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Le plaisir à la chinoise

Chapitre 1

Avec plusieurs femmes
Il avait fait très chaud à Shanghaï ce jour-là. Une de ces chaleurs moites qui vous anéantit, assez fréquentes dans cette Asie très orientale. Il faisait déjà nuit et la touffeur du jour avait fait place à une humidité plus supportable. L’heure de sortir pour prendre l’air. Je flânais sans but dans cette ville immense que je connaissais encore mal. Une rue étroite et encore un peu à l’ancienne dans ce centre-ville si moderne m’attire par sa pénombre qui tranche tant sur la rue de Nankin, par exemple, noyée de lux et de luxe. Des cireurs de chaussures regardent avec désespoir et dédain mes sandales, je n’ai rien d’un client. Je fais vite comprendre aussi aux employés qui racolent pour les restaurants que je ne suis pas client non plus. Cette chaleur m’a coupé l’appétit. Je passe aussi des salons de massage et de coiffure qui postent dans la rue une ou deux filles qui draguent les clients masculins, proposant toutes sortes de services depuis la coupe de cheveux jusqu’à... jusqu’où? Difficile à comprendre, mais facile à imaginer, vu les tenues extrêmement légères de ces demoiselles.
Une très jolie fille, fine longue disparaît dans sa boutique de "massage" à mon approche et ressort immédiatement, accompagnée d’une "collègue" tout aussi fine, mais pourvu d’un buste bien moins oriental et qui manie mieux semble-t-il l’anglais. Elles me regardent comme une friandise, ce qui m’arrive assez rarement et dans un anglais précipité et bâtard me font des propositions que je comprends mal. Mais elle sont très belles, je m’arrête et plutôt par jeu je les écoute, essaie de les comprendre. Elles expliquent que c’est une promotion, une affaire... Je serais une affaire!! Amusant. Gratuit si j’accepte de passer deux heures avec elles, au pluriel, et si je me plie à leurs désirs, sans violence, sans douleur pour moi. Cela me faire rire. Je ne pratique pas les prostituées, et ne sais rien de leurs habitudes, mais tout de même, la gratuité ne doit pas faire partie du cahier des charges. Mais, que ces filles sont belles!!! Elles m’expliquent que quelqu’un d’autre paiera à ma place, mais qu’elles ne peuvent pas en dire plus.
Il leur faut une heure pour se préparer (mystère) elles me conseillent de retourner à mon hôtel et revenir une heure plus tard, sans argent, sans carte de paiement, comme cela, pas de doute. Je finis par dire oui. Elles sautent de joie comme si je leur avait fait un cadeau.C’est une heure très longue qui se présente à moi, pleines de questions, pleines de fantasmes, je suis très intrigué par ce qui se trame.Une longue heure, mais qui finit par passer. De retour au salon je suis accueilli par une autre fille, moins à mon goût, mais devant ma déception elle me fait comprendre que les deux autres m’attendent à l’intérieur. Elle me guide jusqu’à une pièce octogonale, me déshabille entièrement, elle agace mon pénis par de petite caresses adroites, il commence à réagir. Un seul meuble dans la pièce, un très grand lit rond, couvert de satin blanc. Elle sort, emportant mes vêtements. Les deux filles de tout à l’heure entrent vêtues, si l’on peut dire, elles aussi de peignoir en satin blanc, et aussitôt notre pièce monte d’un étage. J’ai juste le temps d’admirer la plastique de mes deux compagnes. Toutes les deux semblent dotées de jolies petits culs, des jambes fines, des yeux à vous dévorer un européen. Elles ont les deux tailles de seins que j’adore, ceux que l’on prend avec difficulté dans ses mains (pourtant les miennes sont grandes) et ceux qui sont à peine bombés et dont le téton est presque le seul relief.
Notre pièce arrive à l’étage supérieur. Autour de nous, pas un mur, mais huit grands miroirs. Nos images se multiplient à l’infini. Les peignoir des filles tombent, elles tournent sur elles-mêmes pour mieux me montrer à quel point j’ai de la chance! Très fines, très brunes (des chinoises bien sûr), un ventre plat, une jolie cambrure pour un petit cul rond mais sans un gramme de trop un ventre plat. L’une parfaitement épilée, l’autre porte une légère ombre sur son pubis triangulaire. Je vais me régaler... mais pourquoi toutes ces glaces!! Cela m’excite déjà de voir ces deux filles multipliées à l’infini, mais je suppose que ce n’est pas le but. Elles m’allongent sur le lit, sur le dos et commencent à me caresser le torse à quatre mains. L’une d’elles plonge sous le lit et en retire des cordages dont je comprends immédiatement l’emploi, puisque l’autre écarte doucement mes membres. J’ai un mouvement de refus, mais un sourire me convainc que je ne le regretterai pas, et surtout je sais que si je pars maintenant, je le regretterai toute ma vie.
Elles passent donc les liens à mes poignets et mes chevilles et je suis écartelé, sans douleur mais fermement sur le lit. Le lit bascule un peu et la glace face à moi disparaît, ou plutôt c’est une pièce derrière le miroir qui s’éclaire et me montre qu’un vieux chinois est là, assis, habillé avec une jeune prostituée nue. La pièce disparaît dans la pénombre, le miroir réapparaît, mon lit tourne un peu sur la droite, le second miroir disparaît, un autre couple apparaît. Huit miroirs, huit pièces, huit clients prospères à en juger par leurs vêtements, je comprends qui paie, je comprends quel est mon rôle, celui d’un blanc venu pour exciter ces voyeurs. Parmi ces clients une dame d’un certain âge comme on dit pour être polie qui tient déjà dans sa main le pénis gonflé d’un très jeune homme, un chinois assez jeune, entouré de trois jeunes hommes nus, dont un, déjà à genoux le suce profondément, un homme nu, attaché dans un fauteuil et deux filles en lingerie cuir qui tiennent des martinets.
Tout ce petit monde m’attendait!! Quand tous les miroirs sont réapparues mes deux compagnes montent sur le lit qui est redevenu horizontal, et commencent un ballet à deux bouches, quatre mains, deux chattes et deux anus. Après de savantes caresses qui ont ranimé ma queue, elles grimpent, chacune à leur tour sur moi, pour s’asseoir sur ma queue ou mon visage. Elles ont un art de l’esquive consommé et savent s’arrêter avant de me faire jouir. Elles m’enfilent dans tous leurs orifices, je bande comme jamais, j’imagine ce qui se passe dans les pièces autour de moi. Quand mes partenaires sentent venir ma fatigue un haut-parleur se déclenche et j’entends les soupirs ou les cris provenant d’une autre cabine. Je bande encore plus dur, même après une première éjaculation qu’elles n’ont pas su contrôler. D’ailleurs l’une d’elle me procure un verre d’eau qui vient je ne sais d’où et me fait avaler une pilule dont je devine la fonction. Je bande, je baise, ou plutôt je suis baisé, je hurle ma déception quand elles me laissent au bord de l’orgasme, je sens tous ces yeux braqués sur moi et sur notre trio, je suis littéralement en rut et les filles semblent en profiter, elles y prennent leur plaisir.
Puis, alors que j’étais encore au bord de l’orgasme, elles se calment, laissent retomber mon excitation, j’ai mal tellement je veux jouir. Le son provient des autres cabines, soupirs, cris de plaisir, mais aussi une excitation qui ressemble à des encouragements, je ne comprends pas ce qui se passe. Les deux filles resserrent les liens de mes bras et libèrent ceux de mes jambes. L’une d’elles enfile un god large et long et me le présente pour que je le lèche. Je suis terrifié par la taille de son instrument mais j’ai tellement envie de jouir encore, tellement envie de ces deux corps insatiables. Je lèche, je suce. Les cris d’encouragement redoublent. La fille aux gros seins s’asseoit sur ma bouche, elle dégouline sur mes lèvres, je lèche tout ce qu’elle me donne. Elle a pris un de mes pieds dans chaque main et l’autre fille m’encule d’abord lentement, puis de plus en plus vite pendant que le lit tourne doucement pour que tout le monde en profite, puis elle ralentit. Je comprends que chacun des clients payants doit jouir avant la fin, et j’entends leur jouissance par le haut-parleur resté ouvert.
Et je compte, car je sais que je ne pourrai jouir qu’après le huitième. Au septième orgasme, la fille qui m’encule accélère, pendant que l’autre frotte sa chatte de plus en plus frénétiquement sur ma bouche et ma langue. J’entends le huitième client jouir et maintenant elle me baise sans retenue pendant que sa copine toujours sur ma bouche se penche pour me faire une merveilleuse pipe, quatre mains caressent mes couilles, soudain une poussée plus forte du god va chercher mon foutre au plus profond de moi et je gicle longuement dans cette bouche gourmande qui ne perd pas une goutte de ma liqueur. Les deux filles jouissent, elles aussi. Je suis épuisé. Elle me font comprendre que nous allons finir la nuit ensemble. L’une d’elles me présentent encore deux petites pilules, les yeux brillants de lubricité. Je les avale. Comme elles, j’en veux encore.
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