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J'ai piqué l'amant de ma mère.

Chapitre 1

Divers
J’ai piqué l’amant de ma mère...
Je me prénomme Sylvie... Á 22 ans, je cohabite avec ma mère Amanda dans grand appartement du 12ème arrondissement de Paris. En fait, il s’agit de deux petits appartements que le précédent propriétaire avait rassemblés pour plus de commodité et fait percer une grande ouverture qui mettait en communication les salles de séjour...

Mon père n’en avait guère profité puisque cinq ans après l’achat, il était victime d’un accident de la route dans lequel il était tué avec une femme qui s’est avérée être sa secrétaire et accessoirement sa maîtresse !
Comme mes parents étaient assez libres, ma mère n’a pas tardé à se consoler en prenant des amants qu’elle trouvait sur des sites de rencontres sur lesquels elle avouait sans honte rôder pour trouver "de la chair fraîche"... Elle découchait assez souvent pour aller les retrouver soit chez eux ou le plus souvent dans des hôtels...

Quant à moi, adolescente encore ignorante de certaines choses puis jeune adulte un peu plus informée, je voyais cela avec un certain détachement... Après tout, mon père de son vivant trompait ma mère qui désormais était libre de mener sa vie.

Nous vivions confortablement grâce à la situation de ma mère qui était avocate de renom et cela ne la gênait pas de défendre tantôt les victimes et tantôt les coupables... Elle disait que c’était la profession qui le voulait !
De mon côté, je poursuivais des études à la fac’, mais jamais je ne me dirigerais vers la même profession que ma mère... J’étais une scientifique très intéressée par le monde de l’informatique... Je me voyais bien m’établir aux USA où j’irais terminer mes études.
Ne croyez pas que je suis une oie blanche, ignorante des choses du sexe... Il y a bien longtemps que j’avais perdu mon pucelage et un certain nombre de garçons étaient passés entre mes cuisses que de temps à autre, j’ouvrais aussi à des filles...
Á une époque, j’avais en même temps une liaison avec un camarade de Fac’ et une vendeuse (plus âgée que moi de quelques années) rencontrée dans une boutique de mode qui m’avait séduite... et emmenée dans son lit !
Ça a duré quelques semaines puis nous nous sommes lassées l’une de l’autre... Nous ne nous étions rien promis, mais j’avais pu explorer avec elle un certain nombre de facettes de ma personnalité et découvert que j’étais totalement bisexuelle.

Après quatre années à la Fac’, j’étais désormais dans un institut qui me préparait au grand saut vers les States... Tous les cours se passaient en anglais et la majorité des professeurs étaient jeunes, juste un peu plus âgés que leurs étudiants... L’ambiance était sympa’, mais les cours étaient sérieux, ce qui ne m’empêchait nullement de faire du gringue à Wilfried un de nos professeurs, venu des Etats-Unis en France pour enseigner et nous préparer à postuler dans une société américaine.


Dès le début de l’année, j’avais jeté mon dévolu sur lui... Il avait une dizaine d’années de plus que moi, mais cela ne me gênait pas... Ce ne serait pas la première fois où je me jetterais à la tête d’un mec plus âgé ! Nous bavardions souvent après le cours, tantôt dans une des salles, tantôt dans un bar proche de l’institut où nous passions de longues heures à évoquer la vie aux Etats-Unis, les mœurs plutôt coincées de certaines de ses compatriotes...

Ce qui devait arriver... arriva...
Un soir, je sentais que Wilfried n’avait pas le moral, aussi, je lui ai proposé d’acheter des pizzas que nous mangerions dans ma chambre... J’avais une idée derrière la tête...
Mais quand nous sommes arrivés devant mon immeuble, Wilfried s’est brusquement souvenu qu’il avait un rendez-vous à l’autre bout de Paris... Sur le coup, j’ai trouvé cela bizarre, mais que faire puisqu’il semblait ne pas vouloir remettre son rendez-vous... Un simple coup de téléphone aurait suffi !

Quand je suis arrivée dans ma chambre avec mes deux pizzas, je me suis jetée sur mon lit et de rage j’ai crié, j’ai hurlé de dépit... Non, ce n’était pas possible... Je pensais avoir bien ferré Wilfried ! Et au dernier moment, il me lâchait !

Ma mère qui pour une fois était rentrée plus tôt est arrivée dans ma chambre en me demandant ce qui n’allait pas... Je lui ai raconté mon histoire et plus je parlais, plus je voyais son visage se décomposer... J’étais inquiète et lorsque je lui posai des questions, j’ai eu la surprise de ma vie : elle connaissait Wilfried... Elle l’avait rencontré dans un club coquin du centre de la capitale et ils s’étaient revus plusieurs fois dans divers hôtels et elle l’avait même ramené à la maison lors d’un week-end où j’étais absente !

Je comprenais mieux la réaction de Wilfried quand il s’était retrouvé devant une porte qu’il connaissait déjà.
Amanda m’a dit alors de ne pas me soucier, qu’avec Wilfried, ce n’était que du sexe, qu’elle aimait bien se faire sauter par ce joli métis à la bite performante et que si j’avais envie d’y goûter, je ne devais pas me priver, car Wilfried était vraiment un bon coup !

Ce week-end nous a rapprochées... si bien que nous l’avons passé dans les bras l’une de l’autre !
Ma mère m’a raconté la vie qu’elle avait menée avec mon père, jeune industriel prospère qui l’avait baisée dès leur première rencontre, les parties fines dans des hôtels avec des clients qu’il fallait à tout prix accrocher puis les quelques mois de disette sexuelle après le décès de son mari qui lui avait donné le goût du sexe...

La semaine suivante s’est écoulée avec lenteur... Wilfried semblait m’éviter, mais le vendredi en fin de matinée, il m’a retenue après un de ses cours :
— Viens... il faut qu’on parle !
— Je sais tout ! Je sais comment tu as rencontré ma mère !
— Bah... elle voulait du sexe et je pense que ce premier soir, elle a été servie et nous avons recommencé ! Et toi... ce n’est pas ce que tu cherchais... un black avec une bonne queue ?
— Ne sois pas vulgaire... J’avais vraiment un ticket pour toi !
— Bon... je dois te dire que ta mère m’a demandé de passer chez vous ce soir... elle veut faire le point avec nous ! Je serai là à 20 heures précises...

L’après-midi et le début de soirée ont passé lentement... Plus le temps passait, plus j’étais sur des charbons ardents... Qu’avions-nous à nous dire ? Ma mère s’était fait sauter par Wilfried et moi, j’avais envie de cet homme qui me faisait craquer avec sa haute silhouette, ses épaules larges dignes d’un footballeur américain, son éternel sourire un rien moqueur... et son air décontracté en toute circonstance...
Plus l’heure approchait, plus j’évitais de croiser ma mère... je m’étais réfugiée dans ma chambre et j’attendais que le temps passe en feuilletant distraitement un livre d’économie... mais peu avant 20 heures, je suis venue retrouver ma mère dans le salon où j’ai découvert qu’un traiteur avait livré de quoi se restaurer.
— Tu veux garder Wilfried pour la soirée ?
— Peut-être !
— Et bien, ce sera sans moi !
— Ne dis pas de sottise... Il est assez performant pour nous satisfaire toutes les deux et j’ai AUSSI envie de te faire l’amour... Le week-end dernier m’a ouvert des horizons...
— Tu crois qu’il accepterait de nous baiser toutes les deux ?
— Je pense... Lors de notre première rencontre, il venait de sauter une jeunette qui avait à peine 18 ans quand il s’est intéressé à moi et je sais qu’après, il est allé baiser une autre fille de ton âge !
— Waouh... Il est infatigable !
— Tu ne crois pas si bien dire... Bon, on verra bien ce qu’il en dira !

Wilfried était ponctuel... Nous avons commencé à bavarder de tout et de rien tout en mangeant, puis ma mère a attaqué le sujet principal : la relation que nous avions avec Wilfried !
— Wilfried... Tu m’as bien baisée... ça faisait longtemps qu’un homme ne m’avait pas autant fait jouir !
— Merci... je dois te rendre hommage : t’es canon et à ton âge, les femmes pensent plus à se ranger et toi ça semble être le contraire !
— Je dois dire que quand j’ai découvert ta queue dans ce club coquin, j’ai immédiatement eu envie de l’essayer ! Mais ma fille a un ticket pour toi ! Que faire ? T’es assez performant pour nous satisfaire toutes les deux...
— Que voulez-vous ? Que je prenne un abonnement, la mère un jour, la fille le lendemain ?
— Non, ça ne nous dérangerait pas que tu nous baises le même soir... N’est-ce pas Sylvie ?
— Oh oui... Je suis d’accord avec Amanda... mais ce soir, je veux être la première ! Qu’en penses-tu Maman ?
— Mieux... je vous ouvre mon grand lit rond de ma chambre, mais je vous regarderai... et quand Wilfried aura déchargé en toi, je viendrai recueillir son sperme à l’orée de ta chatte !
— Oh Maman... Rien ne me ferait plus plaisir... Sentir ta bouche sur mes lèvres intimes comme l’autre jour...
— Et puis à trois, on peut envisager des combinaisons multiples...

Wilfried nous regardait tour à tour et finit par dire avec son accent américain :
— Well ! It’s OK for me ! OK... That’s well for me... I will fuck you together ! Kiss you together !

Bien sûr nous répondons à sa demande... J’enlace ma mère et je lui roule un patin d’enfer en lui pelotant les fesses pour la presser contre moi... Puis nous ôtons mutuellement nos vêtements qui jalonnent le chemin de la chambre où Wilfried nous suit.
Pour exciter Wilfried ma mère et moi, on débute un 69... je sens que ma chatte commence à ruisseler et celle de ma mère que je lape avec bonheur est pleine de cyprine... Mais nous ne nous contentons pas de cela... Tantôt c’est Amanda qui est au-dessus, tantôt, c’est moi qui suis sur ma mère... c’est si excitant aussi pour nous que nous ne tardons pas à jouir pendant que Wilfried nous regarde, nu et en train de masturber sa bite qui semble avoir atteint son plein développement !
Je comprenais désormais mieux ma mère quand elle disait avoir salivé en voyant sa bite...
Il nous a rejointes sur le lit et après avoir roulé un patin d’enfer à ma mère, il s’est tourné vers moi, m’a embrassée également puis il m’a dit à l’oreille qu’il allait bien me baiser.

— Oh oui... Je suis prête ! Baise-moi comme une salope de gouine que je suis...

Je me suis agenouillée sur le lit, les fesses offertes à Wilfried... je voulais que pour la première fois, il me baise en levrette... je savais que cela lui plairait et que ça me plairait aussi de sentir sa longue queue m’ouvrir la chatte qui était de plus en plus humide...
Sciemment, je m’étais placée entre les cuisses de ma mère et j’avais la vision de son sexe directement sous les yeux... je pouvais faire ce que je voulais, simplement me repaître de son vagin ou caresser le clitoris ou même glisser deux ou trois doigts dans sa chatte pendant que Wilfried me baiserait !

En fait, j’ai fait les trois... Après avoir contemplé le sexe de ma mère, je suis allée cueillir son bourgeon entre mes lèvres et je l’ai sucé pendant que j’entrais deux doigts dans ce sexe qui s’offrait pendant que Wilfried allait et venait en moi jusqu’au moment où la jouissance m’a emportée... et peu de temps après, je sentais les giclées lâchées par mon amant inonder ma matrice !
Je me suis dégagée et rendu compte que s’il avait déjà joui une fois, Wilfried bandait toujours comme un cerf en rut ! Il s’est approché de ma mère dont il a placé les jambes sur ses épaules... La raie de fesses s’est ouverte et il a planté son sexe dans celui de ma mère dont la jouissance était proche !
Il s’est mis à la copuler en profondeur et au moment où ma mère a joui, il est sorti et s’est vidé abondamment sur son ventre en masturbant sa bite... Il ne s’était pas passé dix minutes entre ses deux éjaculations... aussi généreuses l’une que l’autre !

Mais nous n’en avions pas assez... C’était allé trop vite... Wilfried était allongé sur le dos, son sexe reposait sur son ventre et on pouvait voir ses testicules entre ses cuisses ! C’était trop tentant !!!

Nous nous sommes approchées et pendant qu’Amanda triturait doucement les bourses, j’ai gobé la bite de Wilfried. J’ai d’abord joué avec le gland entre mes lèvres où je retrouvais l’odeur de la chatte de ma mère mêlée à celle de Wilfried puis progressivement, j’ai avalé ce chibre jusqu’au plus profond de ma gorge... Las... je ne pouvais pas faire plus et il restait dix bons centimètres à l’extérieur... J’ai posé ma main droite sur la base de cette queue pour limiter la pénétration buccale et j’ai entrepris une fellation comme j’avais l’habitude d’en faire avec mes copains... Jamais ils ne s’en étaient plaints, au contraire... J’étais, d’après eux, "une fameuse pipeuse" !

Puis nous avons changé... Amanda a pris ma place et moi, je suis allée gober les testicules de Wilfried... Quand j’en avais un dans la bouche, je palpais l’autre et cela arrachait à notre amant de soupirs d’aise...
Ma mère et moi, on veillait à ne pas trop exciter Wilfried... Sans nous être entendues, nous avions encore envie de sentir son sexe immense en nous...

— You Frenchies... you never have enough but I like it ! I will fuck you hard !

Dans le feu de l’action, il retrouvait l’usage de l’américain !
Il est inutile de vous dire que lorsqu’il nous a quittées le samedi en fin d’après-midi, nous lui avions littéralement asséché les burnes... et avec ma mère, nous avions trouvé un terrain d’entente : nous passerions chacune un week-end sur deux avec Wilfried jusqu’au moment où il repartirait en Californie dans quelques mois...

Un an a passé...
Je suis désormais installée à Long Beach où j’ai retrouvé Wilfried...
Je viens d’apprendre à ma mère que j’attends un enfant de Wilfried... C’était voulu... j’avais cessé de prendre la pilule...
Nous sommes heureux tous les trois... et demi !
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