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Plaisir infidèle avec ma Mégane

Chapitre 1

Chapitre 1er

Hétéro
Lors d’une douce soirée d’été, je croise à nouveau mon ex-compagne.
Il y a quelques années que nos chemins s’étaient séparés. Depuis, j’ai retrouvé le bonheur et je suis bien, heureux et grandi de mes expériences antérieures. Toi je ne sais pas. Malgré le temps, la distance, tu me hantes toujours.
Avec toi, je ne peux pas le nier, j’ai découvert le sexe, le vrai sexe, l’extase... C’est pour cette raison que tu me hantes presque chaque jour où j’imagine nos corps qui s’entremêlent. Je dois avouer que parfois, l’envie est trop grande et je n’arrive plus à penser avec mon cerveau. Je me retiens de te recontacter, par respect pour ma conjointe.
Bref, la soirée se déroule plutôt bien, on s’évite tout de même pour pas se retrouver dans des situations embarrassantes. On boit plein de cocktails qui commencent à gentiment me rendre à l’aise et joyeux. J’ai le sentiment d’être observé, je garde un œil sur toi et nos regards se croisent de plus en plus. Je crois que je suis tombé dans le panneau... Je sens que nos échanges visuels sont devenus un jeu entre toi et moi. Ce petit jeu complice commence à m’exciter et à me donner passablement d’idée. Mais je dois me tenir. Je parviens aisément à partir de cette soirée avec mes amis, sans avoir fait de bêtise.
Les semaines s’ensuivent et je pense toujours à toi. Tous les bons souvenirs me remontent : les fois où tu me faisais des fellations sur ton canapé, où je te prenais par derrière dans la douche et sur la table de ta cuisine, les levrettes devant ton miroir où je te prenais par les cheveux, tes gorges profondes, et surtout les fois où je pouvais te prendre par le cul dans toutes les positions possibles et imaginables...
Aujourd’hui, dimanche pluvieux, je pense encore à toi. Je craque, je prends mon téléphone pour t’envoyer un message. Cette fois, je sais que ce n’est pas pour blablater, je veux aller droit au but. Est-ce convenable ? Absolument pas, mais l’envie d’adrénaline est désormais trop forte. On discute pendant deux bonnes heures au moins, je vois pas passer le temps. La dernière heure a été particulièrement sympa car on a parlé de sexe et on s’est bien chauffé. Ca fait maintenant une heure que je suis excité et que j’ai une seule idée derrière la tête.
J’étais un peu sur la retenue jusqu’à présent, mais l’envie devenait trop grande. Je lui envoie : "Tu veux pas qu’on se voie ce soir ?". Je la sens hésitante, elle met du temps à répondre. Je stresse, j’entends mon cœur battre. Après quelques longues secondes, elle me donne son feu vert. On en convient d’une solution qui est bien loin de me déplaire. Le lieu ? Chez elle, plus précisément chez ses parents. C’est un lieu que je connais bien, surtout ta chambre dans laquelle j’ai passé des moments inoubliables en elle. Sa chambre est parfaitement accessible depuis l’extérieur et est un peu détachée du reste de la maison, une intrusion pourra être faite sans trace de moi auprès des autres personnes de la maison.
Dimanche soir, 22h, je saute dans ma voiture pour entamer un trajet d’une bonne heure. Dans la voiture, je n’arrête pas de m’imaginer ce que je vais lui faire, l’excitation monte alors même que je conduis. Une heure plus tard, j’arrive dans son petit village, je me parque bien plus loin de sa maison pour n’éveiller aucun doute. Je suis parti pour 15 minutes de marche en direction de sa maison. Je sors mon téléphone pour lui dire : "Je suis là dans deux minutes, prépare-toi à me recevoir...".
Je vois enfin sa maison. Je descends les escaliers extérieurs pour rejoindre la porte-fenêtre de sa chambre. J’essaie de faire le moins de bruit possible pour ne pas réveiller quelqu’un de la maison ni son chien. J’ai le cœur qui bat comme jamais, la pression et l’excitation sont bel et bien au rendez-vous. J’allais enfin pouvoir baiser ma très chère ex.
Ma main est sur la poignée de la porte-fenêtre, je la pousse et la referme derrière moi. J’entends mon cœur battre. Une ambiance chaleureuse, lumière tamisée très faible, sa petite culotte par terre, du lubrifiant à côté du lit... Sa chambre n’avait pas beaucoup changé, et par chance, son armoire comportant un grand miroir, dans lequel nous nous admirions autrefois, est toujours présente.
Et puis il y a toi. Je te vois enfin sur ton lit, nue, ta tête sous la couverture jusqu’au milieu de ton dos cambré. Position levrette sur tes genoux, ton visage écrasé contre le matelas sous la couverture ne voyant rien. De mon point de vue, je vois juste tes belles fesses ressortir, prête à se faire défoncer. Tu as bien tenu ta promesse quant à la surprise dont tu m’avais parlé... Notre premier contact physique va aller droit au but.
Je me déshabille sans me poser de question. Dire qu’on ne s’est même pas dit bonjour et que je vois juste ton petit cul qui attend ma venue. Je suis maintenant nu, je bande comme jamais, je me mets à genoux sur ton lit, j’attrape tes belles hanches et tes fesses, et j’approche ma tête de ton vagin afin de démarrer les hostilités avec ma langue. Un pur bonheur, ce goût m’avait tellement manqué... Je commence alors avec mes plus beaux coups de langue sur ton clitoris, là où il faut. Je commence à ressentir ton fluide corporel sur le bout de ma langue et dès ce moment je sais que tu aimes cette situation. Te voilà trempée, j’introduis un doigt en toi, puis deux. Pendant une bonne minute, je te doigte à deux doigts en variant le rythme des va-et-vient.
Dire que je n’ai toujours pas vu ta petite tête sortir de sous la couette... Il n’y a que moi et tes fesses, j’avais de quoi m’occuper. T’entendant gémir de manière étouffée, je décide d’utiliser mon engin, dur comme le fer, et de m’introduire en toi. J’avais oublié que ton vagin était fait sur mesure pour moi. J’en reviens pas de la sensation lorsque j’y rentre: "Oh mon Dieu !". Je prends le temps de te pénétrer doucement afin de profiter de cette sensation au maximum, et que tu puisses sentir chaque centimètre de moi en toi. Ça y est, je me sens à nouveau comme chez moi. Mes mains agrippent tes hanches et je commence à te baiser en levrette de plus en plus fort...
Tu commences à avoir chaud, je le sens, je me penche un peu sur toi pour t’attraper par les cheveux. Fermement, je t’attrape par les cheveux, je te sors la tête de sous la couette et vois enfin ton visage, rempli d’excitation, qui me supplie de continuer à te baiser. Je te pousse en avant sur le ventre, je te relève une jambe et je continue mes mouvements en toi en te prenant sur le côté et agrippant toujours tes belles fesses. Après quelques courtes minutes, il en est assez. Je me retire de toi et je viens t’embrasser délicatement pour te dire bonjour...
Ce n’était que les premières minutes. J’espère que tu ne penses pas t’en tirer comme ça sans me faire une fellation d’anthologie. Je te montre la direction de mon pénis et t’invite à venir poser tes fesses sur moi pour refaire nos bons vieux 69. Tu commences par de petits bisous sur mon pénis, mes boules, des petites léchouilles sur mon gland. Je n’en peux plus, je veux que tu me prennes en bouche. Tout à coup, l’extase, je suis bien en toi, dans ta bouche et tu m’aspires au paradis. Je profite de chaque seconde passée dans ta bouche, mais je me rappelle très bien que tu as un atout supplémentaire. Je descends mes mains le long de ton corps, toujours en 69, jusqu’à ce qu’elles viennent se poser sur ta nuque. Là, je sais que tu comprends que tu dois prendre une grande respiration parce que le moment où je vais appuyer avec mains, je me retrouverai au fond de ta gorge.
Soudain, je suis au fond de ta gorge. La sensation est incroyable, ça m’a tellement manqué. Je continue à te lécher comme jamais jusqu’à ce que ma langue me fasse mal. Toutes les 10 secondes je t’appuie sur la tête pour profiter de tes gorges profondes. Je décide de te retourner pour continuer le 69 mais en étant sur toi. Je continue à te lécher de tout mon cœur en te doigtant avec mes deux doigts que tu aimes tant.
Trempée comme jamais, tu me repousses de sur toi, je tombe sur le dos et sans même avoir le temps de reprendre mon souffle, tu viens t’empaler sur moi. C’est toi qui reprends les rênes. Tu bouges de plus en plus fort tes petites fesses. Moi je les attrape je les serre, je les claque en t’accompagnant dans tes mouvements. Je crois que notre but en commun est le même : ton orgasme. Tu continues et on commence à transpirer. Je te mordille les seins, je vois que ça t’excite encore plus, je t’attrape par le cou comme tu aimes. Soudain, le moment arrive enfin. Je vois tes yeux qui montent au ciel et je te vois t’abandonner à ton corps, je comprends que l’objectif est atteint.
Je ne vais pas m’arrêter là... Presque trois ans que je me retiens. Je me lève pour aller chercher le lubrifiant que j’avais bien évidemment vu à côté de ton lit. On avait compris tous les deux quelle était la prochaine étape, une petite session anale. Je suis debout lubrifiant à la main. Je prends quelques secondes de pause pour reprendre mes forces. Voyant mon corps nu, excité au plus haut point, avec mon engin gorgé comme jamais, tu te précipites à quatre pattes face à moi et y viens engloutir mon pénis. Tu me suces comme jamais tu m’as sucé. Mon pénis, lui, n’a jamais autant rempli ta bouche tellement est-il gorgé de sang. J’ouvre le lubrifiant et tends ma main vers tes fesses pour t’en étaler partout, je mets la dose : "Désolé d’avance pour tes draps". Je me retire de ta bouche, je te pousse sur le ventre, te soulève une jambe pour venir m’introduire en toi sur le côté.
Tout glisse, tout... Je caresse mon pénis sur ton vagin et le fais glisser jusqu’à ton anus plusieurs fois d’affilée. Je n’en peux plus. Je m’arrête devant la porte d’entrée et je m’enfonce délicatement dans ton cul qui n’attendait visiblement que moi. Je commence par quelques allers-retours délicats, puis le rythme commence à s’accélérer. On se met en position levrette maintenant. À genoux, tu lèves tes fesses, ton visage s’écrase sur le matelas, et tes mains viennent se poser sur tes fesses et les écartent comme si tu me montrais le chemin... Je rentre dans ton anus comme dans du beurre, celui-ci est désormais bien dilaté. C’est l’extase. Je t’attrape par les fesses et je t’encule comme jamais. Une claque sur tes fesses se perd : "Désolé, j’étais obligé".
Ce qui m’excite le plus, c’est de te voir savourer ce moment autant que moi. Toujours en levrette, je te chope tes deux bras. Tu lâches des petits gémissements, j’adore. Je te pousse un peu en avant, je t’attrape par les cheveux, j’arrive tout juste à venir t’embrasser alors que je t’encule toujours de plus belle. Et là, entre deux respirations, tu me sors un "défonce-moi le cul". J’en perds complètement mes moyens. Mon bassin claque comme jamais sur tes fesses. C’est littéralement la meilleure baise depuis bien longtemps.
Je transpire et toi aussi. Je me retire de toi et admire ton anus complètement dilaté. Je te tends la main, tu la prends, je te lève de ton lit, te colle contre l’armoire. Moi, derrière toi, je commence à te bouffer le cou la nuque, te tenant fermement par les cheveux, pour faire monter encore plus l’excitation. Je me réintroduis en toi, dans ton cul. C’est reparti. Une bonne minute plus tard, je n’en peux déjà plus. Une idée me vient...
Je te le demande d’un murmure à ton oreille. Au vu de la soirée qu’on avait passée, plus rien ne pouvait se refuser. Je remonte sur ton lit, cette fois-ci debout. Tu me rejoins, sur tes genoux, ton visage à la bonne hauteur, prête à encaisser le bouquet final. Je commence alors à me branler sur toi, tout proche de ton visage, toi tu me regardes droit dans les yeux. Je vois que tu es prête à satisfaire mon fantasme. Tes yeux, eux, me disent "finis sur mon visage". L’envie devient trop grande. Je ne tiens plus. Soudain, tout éclate. Le plus grand des bonheurs que de pouvoir t’asperger le visage. Je dois le dire : "C’était le meilleur sexe de toute ma vie, merci".
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