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A la plage naturiste

Chapitre 3

Avec plusieurs hommes
Le lendemain, dimanche, pour notre dernier jour de vacances, nous sommes allés à la plage en tout début d’après-midi. En marchant pour trouver un endroit sympa où nous installer, Julie m’a dit :
— Regarde, c’est pas les deux petits jeunes qui nous regardaient avant-hier ?— Si, je crois.— On se met à côté d’eux ? Ça pourrait être marrant...
J’ai vu dans ses yeux que ma femme avait envie de profiter pleinement de cette dernière journée à la plage. J’ai donc répondu :
— Oui, si tu veux.
J’adore voir la voir d’humeur joueuse, ça promettait pour cet après-midi. En nous installant, nous avons pu les voir de plus près (nous nous sommes mis à un mètre d’eux). Ils devaient avoir entre vingt et vingt-deux ans. A peine allongée, elle a largement écarté les jambes sans que je ne lui dise quoi que ce soit. Elle offrait une vue imprenable à ses deux admirateurs (entre autres). Une dizaine de minutes après notre arrivée, elle m’a demandé de lui mettre de la crème solaire dans le dos. Je lui ai dit de s’adresser à nos voisins de plage, ce qu’elle a fait après m’avoir lancé un grand sourire :
— S’il vous plaît ? Il y en a un de vous qui peut me mettre de la crème dans le dos ?
Ils se sont parlé entre eux, mais je n’ai pas entendu ce qu’ils se sont dit. L’un des deux s’est levé et s’est approché timidement. Julie lui a demandé :
— Comment tu t’appelles ? — David.— Moi c’est Julie et lui c’est Éric, mon mari.—...— Tiens, si tu peux m’en mettre dans le dos, tu serais un amour.— Euh, oui. D’accord.
Ses caresses étaient hésitantes, surtout au début.
— Tu peux m’en mettre sur les jambes s’il te plaît ?— Oui.
Une fois fait, en enlevant les mains du corps de ma femme, il a dit :
— Voilà.— Merci. Je ne voudrais pas abuser de ta gentillesse, mais tu peux m’en mettre aussi sur les fesses ?
Il a rougi et a accepté, évidemment. Il me regardait souvent. Je lui ai fait un signe de la tête pour lui faire comprendre que tout était OK. Il commençait à avoir une demie-molle. Quand il a fini, ma femme l’a remercié et il a regagné sa place avec son ami. Ils se parlaient à voix basse. Voir ma femme se faire caresser partout par un autre m’avait émoustillé.Julie s’est ensuite assise et elle a commencé à se mettre de la crème solaire sur son côté pile, d’abord sur les bras puis le ventre. C’était très excitant de la voir se toucher le cops. Avant qu’elle n’en mette sur ses seins, je lui ai dit :
— Attends ! Pourquoi tu ne leur demandes pas un coup de main ?
Elle m’a lancé un regard malicieux et, sans même me répondre, elle a lancé aux jeunes hommes :
— J’aurais encore besoin de l’un de vous !
Ils se sont dit quelque chose et, cette fois, c’est l’autre qui est venu près de nous. Il s’appelait John. Ma femme lui a demandé :
— Tu veux bien me mettre de la crème solaire de ce côté-là s’il te plaît ?— Oui. Où ça ?— Sur les jambes, les épaules, le ventre, les seins... Un peu partout !
Il semblait déstabilisé par ces derniers mots. Il a commencé par les épaules, puis le ventre. Il bandait carrément, ce que ma chérie a bien sûr remarqué. Alors que je sentais qu’il allait poser ses mains sur les seins de ma femme, j’ai dit :
— On va peut-être aller dans un coin plus calme.
Il y avait une famille pas très loin de nous qui venait d’arriver. Julie a répondu :
— Oui, ce sera mieux.
Alors que nous rassemblions nos affaires, j’ai dit à John :
— Ton copain peut venir aussi s’il veut.
Nous sommes partis tous les quatre (ce qui n’est pas très discret) vers les dunes, à la recherche d’un endroit isolé, Julie et moi marchions main dans la main. Nos deux acolytes parlaient peu, visiblement intimidés. Sur le chemin, j’ai murmuré à l’oreille de Julie :
— Tu as l’air de faire beaucoup d’effet aux petits jeunes.
Elle les a regardés et m’a embrassé juste après. J’ai rajouté :
— J’ai envie que tu te lâches, que tu fasses tout ce qui te fait envie !— Coquin va !
Toujours en marchant, elle a lancé :
— C’était bien vous avant-hier qui nous regardiez ?— Euh... Oui...— Vous faites souvent ça ?— Euh... Non, c’était la première fois.
Ils semblaient gênés, alors ma chérie n’a pas insisté, même si je sentais bien que ça l’amusait. Je lui ai touché plusieurs fois les fesses, autant pour mon petit plaisir que pour exciter les deux mecs.Une fois arrivés dans un coin vraiment à l’écart, nous avons posé nos serviettes Julie et moi, avant de nous asseoir. Nous avons invité nos 2 compagnons à en faire de même. John s’est assis à côté de ma femme. Elle lui a dit :
— Bon, maintenant qu’on est plus tranquille, on reprend ?— Oui ! Vous me donnez la crème ?— Laisse tomber la crème...
Le jeune homme semblait surpris et ravi, mais aussi intimidé. Voyant qu’il n’osait pas, Julie lui a dit :
— Vas-y, touche-moi !
Il a posé une main sur le ventre de ma femme. Le contact de sa peau a dû commencer à le mettre en confiance. Julie l’a même encouragé d’un "continue". Elle avait un air plus sérieux sur son visage, l’ambiance avait clairement changé en seulement quelques secondes. Il a ensuite posé sa deuxième main sur son ventre et a commencé à la caresser. Il a rapidement mis ses mains sur les seins de ma femme, qu’il a commencé à malaxer. Il faut dire que ses formes généreuses plaisent particulièrement. Il était comme hypnotisé. J’adore la voir se faire tripoter par un autre homme, j’étais déjà bien excité. David se contentait de regarder, sa queue commençait à prendre de la vigueur. Je devinais l’envie dans ses yeux. Pendant ce temps, John commençait à se montrer plus entreprenant, léchant et suçotant les tétons de ma femme. Je bandais en voyant cela.Julie s’est ensuite allongée sur le dos. John continuait à la caresser. Elle me cherchait du regard. Je lui ai dit à voix haute :
— Profite ma chérie.
Elle a touché les couilles du jeune homme avant de prendre sa queue en main. Elle a commencé à le branler, mais il a éjaculé sur ses seins en à peine 30 secondes. J’avais rarement vu une éjaculation aussi abondante, ma chérie avait la poitrine recouverte de sperme. John, un peu gêné et honteux, a dit :
— Désolé...— Ne t’excuse pas !
Ma femme a proposé d’aller se baigner, surtout pour enlever le sperme qu’elle avait sur elle. Nous sommes allés tous les quatre dans l’eau. Je suis resté en retrait, surtout pour voir ce que Julie allait faire. Après avoir ôté le sperme de sa poitrine, elle a un peu chahuté avec les deux jeunes hommes. Ils pelotaient ma femme sans en avoir l’air, tout en jouant dans l’eau (ils le faisaient bien sûr exprès). A un moment, l’ambiance a changé en une fraction de seconde. Voyant que ma femme se laissait faire et ne disait rien, David s’est collé à elle, contre son dos, et a empoigné ses seins. John a arrêté de chahuter et regardait la scène. David était clairement le plus entreprenant et le moins timide des deux.
Julie s’est tournée, a plaqué ses seins contre le torse de son jeune partenaire, et l’a embrassé. C’était très sensuel. Je bandais comme un fou. Ils ont échangé quelques mots que je n’ai pas pu entendre, puis ils se sont dirigés vers la plage. En passant devant John et moi, elle a dit :
— Bin ne restez pas là, venez !
J’ai cru voir qu’elle tenait le jeune homme par la queue sous l’eau (ce qu’elle m’a confirmé plus tard). Ma chérie s’est assise fesses sur les talons sur sa serviette alors que David était debout devant elle. John se tenait lui aussi debout, juste à côté. J’ai décidé de m’asseoir, à genoux moi aussi, à côté de ma femme. Je l’ai regardée, à seulement quelques centimètres de son visage et du sexe de David. Elle m’a regardé aussi et, tout en suçant la queue dressée devant elle, elle m’a souri. J’étais comme hypnotisé par ce fabuleux spectacle. J’ai repris mes esprits quand elle a lâché le sexe de sa bouche pour m’embrasser langoureusement. Elle sait que j’adore quand elle fait ça, que ça me rend dingue de l’embrasser alors que sa bouche a le goût de la bite d’un autre homme.
Elle a repris sa fellation. J’ai commencé à toucher le corps de ma femme : ses seins qui étaient recouverts de sperme il y a quelques minutes à peine, son ventre, ses fesses. En caressant sa chatte, j’ai pu constater à quel point elle était trempée. Je lui ai mis un doigt, ce qui l’a fait gémir. Je l’ai doigtée ainsi quelques minutes, caressant même son petit trou.
J’étais tellement concentré sur ses orifices que je ne m’étais pas rendu compte que John s’était rapproché pour se faire sucer lui aussi. Elle alternait entre les deux sexes, elle semblait être dans un état second. Je la trouvais tellement excitante, j’avais envie de plus.
J’ai demandé aux deux jeunes hommes qui étaient en train de se faire sucer par ma femme :
— Vous avez des capotes ?— Euh... non.— Oui, moi j’en ai dans mon sac.
Julie m’a souri, en continuant de sucer une des deux queues. David a fouillé dans son sac et en a sorti une boîte de préservatifs encore emballée. Il en a pris un et l’a déroulé sur son sexe, puis il a regagné sa position devant Julie. Elle l’a regardé dans les yeux avec un large sourire. Elle s’est allongée en lui disant "viens". Le ton de sa voix était très sensuel, on aurait presque dit qu’elle le suppliait. Le message était on ne peut plus clair. Il s’est assis devant elle et lui a caressé la chatte. Sentant qu’elle était déjà bien humide et prête, il l’a pénétrée directement.
Moi, j’étais toujours à genoux à côté d’eux. Je la regardais gémir en se faisant baiser par un autre homme. Elle m’a regardé plusieurs fois en me souriant, comme si elle était heureuse que l’on partage ce moment. John, lui, s’était assis près de ma femme et lui touchait les seins. L’homme qui la pénétrait n’a pas tenu très longtemps, peut-être deux ou trois minutes. Quand il a joui en restant dans le vagin de ma femme, j’ai failli jouir sans me toucher.
Lorsque David a sorti sa queue, ma femme a posé sa main sur le torse de John et lui a dit :
— Hmmm... Tu viens ?
Elle devait être légèrement frustrée et elle en voulait encore ! John semblait plus hésitant que son camarade. Il a mis une capote et a pénétré lentement ma chérie. Il s’est mis sur elle et l’a embrassée dans le cou. Il a ensuite approché ses lèvres de celles de ma femme pour l’embrasser, d’abord sagement, puis j’ai vite vu leurs langues jouer l’une avec l’autre. Julie m’a regardé plusieurs fois. Je voyais dans ses yeux qu’elle était bien excitée.
David, qui était parti dans l’eau pour se "nettoyer" est revenu vers nous, la queue toujours au garde-à-vous. Il s’est assis sur sa serviette, près de ma femme, en face de moi. Il se branlait lentement en regardant la scène.
John s’est soudain mis à gémir et s’est planté au fond du vagin de Julie pour jouir. Il l’a embrassée avant de se relever. Pendant qu’il enlevait sa capote remplie de sperme, David lui était en train d’en mettre une. Il a pris la place de son pote sans même demander son avis à Julie. Alors qu’il était en train de pénétrer ma femme, elle lui a dit :
— Ah ouais, t’es comme ça toi ?
Pour réponse, il s’est penché sur elle pour lui rouler une pelle. Il s’est ensuite redressé et lui a caressé le clitoris en même temps qu’il la baisait. Ma chérie semblait prendre beaucoup de plaisir, elle était de plus en plus proche de l’orgasme. Alors qu’elle me regardait, elle a fermé les yeux et s’est mise à gémir en continu. Elle était en train de jouir avec un autre homme. Elle a attrapé la main de David pour qu’il arrête de lui toucher le clitoris. Elle a rouvert les yeux quelques secondes plus tard, l’air comblé sur son visage ne laissait aucun doute sur le plaisir qu’elle venait de prendre.
Son jeune amant continuait de la baiser, de plus en plus fort même. Elle gémissait, couinait même, ne faisant rien pour cacher pas son plaisir. Pour la seconde fois, son jeune amant a joui en elle. J’étais au bord de l’orgasme alors que je ne me touchais même pas. C’était vraiment très excitant de voir ma chérie comme ça.
John s’est redressé. Nous avons invité nos deux jeunes compagnons à nous laisser, ce qu’ils ont fait après nous avoir remerciés. Seuls sur la plage, Julie est restée allongée quelques minutes, le temps de retrouver ses esprits. Tout en caressant son corps, je lui ai dit :
— On dirait que ça t’a plu !— Oui, surtout David. Il est plutôt doué !— Tant mieux, je suis content pour toi.— Je t’aime.— Moi aussi je t’aime.
Nous sommes restés allongés à nous embrasser et nous caresser pendant plusieurs minutes. Nous sommes ensuite retournés à la plage. Comme je n’avais toujours pas joui, j’étais encore dans un état d’excitation assez avancé. J’incitais ma femme à s’exhiber et à écarter les jambes quand un homme passait près de nous. Elle se prêtait volontiers au jeu (d’ailleurs, je n’avais quasiment pas besoin de lui demander de se dévoiler). Il faut dire qu’elle aime se sentir désirée.Le soir, au restaurant, Julie portait un débardeur assez transparent sans rien en dessous, et une jupe courte sans culotte. Durant tout le repas, je n’avais qu’une idée en tête : lui enlever ses vêtements pour lui faire l’amour. C’est d’ailleurs ce que nous avons fait une fois dans notre chambre d’hôtel. Nous avons fait l’amour plusieurs fois avant de nous endormir nus l’un contre l’autre. Nos vacances se sont finies de la meilleure des manières.
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