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La place d'Emma

Chapitre 2

Zoophilie
Depuis qu’elle avait réussi son exploit dans sa chambre, Emma guettait le moment où elle aurait pu laisser son fantasme exploser. Les jours passaient et le feu dans son ventre ne se calmait pas, plus elle se sentait proche, plus elle avait envie de le réaliser. Emma voyait son chien comme fou, il devenait plus agité de jour en jour, peut-être lui aussi sentait le moment approcher ?
Elle continuait de le provoquer sans que son père la remarque, elle le caressait souvent, s’attardant de temps en temps entre les cuisses de l’animal pour mieux lui faire comprendre ce qu’elle attendait de lui. Ils jouaient souvent, elle s’amusait à faire la bagarre et à toujours se retrouver sous lui. Bien qu’elle ne put pas faire autrement tellement il était imposant.
Emma attendit plusieurs jours, vivant un vrai enfer, jusqu’au moment où son père partit pour le marché. Elle se jeta sur l’occasion et en profita pour ne mettre qu’une jupe sans culotte et se promena dans la maison en passant près de son chien.
Au début, il ne semblait pas sentir qu’une chienne l’attendait pour se faire prendre. Elle se sentait un peu anxieuse au début, car elle ne savait pas comment il allait réagir, voyant son manque de réaction, elle décida donc d’accélérer les choses.
Elle alla s’enfermer dans sa chambre et elle se toucha afin de mouiller suffisamment pour sentir la femme en chaleur. Emma ressortit avec les cuisses trempées, elle laissa sa chambre derrière elle avec les draps trempés et sa tête de lit luisante.
Emma revint vers son chien, plus excitée que jamais en pensant à ce qui allait se passer, puis elle vint lui coller ses doigts contre le museau pour qu’il se décide enfin à quelque chose.
Il ne se fit pas prier, il s’activait autour d’elle et elle eut du mal à le contrôler. Il paraissait fou, il tournait et virait en aboyant, elle se demanda comment elle allait s’y prendre et dans quelle position, elle qui n’avait jamais expérimenté ces choses. Elle marchait autour de lui, essayant de le diriger d’une certaine façon, mais il était trop vif et trop puissant.
Il passait souvent sa truffe entre ses jambes et elle s’électrisait à chaque fois qu’elle sentait sa langue râpeuse lui voler son jus. Elle s’immobilisa en écartant légèrement les cuisses pour l’inviter à venir lécher sa bonne odeur de chienne.

Emma attendait dans cette position que son chien se calme un peu pour qu’il puisse se concentrer sur elle.
Jusqu’au moment où il sauta et la poussa dans le dos. Emma s’étala face contre terre en se cognant la tête sur un fauteuil. A moitié dans les vapes, elle s’aperçut qu’il tournait autour de sa tête en aboyant et en montrant les crocs.
Elle comprit alors son erreur: lui n’était pas en train de jouer, il avait senti une femelle à féconder et il devait être le mâle dominant de la meute. Elle arrêta donc de bouger et essaya de s’aplatir le plus possible pour qu’il ne puisse pas la mordre, elle avait maintenant un autre sentiment: elle voulait se soumettre. Il continuait à tourner autour d’elle en essayant de trouver un moyen de prendre cette femelle qui ne se laissait pas faire.
Puis il vint aboyer à son oreille et elle redressa ses fesses comme si elle avait reçu un ordre. Le chien comprit comment la pousser à se relever et continua d’aboyer.
Il commença alors à grimper sur le dos d’Emma, ses coups de reins étaient désordonnés et il griffait le dos et les jambes de la jeune fille qui grimaçait.
Elle reprenait peu à peu ses esprits et elle sentait qu’il avait du mal, elle se dit qu’il fallait peut-être arrêter là, le repousser et s’enfuir dans sa chambre en attendant qu’il se calme, mais elle entendit le chien aboyer à son oreille, son corps se raidit comme rappelé à l’ordre et elle se sentit passer sa main entre ses jambes pour venir attraper le sexe de l’animal.
Elle put complètement sentir la taille de sa verge et se dit que la largeur était assez semblable à ce dont elle avait l’habitude. Elle prit une inspiration, se disant qu’au fond, c’était elle qui avait provoqué cette situation et qu’elle devait maintenant aller jusqu’au bout, elle dirigea l’engin directement dans sa chatte dégoulinante de mouille.
Bien qu’elle se fut entraînée à prendre des objets plutôt larges, elle n’avait pas bien estimé la longueur. Le vit du chien était bien supérieur à ses attentes et elle se sentit embrochée par son membre. La bête surexcitée donnait ses coups de façon brutale en s’agrippant comme il le pouvait à la taille d’Emma.
Elle sentait sa verge s’enfoncer de plus en plus profondément à chaque coup, elle subissait ses assauts sans pouvoir contrôler la situation. Elle était ballottée dans tous les sens, son visage s’écrasant sur le carrelage, elle sentait ses seins bouger au rythme frénétique du chien.
La verge semblait lui remonter plus haut que le nombril, elle se demandait jusqu’où elle pouvait aller en même temps qu’elle voulait qu’il aille plus loin.
Son trou s’habituait à prendre cette verge pour l’accueillir.
Emma ne regretta alors plus du tout son action et commença à donner son cul volontiers, elle se cambra et poussa son cul vers le haut pour qu’elle sente son chien la posséder complètement. Elle voulait s’ouvrir entièrement, que son chien puisse rentrer en elle de toute sa longueur.
Elle entendait le claquement de sa mouille battu entre ses lèvres et ça l’excitait terriblement.

Ses seins s’écrasèrent alors à leur tour sur le carrelage et elle se donna toute entière.
Elle se rendit compte que les rôles étaient alors inversés, il était le maître et elle la chienne. Cela l’excita davantage et lui fit perdre la tête, elle commença à encourager son chien.
— Vas-y prends-moi mon toutou, tu as trouvé ta chienne ?
Alors elle commença à le sentir, elle sentit son liquide chaud commencer à couler en elle, comme une barrique qu’on aurait ouverte et qui coulerait en continu. Elle passa ses doigts sous son ventre et se masturba énergiquement.
— Vide tes couilles en moi, je suis là pour ça, c’est bien...
Son ventre se déformait à chaque coup de reins, elle pouvait presque sentir le membre de son maître à travers son ventre.
Emma sentit du bout des doigts la base de la bite du chien, elle commença à toucher son nœud et à le flatter. Le chien sentit que sa chienne en demandait plus, il ralentit la cadence qu’il lui imposait, mais commença à pousser plus fort en allant chercher encore plus loin dans son ventre.
Le nœud écarta sa chatte et rentra encore plus profondément dans sa matrice. Ses lèvres firent un O de surprise tant elle se sentit écartelée de l’intérieur. Elle sentit sa chatte s’ouvrir encore plus, ses lèvres accompagnaient parfaitement le volume de son maître.
Emma plaça ses mains de part et d’autre de sa tête pour résister à la poussée, elle commençait à perdre pied, et à s’étourdir de la façon elle accomplissait cet exploit.

Elle n’avait jamais rien ressenti de tel, c’était comme si elle ne faisait plus qu’un avec le chien, comme si son corps entier répondait au besoin impérieux de cette verge rentrant en elle: il fallait qu’elle s’ouvre. Il fallait que son corps fasse de la place pour accueillir un nouvel élément: son maître.
Les spasmes de l’orgasme libérateur commercent à se faire sentir en sentant que le chien, son maître, se vidait alors complètement en elle. Elle sentait son sperme remplir son ventre, ce sperme qu’il avait accumulé depuis de longues semaines, depuis qu’il avait senti cette chienne dans la maison, celle qui l’excitait sans jamais assouvir ses besoins.
Emma sentit de l’électricité parcourir tout son corps, ses muscles se tendirent, tandis que sa chatte convulsait nerveusement autour du nœud. Son vagin réagissait, ses parois se contractaient et se relâchaient en rythme et pressaient cette verge à se vider dans son ventre. Son maître avait arrêté de donner des coups de reins et essayait de garder cette position au fond de sa femelle.
Elle aima se sentir dominée et utilisée par son chien. La chienne glissa une main sur son ventre et elle le sentit se gonfler sous ses doigts tandis qu’elle se faisait féconder. Le jet puissant de sperme était continu et elle ne sut dire avec quelle quantité elle était remplie. Elle comprit sa nouvelle place et la hiérarchie qui était en train d’apparaître entre son chien et elle, ou plutôt son maître et son vide couille.
Emma accepta sa nouvelle situation et forte de ce plaisir, elle commença à mimer le comportement d’une bonne chienne, elle sortit la langue et haleta comme si sa nature animale avait pris le dessus. Emma devenait ce qu’elle avait toujours voulu, un animal disponible et soumis.
Son esprit était cotonneux, elle ne pouvait s’imaginer elle, à quatre pattes dans son salon, les yeux révulsés de plaisir en train de tirer la langue comme l’auraient fait n’importe quels clebs dans la rue. Elle aurait vu alors ça contre nature, ses jambes inondées de son jus alors que l’on devinait que son ventre à elle était plein. Qu’un énorme chien la montait et était bloqué en elle.

Emma aurait vu cette scène un mois plus tôt, elle ne se serait pas reconnue. Mais maintenant, elle s’en fichait, tout ce qui importait, c’était sa place, elle n’en voulait pas une autre pour rien au monde. Elle le ressentait.

Le vide couilles resta dans cette position pendant un moment tandis que son maître la gratifiait de tout son sperme.
Elle sentit le débit de sperme se tarir et le chien commençait à vouloir sortir. Elle repassa une main sur son ventre et s’étonna du changement de volume, elle avait vraiment pris deux tours de taille, elle paniqua.
L’esclave voulait tout garder en elle, elle était maintenant la gardienne du sperme de son maître. Maintenant qu’elle avait été choisie comme vide couilles, elle devrait être le réceptacle de son sperme et le garder en elle pour toujours.
Emma réfléchissait à toute vitesse à la façon dont elle pourrait garder son sperme, son chien tira un coup fort et ressortit son nœud, suivi d’un geyser de foutre qui tarit rapidement pour finir en un flot de sperme s’écoulant le long de ses cuisses.
Son chien s’empressa de venir lécher la chatte de sa chienne, mais elle le repoussa, considérant que c’était maintenant son devoir à elle. Emma attrapa une pomme sur la table et la cala dans son vagin pour faire obstacle, mais le débit était trop fort et la pomme fut éjectée, de dépit, elle regarda son trésor s’écouler de son ventre tandis que celui-ci diminuait de volume.
L’esclave vint donc scrupuleusement nettoyer la verge de son chien puis elle entreprit de faire sa toilette, elle racla tout le sperme étalé sur ses cuisses et l’amena à sa bouche pour s’en délecter. Se disant que la prochaine fois, elle trouverait un moyen de le garder dans son ventre.

Une fois propre, elle regarda le sperme sur le sol et se dit que c’était dommage de perdre une telle quantité. Emma récupéra dans la cuisine un bocal et revint ramasser comme elle put ce qu’on lui avait donnait. Elle en ferait un bon usage dans les jours qui viendraient.

Son père étant présent, il serait difficile que son chien puisse la dominer sans qu’il ne soit au courant, et elle ne tenait pas à être découverte, car c’était maintenant entre son maître et elle.

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