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Plaisirs inderdits ?

Chapitre 1

Lesbienne
Normalement, nous allons sur une plage naturiste. Son seul défaut est d’être assez loin de chez nous. Habitant en moyenne montagne, nous nous contentons de ce que nous avons tout près : un lac magnifique aux berges ombragées. Le pique-nique nous y attend, ou presque. Ma femme Odile est heureuse d’aller se bronzer. Je prends ma canne à pêche pour attraper ce que je trouverai : un poisson suicidaire par exemple.
Nous trouvons un endroit parfait ; celui que nous aimons. Odile s’occupe de poser une couverture sur le sol ; je sors nos provisions, un siège et ma canne à pêche. Odile est rapide : elle se retrouve en petite tenue en moins de cinq minutes. Elle ne garde qu’un string, et encore, transparent. Elle ne peut voir qu’elle m’excite ; je commence à bander : je sais qu’à chaque fois que nous sommes ici, nous ne finissons pas une baise comme nous aimons. Pas d’interdits entre nous. Le déjeuner avalé, Odile trouve un endroit en plein soleil pour brunir. Je m’allonge un instant sur la couverture avant de ranger les restes du déjeuner. Je suis armé : ATTENTION, LES POISSONS… J’ARRIVE !
Je reviens avec une armée de poissons, surtout des truites. Je revois Odile, qui cette fois est totalement nue. Pour nous, c’est normal ; mais pas à ce moment-là. Normalement, nous nous mettons nus ensemble allongés au soleil : nous finissons toujours pareil, en fin d’après midi, par une bonne partie de baise qu’elle provoque toujours, je ne sais pourquoi.– Qu’est-ce que tu fais toute nue ?– Je viens de baiser.– Tu t’es branlée ?– Non, j’en ai branlé une autre.– Une autre ?– Ne fais pas ces yeux d’ahuri… Oui : j’ai branlé une autre fille, que tu as dû voir en arrivant, une grande brune.Entre nous, tout est permis, même si elle se compromet avec une fille. Pour ce genre, c’est la première fois qu’elle m’en parle. Baiser une autre, quelle idée… Sans m’en avertir ! Je ne l’en empêcherais pas. Assois-toi, je vais te raconter. Mets-toi nu, d’abord : tu vas bander, je te connais ! Tu pourras te branler, ou je le ferai, si tu le veux ? Tu sais que j’aime te masturber. Ou même, tu pourras me sucer pendant que je parle pour me faire jouir encore.

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« Quand tu es parti pêcher, je m’étais mise nue pour le soleil. Tu sais que quand je suis à poil, j’aime me caresser. Je me touchais à peine le clitoris, pas pour jouir, simplement pour le fun, le plaisir immédiat. J’avais posé la serviette sur ma tête pour ne pas être éblouie. Je me suis un peu assoupie. « À mon réveil, il me semblait que quelqu’un me voyait. J’ai regardé et j’ai aperçu une jeune femme brune, celle que tu as vue. Elle était tout près de moi, à regarder ma main. J’ai sursauté à sa présence. Je ne sais pourquoi, je n’ai pas cessé de me branler doucement. « Elle s’est penchée sur moi ; je me doutais qu’elle avait des intentions assez claires.« Tu sais que j’avais envie de baiser une fille, je t’en ai souvent parlé. Même en me branlant, mon fantasme, c’est d’être avec une autre. Là, j’en avais l’occasion. Dommage : tu n’étais pas là… « Elle a commencé gentiment, dans les règles, à se présenter :– Je suis Virginie ; et toi ?– Odile.
– Tu es belle, Odile ; tu me fais envie…– Toi aussi !« Elle m’a embrassée. Tu te rends compte ? Elle a posé ses lèvres sur les miennes et nos langues ont joué ensemble dans nos bouches. J’avais toujours ma main sur ma chatte alors qu’elle portait un chapeau de paille, une chemise d’homme et un short. Une main sur un sein, elle m’a pelotée longuement, doucement, mieux que toi ; ne sois pas jaloux : tout ce qu’elle m’a fait en me caressant était toujours très doux, sans doute à cause de sa peau douce dans les paumes. « Je me suis arrêtée de me donner du plaisir. Je ne sais ce qui est m’est passé par la tête : j’ai passé une main dans une ouverture de son short. J’ai trouvé sa peau douce, à l’intérieur de sa cuisse. Je suis monté très haut pour arriver sur sa chatte. Elle ne portait rien d’autre sur elle. J’ai trouvé sa chatte mouillée. J’allais la branler quand elle m’a arrêtée pour se mettre nue. Tu te rends compte ? Nue devant moi… Ma première fille était nue ! « Elle est venue sur la couverture pour me caresser encore un peu. Cette fois, mon sein ne suffisant pas, elle a directement posé sa main sur mon écrin. Je sentais la chaleur de sa main sur ma chatte. Elle l’a laissée, en appuyant simplement. Elle me faisait drôlement mouiller… Moi, je n’osais pas faire grand-chose d’excitant. Il faut dire qu’avec les jambes écartées, je ne suis bonne qu’à me faire mettre ! « Alors, je me suis laissée aller à ce qu’elle voulait. Elle m’avait excitée :«– Nous allons baiser ensemble en faisant un 69. «– J’aime faire les 69. »« C’est vrai que j’aime faire les 69, quand j’ai ta bite dans la bouche et ta bouche sur ma foufoune. Tu te rends compte, je confondais : elle n’a pas de bite. Elle est venue sur moi ; ses genoux ont encadré mon visage. Je voyais tout son sexe. Il t’aurait plu… Elle avait le clitoris qui ressortait des lèvres ; il était rouge ; enfin… un peu rouge. « Sa langue est venue sur ma chatte. Presque comme tu me fais. – Oh, branle-moi, j’en ai envie.– Continue.
« Elle m’a léché un bon moment, juste le temps de me faire jouir ; mais un orgasme complet, presque comme quand tu me baises en me mettant deux doigts dans le cul. Rends-toi compte : une simple langue de fille qui me fait cet effet ! « Elle ne s’est pas arrêtée là : sa langue était plus gourmande en venant sur l’anus. Elle l’a léché presque comme le bouton, et puis elle a voulu entrer. Avant d’entrer, elle m’a fait jouir encore une fois. Je ne savais plus comment me mettre. Je souhaitais ton retour pour participer.« Alors, elle devait lire en moi : sa langue est entrée. J’avais bien ouvert le cul comme juste avant que tu m’encules. Je ne crois pas qu’elle en ait mis beaucoup, mais le simple fait de savoir que c’était une langue m’a fait avoir un autre orgasme. « Nous avons repris une position plus catholique pour simplement nous peloter. C’est là qu’enfin j’ai commencé à la branler. Toi, tu sais me branler, et j’aime ; mais moi, mis à part mon con, je n’en connaissais pas d’autre. J’ai fait comme je savais. Je l’ai caressée entre les jambes. J’ai vite trouvé son clitoris. Elle était drôlement mouillée. J’ai caressé le clitoris durci. Elle n’a pas résisté longtemps. J’ai senti sa jouissance sous mon doigt. Je me suis rendu compte à cet instant que quand je jouissais, je devais faire comme elle ; je sentais des spasmes incontrôlés. – Dis-moi : je fais pareil, quand tu me branles ? – Mais oui, chérie, tu jouis pareil.– Je vais jouir dans pas longtemps. Avant de jouir, je poserai mes doigts près des tiens pour m’en rendre compte.« Donc, c’est bon ce que tu me fais, je l’ai branlée. Elle a voulu que je recommence. Je l’ai fait encore ; j’ai même improvisé en mettant un doigt dans son cul. Elle n’a pas résisté : elle est partie presque en léthargie. J’ai même pris un téton dans ma bouche. Il était dur, comme quand tu me caresses avant de me baiser.– Heureusement que tu me baises souvent et que tu me fais jouir… « J’ai mis trois doigts dans son con ; pour moi, c’était comme ta bite. Si tu avais été là, c’est ta bite qu’elle aurait eue dans le cul. Doucement… Je jouis.
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Après ce récit, elle a fini de me branler. J’étais trop excité pour débander. Je suis venu sur elle : elle a refusé mon sexe, elle voulait que je la sodomise. Avec l’enculage, elle aime se branler. Je l’ai bien satisfaite. Elle m’a étonné quand elle a tenu à me sucer après pour me faire jouir et avaler mon sperme, comme toujours.
Nous sommes revenus souvent au même endroit. J’espérais bien revoir cette brune pour me la payer. Nous ne l’avons jamais revue. Dommage pour ma bite et pour Odile : je l’aurais laissée baiser encore avec une fille. Elle essaie d’en trouver une autre dans notre coin ; c’est dur, pour elle qui cherche sans cesse ; à moins que la nouvelle voisine accepte de la baiser, ce qui est possible, après tout.
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