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Le plan d'Amélie

Chapitre 5

Charlotte, Amélie et compagnie

Orgie / Partouze
-       Matthieu est en surveillance du couloir des chambres ce soir, c’est le moment d’inviter les gars ou d’aller squatter leur chambre.-       On est vraiment parties pour un plan à quatre donc ? me demande Amélie.-       C’est le dernier soir de la colo, et j’ai pas envie de rentrer chez moi sans m’être tapée Louis et Dani. C’était sympa avec toi Amélie, mais j’ai envie de goûter aux bites des gars.-       Comment on se prépare alors ? Si on les attrape toutes les deux en culottes ils tomberont dans notre piège je pense.-       Attends j’ai une idée. Mets-toi en culotte comme tu disais puis mets-toi à quatre pattes par terre dos à la porte en faisant semblant de chercher ta boucle d’oreille. J’envoie un texto aux gars. [SMS,Louis,Charlotte]> Les gars vous pouvez venir nous aider dans la chambre svp ?< Euh ouai pk?> Amélie a perdu une boucle d’oreille par terre et on a besoin de renfort pour nous aider à la chercher< Jarrive> Et Dani ?< Il fini de se préparé et il arrive aussi -       C’est bon ils arrivent. J’espère que Louis baise mieux qu’il écrit par contre ! Amélie est déjà en culotte. Elle porte un tanga noir qui met en valeur la forme de ses fesses. Elle a enlevé une de ses boucles d’oreille pour plus de réalisme qu’elle a cachée dans sa trousse de toilettes. La voir déjà accroupie les fesses en l’air fait monter la température dans ma culotte. Dire que ce sont les mecs qui vont en profiter… A mon tour j’enlève mon short pour accueillir Louis et Dani en petite culotte. Je change mon t-shirt pour mettre celui avec lequel je dors, suffisamment large pour qu’une fois baissée ma poitrine apparaisse. J’en profite pour enlever mon soutien-gorge pour que la vue soit encore plus alléchante. Pour gagner du temps tout à l’heure, je sors la boîte de préservatifs de ma valise et viens placer quelques paquets sous chacun de nos oreillers. J’ai à peine le temps de remettre la boîte dans ma valise que Louis toque à la porte et actionne la poignée. Notre plan a marché. Louis reste scotché à la porte, la poignée dans la main, les yeux fixés sur le derrière d’Amélie. C’est parce que je lui lance un « merci d’être venu aider » qu’il détache son regard de la culotte d’Amélie. Il semble surpris aussi de me voir en petite tenue. Son regard me balaie de haut en bas en s’attardant sur mon bassin, sans doute essayant de distinguer un bout de culotte sous mon t-shirt ample. Il lâche un « avec plaisir » de convenance qui cache mal le double sens de sa pensée. Il entre dans la chambre pour commencer à chercher avec nous, mais je vois bien que son regard s’est fixé à nouveau sur les fesses d’Amélie qui joue très bien son rôle dans notre piège, en balançant légèrement son bassin. Je suis jalouse de l’intérêt que Louis porte à Amélie, mais je me dis que la vue doit lui faire repenser à leur petite partie de jambes en l’air d’il y a quelques jours. J’en suis même convaincue quand je vois la bosse qui se forme dans son short. -       Elle est comment ta boucle d’oreille Amélie ? questionne Louis en s’approchant d’elle.-       Comme ça, montre-t-elle en se redressant vers lui, toujours à genoux par terre, et en lui montrant le bijou resté accrochée à son oreille. 
Amélie, contrairement à moi, a joué la carte du petit débardeur dont les bretelles amples glissent le long de ses épaules. Le tissu très fin et légèrement collé au corps laisse entrevoir parfaitement la forme de ses seins. Louis a du mal à s’intéresser réellement à la boucle d’oreille que lui montre Amélie tellement ses yeux sont attirés par les petites pointes qui se forment sur le débardeur d’Amélie. Amélie s’en rend compte et le laisse profiter de la vue. Notre premier poisson a mordu à l’hameçon. -       Dani arrive bientôt ? j’interroge Louis.-       Il sortait de la douche quand on a reçu ton texto. Il finit de se mettre en pyjama et il arrive.-       Je suis là, annonce Dani passant la porte au moment-même où Louis terminait sa phrase. Je suis ravie de voir que son pyjama consiste en un simple boxer et d’un t-shirt. Lui aussi semble ravi de nous voir Amélie et moi en petite culotte. J’en veux pour preuve son boxer qui se tend rapidement. Les mecs sont tous les mêmes : incapables de voir une culotte sans bander ! -       Bon les mecs, mettez-vous à l’aise pour chercher, dis-je en fermant la porte de la chambre. Ça fait dix minutes qu’on cherche sans succès avec Amélie. Louis tu ne veux pas enlever ton short pour chercher ? Comme ça on sera tous à égalité, et en plus tu sembles un peu à l’étroit dedans. Daniel rougit à m’entendre, sentant peut-être ce qu’il va se passer ensuite. Louis aussi semble avoir compris et, comme me l’avait dit Amélie, se montre un peu plus expérimenté et moins timide : -       Ouais t’as raison, j’ai pas pu me contrôler en voyant les fesses d’Amélie en rentrant dans la chambre. Toi non plus Dani on dirait ?-       Je… euh… Daniel rougit encore plus, tentant de cacher son membre dressé derrière ses mains. -       Viens on se met à l’aise, lance Louis à Daniel, tout en retirant son short.-       Tu me permets ? dis-je tendrement à Daniel en m’approchant de lui en l’attrapant par les hanches sous le t-shirt et juste au-dessus de son boxer. Rouge comme une tomate, Daniel ne sait pas quoi répondre. -       Dit oui Dani, l’encourage Louis. On va passer un bon moment tu vas voir. Je fixe Daniel dans les yeux. Pour être sûre qu’il comprenne bien, je lui attrape une main et vient placer son index dans ma bouche. Je fais tourner ma langue autour de son doigt de manière sensuelle avant de lui reposer la question : -       Tu me permets ?-       Oui, dit-il d’une voix un peu tremblante.-       Allez Dani, sois pas timide, dit-moi un vrai oui ! je l’encourage.-       Oui ! tente-t-il d’affirmer fébrilement. Pour le féliciter je me baisse à genoux devant lui. Je profite de descendre pour attraper son boxer, le faire descendre avec moi et le lui retirer. Son sexe est déjà tendu, gonflé de sang, pointant vers mon visage. Je vais devoir faire attention à ce qu’il ne vienne pas trop vite. Avant d’attaquer, je jette un regard en arrière pour voir où en sont Louis et Amélie. Ils sont tous les deux assis par terre le dos appuyé contre le lit d’Amélie. Ils s’embrassent et se caressent mutuellement à travers leurs sous-vêtements. Je sens que la vue excite aussi Dani car son sexe continue de gonfler alors que je n’ai même pas commencé à le lécher. -       Dani il va falloir être fort. Ce serait bien que tu arrives à te retenir un peu pour faire durer le plaisir, lui dis-je discrètement suivi d’un clin d’œil. Il n’a pas le temps de me répondre que je le décalotte et j’embrasse son gland gorgé de sang. Je sens son sexe frétiller à chacun de mes coups de langue sur sa hampe. J’exerce quelques coups de langue et de succion sur son gland avant de le prendre en bouche complètement. Mon index et mon pouce joints branlent doucement la base de son sexe pendant que ma bouche et ma langue font des allers-retours gourmands. Amélie avait raison, sa bite est propre, bonne en bouche. J’ai presque envie de le sucer jusqu’à éjaculation, mais j’ai peur qu’il soit un peu trop fatigué pour la suite des festivités. Daniel commence à se détendre et à prendre du plaisir. Il m’attrape par le bas des joues pour accompagner les mouvements de ma tête. J’entends derrière mois qu’Amélie et Louis ne s’ennuient pas. Je ne comprends pas bien ce qu’ils peuvent être en train de faire. Je me relève alors et propose à Dani d’aller s’allonger sur mon lit pour pouvoir reprendre ma fellation. Accroupie au-dessus de ses jambes j’arrive à lécher sa bite tout en jetant des regards voyeurs vers Louis et Amélie. Leurs sous-vêtements sont tombés. Louis est allongé à même le sol, Amélie par-dessus lui. Elle a sa bite dans la bouche et il lui bouffe le minou goulûment. Lui qui avait voulu lui faire un cunni la dernière fois, il semble se régaler cette fois. La bouche pleine, Amélie joue avec les bourses de Louis. Elle a l’air de bien le chatouiller tellement il se dandine sous sa partenaire ! -       Je vais venir, me coupe Daniel pendant ma séance de voyeurisme.-       Tu penses que tu seras en forme pour un deuxième round si tu viens ? je lui demande tout en accentuant ma branlette.-       Je pense, tente-t-il.-       Alors ne te retiens pas, je lui ordonne en avalant sa bite à pleine bouche. Je sens rapidement son corps pris de convulsions. Ses mains s’agrippent à mon matelas et son bassin se relève, la bite bien tendue vers le plafond. Je sens soudain un premier jet au fond de ma gorge. Daniel est pris de spasmes, son corps se redresse à chaque giclée qu’il m’envoie. Je suis concentrée à collecter chaque goutte de son sperme mais je l’entends soupirer un "putain c’est bon", alors que son corps de relâche doucement. Daniel a les yeux fermés, les mains détendues et posées sur le matelas, la bite chaude encore dressée et dégoulinante. J’avale son sperme avant de bien nettoyer sa bite à grands coups de langue. Amélie se relève alors en laissant Louis allongé sur le sol, lui aussi la bite frétillante et dressée vers le plafond : -       Tu m’en as laissé Charlotte ou tu as tout avalé ?-       J’ai tout gardé pour moi, mais viens m’embrasser si tu veux le goûter. Je m’assois sur le lit à côté de Daniel qui reprend petit à petit son souffle et ses esprits. Amélie s’approche, se penche vers moi et me roule une énorme pelle comme si elle essayait de venir récolter dans ma bouche un reste de Daniel. Par peur de ramollir, Louis s’est relevé et vient présenter son sexe à l’entrée du vagin d’Amélie. -       Hop hop hop, petit jedi ! Tu as oublié d’emballer ton sabre laser, je l’arrête avant qu’il n’aille plus loin.  Dani, les capotes sont sous l’oreiller, t’en passes une à Louis ? Réveillé dans ses songes lubriques, Daniel se redresse et s’assoit à côté de moi. Il tend une capote à Louis qui d’une main experte déchire l’emballage et enfile rapidement le préservatif. Amélie a à peine le temps de s’appuyer sur le rebord du lit, la tête entre mes deux seins encore cachés par un bout de tissu, que Louis s’enfonce en elle dans un râle masculin. À chaque coup de bassin, il envoie Amélie cogner contre ma poitrine. À côté de moi Daniel est témoin de la scène et semble regarder d’un air admiratif et instruit comment son pote est en train de baiser sauvagement Amélie. Maintenant habituée à la fréquence des coups de bassin de Louis, Amélie semble reprendre la maîtrise de son plaisir. Elle décale ses bras vers la gauche pour venir se positionner face à Daniel, toujours penchée en avant et besognée par un Louis énergique. D’une main, elle saisit le sexe flasque de Daniel, commence à le branler avant de le sucer. Elle cherche à lui redonner de la vigueur après qu’il se soit déjà vidé une fois. Quel chanceux ce Dani ! Je profite qu’Amélie s’occupe des deux garçons (si ce ne sont eux qui s’occupent d’Amélie) pour me lever du lit et me déshabiller, presque gênée d’être la dernière à me foutre à poil. Une fois nue comme un ver, je viens me placer derrière Louis et je l’enlace en le caressant des tétons jusqu’au pubis. Mes mains longent ensuite ses fesses, remontent dans son dos jusqu’au cou, puis recommencent leur exploration. -       Garde un peu de force pour moi hein ? Je lui susurre sensuellement à l’oreille.-       Dani, t’es prêt pour baiser Amélie ? Je t’ai préparé le terrain, lance Louis à son pote, sous-entendant qu’il pourra s’occuper de moi ensuite.-       Je pense qu’il est prêt, annonce Amélie et se redressant et en découvrant la bite de Daniel à nouveau tendue et gonflée de sang. Je veux que tu me prennes par derrière cette fois Dani. En se redressant, Amélie échappe mécaniquement à l’emprise de Louis. Elle grimpe à quatre pattes sur mon lit, se cambre en pointant ses fesses en direction de Daniel qui ne l’a pas lâchée des yeux, puis lui tend une capote trouvée sous l’oreiller. -       Baise-moi comme un homme Dani ! L’encourage-t-elle. Daniel vient se positionner derrière Amélie, à genoux sur le matelas et enfile précautionneusement le préservatif. Il saisit les hanches d’Amélie puis approche le bout de son sexe emballé dans le latex vers la chatte d’Amélie. On a comme l’impression que sa bite est avalée par la chatte d’Amélie. Daniel prend petit à petit confiance et commence à besogner de plus en plus fort Amélie dont les cris de jouissance ne font que l’encourager. Pendant ce temps, Louis a changé de capote. Il m’attrape lui aussi par les hanches et me guide vers le lit d’Amélie où il me force à me mettre à quatre pattes. À mon tour je cambre les fesses dans sa direction, et c’est d’abord sa langue chaude qui vient au contact de mon clitoris. Frottant successivement l’entrée de mon vagin avec ses lèvres ou le bout de son nez, ce sont les succions sur mon clito qui déclenchent l’inondation de cyprine dans sa bouche. Amélie devait avoir bien du mal tout à l’heure à se concentrer sur sa fellation s’il lui procurait autant de plaisir ! Me sentant prête à le recevoir, Louis vient présenter son sexe à l’entrée de mon vagin. Voyant qu’il rentre facilement du premier coup, il commence lui aussi à me besogner énergiquement. Quelle belle scène on doit faire Amélie et moi à nous faire prendre en levrette par ces deux mâles en rut ! -       Tu kiffes Dani ? lance Louis à son pote.-       Grave, lui répond ce dernier en ne lâchant pas Amélie des yeux et en ne se déconcentrant pas. Ce coquin de Louis accélère ses va-et-vient et commence à me caresser l’anus avec son pouce qu’il a préalablement humidifié avec la cyprine qui coule de ma chatte. Je le sens s’agripper fermement à mes fesses et appuyer de plus en plus fort sur mon trou, jusqu’à y faire coulisser son doigt. -       Désolé de briser tes rêves, mais je ne suis pas assez large du cul.-       T’inquiète pas. Au moins ça m’excite.-       Tant mieux. Je ressens beaucoup de plaisir avec cette phalange enfoncée dans mon anus et cette bite qui me ramone la chatte. Je sens que je m’abandonne malgré moi à mes sensations et que je me laisse posséder par Louis. À chaque coup de bassin, mes cris de plus en plus forts viennent masquer le bruit de ses couilles qui claquent contre mes fesses. Amélie aussi crie de plus en plus fort. Je ne sais pas si nos sensations sont synchronisées, mais nous semblons atteindre l’orgasme quasiment en même temps. Amélie lâche un dernier râle en s’affalant sur mon lit. Comme par réflexe, Daniel attrape sa bite pour se masturber et finit par gicler dans son préservatif. Quelques secondes plus tard, je sens la bite de Louis dans ma chatte qui explose dans la capote. En serrant son emprise sur mes hanches, j’ai l’impression que son pouce s’est enfoncé entièrement dans mon cul. J’ai envie de m’écrouler aussi sur le lit mais Louis me retient. Je dois attendre que son corps se relâche pour libérer ma chatte de son sexe et m’affaler sur le matelas. Tous les 4 épuisés, nous reprenons notre souffle doucement. Je crois déceler un regard de fierté chez Dani qui a su réellement donner du plaisir à Amélie. -       Le pauvre Matthieu a raté quelque chose dites-donc, s’exclame Louis.-       C’était calculé, on vous voulait que tous les deux, lui réponds-je.-       Et encore vous avez de la chance, Charlotte ne devait en choisir qu’un au départ, ajoute Amélie.-       Comment ça en choisir qu’un ? questionne Louis.-       J’avais missionné Amélie pour vous tester et qu’elle me dise qui était le meilleur coup. Mais elle n’a pas su se décider entre vous deux, alors j’ai voulu vous voir tous les deux. Et comme Amélie est gourmande, et jalouse, elle a voulu en reprendre un petit coup !-       Ah ouais carrément, s’étonne Louis. Je trouve ça bizarre comme concept, mais je dois avouer être ravi de m’être tapé deux meufs comme vous. Toi aussi Dani ?-       C’est cool ouais. Après moi j’ai juste baisé Amélie techniquement.-       Regardez-moi ce gourmand qui en redemande, je m’esclaffe. T’as quand même joui dans ma bouche tout à l’heure !-       Oui, oui. Mais je…-       T’inquiète j’ai compris. Tiens décale-toi Louis s’il te plait. Ton pote a encore envie de me baiser. D’un mouvement de bras j’écarte Louis vers la tête du lit, et je m’allonge sur le dos. La tête confortablement posée sur l’oreiller, j’écarte les jambes en l’air et j’appelle Daniel : -       La porte est ouverte. Je t’attends Dani. Vite avant que j’attrape froid ! Comme reboosté, Daniel se lève de mon lit et vient se placer à genoux entre mes jambes écartées. Il fixe successivement ma chatte encore en feu et son sexe ramollit comme s’il avait déjà oublié comment faire. -       Tu sais quoi ? je lui demande. Je crois qu’il va falloir que tu me lèches un peu d’abord pour m’humidifier à nouveau. Ça te laissera le temps de rebander. Et tiens, ce sera pour après, j’ajoute en lui tendant un préservatif fraîchement sorti de sous l’oreiller.-       Y’a des capotes cachées partout ici, s’amuse Louis.-       Tu veux pas aller t’occuper d’Amélie plutôt que de rester là. C’est chelou de te voir en contre-plongée nu comme ça.-       Faut encore que je reprenne mes esprits, lance Amélie qui semble avoir effectivement encore besoin de respirer un coup.-       Tu vois, moi d’ici, j’ai plutôt envie de m’installer comme ça, explique Louis tout en venant se positionner de telle manière que ma tête se retrouve entre ses genoux, et de te poser mes couilles sur le visage. Avec Daniel qui a plongé sa tête entre mes jambes et sa langue qui commence à chercher ses repères autour de mon clito, j’avoue être amusée par la proposition de Louis. Ses couilles vidées viennent se poser sur mon nez, et sa bite molle et chaude vient au contact de mes lèvres. Je fais apparaître le bout de ma langue et lui léchouille le bout du gland. Il a logiquement le goût du sperme et je soupçonne Louis d’avoir volontairement laissé de sa semence sur sa bite en retirant le préservatif. Il fait onduler son bassin au-dessus de mon visage pour apporter au contact de mes lèvres ses bourses, puis à nouveau son gland. Entre mes jambes Daniel a enfin trouvé comment me donner un peu de plaisir. Il faut dire que ma chatte est plus sensible que d’habitude et que ses coups de langue me font facilement frétiller d’envie. Sa salive apporte un peu de fraîcheur à ma chatte en chaleur, et bien que je me sente prête à l’accueillir à l’intérieur de moi, je le laisse volontairement prolonger son cunni. J’apprécie sa douceur et sa délicatesse et je veux faire durer un peu ce moment avant qu’il s’introduise en moi bestialement. -       C’est bon Dani, merci. Tu peux enfiler la capote avant de m’enfiler. Sa tête émerge d’entre mes cuisses. Son sexe a eu le temps de se gonfler à nouveau, et il enfile sans aucun mal le préservatif. Il faut dire qu’il commence à avoir un peu d’expérience. Il se rapproche de moi, me saisit les cuisses et commence à approcher son sexe de ma chatte. Je viens d’une main l’aider à trouver son chemin, et grande ouverte que je suis, il rentre comme dans du beurre. Je sens quand même ma chatte un peu fatiguée. -       Fais attention quand même, j’ai déjà pris cher ce soir. Baise-moi avec douceur s’il te plait. Je sens de toute façon qu’il a moins d’énergie que lorsque qu’il baisait Amélie. Il est déjà venu deux fois ce soir après tout. Ses va-et-vient sont à la fois doux et profonds. Avec une bite dans la chatte et une bite dans la bouche, je me sens comblée. Ce n’était finalement pas une mauvaise idée d’inviter les deux gars en même temps. Amélie qui s’est remise de ses émotions s’est relevée du lit et se nettoie les parties intimes. -       Tu monopolises toutes les bites Charlotte, me reproche-t-elle faussement en rigolant et en s’approchant du lit.-       Désolée, je lui réponds de manière inaudible à cause du chibre dans ma bouche.-       On ne parle pas la bouche pleine, se moque Louis en retirant sa bite de ma bouche et en me biflant le front.-       Viens m’aider avec cette bite sauvage si tu veux Amélie. Amélie comprend mon invitation et vient se positionner à quatre pattes au-dessus de moi. Sa bouche attaque alors langoureusement la bite de Louis, prise en sandwich entre nos deux langues gourmandes. Elle offre à Daniel une vue parfaite sur ses deux trous en redressant sa croupe. -       Tu peux toucher avec autre chose que les yeux Dani, l’invite Amélie. Ses deux mains quittent l’emprise de mes cuisses pour lui claquer les fesses. Je suis un peu jalouse car Amélie vole la concentration de Daniel et ses coups de bassins se font plus robotiques. -       J’aurai aimé avoir deux bites pour vous baiser en même temps, fantasme-t-il. J’entends aux bruits de chatte mouillée qu’il a enfoncé ses doigts dans Amélie. Ça a pour effet de faire onduler Amélie dont les seins viennent se frotter aux miens. La bite de Louis a également repris toute sa vigueur, excitée par nos deux langues. Lui aussi fait des mouvements de bassins comme s’il baisait nos bouches. Son gland se retrouve successivement aspirer par Amélie, puis par moi. -       Il faudra me donner votre consigne d’éjaculation les filles, nous interroge Louis. Je viens dans une bouche ou pas ?-       Non, surprend-nous. Ça viendra où ça viendra. Parfois j’ai comme l’impression qu’Amélie cherche à me rouler une pelle, mais qu’une bite vient l’en empêcher. Le contact de nos langues participe à mon excitation générale. Avec ces trois corps au-dessus de moi, une bite qui coulisse de plus en plus vite dans ma chatte, une bite chaude qui envahit ma bouche, et Amélie qui se frotte à mes seins, je sens que je m’abandonne à eux. Je me relâche tellement que mon cerveau passe en mode automatique et mes coups de langues sur la bite de Louis sont plus des réflexes qu’autre chose. Jusqu’à ce qu’un liquide chaud vienne s’écraser de mes lèvres à ma poitrine en passant par mon cou et mon menton. Je suis réveillée de ma transe par le râle sourd de Louis. Je ne reçois qu’une giclée sur mon corps car Amélie se précipite à gober la bite de Louis pour avaler directement le reste de sa semence. Elle ramasse ensuite avec sa langue le sperme sur ma peau. Elle m’offre en même temps qu’un baiser langoureux une dose de sperme encore chaud et légèrement salé. Je ne sais pas si c’est ce baiser lesbien plein de sperme qui fait jouir Daniel, mais je sens dans ma chatte ses derniers coups de bites profonds et tendus. Je me sens vide lorsqu’il se retire et je sens comme un léger courant d’air dans mon vagin qui me fait fermer immédiatement le compas. C’est la fin de la partie de jambe en l’air. Nous sommes tous les 4 silencieux en train de nous nettoyer et de nous observer une dernière fois nus, sachant sans doute que c’est la dernière fois que l’on partagera autant notre intimité. Il y a des vêtements et des capotes pleines qui trainent partout par terre entre les deux lits. On ne sait plus qu’est-ce qui appartient à qui. On semble tous crevés de fatigue, mais on peut lire sur les traits détendus de nos visages qu’on a pris notre pied. Ça sent la fin de la colo.                                                             -      On se revoit l’année prochaine ? nous demande le puceau dépucelé.
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