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Le plan d'Amélie

Chapitre 1

Daniel et Amélie

Hétéro
C’est le troisième été pendant lequel Louis, Matthieu et moi nous nous retrouvons dans la même équipe d’animation dans une colo. Du haut de nos vingt ans, nous commençons à avoir un peu de bouteille en animation. Cette année, nous sommes en équipe d’animation avec Charlotte, 22 ans, et Amélie, 18 ans, dont c’est la première fois en tant qu’animatrice.
Amélie a quelque chose de très attirant. Avec Louis et Matthieu, nous n’avons d’yeux que pour elle. Elle a sans doute rapidement capté que nos regards s’attardaient souvent sur ses formes, mais nous essayons tant bien que mal de rester dans une posture professionnelle quand les jeunes sont autour.
Amélie se retrouve au centre de nos discussions tous les soirs avant de dormir dans la chambre que nous partageons entre garçons. Bien qu’aucune réelle rivalité ne se soit installée entre nous, nous espérons tous les trois secrètement qu’Amélie puisse devenir notre petite amie, ou au moins un coup d’un soir.
Un jour, tout le groupe part à l’accrobranche sauf Amélie et moi qui sommes en journée de repos. Une fois les jeunes partis après le petit-déjeuner, nous retournons nous coucher chacun dans notre chambre.
—-
Quelques heures plus tard, je me réveille de ma sieste. Il est 13h et le centre est anormalement calme. Je reste dans mon lit quelques minutes, en train de calculer combien de temps il me reste avant que tout le monde revienne.Puis je me dis que j’ai faim et qu’Amélie doit encore dormir. C’est l’occasion d’aller lui préparer un bon petit plat et le lui amener dans sa chambre. Ça me fera gagner des points.
En sortant de la chambre, je vois qu’un préservatif a été glissé sous la porte. Je le ramasse et le mets dans ma poche. J’ouvre la porte, et je vois le t-shirt qu’Amélie portait ce matin, par terre dans le couloir entre nos deux chambres. Je le ramasse pour l’approcher de sa chambre quand je remarque une petite culotte sur la poignée de porte de sa chambre. Les coïncidences sont trop fortes : elle m’a organisé un jeu de piste jusqu’à sa chambre. Que vais-je trouver derrière sa porte ?
La faim m’abandonne, je deviens un peu serré dans mon short. J’ouvre la porte de la chambre des filles, curieux de découvrir ce qui se cache derrière.
Amélie est allongée nue dans son lit, à peine recouverte par la couverture. J’ai très envie d’aller la caresser, mais je n’ose pas profiter de son sommeil (si précieux en colo). J’hésite aussi à prendre des photos pour faire profiter les copains de la vue. Sinon ils ne me croiront jamais !
Je fais discrètement demi-tour pour aller chercher mon téléphone dans ma chambre. Au moment de passer la porte, j’entends Amélie dire :
— Tu ne veux rien tenter ?
Je suis partagé entre la gêne de m’être fait repérer, et l’envie pressante d’aller la rejoindre dans le lit. Elle insiste :
— J’espère que tu as trouvé mon cadeau sous ta porte.— Oui, pas mal ton jeu de piste d’ailleurs.— Je voyais plus ça comme une chasse au trésor, mais je vois que tu étais prêt à abandonner devant le butin.
À peine sa phrase terminée, elle se lève et s’approche de moi. Elle est complètement nue, sans pudeur, alors que je deviens rouge pivoine.
— Allez ne fais pas le timide, je sais que toi et les garçons vous rêvez de moi. On est que tous les deux et on a encore toute l’aprèm pour se divertir !
Elle m’enlace et me serre contre elle. Sa poitrine se comprime contre mon torse. Elle m’embrasse sur la joue, descend dans mon cou, remonte à mon oreille. Je l’attrape timidement par la taille. Sa peau est chaude. Sa bouche finit par arriver sur la mienne, et elle m’emporte dans un baiser langoureux. Mes mains font le tour de sa taille et je commence à la caresser dans le dos. Ses mains aussi se baladent dans mon dos, et je la sens s’aventurer sous mon t-shirt.
Très vite, mon t-shirt se retrouve par terre. Elle m’attrape par la ceinture et me tire vers son lit. Elle s’y assoit et continue de me tenir par la ceinture face à elle. Elle m’embrasse sur le ventre tout en défaisant ma ceinture et le bouton de mon short.
— Voyons la marchandise, dit-elle en baissant mon short.
Mon sexe ne tient plus dans mon caleçon, et elle s’en rend forcément compte. Elle l’attrape et commence à en évaluer le gabarit par quelques caresses au-dessus du caleçon.
— C’est la première fois que tu vas te faire sucer ?— Oui, et c’est même ma première fois tout court.— Alors profite bien, mais après c’est à toi de me donner du plaisir.— D’accord je...
Je n’ai pas le temps de finir ma phrase qu’elle a sorti mon sexe de mon caleçon et commence à le lécher. Ses longues léchouilles le long de mon sexe en érection me font frémir.
Je ferme les yeux et les rouvre pour vérifier que je ne rêve pas. Non, c’est bien réel. Je suis bien dans la chambre d’Amélie, mon sexe dans sa bouche. Il y a deux minutes encore mon plan était de la prendre nue en photo pour montrer à mes potes. Là, elle me fait découvrir le plaisir de la pipe, et elle fait ça bien.
— Alors on kiffe ?— Oui c’est trop bon.— Ne viens pas trop vite hein, je veux qu’on s’amuse longtemps.
Avant même que je lui réponde, sa bouche a déjà repris son merveilleux va-et-vient autour de mon sexe. Quand je vais raconter ça aux copains... Cette idée me fait monter d’un cran et je commence à me crisper. Sa bouche relâche mon sexe aussitôt.
— Pas trop vite, j’ai dit jeune padawan. On arrête là pour la pipe. Maintenant, mets-toi à genoux et viens me montrer ce que tu sais faire avec ta langue.
Elle m’attrape la tête comme pour me guider vers le sol, s’allonge dans le lit, et écarte les jambes face à moi. À genoux, j’ai l’origine du monde à 20 centimètres de mes yeux, et je ne sais pas par où commencer. Ses lèvres sont humides, sa chatte légèrement poilue, trahissant une épilation récente. Elle s’impatiente sans doute, et en attirant avec ses mains ma tête vers sa chatte, elle s’écrie :
— Allez ne fais pas ton timide, viens me lécher le minou.
Je me retrouve le nez contre ses lèvres humides. Par réflexe, je sors ma langue et commence à donner de petits coups de bas en haut. Je comprends petit à petit ce qui la fait réagir, et ma langue commence à prendre la confiance dans cette terre inexplorée. Il fait de plus en plus humide et je bois un peu plus de cyprine à chaque coup de langue. C’est de plus en plus simple de s’aventurer dans la chaleur de son vagin, et ses mains qui s’agrippent à mes cheveux me font sentir qu’elle kiffe.
— Oh ouiiii !
En me tirant les cheveux, elle m’extrait de force d’entre ses jambes et vient m’embrasser.
— Tu te débrouilles bien pour l’instant petit padawan, mais maintenant je veux que tu me baises.
Elle se lève du lit, me relève et me pousse vers le lit de Charlotte. Je m’allonge sur le dos, le sexe tendu en l’air comme si je cherchais à toucher le plafond avec.
— Où tu as mis la capote ?— Dans la poche de mon short.
Elle va la chercher, ouvre le sachet et me l’enfile avec des doigts experts. Je lance à peine un « Et euh... Charlotte ? » gêné d’avoir changé de lit, qu’Amélie m’a enjambé et s’est empalée sur mon sexe. Je kiffe tellement que je n’entends pas son « On s’en fout ! ».
Chaque va-et-vient est aussi bon que le premier. Je commence même à oublier Amélie tellement les sensations sont fortes. Elle aussi semble m’avoir oublié, et ses sauts sur mon sexe sont de plus en plus bestiaux. Nos cris de plaisir sont de plus en plus forts.
— Ne t’arrête pas, continue ! me crie-t-elle au moment où je ralentis, épuisé et incapable de suivre son rythme.
Je tente tant bien que mal d’accélérer en lui attrapant une fesse dans chaque main pour m’aider. Sa tête vient alors se loger entre mon épaule et mon cou, et je sens son souffle chaud à chaque mouvement de va-et-vient. C’est au moment où elle commence à me mordiller l’oreille que je sens que je vais partir. Elle me sent aussi un peu plus crispé et me glisse à l’oreille :
— Oui vas-y viens !
Je perds le contrôle. Mon corps est pris de spasmes et mon sexe déverse son sperme dans la capote. Mes mains sont agrippées à ses fesses et je la sens elle aussi prendre du plaisir. Après un dernier spasme, tout mon corps se détend, et Amélie s’effondre sur moi.
C’était trop bon.
Nos souffles redescendent doucement, et je lui glisse un merci à l’oreille.
Nos esprits reviennent et je stresse d’un seul coup. Ayant perdu la notion du temps pendant mon dépucelage, je m’inquiète de l’heure qu’il peut être :
— Il est quelle heure ?— Ne t’inquiète pas mon chéri, c’était très bon, mais tu n’as pas tenu si longtemps que ça. On va avoir tout le temps qu’il faut pour aérer, se doucher, manger, et même refaire une sieste.— Ensemble la sieste ? je tente avec un petit sourire narquois.— Bien tenté, mais non, faudrait pas que tu m’empêches encore de me reposer.— Arf tant pis. Moi je n’arriverai plus à dormir en sachant que tu dors à côté.
Elle se retire et se lève du lit. Je me redresse et m’assois au bord du lit. J’attrape la capote pleine de mon sperme et l’enlève de mon sexe ramolli. Elle me tend un mouchoir :
— Tiens, pour faire disparaître les preuves.— Merci.— Ah et puis, il est bien évident que cette « sieste », mime-t-elle entre guillemets, reste entre nous.— Euh oui.— Tu ne dis rien à Matthieu et Louis.— D’accord, dis-je un peu soumis, toujours assis nu comme un ver sur le lit de Charlotte.— Faudrait pas gâcher la surprise à tes deux acolytes. Je leur réserve aussi un petit jeu de piste chacun, et je vous dirai à la fin de la colo qui est le meilleur coup.
A suivre...
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