie. Sa main écrasée sur ma joue gauche, la droite posée sur la table.Puis il me redresse.
-  Pinces à linges !  Sur les tétons !
Il les a enfoncées un peu plus. C’est supportable, mais le but c’est d’assurer une meilleure prise. Il tire dessus, les fait vibrer avec ses doigts, me tord les seins. Je rigole moins. De moins en moins...Je crie.
— Bougie !-  Non, peut-être pas... ne poussons pas loin.... pas trop quand même ! Faites gaffe les gars. Il a pas l’habitude.
Je remercie Jérôme pour cette intercession... en mon for intérieur seulement. Je ne veux pas me dégonfler mais je n’en mène pas large.Christian saisit la bougie. Il allume.
-  Plus haut Christian, s’te plait !
Nouvelle intervention de Jérôme.Il veut me sauver la mise. Il y a de la pitié et de la tendresse dans sa voix.
Une première goutte de cire tombe sur mon cul. Je ne dis rien mais par réflexe je remue du cul assez violemment. J’ai compris que plus la bougie est loin, moins la cire est chaude quand elle touche la chair.Mes fesses maintenant sont un champ de lave ! Putain mais qu’est-ce que je suis venu faire ici ! Est-ce que cela laisse des marques ? J’ai les boules.
-  On le retourne !
Et ils m’ont retourné. Dans la manœuvre, les pinces à linge ont plié mon derme. Certaines se sont défaites. Mais celles qui tiennent me labourent le dos péniblement. Qui s’en soucie ? Ne rien dire. Ils remettraient celles qui sont tombées.
J’ai les bras attaché à la table, comme les pieds. Je suis en croix. La flamme s’approche de mon sexe la cire tombe sur mon gland décalotté. Je hurle, mais plus de peur qu’autre chose, parce que dans le fond ce n’est pas si désagréable. Ils savent exactement quoi faire pour ne pas me brûler, juste pour que je sente l’impression fugace de la brulure. Petit à petit mon sexe disparait sous une couche de paraffine. Je bande. Mon sexe m’abandonne et me trahit; Il révèle mon plaisir.
-  Allez, maintenant je l’encule. Il attend que ça !
On me libère les jambes. Christian les replie en les ramenant vers mon corps. Mon cul, mécaniquement se soulève et s’offre.
 Mathis a grimpé sur la table. Il a posé ses fesses poilues sur mon visage et il ne cesse de se trémousser en me disant de lui lécher la rondelle. Mais je n’obtempère pas. Il me tient les mollets afin que son chef soit libre de ses mouvements..;
Le guerrier blond, le redoutable Christian me doigte. Je n’aime pas spécialement. Il met du gel, c’est mieux, beaucoup mieux. Et puis il approche le gland. Et force. Il m’arrache un cri. Je ne suis pas le seul à crier.
-  Putain, il a failli me mordre les couilles ce con !
C’est vrai. Elles étaient là les couilles de Mathis alors j’ai essayé de les attraper avec mes dents pour qu’il relâche la pression et que mes jambes dégagées repoussent Christian-pénétrator.
-  Fais-lui fermer sa gueule. Bâillonne-le.-  N’y a allez pas trop fort les gars quand même !-  Tu rigoles Jérôme. Monsieur veut s’amuser avec des PD, on va lui en donner !
On me force à ouvrir la bouche en me pinçant les narines. Une énorme boule que des liens passées derrière ma nuque permettent de rester captive m’élargit la mâchoire plus qu’un bâillement.
Pénétrator y va d’un coup sans tact, sans préliminaires juste avec une noix de gel. Mais sa bite est trop grosse, énorme, monstrueuse et je n’ai été sodomisé qu’une fois !
Le bâillon assourdit mes cris. Il m’est impossible de bouger. Mathis s’est mis à califourchon sur moi. Il ne me tourne plus le dos. Mes jambes maintenues à la verticale par les bras vigoureux de Christian heurtent son dos. Il me torture les seins avec les pinces à linge ou me biffle.
J’ai mal, véritablement mal. Je comprends ce que déchirer veut dire.. Je voudrait crier. Je ne peux pas. Je voudrais voir Jérôme, le supplier du regard, l’implorer de mettre fin à ce supplice mais je ne le vois pas. Je pleure de douleur et de dépit, je sue à grosses gouttes.
Christain me défonce, me défonce et me défonce encore, sans relâche, infatigable bulldozer de sexe. Il donne de violents coups de bite. La table vacille sous ses assauts. J’ai peur qu’elle s’effondre. J’ai peur qu’il me perfore l’anus. J’ai peur de défaillir. Je vais tomber dans les pommes. Déjà des papillons volettent devant mes yeux. Me laisser partir. Il faudra bien qu’ils cessent!
Et puis il me semble que graduellement, la douleur diminue ou plus exactement que le plaisir est en train de la dominer. Elle est là, j’ai mal toujours mais je me détends, je ne crie plus le bien triomphe du mal. Les papillons s’envolent, le rythme cardiaque se ralentit. La pression diminue. Christian le ressent.
-  Ça y est. C’est pas trop tôt. Elle s’y fait la minette. Enlève-lui le bâillon, je veux l’entendre couiner.
Quel soulagement. Ma mâchoire était tout engourdie. Je pousse un ouf de satisfaction, un ouf géant.Subir, plaisir ? Les deux se confondent se mélangent, le second annule le premier ou le premier stimule le second ?
Ne pas faire à ce butor plus d’honneur qu’il n’en vaut. Jouir mais sans paroles... Haleter, gémir, se pâmer, oui  !mais par grognements... Pas un mot, pas un "oui", un "encore", "plus fort" ou "enfonce la-moi toute". Rien ! Peau de zob! Ne pas lui faire ce plaisir. Mais c’est dur. J’aime ! Je déguste. Ne pas le faire savoir, ne pas lui donner plus d’importance qu’il n’en a, ne pas flatter son ego...
Et puis il est sorti, comme il était rentré, d’un coup. Il chasse son pote, vient s’installer sur moi.
-  Suce, pédale refoulée !
Bien sûr que j’ai envie de sucer.
-  Jérôme, encule-le, vous n’attendez que ça ! Suce toi, suce !
Mais j’attends, j’attends Jérôme. Il me pénètre en douceur. Mon fion est douleur, l’autre m’a cassé, mais Jérôme entre comme s’il savait que je suis meurtri. Avec précaution. Il veut profiter du moment, je le sens. Je sens sa délicatesse. Il m’enfile si méticuleusement que je comprends. Il ne me baise pas, il me fait l’amour, nuance.. nuance du geste, prévenance, noblesse de l’attention.
Ô oui, c’est bon !
J’ai parlé pour faire sentir au guerrier nordique la différence, qu’il comprenne que je préfère la verge tendre de mon amant que son gros mandrin de bourrin.
Ma récompense pour cette insolence ? Une mandale, une belle une solide torgnole.
-  Suce, mais suce, salope bordel ! T’attends quoi ?
Engloutir ce zob monumental, désirable, gourmand... mais qui sort de mon cul. Ce cul que j’ai certes lavé moi-même, soigneusement, que j’ai préparé pour cet instant, que j’ai bichonné. Un cul si clean, d’une telle perfection hygiénique que même Monsieur Propre en m’enculant n’aurait pu prétendre à un tel résultat. Et pourtant, j’hésite. Ça sort de mon cul, mais d’un cul tout de même. Dégueulasse, ça ne peut-être que dégueulasse, écœurant, vomitif.
Foin de mes atermoiements ! Le nœud se pose sur mes lèvres comme un avion qui s’écrase, me force. J’ouvre. Et c’est la révélation, le don immédiat de la grâce. C’est donc ça la saveur du cul qui mouille ? C’est bon, bon, bon... Un bite au cul, une bite goûteuse dans la bouche. Je ne suis plus moi. Il y a deux minutes je me demandais ce que je faisais ici et nourrissais d’amers regrets. Dans dix minutes je me demanderais pourquoi je n’y suis pas venu plus tôt.
Je voudrais crier à Jérôme que je l’aime... je ne veux pas devant les deux autres. Ce sera en tête à tête, tout à l’heure, quand mon supplice et ma transfiguration seront achevés. Entre nous. Quand mon corps brisé, injurié, humilié, quand mon corps couvert de sperme et d’ordure, quand enfin toute honte bue nous serons seuls, c’est là que je lui dirait que je l’aime.
Il me saute, il me baise, il me fait l’amour, il me donne l’amour, il est en moi et je ne sens, ne veux, ne désire et ne proclame que lui. Les autres, celui que je suce et celui que je masturbe, Mathis le factotum sans caractère ni initiative, ne sont pas là, ils n’existent plus... s’ils savaient ! Je ne jouis que de Jérôme, je ne suis plein que de lui, envahi que de lui, épris, envoûté, ensorcelé que de lui. Il est le baume à mes douleurs, le pourquoi de mon sacrifice. Je me suis offert pour lui.
Je bande. On ne m’a pourtant pas libéré les couilles, mais le fil pendu au ballstretcher, assez long, permet de rabattre le poids sur mon côté, le long de ma hanche. La tension a disparu. Quand le poids tire, je ne peux pas bander mais autrement ça va.
Que se passe-t-il ? Est-ce le frottement de sa verge contre ma prostate ou autre chose ? C’est trop bon, je vais jouir, je vais jouir. Je jouis.Je sens mon sperme jaillir à la vitesse de l’éclair. Il percute et couvre les reins de Christian et ruisselle sur ses fesses avant de toucher ma peau...
En jouissant, ma rondelle a été prise de contractions. J’ai serré si fort le vit de mon amant que je le sens venir à son tour. Il jute en moi. Je suis aux anges. Il se retire et me lèche le trou.
Mais déjà, le mirage s’évanouit. L’excitation s’éloigne bien plus vite qu’elle n’était arrivée. Un tsunami de dégoût me submerge. Je voudrais m’enfuir comme la première fois mais je ne peux pas. Je suis captif, prisonnier, bagnard sexuel des deux pervers qui s’acharnent jusqu’à ce que le troisième arrive... Bientôt la porte va s’ouvrir. Entrera un quatrième larron.

A suivre.
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