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Un plan en or

Chapitre 3

Erotique
Nous étions en août. Malika avait obtenu des vacances pour les deux dernières semaines du mois. Elle me proposa donc d’aller en vacances avec elle dans un camping qu’elle affectionnait particulièrement. J’aurais dit oui même sans qu’elle me sorte son argument choc : « Tu te taperas les filles que tu voudras. Je me taperai les filles que je voudrai. Et si aucune ne veut, tu t’occuperas de ma minette ».
Ce fut donc dans l’optique de deux semaines torrides dans tous les sens du terme que nous arrivâmes dans son camping.Il était quinze heures à notre arrivée, et dix-neuf quand sa p… de tente fut enfin montée et que nous soyons plus ou moins bien installés.Nous décidâmes de manger un morceau, puis d’aller faire une balade pépère aux alentours. Elle me fit visiter les coins qu’elle connaissait, me montra le lac, dans lequel un couple faisait un bain de minuit, les différentes activités. Bref, je pensais bien que j’allais apprécier l’endroit.De retour à notre tente, j’entrai le premier pour me mettre en « tenue de nuit », c’est-à-dire un caleçon. Malika n’avait aucun souci pour se montrer nue devant moi (mais je ne vous apprends rien), mais ne voulait pas me voir à poil.Une fois déshabillé et dans mon sac de couchage, je l’appelai. Elle entra, ferma la tente, puis se déshabilla. Une fois nue, elle enfila seulement un grand t-shirt et se coucha.– J’ai une surprise pour toi.J’attendis pendant qu’elle fouillait son sac. Elle en ressortit son ordinateur portable.– Tu m’expliques ?– Attends.Elle alluma son ordinateur et ouvrit un dossier intitulé CAL. Je compris à l’ouverture du premier fichier ce que ça voulait dire : CAL pour calendrier. Ce dossier contenait les différentes photos que j’avais prises de l’équipe de Malika. Ces photos étaient plus excitantes les unes que les autres.– Merci pour la surprise.– Tout le plaisir est pour moi, répondit-elle avec un clin d’œil coquin.Nous avons regardé les différentes photos ensemble. Plusieurs fois. Au bout d’un moment, je m’aperçus qu’elle avait glissé sa main sous le grand t-shirt.– Tu te masturbes, traîtresse.– Pourquoi, traîtresse ?– Parce que j’en ai envie depuis tout à l’heure et que je me retiens.– Allez. Vas-y.Il ne fallait pas me le dire deux fois. Je passai ma main dans mon calcif, et je jouai avec ma bite, me branlant doucement, puis de plus en plus vite. Mon mouvement. Les photos. Le fait de voir Malika se doigter. Le contexte. Tout ça fut de trop, et j’éjaculai beaucoup trop vite. Enormément.– Excuse-moi, lui dis-je.Je me glissai dans mon sac de couchage, sous les yeux étonnés de Malika qui n’avait pas compris. Je défis mon caleçon, et le déposai à côté de mon sac de couchage.– Je n’allais pas le garder. Je m’en occuperai demain. Cette nuit, je vais dormir dans la tenue de ma naissance.– Oui, tu as raison, répondit Malika en défaisant son t-shirt.Elle éteignit son ordinateur et prit place à mes côtés. Elle m’enlaça tendrement, et vint déposer ses lèvres sur les miennes, m’embrassant délicatement comme elle le faisait parfois.
ET ALORS LÀ…– Je t’aime.Vous le savez déjà, on pouvait s’attendre à tout avec Malika. Et depuis que je la broutais régulièrement, je m’attendais à tout, et plus encore. Mais un « je t’aime »... J’ai eu l’impression que mon sang quittait mon corps. Je me suis senti gelé et paralysé. Incapable de comprendre ce qui arrivait.– Je ne t’aime pas comme j’aimerais une fille. Ce que je ressens pour toi, c’est bien plus fort que ce que je ressentirai jamais pour un homme. Je pense que c’est de l’amour. Donc voilà. Je t’aime. Je voulais que tu le saches.Je crois qu’elle a mal interprété mon manque de réaction, car elle a fini par s’écarter de moi, et elle m’a tourné le dos. Je me suis rapproché d’elle, j’ai glissé tant bien que mal ma main dans son sac de couchage, la mettant contre son sein. J’ai levé la tête et je l’ai embrassée dans le cou.– Moi aussi je t’aime.Elle s’est retournée vers moi, et elle m’a embrassé avec plus de sauvagerie que jamais. Quand j’ai pu respirer, j’ai repris :– Je t’aime. Je veux que tu sois heureuse, et je ferai tout pour ça.Elle m’embrassa de nouveau. Plus longtemps encore.Elle s’arrêta pour caresser ma joue.– J’aimerais tant pouvoir te prouver combien je t’aime…– Tu me le prouves déjà bien assez.Je l’embrassai une fois encore, en glissant ma main vers sa fente.Notre première nuit de camping fut la plus merveilleuse de ma vie.
Nous avions sympathisé avec deux filles qui partageaient une tente non loin de la nôtre.Sandra était plus blonde encore que Malika. Elle était plus grande aussi, et très maigre. Elle était plate comme une limande, et pas très jolie de visage. Mais ses yeux… Je n’en ai que rarement vus d’aussi beaux !Emmanuelle était une ravissante métisse, au visage très doux. Ses courts cheveux noirs frisaient. Elle était, au contraire de son amie, plutôt potelée, avec de jolies formes. Sans être une fille de rêve, elle devait faire se retourner plus d’un homme.Un midi, Malika et moi les invitâmes à déjeuner avec nous. Oui, bon ; vous avez raison : c’est Malika qui a eu l’idée. Toujours est-il que nous nous sommes tous les quatre installés sur une des tables de pique-nique du camping et nous avons sorti les sandwiches, les chips et les sodas.La discussion battait son plein. Nous parlions de tout ce qui nous passait par la tête. D’un seul coup, et sans raison, Malika a posé une question :– Au fait, vous êtes ensemble toutes les deux ?Je me demandais quand elle allait la poser, celle-là. Voyant l’embarras des deux filles, je décidai de leur venir en aide.– Enfin, Malika… dis-je, simulant plus ou moins bien l’indignation. Ce n’est pas parce qu’elles partagent la même tente qu’elles sont ensemble. Regarde-nous. On n’est pas ensemble.– Ah bon ?Sandra venait enfin de réussir à parler. Son regard passa rapidement de Malika à moi et inversement.– Oui, c’est vrai, répondit Malika. Je suis lesbienne. C’est plus qu’un bon copain parce qu’il accepte de s’occuper de ma minette quand j’en ai envie, sans rien demander de plus ; mais je ne suis pas avec lui.– C’est juste un plan cul, quoi, lança Emmanuelle.– C’est plus que ça. Je l’aime, mais d’une façon particulière. J’aime les femmes, mais je l’aime lui aussi.Je me sentis rougir. Sandra ne laissa pas le silence s’installer.– Bah, en fait, moi aussi je suis lesbienne. J’ai essayé de convertir Manu, mais rien à faire, elle ne veut pas. Par contre, ton copain, elle aimerait bien se le taper.– Mais arrête !Emmanuelle venait de réagir vivement. Je me suis mis à me demander si toutes les lesbiennes aimaient sortir des phrases au moment où on ne s’y attend pas, pour mettre les autres dans l’embarras.– Bon, c’est vrai, admit Sandra. Elle n’a jamais dit ça. Mais juste qu’elle le trouve mignon.– J’ai bien une proposition qui peut arranger tout le monde.Nous avons tous regardé Malika, curieux de connaître sa « proposition » même si, moi, je l’avais déjà devinée.– Ce soir, je vais dans votre tente, et Emmanuelle vient dans la nôtre.– Ça me va, lança Sandra, avec un air coquin.– Moi aussi, repris-je. Sauf que je ne vais pas forcer Emmanuelle. Si elle ne veut pas, on ne va pas l’obliger.La jolie métisse baissa les yeux.– Tu viendras, lui dis-je, pour laisser les deux se gouiner entre elles. Mais si tu ne veux rien faire, on ne fera rien. Je sais me tenir.Sans lever les yeux, Emmanuelle sourit timidement.– Mais si tu fais ça, reprit Malika, tu y perdras. C’est un amant de rêve (j’ai recommencé à rougir). Quand il s’occupe de ma chatte, il y met toujours beaucoup de tendresse, et il me fait jouir à chaque fois. Et quand il fait l’amour, c’est pareil.Je la regardai, vraiment surpris cette fois.– Comment tu peux savoir ça, toi ?Malika me lança un regard à la fois coquin et moqueur.– Qu’est-ce que tu crois ? Je discute souvent avec Hélène. Y compris de notre trio.Je souris à mon tour. Il est vrai que cet après-midi était inoubliable, et il était normal qu’Hélène en parle encore.Emmanuelle promit de venir, et qu’elle verrait. Le reste du repas se passa sans aucune autre allusion.
Le soir, Malika et moi venions de regarder un film sur son ordi. Elle l’éteignit, puis se dit qu’il était temps pour elle de rejoindre Sandra.– Je t’envoie Emmanuelle. Je croise les doigts pour toi.– Merci. Et vous deux, n’ameutez pas tout le camping.– Je ne te promets rien.Elle m’embrassa tendrement.– Je t’aime.Elle partit sans me laisser le temps de répondre.Emmanuelle arriva quelques minutes plus tard. Elle portait un short blanc et un t-shirt bleu ciel. Elle entra dans la tente et la ferma. Je devinai sans mal qu’elle était encore intimidée.Elle s’allongea à côté de moi. Je posai ma main sur son ventre, et me levai un peu, m’appuyant sur le coude.– Si tu n’as pas envie, je n’y vois aucun inconvénient.– Si. J’en ai envie. C’est juste que… je n’ai jamais été très douée avec les garçons.– Ne t’en fais pas. Je m’occupe de tout.Je me suis baissé, et j’ai commencé à l’embrasser doucement. Je m’attendais à ce qu’elle soit passive, mais pas du tout. Elle plaça une main derrière ma tête et m’embrassa avec passion. Ma propre main s’est dirigée vers sa poitrine. Je sentais parfaitement les pointes à travers le tissu de son t-shirt, et devinai sans mal qu’elle ne portait aucun soutien-gorge.Sans arrêter de l’embrasser, je glissai ma main sous son t-shirt et allai la poser contre son sein. Bingo : aucun soutien, ils étaient libres ! Je commençai alors à les caresser, faisant doucement glisser mes doigts sur les tétons. Emmanuelle appréciait, car elle eut plusieurs frissons de plaisir.Je lui défis son t-shirt, et elle m’enleva le mien. Elle m’allongea contre le sol et vint se poser contre moi. Elle m’embrassait avec passion. Je sentais ses seins volumineux contre mon torse.Je glissai mes doigts sous son short, pour le baisser légèrement. Emmanuelle ne s’arrêta pas là et l’ôta entièrement. La timidité avait disparu. Elle était maintenant très excitée. Ses jambes étaient de part et d’autres de mes hanches. Je glissai ma main vers sa chatte. J’eus le grand plaisir de découvrir une légère bande de poils. Elle s’était probablement épilée pour les vacances, mais sans se raser entièrement. Et ça m’excitait.– J’ai très envie de te sucer, me lança-t-elle.– Moi, j’ai envie de brouter ta chatte.Ni une ni deux, elle s’écarta de moi et m’enleva mon caleçon. Mon mandrin en jaillit comme un diable de sa boîte. J’avais une sacrée érection. Elle se plaça tête-bêche au-dessus de moi. Je sentis qu’elle empoignait ma bite et commençait à déposer de tendres baisers sur mon gland. Moi, je déposais aussi de petits bisous sur sa fente, tout en caressant ses poils.Je me mis très rapidement à la lécher sur toute la longueur. Elle se mit à soupirer, et goba mon sexe en entier. Je sentais ses lèvres caresser mon sexe d’un bout à l’autre. Je sentais sa langue passer contre les parois de mon engin. Je sentais aussi les baisers qu’elle déposait régulièrement sur son gland.De mon côté, je la léchais de plus en plus intensément, comme je faisais avec Malika, et comme j’avais fait avec Hélène. Je me mis à faire entrer ma langue à l’intérieur de sa fente.La belle métisse gémissait tout en me suçant. J’avais du mal à me retenir. Je voulais faire durer le plaisir.Emmanuelle eut un orgasme, qui inonda plus ou moins mon visage de ses sécrétions intimes. Il me fut impossible de me retenir, et je jouis à mon tour, déversant mon foutre dans sa bouche.Je pris une serviette et m’essuyai le visage. Je lui en tendis une autre pour qu’elle fasse de même.J’observais son corps nu dans la pénombre. Ses jolis seins, sa chatte légèrement fournie, luisante, dégoulinante. Ce spectacle suffit à me rendre rapidement toute ma vigueur.Je m’allongeai au-dessus d’elle. Elle comprit le message et ouvrit ses cuisses en grand. Sauf que je ne la pénétrai pas. Je voulais faire durer le suspense. Je posai mes lèvres sur les siennes et commençai à l’embrasser avec douceur.J’abaissai doucement mon bassin, et mon gland trouva comme naturellement l’entrée de sa fente. Emmanuelle me dit « Vas-y »… Alors je me suis abaissé entièrement, faisant entrer tout mon matos en elle. Je profitai de la seconde d’intense chaleur que je ressentis en la pénétrant. Puis je commençai mes va-et-vient.Mes mouvements étaient lents et délicats. Du moins je l’espère.Emmanuelle ondulait du corps pour accompagner le mien et décupler nos sensations. Elle respirait fort. Elle prononçait des « Oui » à chacun de mes mouvements.Une fois de plus, je fus incapable de me retenir. Sentant mon plaisir monter, j’essayai de ralentir mes mouvements, mais je me rendis compte qu’au contraire, je les accélérais. Emmanuelle soupira plus rapidement et plus fort à mesure que je continuais.Après quelques minutes, j’éjaculai en elle, déversant tout mon plaisir dans son utérus. Emmanuelle a joui en même temps que moi, dans un râle profond.Je me suis allongé, et Emmanuelle est venue poser sa tête sur mon torse, le caressant et l’embrassant doucement.– Malika disait vrai : c’est formidable de faire l’amour avec toi.– Ravi de t’avoir fait plaisir.– Ah ça, oui… Tu as réussi !
Elle m’a embrassé, puis nous nous sommes endormis. Nous avons recommencé le lendemain matin, puis tous les soirs où nous sommes restés au camping.Bien sûr, nous nous sommes perdus de vue par la suite. Et Malika n’a jamais revu Sandra (alors qu’elles aussi avaient aimé leurs nuits ensemble).
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