Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Histoire vraie
  • Publiée le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 167 J'aime
  • 3 Commentaires

A la plage naturiste

Chapitre 2

Avec plusieurs hommes
Le lendemain matin, alors que nous écoutions la radio en prenant le petit-déjeuner, Julie et moi n’étions pas d’accord sur l’interprète d’une chanson. Je lui ai dit :
— On vérifie si tu veux, mais si j’ai raison, tu devras faire tout ce que je veux aujourd’hui !— OK, mais vu que tu as tort, c’est toi qui vas devoir faire tout ce que je veux !
Après vérification, c’était bien moi qui avais raison. Je lui ai lancé :
— On dirait bien que j’ai gagné ! — Pff...— Alors, par quoi je pourrais bien commencer... Tiens, tu pourrais déjà enlever ton peignoir et ta culotte.— OK pour le peignoir, mais la culotte, ça va être compliqué.— Pourquoi ?
En retirant son peignoir et en le jetant au sol, elle a répondu :
— Parce que je n’en ai pas !
La voir nue m’a immédiatement beaucoup excité. Nous avons fini de petit-déjeuner tranquillement, puis nous avons décidé de sortir un peu faire les boutiques. Alors qu’elle allait s’habiller, je lui ai dit de mettre uniquement une petite robe, sans rien en dessous. Elle a ri et ne s’est pas opposée à ma demande. Il était assez fréquent qu’elle ne porte pas de soutien-gorge, voire pas de culotte lorsque nous nous baladions.
Nous sommes restés assez sages durant notre brève excursion en ville. En rentrant, je n’ai même pas eu à demander à ma femme de retirer sa robe. Elle l’a fait elle-même dès que nous sommes rentrés. Nous avons mangé rapidement avant d’aller à la plage.
A peine arrivés, je lui demande de se déshabiller totalement. C’est nue qu’elle déambulait devant tout le monde, et ça n’avait pas l’air de la gêner le moins du monde. Nous nous sommes installés entre un couple de sexagénaires et deux jeunes hommes d’une vingtaine d’années. Ceux-ci regardaient Julie plus ou moins discrètement.
Nous avons passé une bonne partie de l’après-midi entre baignade et bronzage. Quand nous étions allongés, j’ai demandé plusieurs fois à ma chérie d’écarter les jambes dès qu’un homme passait devant nous. Ça semblait l’amuser de s’exhiber ainsi et de montrer sa chatte à des inconnus.
Petit à petit, la plage s’est vidée. Le couple à côté de nous est parti, tout comme l’un des deux jeunes hommes. D’ailleurs, autour de nous, il y avait essentiellement des hommes seuls. A un moment, j’ai vu que le jeune à côté de nous était allongé sur le côté et qu’il avait mis sa serviette de manière à cacher sa queue. Vu les mouvements de son bras, je devinais qu’il se faisait un petit plaisir discrètement, et ce, en regardant ma femme. J’ai alors dit à Julie :
— Regarde, je crois qu’il se branle...
Allongée sur le dos, elle a jeté un coup d’œil, mais n’a pas semblé y prêter attention. J’ai alors rajouté :
— Tu ne veux pas aller l’aider ?— Quoi ? Tu es sérieux ?— Oui, pourquoi ?— Tu es fou, pas ici !— Je croyais que tu devais faire tout ce que je te dis...
Elle a marqué un temps d’arrêt avant de me répondre :
— Pff, t’es chiant !
Elle feignait d’être gênée, mais je savais bien que la situation l’excitait. Je lui ai fait remarquer qu’il n’y avait presque plus personne, et que les seules personnes qui pourraient la voir étaient en grande partie là pour se rincer l’œil vu le nombre d’hommes seuls. En poussant un petit soupir, elle s’est levée et a fait les deux ou trois mètres qui la séparaient du jeune homme. Elle s’est accroupie à côté de lui et a entamé une discussion. Je n’entendais pas ce qu’ils se disaient. Elle a regardé tout autour d’elle, puis elle s’est assise en tailleur à côté de lui. Elle était dos à moi, mais quand j’ai vu son bras s’activer, j’ai compris qu’elle était passée à l’action. La scène n’a pas duré longtemps, peut-être deux ou trois minutes. Julie s’est ensuite levée et est revenue vers moi. En s’asseyant sur sa serviette et en prenant un paquet de mouchoirs dans son sac, elle m’a lancé un large sourire et m’a dit :
— Voilà, t’es content ?
Elle avait du sperme sur la main. Je la trouvais particulièrement excitante. Je l’ai prise par le menton et je l’ai attirée vers moi pour l’embrasser langoureusement. Quand nos lèvres se sont décollées, je lui ai demandé :
— Ça t’a plu ?— Oui, mais il y a du monde...— Depuis quand ça te dérange ?— T’es bête...
Nous sommes restés une demi-heure sur la plage, puis nous sommes rentrés. Nous avons parlé de ce qu’elle venait de faire. Je lui ai dit que quand nous sortions en sauna libertin, ça ne la dérangeait pas qu’il y ait du monde qui regarde. Elle m’a répondu que ce n’était pas le fait d’être vue qui la gênait (au contraire même), mais plutôt le contexte. Nous avons continué à parler de nos sorties passées au sauna. Elle a fini par m’avouer qu’une des choses qui l’excitait le plus était d’être nue devant des hommes plus vieux (50-60 ans). Elle aimait sentir leur désir, se faire tripoter sans vraiment savoir par qui. Je me souviendrai toujours d’une phrase qu’elle a prononcée : "j’aime bien exciter les vieux cochons". Inutile de dire que ça m’a donné des idées...

Vendredi, nous avions prévu quelques visites de musées et de visiter des villages, mais nous avons préféré repousser au lendemain. Après une matinée très calme, nous sommes allés à la plage en début d’après-midi. Dès notre arrivée, j’ai demandé à Julie d’enlever sa robe. J’ai alors pu voir qu’elle portait un string ficelle en dessous, string qu’elle gardé. Elle déambulait devant tout le monde sans la moindre gêne, affichant même un petit sourire qui trahissait son plaisir de s’exhiber. J’ai remarqué que beaucoup d’hommes la regardaient.
Nous nous sommes installés à côté d’un couple de quinqua, voire sexagénaire. L’homme, nu, était très fin et assez poilu. La femme, elle, portait un bas de maillot de bain. Elle était assez petite et avait des formes, un peu comme Julie. Ils nous ont salués et ils ont même commencé à discuter avec nous. Nous parlions de tout et de rien, ils semblaient très sympathiques. Après quelques minutes, alors que la femme venait d’enlever sa culotte, ma chérie lui a dit :
— Il est sympa ton maillot, tu l’as eu où ?— Je l’ai commandé sur internet, je sais plus trop sur quel site.
Ma femme a alors pris le bas qui était posé sur la serviette de la femme (c’était assez osé de faire ça sans demander) et elle a dit :
— Dommage, il n’y a plus l’étiquette.— Oui, je les enlève tout le temps, ça me gêne.— Je peux l’essayer ? On doit faire à peu près la même taille.
J’ai vu la surprise dans les yeux de la femme et également dans ceux de son mari. Elle a difficilement balbutié :
— Euh... oui... si tu veux.
Julie a alors enlevé son string et elle a mis la culotte que la femme portait quelques secondes plus tôt. C’était aussi inattendu qu’excitant. Julie s’est levée et a dit :
— Elle me va bien, tu ne trouves pas ?— Euh... oui...— Tu en penses quoi mon cœur ?— Tu es superbe.
Elle s’est rallongée et a continué à parler avec la femme. Elle lui a montré le string qu’elle portait et lui a même proposé qu’elle le porte, mais la femme a refusé, un peu hésitante :
— Je n’ai plus l’âge pour porter ça. C’est pour les petites jeunes comme toi.
Julie a enlevé le bas de maillot que la femme lui a "prêté" et lui a tendu pour lui rendre, ce à quoi elle a répondu :
— Non, non... Garde-la.— C’est vrai ? Merci !
Elle l’a remis et a continué à discuter avec le couple. Je les sentais un peu surpris, voire gênés par la situation. D’ailleurs, ils sont partis après quelques minutes. J’ai alors demandé à ma chérie :
— Qu’est-ce qui t’a pris ? — Je sais pas, j’avais envie de m’amuser un peu. Ça te plaît pas ?
Je suis resté quelques secondes sans voix. Je me suis assis. Avant de s’allonger sur sa serviette, elle m’a jeté le bas de maillot, qui était sur la serviette, au visage en pouffant de rire. Nous avons parlé à voix basse pour que personne ne nous entende de ce qu’elle venait de faire. Julie m’a dit avoir fait ça spontanément, sans réfléchir. Sur le coup, ça l’a excitée. Elle était clairement d’humeur joueuse et je comptais bien en profiter. D’autant plus que notre petite discussion de la veille était toujours dans mon esprit, surtout sa phrase sur les vieux cochons... A un moment, alors que ça fait à peine une heure que nous sommes arrivés, je suis terriblement excité de voir ma femme nue et le regard des hommes autour de nous qui semblent la désirer. Je lui ai demandé :
— Tu veux qu’on aille dans un coin plus tranquille ?— Hmm si tu veux !
Nous sommes retournés au même endroit que deux jours plus tôt. Sur le trajet, j’ai cru voir deux hommes nous suivre à bonne distance, mais je n’ai rien dit à Julie.Arrivés à destination, nous avons posé nos serviettes et nous nous sommes allongés. Nous avons commencé à nous caresser mutuellement. Elle était déjà bien humide. Un des mecs qui nous suivait était plus ou moins caché derrière un rocher, en train de nous regarder. Je devinais qu’il se branlait (il était à quatre ou cinq mètres de nous). En revanche, je ne voyais pas l’autre.Nos caresses se sont intensifiées, et comme j’étais sur le point de jouir (oui déjà) je suis venu entre les cuisses de ma femme pour la lécher. Cela m’a permis de faire retomber un peu la pression. J’ai ensuite relevé la tête. L’homme derrière le rocher était toujours là et j’ai cru voir la tête du second dépasser derrière la végétation. J’ai dit à ma femme :
— Il y a deux mecs qui nous regardent depuis tout à l’heure.— Oui, je sais...— Tu avais vu et tu ne me l’as même pas dit...— On fait quoi ?— Comment ça ?— Bah...— Tu as envie qu’ils viennent ?
Je n’ai pas attendu sa réponse, que je connaissais déjà de toute façon, et je leur ai fait signe de se rapprocher. L’un d’eux est venu s’asseoir à côté de nous, l’autre est resté debout à un mètre en se branlant. Le premier semblait un peu plus vieux que nous, assez fin. Le second était plus vieux, la cinquantaine environ, et avait un léger embonpoint.
Le plus jeune des deux s’est montré directement assez entreprenant puisqu’il a caressé le corps de ma femme. Il lui a d’abord touché le ventre et les cuisses, puis il s’est ensuite attardé sur ses gros seins. Julie m’a regardé, l’air amusé et avec un petit sourire coquin. Elle a ensuite approché sa main du sexe tendu de l’homme qui la tripotait. Elle a commencé à le branler lentement. Je la regardais, elle était très belle et très excitante. Je la caressais moi aussi et, quand j’ai passé mes doigts sur sa chatte, j’ai pu constater qu’elle était déjà humide.
Après deux ou trois minutes, Julie a demandé à son nouveau partenaire de jeu de s’approcher de son visage. Elle a alors léché la queue de bas en haut avant de la mettre dans sa bouche. L’homme semblait beaucoup apprécier les talents de suceuse de ma chérie. Il n’en a pas profité très longtemps puisqu’elle lui a dit :
— Tu as des capotes ?— Euh... Oui, dans mon sac...
Il ne semblait pas décidé. Julie lui a lancé après quelques secondes :
— Bin mets-en une !
Pendant qu’il cherchait maladroitement dans son sac, j’ai jeté un coup d’œil vers l’autre homme qui se branlait toujours en regardant la scène.Une fois qu’il a mis une capote, il s’est placé en missionnaire et a pénétré lentement ma femme. J’étais assis, fesses sur les talons, à côté d’elle. Je la regardais prendre du plaisir avec un autre homme et ça m’excitait énormément. D’ailleurs, nos regards se croisaient souvent et elle gémissait, autant par plaisir que pour me provoquer.
D’un coup, sans prévenir, l’homme qui se branlait en regardant ma femme depuis tout à l’heure s’est approché. Dans un râle de plaisir, il a éjaculé sur Julie. Son éjaculation n’était pas énorme, mais Julie a quand même reçu du sperme sur ses seins et un peu sur son visage. Le quinqua est ensuite parti sans dire un mot.
Celui qui était en train de baiser ma femme a alors accéléré le rythme avant de se planter au fond du vagin de ma femme pour jouir à son tour. Quand il a sorti son sexe de celui de ma chérie, elle a poussé un grand "hmmm". Je devinais la frustration sur son visage. Le mec s’est relevé et nous a remerciés pour ce moment. Il a pris ses affaires et il est parti.
Alors que Julie était en train de se relever, je lui ai dit de se mettre à quatre pattes. Je l’ai pénétrée directement. Il faut dire que vu mon état d’excitation, ma queue était dure comme du bois. Je faisais des mouvements assez lents pour ne pas jouir trop rapidement.
A un moment, alors que je touchais son petit trou, elle m’a dit :
— T’as vu ?— Quoi ?— Devant. Les deux jeunes là-bas.
Ils étaient derrière un rocher à trois ou quatre mètres de nous. Tout en continuant à prendre ma femme en levrette, je lui ai demandé :
— Ça fait longtemps qu’ils sont là ?— Je ne sais pas, je viens de les voir.— Tu veux qu’ils viennent ?— Non...
Visiblement, ils se branlaient en nous regardant. Ça m’a excité encore davantage de savoir que nous avions deux spectateurs. Je n’ai pas pu résister très longtemps et j’ai joui dans la chatte de ma chérie. Je suis resté un peu en elle et je titillais toujours son petit trou.
Nous sommes ensuite allés dans l’eau pour effacer les traces de ce que nous venions de faire. Après nous être embrassés tendrement, nous avons marché jusqu’à nos affaires en nous tenant par la taille. Quand les jeunes, qui étaient toujours là, ont vu que nous nous préparions à partir, ils sont partis eux aussi.
En regagnant la plage, nous nous sommes arrêtés plusieurs fois pour nous embrasser. Je lui ai aussi touché les fesses (voire un peu plus) sur le trajet. Ma femme m’excite toujours autant (et peut-être même plus) depuis toutes ces années. Nous avons passé le reste de l’après-midi plutôt sagement sur la plage. Ma chérie écartait les jambes quand un homme passait devant elle, mais elle faisait comme si de rien. Je savais à quel point elle aimait s’exhiber.
Quand nous sommes rentrés à l’hôtel, nous avons fait l’amour tendrement.Nous avons consacré le samedi à faire des visites et balades.
Diffuse en direct !
Regarder son live