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Plaisir fétichiste SM en solo

Chapitre 1

SM / Fétichisme
Dans ce texte, je décris et raconte mes pratiques sexuelles en solitaires. Mises en scène et quête frénétique du plaisir en solo. Cette recherche m’entraîne sur des chemins tortueux, surprenants. C’est un plongeon vertigineux où j’invente, je crée des situations et scènes torrides. Images fétichistes et SM soft. Ici le plaisir me gouverne, me conduit, me plonge dans des abîmes indescriptibles, me pousse vers des sommets hallucinés.

Je me déshabille dans un état second. Une fièvre naissante au creux des reins m’enveloppe petit à petit. Je conserve juste mon string noir en vinyle avec zip. Parfois, il m’arrive aussi de porter une petite culotte de femme rose en dentelle et des bas en nylon avec porte-jarretelles, ou bien encore une petite culotte en satin couleur framboise. J’adore. Cela me fait un effet terrible. Cela est troublant, si excitant...

Je prépare les accessoires nécessaires à une nouvelle séance de plaisir en solo. Je soulève le couvercle du vieux coffre en bois renfermant ma collection de jouets, accessoires en tous genres : métal, sangles, lanières de cuir, chaînettes et pinces, masseurs prostatiques, cockrings et godes.

Tout d’abord, c’est l’introduction dans l’anus d’un magnifique rosebud lourd et de bonne taille. L’effet est immédiat. Le poids et la largeur du plug me procurent des sensations tellement délicieuses... Mon œillet s’ouvre sous la poussée et avale avec gourmandise l’obus métallique. Je place ensuite un lourd anneau en acier entre le pénis et les testicules, pesant dessus. Puis c’est une tige que j’introduis dans l’urètre, maintenue par une bague à la base du gland. Je fixe un mousqueton à la partie supérieure et extérieure du sodurètre. Là, j’attache une longue chaîne avec un anneau à son extrémité. C’est un peu comme une laisse pour chien. Une cordelette de bonne taille est fixée à l’anneau de la chaîne.

Passant par-dessus la barre fixe en métal du couloir, je fais coulisser la corde. Ainsi, mon pénis est tiré, entraîné vers le haut. Une fébrilité d’excitation m’envahit. Puis j’installe une longue laisse en cuir munie d’un autre mousqueton. La laisse est fixée à un crochet dans le mur derrière moi. La partie extérieure du lourd plug anal que je porte entre les reins est munie d’un anneau. Le mousqueton de la laisse en cuir vient s’y fixer. Je suis pris à la fois par l’anus et par le sexe grâce aux différentes tensions que j’exerce sur les liens et les courroies, que je contrôle selon mon envie. C’est splendide ; un plaisir rare et raffiné. C’est ensuite une roue à piques que je fais rouler et déplace sur la peau des cuisses, des testicules et du pénis. Une autre sensation délicieuse et raffinée. Le petit fouet en cuir entre en scène ; je me flagelle le pénis et les testicules ; c’est encore une fois délicieux.La scène est vertigineuse...

Au mur face à moi est un grand miroir en pied au bout du couloir. Je vois un homme concentré, absorbé par le plaisir qu’il se donne dans une mise en scène fétichiste et SM. Son string noir en vinyle est à ses chevilles, zip descendu. Une lueur un peu folle est dans son regard fiévreux, son souffle est saccadé.Il est en transe, je suis en transe. Au bout d’un certain temps, après avoir longuement dansé sur place pour accroître, attiser la montée du plaisir – comme une danse barbare d’un autre âge inscrite en moi –, pris de chaque côté, anus et sexe entièrement sollicités, vibrant de plaisir lumineux, je place des électrodes juste sous le gland avant de brancher le boîtier d’électrostimulation. L’excitation monte encore d’un cran, une fièvre plus puissante s’empare de moi. C’est une nouvelle étape, un nouveau palier que je franchis dans ma quête du plaisir, plaisir sexuel et cérébral, nourri par mes fantasmes, mes accessoires. Jeu du plaisir et plaisir du jeu. Je tourne le bouton de mise en marche du boîtier de commande, variant l’intensité selon ma volonté. La délicieuse et envoûtante morsure de l’électricité s’empare de mon membre en érection, prenant peu à peu possession de mon pénis, du gland ; la séance est brûlante de sexe et piquante d’excitation. À plusieurs reprises je vais déplacer les patchs électro autour du gland, très près de l’urètre, cherchant les sensations les plus fortes. Je glisse les électrodes sous l’anneau en place à la base du gland pour les maintenir, puis je suspends à la poitrine des pinces à seins munis d’anneaux ainsi que des poids reliés aux bourses par une sangle, un cockring en cuir étroitement serré. Il m’arrive aussi de porter un harnais autour des reins, des cuisses. À la fois dominateur et soumis, je m’offre ainsi, avec délectation, à la mâchoire électrique implacable.

Par vagues successives, les décharges m’emportent et me font gémir, pleurer même. Je suis à la fois le maître et l’esclave, le dominant, le dominé. La combinaison de l’électrostimulation et du superbe plug en acier enfoncé dans l’anus avec sa large base écartant les deux globes de mes fesses me plongent dans un état vraiment singulier. Je suis comme un drogué. Vertige immense, volupté peu commune.

Puis je retire l’obus d’entre mes reins, faisant jaillir une nouvelle salve de plaisir. Je fais glisser un plug anal électro. C’est phénoménal, c’est éblouissant !Mon anus est investi par une extraordinaire sensation. Manipulant et jouant avec les commandes du boîtier électro, de la base du pénis jusqu’en haut du gland, les magnifiques impulsions électriques rebondissent au fond de l’anus. Je suis totalement immergé dans le plaisir sexuel comme dans un effet stéréo.C’est si bon, tellement bon que j’en ai les larmes aux yeux. Inondation électrique entre pénis et anus. Mes testicules réagissent également à leur tour, se mettant à l’unisson de toute la zone urogénitale sollicitée.

La séance mi-délices, mi-tortures se poursuit, couché sur le dos, debout ou suspendu par les mains à une barre fixe accrochée dans le couloir de mon appartement.Je me mets aussi à quatre pattes car cette position augmente considérablement les sensations liées à la présence du plug anal. Je suis écartelé, empalé, sodomisé. D’extraordinaires vagues et ondes de plaisir se propagent de l’anus au pénis, au gland. Bientôt, mon fruit gonflé et bourgeonnant, mon gland déjà bien humide se met à couler, mouillant le drap ou le carrelage. Mes cuisses, mon ventre reçoivent de douces petites giclées jaillissant de ma fente.Les coups de dents de l’électro m’amènent au paradis. Par moments, l’urine coule en longs jets brûlants, arrosant le sol ou m’éclaboussant dans une joie sauvage proche de l’extase. Mon excitation est à son comble, au paroxysme.

Mes pratiques et séances ont parfois lieu la nuit, sur ma terrasse, en plein vent. Torture, plaisir et jeux SM, supplice, éblouissement, vertige de tous les sens. Alors je saisis le martinet de cuir et je me flagelle longuement les cuisses, les fesses, le dos. Quand vient l’orgasme, l’éjaculation, je suis entièrement grisé, ivresse sexuelle totale, souffle court. Mon pénis en érection est secoué de tremblements, il se cabre. Je vais gicler dans une explosion de bonheur charnel. Mes cris emplissent l’espace de râles, de hululements de jouissance. Les séances peuvent se prolonger tard dans la nuit pendant des heures.
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