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Plaisirs partagés

Chapitre 1

Orgie / Partouze
Je m’appelle Vincent et je suis un homme début quarantaine. Séparé depuis plusieurs mois après avoir vécu en couple durant 18 ans, j’en profite pour découvrir de nouvelles choses, de nouveaux plaisirs et réaliser quelques fantasmes.
Avec mes 1m83 pour 80 kilos, j’ai un physique assez standard, ni gros, ni fin. J’ai les cheveux courts et châtains. Mon entourage dit que j’ai autant de charme que de caractère... je vous laisse imaginer.
Depuis plusieurs mois, je rencontre régulièrement une charmante demoiselle prénommée Sara. Elle a la mi-trentaine. Elle mesure 1m63 pour 50 kilos environ. Ses cheveux courts, foncés et faussement décoiffés lui donnent un petit air arrogant qui me plaît beaucoup. Elle a une petite poitrine très sensible et réactive et un magnifique cul bien ferme.
Sara, qui assume ses penchants de soumise, m’a permis de découvrir mon côté dominant. Nous nous voyons régulièrement pour des rendez-vous coquins. Cette relation nous donne pleine satisfaction, car nous ne souhaitons ni l’un ni l’autre nous investir dans une histoire sentimentale. Nous n’avons aucune gêne pour exprimer nos envies, que cela soit autour d’un verre ou durant nos parties fines.
Notre relation est plus basée sur l’aspect cérébral de la soumission que sur le fait de lui faire subir de douloureux sévices. Ma soumise aime être traitée comme un objet de plaisir et j’adore la diriger.
Depuis notre rencontre (lire première rencontre avec une soumise), nous avons exploré différents domaines et je l’ai dernièrement offerte à un inconnu (lire ma soumise offerte à un inconnu). En dehors de nos rencontres, nous n’avons que très peu de contacts, car Sara est en couple et j’ai un emploi du temps chargé.
Un soir, alors qu’il est passé 23h00, je remarque qu’elle est connectée à une application de messagerie instantanée avec le numéro qu’elle utilise en dehors de sa vie de couple. Après quelques messages, j’apprends qu’elle est seule ce soir et que son mari est chez un ami.
Ma belle ne donne pas l’impression de vouloir dormir. D’humeur coquine, elle me demande quand est-ce qu’elle aura l’occasion de s’occuper de ma queue et me dit qu’elle a envie de la sentir au plus profond de chacun de ses trous.
Visiblement, elle est d’humeur joueuse, ce qui n’est pas pour me déplaire. Décrétant qu’il n’est pas évident de se toucher tout en tapotant sur un smartphone, nous passons rapidement à un appel vidéo. Je suis très heureux de revoir Sara, car cela fait plusieurs semaines, Covid oblige, que nous n’avons pas pu nous rencontrer.
Alors que je n’ai qu’une serviette autour de la taille suite à la douche que je viens de prendre, Sara porte une petite nuisette bleu pastel, tout ce qu’il y a de plus classique. Plus habitué à la voir porter des tenues très sexy, voire vulgaires, je m’amuse de la situation.
Notre conversation tourne autour de nos dernières rencontres. La chaleur monte doucement et je devine que ma belle se caresse la poitrine tout en me parlant. Je lui propose de poser son téléphone un peu plus loin afin que j’aie une meilleure vue, ce qu’elle fait après avoir faussement hésité.
Depuis quelque temps, nous avions envie d’aller dans un club libertin de la région, poussés par la curiosité et l’envie de découvrir le sexe avec un ou plusieurs autres couples. Malheureusement, au vu de la situation sanitaire actuelle, ceci n’est pas près d’arriver.
Au fur et à mesure de notre discussion au sujet de ce qui pourrait se passer le jour où nous irons dans ce club, Sara se caresse de plus en plus. Elle me confesse qu’elle est très excitée à l’idée de se faire lécher par une femme tout en me suçant. Excité par cette situation non préméditée, je l’invite à se donner du plaisir avec son Womenizer.

Le bruit de ce petit sex-toy n’est pas des plus agréables en vidéo. Après quelques secondes, les gémissements de Sara prennent le dessus et il ne faut pas longtemps pour qu’elle jouisse.
Après avoir repris ses esprits, notre discussion reprend de plus belle et le sujet de passer un moment avec un ou plusieurs couples revient rapidement. De fil en aiguille, je lui propose d’organiser une soirée avec un ou deux couples dans le loft que nous louons habituellement pour nos rencontres, étant donné que les clubs sont fermés.
Cette idée ne lui déplait pas, mais elle m’avoue ne pas trop y croire en raison du Covid.
Après encore quelques échanges, je laisse ma belle rejoindre les bras de Morphée avant que son mari ne rentre. De mon côté, le marchand de sable mettra un long moment avant de passer, tant l’idée de réaliser ce projet m’excite.
Dès le lendemain, je poste une annonce sur internet. Celle-ci explique que nous sommes un couple illégitime cherchant à passer une agréable soirée avec deux ou trois couples. Pas totalement aveuglés par notre libido et respectueux de la plupart des règles sanitaires en vigueur, nous indiquons que chaque participant devra pratiquer un auto-test Covid en arrivant sur place et que nous ne dépasserons en aucun cas les 10 personnes (normes en Suisse à ce moment).
Ma semaine étant professionnellement bien chargée, ce n’est que trois jours plus tard que je me connecte à la boîte mail créée pour l’occasion. Visiblement, nous ne sommes pas le seul couple en manque de sensations puisque 17 réponses sont arrivées.
Le premier tri est facile à faire et les annonces rédigées en langage SMS, truffées de fautes d’orthographe ou irrespectueuses sont écartées. Après quelques discussions avec d’autres couples et échange de photos, notre choix est fait et la date est fixée. Nous serons finalement 10 personnes. Afin de simplifier les choses, je me chargerai de réserver le lieu de la rencontre et de faire quelques courses pour préparer un petit apéritif. Les frais seront répartis équitablement entre chaque couple.
Après deux semaines d’attente, le jour J est enfin arrivé. Un groupe a été créé dans l’application de messagerie instantanée afin de communiquer plus facilement. Depuis deux ou trois jours, les messages se font de plus en plus chauds et quelques photos sans équivoque arrivent ponctuellement.
Sur les cinq couples, seuls deux sont expérimentés. Je suis un peu inquiet à l’idée que la sauce ne prenne pas et qu’une gêne s’installe dès le début de la rencontre. Dans la messagerie, une femme propose de reformer des couples dès l’arrivée des participants pour débuter l’apéritif. Tout le monde semble partant.
Sara et moi sommes sur place un peu en avance afin de tout préparer. Ce loft est vraiment l’endroit idéal pour ce type de rencontre. Il est composé d’un bar avec quelques chaises, d’un coin canapé avec quatre fauteuils de tailles différentes, de deux lits doubles, d’une balançoire érotique fixée au plafond et d’une croix fixée au mur, d’une douche et d’un vestiaire qui fait également office de zone fumeurs. Au mur, plusieurs images érotiques et quelques miroirs sont suspendus. La lumière tamisée et la décoration donnent une ambiance très feutrée et propice au stupre.
Ca y est, tout est en place ! Il ne reste plus qu’à se changer pour nos invités. L’excitation laisse peu à peu sa place à un léger stress. Est-ce que tout va bien se passer ? Est-ce que nous allons nous plaire les uns aux autres ? L’ambiance sera-t-elle sympa ? Allons-nous oser nous lâcher ?
Je sors de la douche pour laisser la place à Sara. Elle comprend que mon stress monte. Elle est également un peu anxieuse, mais a pris le parti de laisser les choses se faire et de voir. Tout en me rassurant, elle m’éponge le dos avec une serviette. Le contexte, la présence de Sara entièrement nue et le contact de ses mains sur ma peau me font instinctivement bander. Placée derrière moi, elle met un peu de salive dans sa main et commence à me caresser. Après quelques instants, je tente de me retourner pour m’occuper d’elle également. Celle-ci refuse et me chuchote à l’oreille de profiter et de me laisser aller. Alors que sa seconde main alterne les caresses entre mes couilles et mon œillet, elle accélère la cadence jusqu’à me faire jouir. De longs jets de sperme s’écrasent dans la douche.
Alors que l’heure fixée approche, Sara sort enfin de la salle de bain. Elle porte une magnifique robe noire très près du corps avec un décolleté plongeant. Son cul est parfaitement moulé par le tissu qui lui fait comme une seconde peau. Ses jambes sont gainées de bas autofixants et elle porte des talons hauts. Lorsqu’elle s’approche de moi, impossible de ne pas voir ses yeux pétiller et sa respiration s’accélérer.
Je complimente Sara pour cette mise en beauté très réussie. Lorsque je tente de lui glisser un baiser, elle se recule. Avec un petit sourire en coin, elle me dit qu’elle préfère se réserver pour les hommes qui la baiseront ce soir et éclate de rire.
Suite de cette histoire prochainement si vous le souhaitez...
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