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Plaisirs intenses

Chapitre 1

Gay
En sortant de la gare Saint-Lazare à Paris, je suis accosté par un vieux monsieur qui me demande son chemin. Je lui indique, connaissant le quartier, mais il ne part pas tout de suite et engage la conversation, parlant du beau temps qu’il fait, du monde qu’il y a ici, enfin des banalités quoi. Il semble sympathique, donc comme je ne suis pas pressé, je lui réponds avec gentillesse. La conversation dure un peu. Il me demande ce que je fais dans la vie, quelles sont mes études, si j’ai des amis, puis me propose de boire un verre à la terrasse d’un café.
— Pourquoi pas au café du coin là-bas ?— Oui on sera mieux assis.
Après avoir commandé nos boissons, on continue à échanger nos idées, nos désirs pour nos vies, enfin on fait connaissance en tout bien et tout honneur. Je pense qu’il est décidément très sympathique et encore bien conservé pour son âge, j’ai même l’impression de le connaître depuis longtemps, et pourtant il aurait pu être mon père. De parole en parole, il me confie ses souhaits pour son avenir et ses futures vacances en Corse. On regarde aussi les filles passer devant nous, celles aussi qui sont assises à la terrasse, leurs jambes croisées, nous laissant tous loisirs de pouvoir les admirer.
— Hé regarde la brune à ta gauche, pas mal hein ? me dit-il.— Oui effectivement, elle a des très jolies cuisses, et la manière de les croiser me fait de l’effet, en plus son chemisier est un peu ouvert. Elle semble avoir une belle poitrine.— Oui tu as raison, c’est très agréable, à mon âge, de mater ces belles filles, tu apprécies aussi, à ce que je vois...
En effet je ne la quitte pas du regard, et Roger remarque une petite déformation de mon pantalon.
— Bien, il se fait tard et on a bien bavardé tous les deux, tu m’es bien sympathique Damien.— Vous aussi, le temps a passé trop vite.— Merci, mais j’y pense, tu fais quoi maintenant, tu es attendu par quelqu’un je suppose, beau comme tu es, non ?— Ben en fait non, pas ce soir, je suis venu à Paris justement pour changer d’air.— D’accord, alors que penses-tu de finir la journée chez moi, j’y ai des amis qui m’y attendent, ils sont très sympathiques, qu’en dis-tu ?— Pourquoi pas, je finirais la journée en bonne compagnie alors.
On éclate de rire et on se lève, après que Roger paye l’addition.Immeuble cossu tout près du café, on y est en deux minutes. Deuxième étage, escalier ciré, Roger ouvre la porte.
— Entre, attention au tapis, ohhh !!!

Trop tard, je m’étale au sol, mon pied n’a pas suivi. Je me cogne sur le bord d’une petite table, et tombe dans les pommes...
— Alors Damien, tu vas mieux, tu m’as fait peur dis donc.
Je me réveille un peu, allongé sur un lit, à demi inconscient. Là je ne comprends pas ce qu’il se passe, ce que je vois n’est pas du tout ce que je voyais avant de m’être ramassé par terre. Mon visage change, ma bouche s’entrouvre, ma respiration s’amplifie, mes yeux se ferment, mais pas complètement, car ils me permettent de les voir ces vieux vicieux qui se touchent entre eux.
— Mais que se passe-t-il Roger ? Je suis où ?— Ne t’en fais pas Damien, ce sont des amis. Il semble qu’ils t’apprécient. Tu es beau comme un cœur et tu leur plais beaucoup, admire-les, apprécie ces moments délicieux, profite de la vie. Regarde-les, je suis sûr que tu vas aimer, regarde... Certains s’embrassent, leurs langues sorties mélangeant leurs salives, je vois leurs mains ouvrant les braguettes déjà gonflées, les bras entourent les hanches, les nuques sont caressées par d’autres, certaines fesses cambrées réclament d’autres mains qui ne tardent pas à s’y frotter.Les slips descendent, ils se baisent et le font savoir à d’autres qui s’empressent en se branlant autour des culs demandeurs.
Je sens dans mon inconscient en délire des doigts fouineurs, des bouches gourmandes qui s’aventurent sur mes lèvres, je sens ma chemise qui s’ouvre, laissant apparaître mes tétons durcis par d’autres langues qui s’y attardent. On m’a allongé tendrement sur le dos, mon pantalon est descendu sans m’en rendre compte sur mes chevilles, mon slip est à mi-cuisses, mon sexe est tendu par cette envie irrésistible de caresses qui deviennent de plus en plus intimes.
— Tu vois Damien, je ne regrette pas de t’avoir amené chez moi mon coquin, beau comme tu es, j’étais certain que tu aimerais...
Oh oui j’avoue que j’aime être tripoté à ce point. Je sens qu’on retire mon pantalon et mon slip qui deviennent gênants, je sens quelqu’un écarter mes cuisses, le souffle court j’entends ces râles qui augmentent sans pudeur. J’entends ces mots crus que je découvre et que j’adore, susurrés dans mon oreille, ou plus clairement dits par d’autres.
— Allez petite salope, donne-nous ton cul de pute.— T’aimes ça, hein mon salaud, dis-le que t’aimes nos bites.— Donne ta bite chérie, on va te la bouffer jusqu’aux couilles. Hein tu les veux, nos bouches, hein salope, tends-toi.— Bouge, petit pédé, bouge ton cul, dis-le que tu veux nos bites dans ta chatte anale.
Je ne sais plus où je suis, je ne sens plus que plaisirs, ouiiiiii je leur dis tout ce qu’ils veulent, ouiiiii j’en ai envie maintenant !!! Ils le savent, ils le sentent. J’entrevois d’autres qui s’enculent sans pudeur, le foutre commence à gicler sur mes seins, des mains l’étalent sur mon ventre, des langues me lèchent, j’en sens une, pleine de sperme, lécher mes lèvres qui s’ouvrent pour l’accueillir, puis une bite veut la pénétrer pour recevoir une pipe goulue. Je suis dans un nuage de bonheur quand on me retourne sur le ventre. Je découvre un plaisir intense.
— Viens pouffiasse, donne-nous tes fesses, tu vas aimer !!!— Roger ! Écarte lui ses fesses pour que je vois sa chatte, je vais l’enculer ta jolie salope.— Hein tu la veux ma bite, hein salope, dis-le, petite garce.— Si tu aimes, tu en auras d’autres. Tu les veux, hein chienne ?
Ouuiiii je leur dis tout encore et encore, ouiiii je la sens sa bite quand il me pénètre, ouuuuuiiiiiiiiii j’aime quand je sens ses mains peloter mes seins, ouiii !!!
Il me pilonne encore plus fort en accélérant, il gémit, il râle prêt à exploser au fond de mon cul ouvert. Quand il jouit, je sens son sperme chaud qui me fait ouvrir davantage mon intimité qui ne mérite plus que son nom. Il y reste quelques secondes en se crispant, puis se retire en caressant mes hanches.
— T’es bonne chérie, mais je suis partageur.
Mes fesses n’ont pas le temps de se refroidir que je sens une autre bite, un autre gland qui s’enfonce encore plus facilement dans mon cul heureusement lubrifié.
— Han, han, ouiiii, ! Branle-toi chérie, allez branle ta bite pendant que je te baise ooooohhhhhhhhhh.
J’aime me branler alors je m’empresse de le faire. Ils le savent, ils le sentent ces vieux pédes vicieux et pervers. Ils savent qu’ils peuvent juter sur moi, que ceux qui le veulent vont me baiser, et que s’ils le préfèrent ils baiseront entre eux en nous regardant, il savent qu’ils vont jouir partout où ils le veulent en se suçant, en se masturbant, en se baisant entre eux.
Je jouis comme jamais je n’ai joui. L’odeur du foutre chaud remplit mes narines, je m’écroule cuisses écartées. A cet instant je sens un autre homme, qui avait échappé à cette orgie, qui commence à me doigter, à branler mon cul dégoulinant de sperme. Cela me fait gémir, ce qui l’encourage à soulever mes jambes pour enfoncer sa grosse bite dans mon cul qui a vite repris plaisir à l’accueillir. Il m’encule bien ce vieux salop, oh ouiiiiiiii, si bien qu’il jouit lui aussi, son sperme envahit mon anus, j’ai l’impression de m’évanouir.
Il s’effondre lourdement sur moi. Quand je me réveille je me retrouve seul, les bras en croix, mes cuisses écartées, mon ventre trempé de mon propre sperme.

Quel merveilleux rêve, mais quelque part, quel regret que ce ne soit qu’un rêve, si merveilleux soit-il...........
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Post scriptum : si je n’ai pas décrit d’usage de préservatif dans mon texte, il est bien évident qu’une telle protection est malgré tout indispensable pour le bien de toutes et de tous...
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