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le pistoleros

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Je m’appelle John Steward et je suis le plus grand pistoleros de tous le Texas. Aujourd’hui je vais vous raconté une de mes nombreuses aventures, qui se déroule dans la ville de Wichita à la frontière mexicaine. A cette époque on se déplaçait à cheval, tout est rustique le vrai Far West.
Je me rend dans cette ville pour trouver un certain Donovan, chef de la plus grande bande de crapule de ces dernières années. En effet dans les villes voisines de Wichita il a volé, violé et torturé un nombre incalculable d’habitants, une vraie terreur.
Le gouverneur en personne est venu me chercher pour arrêter se truand. Je lui est dit que pour moi ça sera 1000$ plus les putes à volonté dans tout le Texas. Vu l’ampleur du problème qu’est Donovan le gouverneur a signer tout de suite.
Donc me voila parti depuis trois jours à cheval et je peut vous dire que j’ai super mal au cul. A trois miles de Wichita je vois en face de moi une diligence arriver à toute vitesse poursuivi par trois gringos. Mon sang ne fait qu’un tour, je part au galop sort ma Winchester et à proximité de la diligence je tire trois coup aussi rapide que l’éclair, Les trois malfrats sont touchés de plein fouet et tombe de cheval. La diligence s’est arrêter un peu plus loin, je me rapproche et les passagers en descendent.
A bord se trouvais quatre personnes plus le cocher. Il y a un vieux couple, la cinquantaine plus une jeune fille de 19 ans pas plus et un homme d’une quarantaine d’année aussi maigrichon qu’une brindille. Arrivé à leur proximité le cocher m’adresse la parole. « Oh merci seigneur, merci seigneur, vous nous avez sauvez » je reste muet et je regarde de plus près les passagers. L’homme le plus vieux prend alors la parole « Je veux vous récompenser mais nous n’avons pas d’or sur nous ». Sur ses paroles: mes trois jour de non sexe me reviennent en mémoire et je lui répond. « Pas de problème l’ami je sais comment vous pouvez me récompenser », « je vais prendre ces deux pouliches (en désignant du doigt les deux femmes) et on sera quitte » . « Mais vous ne pouvez pas c’est ma femme et ma fille c’est tout ce que j’ai. » A ces mots je sort ma Winchester et je lui dit « donne moi de l’or alors ». Le cocher prit de terreur attrape la jeune fille et me la jette devant moi. Je leur répond voila qui est raisonnable. Je demande aux hommes de monter dans la diligence car moi je suis pudique.
Je sort ma bite de mon pantalon et je la colle dans la bouche de cette gamine, je commence à bandé comme un âne. « toi la vielle vient ici et fait voir tes miches » « comment osez vous » « ta gueule et vient ici ». elle s’approche et sort devant moi ses gros nichons bien laiteux que je m’empresse de bouffer. Elle à un air de dégoût, j’adore ça. Une fois bien raide je lève la jeune et la cambre contre la diligence en face de son père. Je relève sa robe et j’admire le plus beau cul du Texas, « s’il vous plaît je me garde pour mon Richard de New York » « il restera plus que la rondelle de vierge pour ton Richard » et je l’enfile comme un vrai gringo, pendant ce temps j’oblige la vielle à se foutre à poil. Elle est pas trop abîmé par le temps, deux gros seins, des fesses relativement larges et un ventre tout plat. Je lui dit de s’allonger sur le dos et de se foutre des doigts j’adore ça. Après avoir bien limé la jeune, je sors de sa chatte et je m’allonge sur la vielle et je commence à la pistonner comme jamais. Tout, bien sur, se déroule sous le regard de ce bon père de famille. Je lui relève les jambes pour bien la baiser profondément et j’attire la jeune pour qu’elle embrasse sa mère. Après l’avoir baisé dans ce sens je la retourne et pose mon gland sur son œillet « non pas là je ne l’ai jamais fait ».Je rigole et je m’enfonce comme dans du beurre quel menteuse. Une fois avoir baisée la fille et la mère à tour de rôle , je me relève et j’éjacule sur leur face et je leur dit d’avaler se qu’elle font sent rechigner . »c’est bon vous pouvez partir et sachez que le pistoleros et toujours à votre service ».
Je monte sur ma monture et me dirige vers Wichita, en étant satisfait d’avoir encore rendu service à l’opprimé mais surtout ce qui me soulage c’est d’avoir les couilles bien vides ça me fera moins mal sur le cheval pour le reste du voyage.
THE END
Ps : si sa vous plaît dite le moi et je vous raconte la suite du pistoleros
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