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Un plaisir solitaire qui ne plait pas

Chapitre 1

Erotique
Je venais de rentrer du boulo, il était 15h, mon copain ne devait pas finir avant 2/3h alors comme chaque fois que je travaille du matin j’ai donc décidé de faire une petite sieste en attendant son retour. Sauf qu’arriver dans le lit j’avais envie de me donner un petit plaisir solitaire. Alors je déboutonne mon jeans et commence à me caresser, j’étais déjà bien mouillé, mais moi qui aime avoir les jambes bien écartés le jeans n’était pas le mieux j’ai donc décidé de l’enlever. Je me retrouve alors, sans pantalon, avec juste mon débardeur et ma culotte jambe écarté avec une main en train de me titiller le clito, mon doigt glissait tout seul, j’imaginais le week end, pour fêter nos 2 ans qui commençait le lendemain et les journées et nuits qu’on allait passer. Je ne mis pas longtemps à jouir, j’avais la main pleine de ma mouille que je passais dans les draps pour m’essuyer et m’endormis sous l’effort et la fatigue. Ce que je n’avais pas prévu c’était de me réveiller, les mains attacher par des écharpes a chaque bout du lit et je voyais mon copain en train de fouiller dans l’armoire devant moi. Il se retourna avec une autre écharpe et me dit : Ah enfin réveiller, tu devais être fatiguer car j’ai bien cru que tu allais te réveiller quand je t’attachais, il vit mon regard perplexe, c’était la première fois qu’il m’attachait, il sourit et continua, je voulais rentrer plus tôt pour notre petit week end le temps de nous acheter un petit quelque chose et de faire les valises et je t’ai entendu gémir, alors pour me venger de ce petit plaisir non partagé j’ai attendu que tu t’endormes et tu vas voir ce que ça donne les petits plaisirs solitaire...Il me banda les yeux, je ne voyais plus rien même pas de la lumière, je l’entendis juste bouger et quand il s’allongea sur moi je compris qu’il s’était déshabillé, je sentais son érection contre ma cuisse,il m’embrassa et décida de sucer mes tétons et de me malaxer les seins, choses qu’il adore et qui n’est pas sans me faire mouillé. Avec une main il me tenait toujours un sein et il glissa l’autre très très lentement en me frôlant pour me faire frissonner de plaisir jusqu’à ma toison qu’il caressa sous mon shorty. Il n’eut juste qu’à glisser son doigt entre mes lèvres pour trouver tout de suite mon clito qui comme d’habitude n’attendait que lui. Il savait s’y prendre, il me connaissait depuis le temps, il me le pinçait délicatement entre les doigts, le faisait rouler entre deux doigts. Je mouillais encore et encore sous ces doigts qui connaissaient si bien mon corps, je mouillais tellement que je sentais ma mouille sur mes cuisses et qu’on entendait un petit bruit de sucions entre mes gémissements de plaisir. C’était tellement bon, j’avais envie qu’il me prenne, là tout de suite, alors j’écartais les jambes pour qu’il comprenne que je le voulais mais il ne fit que frotter son sexe qui était très dur contre ma cuisse en faisant des vas et viens, ce qui m’exciter encore plus. N’en pouvant plus je lui dis dans un souffle : Prends-moiEt il me rétorque : Tu crois que c’est si facile ? J’aurai aimé être de la partie quand tu gémissais sous tes doigts tout a l’heure, alors aujourd’hui pas de pénétration, moi aussi je peux finir tout seul.Même si je savais qu’il préférait cent fois plus éjaculer en moi plutôt qu’entre ces mains, j’eus peur qu’il ne veuille pas me faire l’amour aujourd’hui, j’étais dans un tel état, et il sait depuis longtemps qu’arriver près de la jouissance j’ai envie qu’on me remplisse par les deux troues, même avant de ne plus être vierge je ressentais l’envie d’avoir une bite dans le vagin en étant sodomiser, alors pendant nos rapports il me mettait un ou deux doigts dans l’autre, cela dépendait par qu’elle trous il me prenait. Alors là imaginer que c’était lui qui allait me faire jouir sans même me pénétrer, je ne voulais même pas l’imaginer.Je lui répondis : Aller s’il te plaît, tu ne peux pas me laisser comme ça quand même !Il se mit à rire, arrêta de me doigter et se leva de moi, alors que je crus qu’il allait enfin entrer en moi en fait il me mit les jambes sur les épaules et me prodigua un formidable cunni, il m’écartait bien les jambes et les lèvres pour poser le bout de sa langue juste sur mon clito et le titilla avec une rapidité qui me fit crier de plus en plus fort puis il y alla a pleine langue et je sentis sa langue glisser doucement à l’entrer de mon vagin, je bougeais mon bassin de haut en bas, je n’en pouvais plus je n’étais pas loin du 7ème ciel, plus rien ne compter, je ne pensais à rien, ni au voisin, ni a cette bite dont j’avais tellement envie, puis dans un ultime titille-ment de langue j’eus un orgasme fulgurant, je me mis à trembler de tout mon corps je tirai sur les liens et en même temps m’accrocher à eux, il devait être très bien serrer car ils n’ont pas bouger. C’est en haletant que je repris peu à peu mes esprits. Il me demanda comment c’était et lui répondit en tout honnêteté : fantastiqueIl me retitilla le clito ce qui après cette orgasme me fit instantanément mouillé abondamment et gémir puis il se leva et me pénétra, on entendait sa queue entrée et sortir de moi par des bruits de sucions, ma mouille lui coulait déjà sur les cuisses. Il me pilonnait, il ne me faisait pas l’amour il me baisait sauvagement, tout ceci avait du l’exciter a plus au point et je lui en redemandais, je mis les jambes autour de sa taille se qui le fit entrer plus profondément et il alla encore plus vite il me disait : Oh c’est tellement bon bébéIl ralentit un peu, ce qui me déçu quand je compris qu’il allait sûrement bientôt éjaculer, alors il s’arrête pour faire durer nos ébats plus longtemps, pendant qu’il restait bloquer en moi j’entendais un bruit de pochette plastique puis je sentis un doigt forcer le passage de mon anus puis je sentis un petit objet passer sur mon clito ce qui me fit sursauter de plaisir puis me glissa l’objet humidifié par ma mouille dans la rondelle, une fois que cette objet petit circulaire rentrer intégralement il se mit a vibrer ce qui déclencha une toute nouvelle sensation et il me dit, Bon Anniversaire, puis il reprit c’est coup de butoir, j’étais au ange, comblée. Je hurlais mon plaisir et lui pousser des râles de plaisir puis dans quatre derniers coups de rein violent au fond de moi il se déversa, il me détacha et il s’écroula a côté de moi.
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