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A la plage passionément !

Chapitre 1

Gay
Voilà quelque temps que je me délecte de vos récits. Je me lance aujourd’hui pour la première fois en vous proposant une histoire véridique qui, je l’espère, vous plaira autant qu’elle m’a plu à vivre.

Cette histoire s’est déroulée en juin 2020, sur une plage des Landes.La France sortait de son 1er confinement et c’est avec un sentiment de liberté retrouvée que j’avais décidé d’aller passer la journée à la plage, profiter du grand air, de l’océan et des embruns.J’ai la chance d’habiter une maison avec jardin où j’ai pu, durant ces deux mois de confinement, bronzer intégralement et m’adonner à mes trois heures de séances quotidiennes. Ces séances, ajoutées à ma pratique de nombreux sports depuis mes vingt ans (j’en ai 48 actuellement), m’ont permis d’avoir un corps alerte, souple et tonique. Sans être un apollon, j’ai un physique agréable et harmonieux (1m80, 72 kilos) qui ne laisse pas insensible. Autre "particularité" me concernant : ma pilosité. D’un roux flamboyant ! Du moins mon pubis puisque mes cheveux m’ont abandonné au début de ma vingtaine. Contrairement à beaucoup de rouquins ou de blonds vénitiens, j’ai la peau cuivrée. Avec le temps, je me suis aperçu que ce contraste attirait l’œil de mes contemporains et me valait moult compliments. Si durant mon enfance, je détestais le fait d’être roux, aujourd’hui, je peux vous le dire, j’en suis fier et n’hésite plus à le revendiquer.

Me voilà donc parti en début de matinée après avoir préparé mes affaires de plage et un pique-nique léger. A mon arrivée, le parking était vide hormis les quelques camping-cars et vans de nombreux surfeurs et surfeuses présents dans cette région. Pour atteindre la plage, il me fallait m’enfoncer dans la forêt et grimper sur les dunes. Ces vingt minutes de marche, sous une chaleur déjà bien oppressante, étaient atténuées par la fraîcheur des pins et par une sensation que j’avais presque oubliée, celle d’une liberté retrouvée. En atteignant le sommet de la dune, l’océan m’apparut encore plus bleu et plus immense que dans mes souvenirs. Il se confondait avec le bleu immaculé du ciel et tranchait avec le jaune du sable. Un instantané merveilleux qui récompensait l’effort d’une montée harassante.
En arrivant sur cette plage immense, je jetais mon dévolu sur un amas de troncs d’arbre, rejeté par la mer. Cet endroit était naturiste et à la limite de la zone gay. On y trouvait aussi bien des femmes seules que des hommes ou couples. J’y déposais donc ma serviette de bain ainsi que mon parasol et après quelques aménagements, mon campement était opérationnel. Après m’être dévêtu et enduit d’huile solaire, il était grand temps pour moi d’aller me jeter dans les vagues et me rafraîchir. Tout en marchant, je me rendis compte que peu de personnes étaient encore présentes. Quelques pêcheurs, des surfeurs, ainsi que des promeneurs et joggeurs. Le tout dilué dans l’immensité de cette plage qui s’étalait sur des kilomètres. Au final, tout ce petit monde était isolé les uns des autres, du moins pour l’instant.
Je n’eus aucun mal à me jeter dans les vagues. La fraîcheur de l’eau m’électrisa délicieusement et le bien-être ressenti à ce moment précis me rappela à quel point me baigner nu m’avait manqué. Cette sensation de totale liberté, de caresses ininterrompues provoquées par le ressac finit par me transporter. Je me laissais aller, sautant et jouant avec les vagues.
De retour sur ma serviette, mes activités se résumaient à lire, bronzer, grignoter et contempler la mer. A mesure que les heures défilaient, de plus en plus de gens affluaient. Hommes, femmes, couples, qui d’un même élan recherchaient eux aussi les joies de bord de mer. Je prenais plaisir à les observer, admirant ces corps dans toutes leurs diversités, m’amusant à deviner la texture de leurs peaux, la fermeté de leurs chairs, la délicatesse d’une courbe. Je croisais certains regards, quelques mots, des sourires échangés. Une bienveillance régnait sur cette plage et cela me plaisait.
Après m’être de nouveau baigné, je me décidais à aller me promener dans les dunes, sans autre idée que de me balader et profiter du soleil. Je m’y aventurais nu, simplement équipé d’une bouteille d’eau et d’une casquette. Le sable, sans être brûlant, était chaud et un vent du Sud atténuait la chaleur étouffante de ce début d’été. Quelques personnes étaient installées au creux des dunes, à l’abri du vent, mais aussi des regards. Je surpris un couple d’hommes pratiquant un joli soixante-neuf plein de sensualité, une femme se faire caresser par l’homme qui l’accompagnait et qui gémissait de contentement. Au loin, j’apercevais un petit attroupement discret me doutant du spectacle qui se déroulait sous leurs yeux. Certains hommes, se caressant allégrement, attendaient qu’on les rejoigne, lançant des appels clairs sur leurs envies. Nullement gêné et encore moins choqué, je déclinais d’un simple sourire. J’aime les hommes, faire l’amour avec eux, mais pas de manière si frontale.
Du moins pas généralement et pas à cet instant. Cependant, tous ces corps huilés et bronzés me faisaient frissonner et m’avaient un peu chauffé.
Alors que le sable chauffait à mesure que le soleil grimpait haut dans le ciel et commençait à me brûler la plante des pieds, je descendis des dunes pour aller trouver un peu d’ombre à la lisière de la forêt et m’aventurer sur les nombreux sentiers qui serpentaient entre les pins. Ils formaient un formidable labyrinthe où il était facile de s’égarer et perdre toute notion de direction, ce qui m’arriva à plusieurs reprises. Au détour d’un de mes nombreux demi-tours où je cherchais mon chemin, je tombais nez à nez avec un homme. Habillé d’un simple maillot de bain noir, d’un sac de plage en bandoulière et d’un parasol, il sembla surpris de me trouver là, nu comme un ver. Mon air perdu l’a poussé à me demander si j’allais bien et si j’avais besoin d’aide. Je lui expliquais rapidement que je me promenais et que je m’étais perdu dans le dédale de chemins tout en précisant que l’ombre et la fraîcheur de la forêt préservaient la plante de mes pieds.
Cela le fit sourire et me dit qu’il comprenait vu la chaleur du jour. Il ajouta qu’il ne se promenait plus pieds nus depuis qu’il avait déjà vécu ce genre de mésaventure. Il me proposa de me remettre sur "le bon chemin" en m’accompagnant jusqu’à la dune. Cela me fit sourire en entendant l’expression et le double sens, voulu ou non, du "bon chemin" à prendre. Nous avons profité de ce moment pour discuter et faire connaissance. Il n’habitait pas très loin et comme souvent à cette période venait profiter de la mer et de ses bienfaits.
J’appris qu’il s’appelait Marc, qu’il avait 63 ans et qu’il venait de s’installer dans sa résidence secondaire définitivement. La vie citadine et son tout nouveau statut de jeune retraité avaient eu raison de ces dernières réticences pour sauter le pas. Il m’expliqua avoir vendu son entreprise à très bon prix, ce qui lui valait la chance de pouvoir jouir du temps qu’il avait libre dorénavant. Tout en parlant, je l’observais d’un œil attentif. Légèrement plus grand que moi, élancé, mais avec des épaules larges, brunes, la peau mate, légèrement poilu, il avait un côté très masculin et viril qui tranchait avec une certaine délicatesse dans ses propos. Ce qui me frappa aussi était son regard perçant, d’un marron clair de toute beauté. En résumé, c’était un bel homme, doté d’une certaine culture, jovial et d’une assurance non feinte. Sans être intimidé, j’étais sous le charme de cette rencontre.

La discussion était tellement agréable que nous nous sommes arrêtés en bordure de forêt, à l’ombre, pour continuer à parler. Son regard me scrutait attentivement, s’attardant sur certaines parties avec plus d’insistance, mais sans jamais être intrusive. J’étais flatté par tant de bienveillance et presque déçu de devoir le quitter. Avec un petit sourire en coin, je le remerciai de m’avoir remis dans le "droit chemin" et lui souhaitai une bonne journée en lui disant qu’on se croiserait peut-être sur la plage. Et c’est à cet instant que tout bascula. Il me répondit avec un grand sourire que ce serait avec plaisir et osa me dire qu’il me trouvait sympathique et très mignon. A ces mots, je sentis une petite décharge électrique dans le bas de mon dos, qui remonta aussitôt jusqu’à ma nuque. J’étais troublé et flatté qu’il me trouve à son goût et je lui dis sans me rendre compte.
Le fait d’être nu devant lui, sans défense, au milieu de la nature et à l’abri des arbres donnait à cette scène une charge érotique palpable. Je sentais mon cœur s’emballer, battement que je ressentais jusqu’entre mes cuisses. Je ne suis pas d’un naturel timide, mais à ce moment, je me suis retrouvé dépourvu de réaction, ne sachant plus quoi dire ni faire. Je réussis tout de même à retrouver un minimum de contrôle pour lui avouer que moi aussi je lui trouvais un charme fou. Son visage s’est alors éclairé d’un large sourire, presque carnassier, suivi d’un merci engageant.
Marc déposa son sac et son parasol à terre et fit un pas vers moi. Il avança sa main vers mon épaule et la promena le long de mon bras. Il me caressa le bras lentement, de haut en bas, du revers d’un doigt, détaillant mon corps franchement et avec envie. Il avait une façon très douce de le faire, sans heurt. Je trouvais ça très agréable, très sensuel. Il me confia qu’il trouvait adorable mon pubis roux sur ma peau bronzée avant de caresser ma toison. Je le laissais faire un petit moment en me laissant envahir d’une douce chaleur qui fit grossir mon sexe. Je regardais son corps qui m’attirait de plus en plus, avec ce désir de toucher sa peau, de la respirer, de la goûter. Il s’approcha encore un peu plus et posa sa main sur ma hanche pour m’attirer à lui. Pour la première fois, il plongea son regard dans le mien et vint m’embrasser. Ce contact m’électrisa littéralement. Il embrassait divinement bien, sa langue avait un goût de miel et joua avec la mienne.
Tout en nous embrassant, j’ai posé mes mains sur ses hanches en partant à la découverte de son dos. Lui, de son côté, c’est aventuré sur mes fesses qu’il a empoignées avec vigueur, les caressant, les malaxant. Autant vous dire qu’à cet instant, mon sexe était tendu à la verticale, comprimé contre son corps. Je sentais son pieu dressé dans son maillot de bain qui se frottait au mien. Nos langues se mélangeaient toujours et nous n’avions pas échangé un mot depuis qu’il s’était rapproché de moi.
Ses mains avaient abandonné mes fesses et s’attaquaient à mes tétons. Immédiatement, je gémis sous cette caresse. Ils sont très sensibles et réactifs à la moindre caresse, accentuant irrémédiablement mon érection. Sa langue avait pris le relais de ses mains et elle me titillait les mamelons à tel point que je sentais mon gland s’humidifier et prêt à exploser. Je gémissais de bonheur en me laissant faire comme un pantin. Dieu qu’il était habile et excitant. Tout en me suçant les tétons, il saisit mes bourses pour les presser délicatement, les faire tourner entre elles comme on le ferait avec des boules de pétanque. Le tout sans s’occuper de ma queue qu’il laissait tranquille, ne jouant qu’avec mes couilles. C’était une délicieuse torture ou il était passé maître. Ce petit jeu dura un moment et lorsqu’il se recula, j’avais atteint un niveau d’excitation proche de l’explosion. On s’embrassa à nouveau et dans le creux de l’oreille, il me glissa d’un ton presque autoritaire :
— A toi maintenant. Occupe-toi de moi !
Je n’attendais que ça. Je me mis à l’embrasser dans le cou, descendis sur son torse, m’occupant de ses tétons, les léchant, les mordillant. Je continuais ma découverte en passant ma langue sur son ventre plat, léchant son nombril, les mains posées sur ses hanches, les glissant sous son maillot pour lui attraper les fesses et les caresser à mon tour en revenant petit à petit vers le devant de son anatomie. En me retrouvant à genoux devant lui, j’ai pu m’apercevoir que lui aussi était dans un bel état d’excitation. Son maillot était déformé par son pieu et sur ce que je pouvais deviner, il était plutôt bien armé. Un détail me surprenait, c’était la taille de son gland qui se démarquait véritablement sous le tissu. J’ai commencé par passer ma langue sur cette masse de chair et la sentir réagir à mon passage, jouer avec l’élastique de son slip, défaire le nœud qui le retenait. Je sentais cette masse comprimée avoir des soubresauts et l’envie irrépressible de retrouver l’air libre.
Du bout des doigts, je fis rouler son maillot le long de ses hanches, libérant La Bête de son carcan. Sa queue sauta devant mon visage, tendue à l’extrême, veineuse et elle aussi humide de plaisir. Je suis resté bloqué quelques secondes devant ce pieu divin, surtout ce gland majestueux. Il détonnait par sa dimension. Large et gros comparé au reste de son sexe qui était long et fin. Bien plus épais et large comparé à sa tige. Un très joli, mais très gros champignon. En résumé, je n’avais jamais vu une telle disproportion entre un gland et sa verge. Je l’ai aimée tout de suite. Je lui trouvais du caractère et je n’avais qu’une envie, m’en délecter.
J’ai commencé par passer ma langue sur son frein, ce qui a fait frissonner Marc, pour ensuite ouvrir en grand la bouche et l’emboucher. Elle était pleine de ce beau morceau que je m’efforçais d’avaler et de sucer. Je l’excitais à coups de langue en essayant d’en avaler le plus possible. Je l’entendais gémir et sentais ses mouvements de bassin de plus en plus rapide. Ses mains s’étaient accrochées à ma tête pour lui imprimer un mouvement régulier. J’étais ravi de m’activer sur cette belle queue toute luisante, de le sentir gémir sous ma langue. Ses fesses se contractaient à chaque va-et-vient, ses couilles gonflaient dans mes mains à mesure que je m’activais. La tension sexuelle était montée d’un cran et lui comme moi avions envie de plus. De beaucoup plus. Je le regardais dans les yeux pendant mon office et ce regard si doux quelques minutes auparavant s’était transformé en quelque chose de beaucoup plus sauvage. Il me stoppa dans mon élan pour me remettre debout et me lança aussitôt.
— A mon tour de m’occuper de toi.

Il saisit ma queue et commença à me masturber, caressant mon gland, triturant mes couilles avec attention, mais fermement. J’adorai ce mélange de sensualité et de fermeté. Ca m’excitait terriblement et lui dit. Il continua sa besogne avant d’arrêter soudainement et me retourna avec force contre un arbre. Il se colla à moi, son chibre vint se placer entre mes fesses. Il imprima quelque va-et-vient entre elles, mouvement facilité par toute la salive que j’avais déposée dessus. Je sentais son gland énorme passer sur mon anus pour ensuite taper sur mes couilles devenues sensibles au moindre contact. Je me cambrai pour accentuer cette sensation délicieuse avec le désir d’en avoir plus. Tout en continuant son petit manège, il me saisit fermement le cou de ses larges mains et vient me susurrer a l’oreille.
— J’ai envie de toi, j’ai envie de ton cul ! Tu veux bien ? — Ouiii, vas-y, encule-moi. J’ai trop envie. Je veux la sentir !— Je vais bien te baiser alors. Tu m’excites trop. Je vais t’enculer comme une petite chienne.

La crudité de ses paroles, l’idée de me faire prendre comme une petite salope par ce beau mâle viril, le risque de se faire surprendre par quelqu’un m’électrisa. Je perdais tout sens commun et j’étais prêt à recevoir son gourdin dans mon cul. Il s’accroupit en me demandant de bien me cambrer.
— Je vais d’abord te bouffer le cul, j’adore bouffer le cul des petites chiennes comme toi.

Je me cambrai au maximum, prenant appui sur l’arbre, offrant en grand mon anus. Il me saisit les deux fesses pour les écarter au maximum et commença à me lécher l’œillet, infiltrant sa langue à l’intérieur.
— Ouiiiii, vas-y, bouffe-moi bien. J’adore me faire bouffer le cul. C’est trop bon !
Et c’est vrai que j’adore ça. Je ne simulais pas. Il faisait ça divinement bien, s’appliquant à bien me préparer. Il en profitait pour me malaxer les couilles et me sucer en même temps. Mais c’est surtout mon cul qui l’intéressait. Il commença à m’introduire un doigt, puis deux et enfin trois. Ca rentrait tout seul. Il faut dire que son traitement lingual avait fait des merveilles et que j’étais dans un état d’excitation indescriptible, prêt a toutes les folies.Je ne sais pas combien de temps cette feuille de rose avait duré, mais lui comme moi n’avions plus qu’une envie. S’accoupler.
— Mets-toi à genoux et cambre-toi bien, me dit-il.
Pendant que je m’installais à même le sable, je le vis fouiller dans son sac et en sortir une capote.
— Enfile là sur ma queue avec ta bouche. Je suis sûr que t’aimes ça et que tu sais faire. Fais-moi bien bander.

Ses ordres avaient le don d’augmenter mon plaisir et mon envie. Je voulais le rendre dingue pour qu’il me baise fort. Même la taille de son gland ne m’effrayait plus. C’était tout le contraire, j’étais impatient de le sentir me forcer.
Je m’appliquais à bien le positionner tout en le suçant, lui avalant les couilles avec gourmandise. Sa queue était tendue, raide comme un mât de bateau, et sa taille m’impressionnait.Il se cala derrière moi, commença à me caresser l’anus avec son gland tout en me caressant les fesses et les reins. Il prenait son temps, reculant un maximum le moment où il s’emparerait de mon cul. A mesure qu’il passait sur mon orifice, je le sentais appuyer lentement pour commencer à me forcer. J’entendais son souffle devenu rauque, ses mains s’accrocher plus durement à mes fesses. Petit à petit, il gagnait des centimètres. Je sentais son gros gland s’insérer de plus en plus, sans que cela soit douloureux. Juste une légère brûlure estompée par le plaisir de se sentir possédé par ce pieu. Je l’encourageai à m’enculer et lui dis de ne pas hésiter.
— Hummmm, oui, vas-y. Je le sens bien ton gland. Il est trop bon. Baise-moi Marc. J’ai envie de te sentir au fond !
J’ai gémi quand son gland a passé ma corolle et encore plus quand il s’est empalé jusque-là garde. Il s’est enfoncé tout doucement, sans jamais s’arrêter, sa tête chercheuse ouvrant le passage en grand. De mémoire, je n’avais jamais ressenti cette impression d’être autant rempli. Les palpitations de sa queue à l’intérieur de mon rectum m’électrisaient. Son gland butait sur ma prostate et m’envoyait des décharges d’adrénaline qui se propageait à mon propre sexe suintant de plaisir, jusqu’à mes testicules. Il commença à s’activer, lentement au départ pour accélérer la cadence par étape. Je l’écoutais gémir de plus en plus fort en l’encourageant.
— Putain qu’il est bon ton cul, il est fait pour être baisé.— Ouiiiiin, il adore se faire démonter par une grosse bite comme la tienne. Vas-y Marc, défonce-moi bien. J’adore ça.— Petite chienne, t’aimes ça te faire défoncer dans la forêt comme une petite pute. Je vais te faire crier petite salope.
Ses insultes m’enivraient. J’aimais sa façon de me posséder, son côté sûr de lui. Tout en me faisant baiser, je me malaxais les couilles, me branlant un peu ou alors me pinçant les tétons. Je le sentais devenir plus sauvage, me remplissant un peu plus à chaque coup de reins quand il me décocha une énorme claque sur le cul, m’arrachant un cri.
— ARRRRGH, OUIIIII, claque-moi le cul, j’adore ça ! Je suis une salope, je suis TA salope ! Baise-moi fort Marc, encoooooore !— Je vais te défoncer le cul et te cracher mon jus dans la bouche, comme une chienne. — OUIIIII, je veux aussi, vas-y.
A partir de cet instant, le beau Marc du début, si calme si doux s’était transformé en bête de sexe, une vraie machine. Il rugissait et gémissait à chaque coup de reins, m’arrachant des cris de bonheur et de plaisir non feint. Chaque claque me brûlait la peau, mais augmentait mon plaisir de manière incontrôlée. Son gland énorme qui venait buter de plus en plus vite et de plus en plus fort au fond de mon cul m’emmenait vers une jouissance absolue.
— Han ! Han..... vas-y, baise-moi, défonce-moi bien, plus fort, je vais jouir...— Vas-y, joui petite chienne, t’aimes ça te faire claquer le cul quand tu te fais baiser.— OUIIIIIIII, j’aime ça !— Quand t’auras joui, ça sera à mon tour, dans ta bouche petite salope.— OUIIIIIII.

N’en pouvant plus, je me laissais aller à jouir, pris de convulsion sous la décharge de sensations et d’adrénaline. De longs jets de sperme atterrirent dans le sable, m’arrachant presque une douleur aux testicules tant le plaisir fut intense et brutal. Je m’écroulai sur le sol, Marc toujours fiché en moi. Il resta en moi en m’embrassant dans le cou en me susurrant des mots doux. Il recommença à me pistonner, mais avec beaucoup de douceur, attentif à l’état dans lequel je me trouvais. Je sentais encore toute sa vigueur prête à exploser. Il se retira lentement, enleva sa capote et se présenta devant moi une fois que j’ai eu récupéré. Cette bite si belle, qui m’avait donné tant de plaisir ne demandait qu’à être soulagée. Après l’avoir mise en bouche, je m’appliquai à la sucer avec passion, m’occupant de ses bourses que je sentais pleines à craquer. Il ne fallut pas longtemps pour qu’il jouisse dans ma bouche, éructant un gémissement libératoire.
Une quantité énorme de sperme se déversa sur ma langue et j’eus la plus grande peine du monde à tout avaler.

Après une telle débauche d’énergie, nous nous sommes allongés blottis dans les bras l’un de l’autre en nous embrassant et nous caressant. Ensuite le temps était venu pour moi de regagner ma serviette et Marc d’aller s’installer sur la plage. C’est tout naturellement que je l’ai invité à venir s’installer près de moi. Nous avons passé le reste de la journée ensemble à nous baigner, discuter, nous enduire d’huile. Depuis cette journée, nous nous revoyons régulièrement et j’ai découvert un Marc plein de surprise. Mais ça, ce sera peut-être pour une prochaine fois.
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