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Le plaisir est dans l'ivresse

Chapitre 7

Quand la bête découvre l'Ivresse

Hétéro
En quittant la chambre, abandonnant ma douce salope en devenir, je ne m’empresse pas, profitant de cette fulgurante domination si agréable. Je prends mon temps, faisant croître davantage mon envie de défoulement et j’en suis sûr désormais, l’excitation animale de Marie. J’arrive dans le séjour, me débarrasse de mes affaires et je scrute autour de moi, je regarde encore cet espace dans lequel tant de questions m’ont torturé. Je le vois donc de nouveau, mais ce n’est plus moi qui regarde désormais, l’homme timide et coincé s’en est allé, laissant place au mâle alpha qui attendait son heure.
Je me remémore les fois où celui-ci a eu le premier rôle et je me rends compte que les rares occasions où j’ai pu totalement lâcher prise et ranger dans mon esprit la figure de genre idéal, ce n’était jamais lors d’une « première fois », mais toujours après plusieurs rencontres avec mes camarades de jeux. J’amorce mon retour sans m’annoncer, fais un rapide détour par la salle de bain afin de me rafraîchir un peu et je pousse la porte de la chambre.
Marie n’a pas bougé d’un cil, elle demeure là, immobile, à portée de main, telle la chair fraîche suppliant son prédateur. Je parcours de mes yeux son corps des pieds jusqu’à ses cheveux qui plongent au bord du lit. Intérieurement, je bouillonne, je me pince mainte fois l’épiderme psychologiquement encore et encore tant cette vision paradisiaque est pour moi singulière et fantasmagorique. En façade, rien ne transparait, mon regard déterminé et lubrique plonge dans celui de Marie où je décèle envie, impatience et une pointe de méfiance. Il s’est passé peut-être quatre ou cinq minutes depuis que j’ai embrassé Marie pour la première fois, assez pour succomber d’envie de recommencer. Je m’avance lentement, déboutonne les premiers boutons de ma chemisette bleu prusse afin facilement l’amplitude de mes épaules. Je mets genoux à terre pour niveler la hauteur de mon visage à celui de cette sublime proie. Je me penche avec gourmandise, embrasse le cou de Marie :
— Si tu savais depuis quand j’attendais cela et combien de fois j’ai imaginé cet instant Marie.
Je relève la tête et lui demande si elle me fait confiance. Son hochement de tête affirmatif déclenche mon sourire. Sûr de ma force, je vais à la rencontre des lèvres de Marie, un long premier contact d’une douceur infinie, mes mains tantôt sur ses joues tantôt autour de sa nuque. Sa bouche fine et rosée s’accordant magistralement avec mes lèvres légèrement pulpeuses. Puis je libère ma langue, elle s’unit à la sienne, ce baiser quitte tout juste le romantisme et déjà s’apprête-t-il à laisser l’érotisme derrière lui, nos baisers sont devenus désormais une guerre impitoyable mêlant fougue et trop plein d’excitation, nos envies respectives dégorgent et se libèrent dans cet échange, nous nous baisons la bouche ardemment. Mes doigts ont quitté le visage de Marie et commence maintenant sa découverte, j’attrape vigoureusement ses petits seins parfaitement structurés, cette initiative arrache un soupir à Marie que je sens se tordre doucement sous la légère agression.
Je suis donc à présent sensiblement penché en avant, mains sur sa poitrine et mes doigts qui pincent doucement les divins tétons de Marie, ils tournent, tirent, puis quand je devine ses deux pointes trop sensibles, je me hâte de les bouffer furieusement, la tiédeur et moiteur de ma langue les apaisent. Puis je souffle timidement dessus pour voir apparaître un changement de texture de l’épiderme de ma femelle, signe d’un frisson qui parcourt son corps. Pendant ce temps, Marie a pris l’initiative de me caresser à travers mes vêtements, la tête à hauteur de mon entrejambe, elle n’a pas pu rater le gonflement de mon jean. Je lui suggère sèchement de me libérer. Marie retire les boutons de ma chemise un à un, fait glisser le tissu le long de mon dos puis s’attaque à la boucle de ma ceinture.
Arrivant à ses fins, elle déboutonne maintenant les quatre petits ronds de mon levi’s et entrebâille les deux volets de l’échancrure pour faire apparaître cette bosse qui ne cesse de se gorger de sang et de palpitations. J’entends sa respiration qui s’accélère au fur et à mesure que sa petite main droite approche de mon boxer noir.
Son petit ventre ondule au rythme de ses expirations, j’embrasse sa peau à cet endroit, découvre son nombril et mes mains frictionnent à présent l’intérieur de ses cuisses, partent du haut de ses genoux et remontent jusqu’à la naissance du fin tissu, dernière barrière jusqu’à l’inaccessible.Je confesse à Marie que « je n’aime pas les femmes hésitantes... » Comprenant rapidement, elle retire immédiatement mon boxer et découvre ma virilité. Elle n’est pas impressionnée, bien sûr, car je n’avais pas été prétentieux à ce sujet, néanmoins elle est plutôt agréablement surprise :
— Qu’est-ce qu’elle est belle, je la trouve magnifique, et ce paquet oh putain, j’adore.
Elle malaxe mes bigarreaux prêts à exploser avec une de ses mains pendant que de l’autre, elle contourne et enrobe la colonne de chair frétillante de ses phalanges. Ses caresses m’irradient, je me congratule intérieurement d’avoir évacué la pression ce matin, sans quoi j’aurais déjà sans doute recouvert Marie du cou jusqu’aux cheveux. Je n’attends pas qu’elle se décide, si bien que je plaque mes couilles contre sa bouche et lui lance un « régale-toi chérie » et je plonge simultanément ma tête entre ses jambes. Je la dévore à travers la dentelle, la bête affamée se met à table, je lape. Marie s’humidifie de plus en plus, se mélangeant à ma salive, le tissu s’assombrit intégralement de spongiosité.

Déjà plusieurs minutes qu’elle prend soin de mon sac à foutre, dont la lave ne cesse de bouillir, je me recule d’une dizaine de centimètres et Marie a maintenant libre accès à son deuxième plat. Mon gland tapote sur ses lèvres délicieuses. Marie m’avait avoué ne pas être capable physiquement d’engloutir totalement un sexe masculin, mais je suis certain que mes mensurations seront pour une fois au moins un avantage. Avec cette idée dans ma tête, étant un véritable addict de ce qu’on appelle « face fucking », j’appuie sur ses lèvres encore, encore, encore... Le rideau buccal cède et mon gland visite l’intérieur de cette bouche que je n’ai eu de cesse d’imaginer pénétrer. Je laisse le temps à Marie de me découvrir de cette façon et la laisse faire.
Je glisse mes doigts dans son tanga, l’humidité de celui-ci rend la tâche plus fastidieuse qu’espérée, alors je l’arrache d’un côté et sans attendre, le lèche son corps du nombril jusqu’au mont de Vénus d’un coup de langue lent et gourmand. Mon menton aux portes de l’Eden, ma lèvre inférieure effleure les siennes intimes. J’avance d’un coup sec ma tête pour coller ma bouche à cette merveilleuse addition de chairs boursouflées. De par cet élan, ma queue pénètre intégralement dans la gorge de Marie, elle esquisse une rotation pour s’extirper, mais je reste bien planté dans son cou, mes couilles s’écrasant sur son menton. Elle semble s’être habituée à la présence en profondeur de cette colonne chaude et rigide. La belle n’est plus, j’ai ouvert le mousqueton raccordant la laisse au collier de la bête dorénavant lâchée.
Je baise Marie de ma langue, je m’introduis entre chaque bourrelet, dans chaque recoin, chaque cavité, je fouille et récure toutes les jointures de son intimité. Marie se crispe sous les assauts de mon tentacule démoniaque, son corps tremble et vacille sous l’explosion de plaisir qui la parcourt. Je sens sa gorge vibrer, et me parvient aux oreilles le son de ses gémissements étouffés.
Je me redresse, et laisse Marie reprendre son souffle quelques secondes. Je me place sur le côté du lit et je m’assois. Je caresse l’entrecuisse de Marie de façon très douce, comme si ma main câlinait cette minette après une chamaillerie de félins. Le souffle de Marie s’est calmé et est redevenu cyclique. J’introduis alors l’index de ma main droite dans son fourreau encore luisant de son récent orgasme et la palpe judicieusement de l’intérieur. Mon pouce se fixe machinalement sur son bouton, et je tourne, parfois de façon plus appuyée, mais relativement en retenue. La respiration de ma jolie blonde s’accélère et commence à se saccader de nouveau, signal que j’attendais pour que mon initiative soit plus franche. Mon majeur rejoint mon index et mes caresses deviennent rapidement pistons, mon pouce appuie bien plus sévèrement sur son clitoris, Marie ondule vite, très vite, son corps est déchaîné comme possédé par le démon Incube.
Elle s’ouvre de plus en plus, je ne résiste pas et mes deux orphelins s’immiscent dans cette chatte brûlante et dégoulinante de cyprine.
Les va-et-vient de ma main sont devenus frénétiques et bestiaux, mon pouce toujours sur son joyau qui frotte inexorablement la protubérance divine au rythme du labourage de mes doigts. Marie convulse, ses gémissements sont maintenant des cris aigus, puis bientôt bien plus rauques lorsque dans un mouvement de hanche, je retourne Marie sur le ventre, ma main toujours plantée en elle. Je pistonne encore son corps généreusement, l’animal en furie s’entête.
De ma main gauche, j’écarte son cul et plonge dans son sillon, faisant onduler mécaniquement le corps de Marie davantage. Ma langue décompte chaque pli de son œillet, et finit par rentrer dans son cul. Je roule des pelles dantesques dans son fion à cette chienne pendant que ma main la baise toujours, les crampes me viennent, je dois achever la proie maintenant ! Je retire ma bouche et mon pouce prend place d’un coup sec. Il sodomise Marie au rythme de mes autres doigts.
Je commence à crier aussi. Marie est foudroyée et hurle ! Son corps, comme une troisième âme, ne semble plus conscient, il s’agite, ses mouvements brutaux trahissent un orgasme dévastateur. L’ivresse du plaisir est trop forte ! Je stoppe mes mouvements et attends que Marie se calme pour me retirer. Je me relève et regarde Marie, je l’embrasse à pleine bouche et la regarde de nouveau. Nous alternons entre sourire et respiration hésitante, peinant à trouver l’air suffisant pour évacuer la radiation qui s’est emparée de nous.
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