Emma était lasse de sa vie, elle avait depuis toujours été une fille de la ferme, mais maintenant qu’elle grandissait, tout cela l’ennuyait profondément.
Non seulement les tâches à faire ne lui semblaient pas utiles, mais elle était maladroite au possible, ce qui lui avait valu de sévères remontrances de part de son père, car il était seul à s’occuper de la ferme et elle ne faisait qu’empirer les choses et ne donnait que plus de travail à réparer ses conneries. Elle restait donc la majorité du temps toute seule à la ferme, à nettoyer ou s’occuper comme elle pouvait, tandis qu’il partait cultiver les champs ou s’occuper des bêtes.
Elle n’avait donc pas beaucoup de perspectives d’avenir: le travail de la ferme ne lui convenait pas et sans argent qu’elle ne pouvait gagner elle même, elle ne pourrait pas partir en ville faire des études ou juste trouver sa vocation. Malgré ses journées vides de sens, elle n’était pas complètement toute seule, elle avait récupéré depuis quelques jours le chien de berger qui s’occupait des moutons que son père avait dû vendre faute de temps et de main-d’œuvre pour s’en occuper. Maintenant que le chien était au chômage, elle avait décidé de le garder, ou disons que c’était plutôt lui qui avait décidé de la garder. En effet, son père, voyant que le chien ne la quittait pas d’une semelle, préférait la savoir en sécurité avec son chien quand il devait s’absenter. Il devait penser que son chien prenait Emma pour une brebis, maintenant qu’il n’avait plus rien à faire. Ce que Emma avait très vite compris, en revanche, c’est que ce chien était un moyen inespéré pour découvrir sa sexualité. Elle l’avait senti intéressé dès les premiers jours lorsqu’elle sortait de sa chambre et qu’elle venait de se toucher en pensant à telle ou telle idole. Une idée avait germé dans son esprit, se disant que s’il manquait des garçons dans sa campagne, autant profiter de ce qu’elle avait sous la main. Elle avait alors commencé à lui présenter ses culottes trempées pour voir s’il s’excitait quand il sentait une femelle en chaleur. Elle ne fut pas déçue du résultat... Il était comme fou, il sautait partout et cherchait dans toute la maison la chienne à qui appartenait cette odeur, il retournait toutes les pièces, ouvrant les placards et se frottant contre Emma et sa culotte dont émanait sa flagrance si provocante. En voyant ça, elle ne put s’empêcher d’aller s’enfermer dans sa chambre pour assouvir ses besoins et se prendre avec la seule chose qu’elle avait sous la main: le manche de sa brosse à cheveux qu’elle avait depuis toujours et qui lui convenait parfaitement, car il était ni trop rugueux ni trop gros pour qu’elle puisse le prendre en elle sans difficulté. Elle repensa à l’effet de sa culotte sur son chien, à cette démonstration de force et bestialité qui lui fit penser que sous ces airs doux et câlin se cachait un fauve prêt à tout pour se reproduire, il n’était finalement qu’un animal soumis à ses instincts. Elle partit rapidement, s’imaginant déjà soumise à des instincts animaux et rangea le tout dans son armoire en se demandant si elle pourrait avoir des instincts aussi bestiaux et si elle pourrait vraiment passer à l’acte. Les jours s’écoulèrent et elle se torturait l’esprit, se demandant si c’était normal de vouloir faire ça avec un chien, elle ne s’était intéressée jusqu’à présent qu’aux hommes qu’elle voyait à la télé ou dans les magazines. Elle se touchait alors très régulièrement sur ces personnalités qui étaient hors d’atteinte pour elle. Emma tournait dans la maison sans savoir quoi faire, elle faisait des recherches sur internet. Mais plus elle se renseignait, plus elle s’excitait. Elle ressassa ces idées jusqu’à ce qu’elle sente un matin qu’il lui fallait plus, il lui fallait de la chair dans son ventre, il fallait qu’elle se sente pleine. Elle repensa à sa tentative pour exciter le chien, mais elle avait vu l’énorme mandrin que possédait l’animal et pire encore, le nœud à sa base, elle ne pouvait s’imaginer pouvoir le prendre sans en souffrir. Emma s’entraîna donc dans les semaines qui suivirent à entraîner son vagin à recevoir de plus en plus gros. Son père cultivait des pommes et elle commença donc par ça, les plus petites d’abord, qui n’avaient pas mûri et qui étaient aussi grosses qu’un pouce, puis de plus en plus volumineuses, jusqu’à en avoir de la taille de son poing. Elle les jetait souvent dans l’arrière-cour et s’amusait à voir son chien tourner autour, sentant la femelle en chaleur, mais ne trouvant pas la source de sa frustration. Un matin, alors qu’elle était particulièrement excitée par les lectures de la veille, elle fit glisser le drap de son lit et commença à venir caresser son ventre et ses cuisses. Elle s’imagina nue devant un chien immense qui la dominait de toute sa hauteur, elle était au milieu d’une meute de chiens qui la poussait à se diriger vers l’énorme mandrin de l’animal, elle était hypnotisée et complètement soumise à la volonté de ces animaux, elle faisait partit du troupeau qu’on menait dans la bergerie. Sauf que elle, on la menait à un destin bien plus excitant...
Elle sortit de sa rêverie et attrapa les pommes au pied de son lit. — Hum elles ne sont plus très fraîches, se dit-elle en les délaissant.
Alors qu’elle continuait à se toucher, son regard passa sur la pièce, à la recherche d’un nouvel objet propre à la satisfaire. Elle s’arrêta un instant sur le pied de son lit et vit la boule de tête de lit. Elle était plus grosse que les pommes habituelles, mais elle était tellement excitée qu’elle s’en sentait capable. Elle se leva et s’approcha du bas de son lit. La position n’était pas la plus agréable, debout sur son lit avec un pied sur une chaise, mais elle avait passé la nuit ne pas pouvoir dormir en s’imaginant prise et dominé. Emma colla son sexe sur la boule et sentit la texture vernie, elle entreprit alors d’humidifier la boule en se frottant dessus, elle mouillait tellement qu’elle dégoulinait dessus. La boule luisait maintenant et de longs filets de son jus la reliaient à l’entrée de sa grotte.
Emma continua à se caresser dessus, appuyant légèrement sur son clitoris ou l’entrée de son vagin, puis elle s’employa à s’empaler dessus, elle descendit lentement, écartant ses lèvres, regardant son vagin s’ouvrir alors qu’elle forçait le passage. Elle sentait ses doigts accompagner la forme de la boule qui ouvrait progressivement son passage. Puis la boule, arrivant à son plus grand diamètre, Emma attendit, elle se sentait écartée au maximum et hésita. Son sexe palpitait sous ses doigts et elle continuait de couler abondamment, ce qui avait fini par humidifier la moitié du poteau sur lequel elle se trouvait. Elle se repassa son histoire dans sa tête en se touchant et ondulant du bassin. La boule glissait avec volupté à l’entrée de son sexe qui commençait à s’habituer. Emma respira calmement et força un peu plus.La boule s’enfonça d’un coup dans sa chatte béante qui l’engloutit avec avidité. Elle se sentait tellement ouverte qu’elle en eut un vertige, Emma se sentait dans un état second, elle ne dirigeait plus rien.
Elle était assise sur la boule, elle se voyait dans le miroir de sa table à coiffer. Emma se voyait transpirante et les cheveux en bataille. Sa main s’activait énergiquement entre ses cuisses ouvertes. Sa mouille giclant sous l’attaque de ses doigts. Elle écarta ses petites lèvres et Emma se redressa, elle vit dans le miroir la boule sortir progressivement de son ventre, l’écartelant à l’extrême puis elle sortit totalement, son vagin se refermant derrière son passage, ses lèvres accompagnant la boule comme des lèvres léchant une glace. Emma gémit, sentant la boule sortir avec facilité, elle recommença à descendre sur son lit, regardant cette femme dans le miroir se dilater la chatte. Elle se trouvait belle, elle voulait que cette femme se fasse baiser violemment. Elle continua à s’empaler sur son lit, Emma montait et descendait, éprouvant avec satisfaction le plaisir de cette boule qui franchit ses défenses avec à-coups. Elle finit par jouir violemment, se contractant sur cette boule, et s’asseyant avec plus de force. Emma tenait fermement l’un de ses seins, tandis qu’elle s’agrippait à la monture de son lit. Elle ferma les yeux en donnant des coups de bassin violents, et gémissant sourdement.Emma profitait de l’instant et désirait plus que tout que son lit puisse jouir en elle. Puis elle se laissa retomber sur son lit, pantelante et trempée de sueur. Elle rêva de longues minutes avec une légère frustration, il lui manquait quelque chose... Emma se sentait prête à franchir le pas, maintenant, il lui fallait plus que ces objets inanimés. Elle avait atteint sa limite, sa tête de lit était ce qu’elle avait eu de plus gros dans son ventre.
Il fallait qu’elle passe à l’action.
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