Le week-end dernier, seul chez moi, je m’ennuie à mourir. L’envie d’une rencontre plan Q ou durable me parcourant les méninges, je me décide à aller chercher une opportunité sur un site dont je ne donnerai pas le nom. Plusieurs tentatives infructueuses (mytho, indécis, fake etc.) plus tard une réponse me parvient, elle se nomme Chrystelle, à une distance de presque 100 kilomètres, j’ai un doute, mais elle échange son 07. Nous échangeons quelques photos, partageons nos envies communes et fantasmes, bref nous décidons de nous rencontrer. Je me mets en route après une bonne douche, quelques coups de rasoirs là où il est nécessaire à mon goût. Après tout je risque quoi ? Si c’est un lapin, j’irai dans une boîte à Pau qui se trouve sur ma route. J’arrive à destination, j’appelle pour plus d’information et je comprends bien que je suis bel et bien attendu. Chrystelle m’ouvre et apparaît travestie avec goût, pomponnée, chaussée de talons très hauts, tenue sexy bien sûr. Tout ce qu’il faut pour être agréable à regarder. Une touche de patchouli pour nous enivrer. Un intérieur assez en désordre, mais bon où est le problème. J’avais promis de venir avec une bouteille pour agrémenter la soirée et pour déguster une boisson ensemble histoire d’engager la conversation. Direction le divan après avoir embrassé à pleine bouche, caressé ses cheveux, son corps pris dans une tenue digne d’un filet de pêche. Elle pose deux verres sur la table, me caresse et me demande de faire le service. Rien ne pressant, nous papotons un moment puis je me décide à devenir entreprenant, elle répond à mes caresses qui se transforment en attouchements bien ciblés. Ses tétons sont réceptifs, elle est toute lisse soigneusement épilée, et adore le contact de ma langue dans son cou, sur ses pointes qui sont tendues. Elle ne reste pas inactive et s’empresse de me renvoyer des signaux en se glissant sur moi et en bougeant son bassin sur ma tige qui commence à être à l’étroit. Elle se redresse pour défaire ma chemise, puis la ceinture de mon jean et le fait tomber au sol. Mon boxer est trempé, elle me fait remarquer que je suis très chaud. Pose sa bouche à même le coton humide, je sens alors son souffle humide et chaud sur ma queue tendue qui s’échappe du boxer dès qu’elle le baisse. — Touche ma rosette et mon clito Chéri, vas-y prenons du plaisir. Je m’empresse de répondre à sa demande et passe mon index entre ses fesses pour y découvrir un plug, puis ma main sur son clito qui est de petite taille et encore mou. — Oui chéri c’est agréable, STP enfonce-moi un doigt, j’ai très envie je n’ai pas baisé depuis longtemps, prépare-moi. Sa demande est exaucée, je retire délicatement son plug rouge et mon index mouillé prend possession de son conduit tandis qu’elle se trémousse et me branle. — Fais doucement Chrystelle, je ne vais pas assurer longtemps à ce rythme. Elle retire mon index, se met à genoux et entame une fellation superbe tandis que je luis tiens la tête entre mes mains. Gorge profonde et le reste y passe puis sa langue vient se poser entre mes fesses pour me faire gémir de plus belle. Cette caresse est divine, j’adore cela, nous en avions discuté. Elle cesse, se redresse, prend ma main et me demande de la suivre. Nous arrivons à sa chambre qui est en ordre. Elle m’invite à finir de la dévêtir, j’aperçois ses fesses dures, son clito qui commence à se tendre un peu. Son string tombe aussi, mais elle désire garder sa guêpière en dentelle.
Nous entamons un 69 parfait, je suce, elle lèche tout, se met en forme, son clito perle tandis que ma queue ruisselle, nous échangeons nos salives, ces goûts de sexe salé. Puis nos langues cherchent autre chose, les bourses sont avalées, elle m’inonde de salive tandis que je lui prépare sa rosette. Mon index glisse en elle et elle se met à se trémousser, cesse de me lécher la mienne. Nous sommes en harmonie. Elle chienne en chasse et moi mâle versatile qui prend autant de plaisir au niveau de ma queue qu’entre mes fesses. Son clito devenu un sexe masculin est tendu et sa taille est parfaite pour que je le prenne encore plus en bouche. Elle gémit, se tortille et soudain stoppe toute activité. Elle se pose sur moi, me fixe et me fait un beau sourire avant de me dire : — Je vais te baiser mon chéri, laisse-moi faire STP tu vas prendre ton pied, vraiment. Je m’attends à tout sauf au fait qu’elle se redresse, prenne ma queue tendue la pointe entre ses fesses et s’empale dessus sans plus de commentaire ni d’effort. Elle roule des fesses, me caresse le torse, serre mon bassin avec ses cuisses. C’est une femelle en furie maintenant. Ses gémissements ne font que me porter vers l’orgasme que je ne désire pas atteindre ainsi. Je veux la baiser moi à ma façon.Je dois attendre qu’elle se calme pour pouvoir mener la danse. Profitant qu’elle se penche sur moi pour me fourrer sa langue dans la bouche, je la soulève et me retire de son étroite rosette. Je la bascule sur le côté pour la mettre sur le dos, relève ses jambes pour découvrir sa chatte anale et son clitoris tendu et coulant. — Attends, je mets un coussin sous mes reins pour être plus offerte à ta queue. Vas-y plonge en moi. Bien au fond bouge bien. Je m’applique en glissant en elle et regarde son visage, je lui bave sur le corps, saisis ses tétons et elle plaque ses mains sur mon bassin pour m’attirer encore plus en elle. — Baise-moi, je suis ta salope ce soir, nous avons toute la nuit pour nous découvrir. — Oui tu es ma salope, une belle chienne qui aime son mâle et ma queue te prend bien pour mon plaisir et pour le tien. Lâche-toi montre comme tu es bonne. Le manège dure quelques minutes, je suis sur le point d’exploser, elle sent ma tige se durcir et gonfler. Elle cesse de bouger et me demande de ne pas exploser en elle. Pas encore, elle désire encore profiter de moi.Elle me repousse et serre ses cuisses. Puis je m’allonge sur elle pour prendre un moment de repos. Son souffle revient à la normale tandis que j’ai moi les yeux fermés, elle se lève pour sortir de la chambre. Je somnole un moment quand elle revient en nuisette. Elle s’allonge à côté de moi, pose sa tête sur mon ventre et caresse délicatement mes bourses. D’instinct, j’ouvre mes cuisses. J’aime aussi sentir des caresses autour de mes bourses et aussi sur ma rosette. — Me laisserais-tu te masser la prostate ?— Oui ma chérie j’adore cela aussi, je prends du plaisir c’est intense. Tu risques de me faire jaillir tu t’en doutes. Elle ne répond rien et prend mon gland entre ses lèvres, cette sensation de chaleur et d’humidité est très forte, ma queue reprend forme alors que ses doigts glissent entre mes cuisses puis vers mon petit trou. Je m’attends alors à sentir un doigt venir ouvrir mon œillet, mais sa bouche lâche ma verge et son visage glisse vers mon entrecuisse. Sa langue parcourt mes fesses, puis se faufile dans ma raie pour venir mouiller mon point sensible puis le fouiller et finalement le pénétrer doucement. — Et bien mon chéri tu n’es plus puceau dis-moi. On ouvre facilement ton joli petit cul. J’aime beaucoup tu vas voir. Effectivement mes expériences passées avec des transsexuelles m’ont amené à me faire prendre et à devenir versatile. Ce plaisir de la sodomie n’est pas réservé qu’aux femelles. Nous hommes avons aussi le droit à nous faire prendre et obtenir du plaisir au contact d’une queue ou objet comme des sex-toys. Elle s’occupe de moi tandis que je caresse son clitoris qui bien que petit et fin est agréable à prendre en bouche. Il coule un peu et j’aime ce goût salé. Ma langue s’enroule sur sa tige tandis que la sienne pénètre mon intimité avec délicatesse. Sa langue laisse ensuite la place à un puis deux doigts qui rentrent en moi à la recherche du moindre sursaut qui ne tarde pas à arriver avec des gémissements annonçant une giclée. Sa main s’empare de mon sexe, le serre à la base pour ensuite laisser ma rosette tranquille afin que je puisse reprendre une érection. Elle se dégage pour se mettre au bord du matelas. La croupe relevée, ses mains écartant ses globes pour m’offrir son œillet chaud et entrouvert. — Prends-moi viens je sais que tu vas jouir bientôt, je veux sentir tes vibrations en moi au fond de moi sentir ton jus. Baise ta chienne, viens n’attends pas cogne tes bourses sur mon corps. Encule-moi j’en ai envie.— Oui je vais te prendre te féconder comme une chienne que tu es. Tu vas sentir mon sexe en toi. D’un coup de reins après avoir présenté mon gland sur son orifice, je m’enfonce au plus profond pour la pilonner tantôt fort tantôt doucement. C’est elle qui demande, j’exécute.Une de ses mains passe sous son ventre pour se saisir de mes bourses, je ne bouge plus trop et viens aussi lui tripoter son clito qui a durci et qui se tient raide.Les coups de reins reprennent, je ressens des sensations annonciatrices de mon plaisir, elle gémit et je sens à mon tour son clito trembler et exploser dans ma main. Je ne peux me retenir plonge en elle et gicle en plusieurs coulées. — OUIIII c’est bon ton jus dans mon ventre tu me fécondes. Ton jus chaud coule en moi. Reste encore en moi je veux te sentir diminuer. Elle tremble moi je suis en apnée alors qu’elle prend ma main remplie de son foutre pour le porter à sa bouche.Ma queue se fait moins rigide, moins dure et sort de son écrin. Elle s’empare alors d’elle pour la lécher... Puis elle pose sa bouche sur la mienne, et laisse glisser salive et nos foutres mêlés. Ce goût que je connais ne me dérange pas. Je trouve normal comme lorsque je jouis dans un vagin, j’aime lécher ensuite., je viens faire glisser mon index entre ses fesses pour tâter son écrin, il est encore ouvert et coulant. Elle me laisse faire puis se lève pour aller aux toilettes.Elle me couvre, m’embrasse le front. — Je reviens laisse-toi aller chéri. Tu ne repars pas, j’imagine.— Non si tu le désires, je dormirai à tes côtés cette nuit. — Oui mon amant reste avec moi. Elle disparaît pour revenir se blottir contre moi. Elle finit de m’essuyer avec des lingettes sans oublier de titiller encore mon œillet. Et de gémir. — J’aime baiser avec toi et nous ne nous connaissions pas. TU as une bonne queue pas trop grosse ni trop longue. Je les aime comme la tienne vigoureuse, douce, avec du bon jus d’amour.— Et moi j’ai adoré sentir tes doigts me fouiller, ta chatte avaler ma queue et prendre toute la longueur pour bien profiter. Tu es une sacrée baiseuse. Je dois reconnaître que c’est parfois encore plus agréable de baiser avec vous les travs qu’avec une femme. Effectivement j’ai constaté cela et étant devenu versatile j’aime beaucoup. C’est toujours avec plaisir que je réponds positivement à une invitation comme celle de ce soir.Nous avons dormi puis le matin j’ai eu droit à une douche très intime, mêlant caresses, et pipe bien baveuse. Ma queue a encore sursauté et coulé dans sa bouche, elle a avalé et souri. La douche prise, elle est maintenant suivie d’un petit-déjeuner. Je m’habille devant elle, qui me harcèle de questions. — As-tu aimé ?— J’espère que tu pourras revenir, dis-moi ?— J’aimerais aller plus loin avec toi sans t’emprisonner bien sûr. Après un moment, je lui promets de venir la revoir, je garde son contact pour lui dire mes disponibilités. Nous nous sommes quittés en nous promettant de nous revoir rapidement.Oui je suis un hétéro qui prend son pied avec travesties, transsexuelles ou femme hétéro. Il n’y a aucun mal à se satisfaire prendre et donner du plaisir. Il faut juste prendre ses précautions. Et assumer le fait qu’être bi n’est pas quelque chose de dégradant.
