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Le plaisir est dans l'ivresse

Chapitre 8

La frustration se libère

Hétéro
Nous peinons franchement à retrouver nos esprits. Cela ne s’était jamais produit me concernant, jamais je n’avais pris autour de plaisir sans aucune pénétration ni éjaculation.
Après quelques instants marqués par un silence inondant la chambre, je quitte la pièce et rapporte de la cuisine de quoi se ravitailler. Nous partageons le reste des viennoiseries et une bouteille d’eau fraiche. Je ne résiste pas à asperger Marie subtilement de quelques gouttes glacées, l’effet est immédiat et Marie se protège en se recroquevillant et se couvre d’un drap. J’arrose encore plus franchement, la chamaillerie se transforme en fous-rire entre deux gamins. Elle est encore plus désirable sous cet angle, ne l’ayant pas encore possédée de la façon dont la bête en moi le désire, j’en veux davantage.
Je m’approche et contourne le lit pour me retrouver du côté où Marie s’est grossièrement planquée. Dans ma précipitation, je fais trébucher un miroir de la taille d’une carte postale de son chevet, je le ramasse, ouf il est indemne, j’ai raté de peu un malheur assuré des années durant. J’arrache ce drap, la force à s’étendre de tout son long en encerclant ses poignets de ma main gauche et en bloquant ses cuisses avec mes genoux. Seule sa tête garde une mobilité raisonnable. Je suis au dessus d’elle et, savourant ma victoire, je vide le reste de la bouteille d’eau givrée sur son corps à découvert, la couvrant du cou jusqu’aux chevilles de ce liquide rafraichissant. Elle me regarde, elle est tétanisée par le froid soudain, elle sourit et je plonge mon majeure dans son sanctuaire.

Marie cris de surprise, j’accélère immédiatement la coulisse et me penche pour gober de toute ma rage son bouton. Je m’allonge sur elle et d’un geste brusque je pivote pour que Marie se retrouve sur moi. Laissant ma domination de côté, je laisse mon amante me donner du plaisir comme elle l’entend. A l’autre bout du lit, ma langue est toujours soudée à sa boursouflure divine, j’ai retiré mon majeure de sa chatte et des mes deux mains j’écarte son joli petit cul en faisant de petit geste circulaire. Mes yeux obnubilés  par ce sillon désirable qui ne cesse de m’inviter au rythme de mon massage.

Tous les orifices de la jolie blonde s’entrouvrent mécaniquement, la bête me murmure qu’il est temps de prends place dans le ventre de la femelle. Je me relève, et viens me mettre sur Marie, entre ses cuisses, encore posés sur mes genoux je la regarde, mes yeux trahissent mon émois, aucun doute qu’elle puisse lire dans mon regard toute cette excitation du male primaire qui s’acharne sur l’opercule de la capote et qui dans un geste animal, dégoupille le latex et emprisonne son pilon. Ma silhouette quelque peu ventripotente se plaque maintenant sur son corps de déesse, nous lèvres se frôlent à nouveau, ma virilité effleure dorénavant sa matrice. Malgré la capuche qui le couvre, mon gland découvre l’incandescente chaleur de son antre et en devine sa moiteur.Je glisse mes mains dans le creux des reins de Marie, juste à la naissance de ce merveilleux popotin dont je sais que son tour viendra. Je relève légèrement ma proie et glisse l’oreiller à portée de main sous ses fesses. L’effet est immédiat, nos sexes ont maintenant la coaxialité idéale. Je regarde Marie en profondeur, mais je ne dis rien, Je souhaite voir son regard muter lorsque je m’insérais dans sa jolie chatte.
« Vas-y » me dit-elle, « tu peux y al…. »

Et je pénètre enfin dans son corps d’une traite jusqu’à la garde sans la laisser finir. Sa surprise n’a d’égale que le soupir soudain et le léger couinement qu’elle laisse échappé. La mécanique est lente mais précise, je coulisse quelques minutes très tendrement afin de profiter entièrement de la chance qui est mienne. A chaque cycle de ma pénétration, les gémissements de Marie se font de moins en moins subtils. Son plaisir est grandissant et le mien se décuple au fur et a mesure.
Je m’allonge maintenant totalement sur son corps, mon souffle dans son cou, mes mains ancrées dans le creux de ses genoux. J’en veux plus :
« - Cela te plais Marie ?-    Oui, j’adore, j’ai l’impression que tu lis en moi
-    Je t’avais promis qu’on allait baiser tous les deux, pas faire de la voyance. »
 Je me relève, accroupis et toujours planté entre ses cuisses, je la saisie par les poignets que je maintiens fermement, et nous fait basculer en arrière, je me retrouve sur le dos. Je libère ses poignets pour m’agripper juste sous son petit cul de femelle à saillir, en assenant deux belles fessées par la même occasion.
L’étreinte devient baise, le tir délite devient assaut, mon corps entier veut la pénétrer, comme si à chacune de mes intrusions, mon intégralité la fécondait.  Les gémissements de Marie tendent à devenir des cris maintenant et leur fréquence est calquée sur mes coups de butoir.Je suis déchaîné, nos corps transpirants qui s’entrechoquent remplissent la chambre d’un son sourd et délicieux. Marie se crispe sur moi, son chevauchement s’interrompt presque, sa jouissance au creux du ventre menace de sortir d’une seconde à l’autre. Lorsque son bouche mime le premier entrebâillement, je la pistonne bien profondément, elle explose dans un hurlement rauque et violent. Son plaisir se répand sur mon bassin  et coule sur l’intérieur de mes cuisses, ses draps maintenant gorgés des preuves de son plaisir.
Je ne saurai dire combien de fois la trotteuse a tournée autour de son centre, le temps n’est plus une variable. Tout ce qui compte dorénavant, c’est de lâcher prise, d’évacuer toute la frustration accumulée que Marie à générée dans mon corps et ma tête. Elle n’a pas encore repris son souffle que je la façonne telle une pompée pour que la belle s’offre à moi de façon plus animale. Je prends un peu de recule :
« Qu’est ce que t’ai bonne comme ça chérie, putain je vais me régaler »

Oui elle est là, la joue droite conjointe à l’oreiller, les coudes pliés autour de son visage, en appui sur ses avant-bras. La courbe  dorsale pointant vers le plafond comme un vecteur orientant la direction à suivre. Sa cambrure est parfaite, les dessus de ses cuisses soudés à son ventre font dessiner ce cul merveilleux.

Je grimpe sur le lit, j’enjambe cette divine salope sans défense. J’assène une soudaine et puissante claque sur ses fesses, Marie crie de surprise ou de douleur, je ne sais pas et à vrai dire, la bête s’en moque. Je pénètre subitement la chatte toute lisse et encore perlée du récent orgasme de mes quatre doigts pendant que mon pouce s’engouffre dans l’interdit. Je ne bouge pas, restant ancré dans son corps, seul la jointure entre mon pouce et les autres comparses servant de butée.

De ma main libre je la caresse, remontant du creux des reins jusqu’à sa nuque, contournant son cou, redescendant jusqu’à ses petits nichons qui pointent par gravité vers le cotons souillé, je passe sur ceux-ci, caresses ses tétons plus que je ne les pince, palpe son ventre et atterrit sur son clito. Je malaxe par petits ronds appuyés la sensible protubérance et c’est à ce moment que ma main droite commence seulement à se retirer lentement faisant soupirer Marie divinement, délivrée du mâle un court instant.

Quand le préambule de l’ongle de mon pouce apparait, je réitère mon intrusion furieusement arrachant un nouveau cri à Marie. Puis je recommence, je bats en retraite langoureusement pour revenir intensément encore. Cet office machinal et quelque peu chronophage ne prend fin que lorsque que le corps de Marie commence à se tendre. Je choisis cet instant précis pour me retirer sèchement de ses chairs et venir me placer comme un éclair contre son œillet, mon gland à l’orée de son anus, et je pousse. D’une attaque soudaine et cinglante, j’envahis son cul jusqu’à la garde, la réaction est sismique et simultanée. La salope s’égosille d’un orgasme intense, le conquérant à vaincu, à présent à lui de savourer sa victoire. Je m’accroche à ses fesses en les remontant un peu, formant une petite pliure de peau et de chair entre ses reins et son cul, l’empoignade est ferme et viril. Ma besogne débute, chaque mouvement est un mélange tortueux, le délice de son antre, son exquise étroitesse défiant mon ressenti et l’envie de libérer cette pression par mon orgasme. Le contrôle est impératif si je veux encore profiter de cette incroyable sodomie.
J’essaye de me calmer, quand d’un coin de l’œil j’aperçois dans le miroir qui aurait pu être brisé il y a quelques instants encore, un flash couleur feu me sort de ma réflexion, la chevelure cuivrée de Stéphanie tranchant avec contraste dans l’entrebaillure de la porte grise de la pièce. La bête, comme surprise en tentative d’évasion par son dresseur laisse place de façon foudroyante au garçon timide que j’avais abandonné dans le salon :
«  - Et bah alors vous deux, je vois que le shooting photo se passe bien ! »
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