Un plan Q à trois avec une beurette soumise ! Les deux hommes obligèrent Sara, la beurette soumise, à se retourner sur le ventre, guidant ses cuisses afin de les replier sous elle, les forçant à s’écarter, jusqu’à ce que Sara se retrouve les seins aplatis sur le tissu soyeux, les fesses en l’air, exposée comme jamais elle ne l’avait été. Mais au fond d’elle, c’est qu’elle voulait : — Je suis votre pute, faites ce que vous voulez »— T’inquiète pas, on ne va pas te demander la permission. T’as voulu être soumise, maintenant tu vas assumer le coup de bites que tu vas recevoir. La petite beurette de quartier resta ainsi un moment, sentant l’air glisser sur son sexe nu et le rouge monter à son visage, consciente à l’extrême que ses mains liées lui interdisaient tout mouvement. Que faisaient ses deux partenaires ? Se déshabillaient-ils ? Se contentaient-ils de la regarder ? Sans voir les deux hommes, la beurette soumise avait l’impression que leurs regards brûlaient sa peau. À la fois honteuse et émoustillée, elle sentait l’excitation se répandre dans tout son corps, gênée à l’idée que les deux hommes ne pouvaient que s’en rendre compte. Son désir grandissait et malgré elle, la beurette soumise laissa échapper un gémissement sans équivoque, puis un autre, jusqu’à ce qu’un sexe d’homme s’insinue entre ses jambes, la pénétrant à demi, refusant d’aller plus loin. Son tourmenteur savait ce qu’il faisait... Sara crut qu’elle allait hurler de frustration. La situation la plongeait dans une attente torturante... Et délicieuse. Une main s’enfouit dans ses cheveux, rejetant sa tête en arrière en même temps qu’un sexe d’homme pénétrait sa bouche. Une étrange sensation saisit alors Sara, la petite beurette de quartier. — allez suce ma salope. Deux bites rien que pour toi à vider.— huuuum huuuuum huuuuuuum. Dans sa tête, elle adorait ça. La beurette de quartier eut envie de se donner entière à cette caresse, de défier cet homme en le faisant hurler de plaisir. Elle aurait voulu avoir les mains libres afin de mieux le caresser, mais elle ne pouvait se cacher que cette position soumise l’excitait comme jamais. Derrière elle, son autre partenaire n’était pas en reste, et Sara peinait de plus en plus à se concentrer. À la fois honteuse et frustrée, la beurette soumise laissa échapper un gémissement étouffé, ses hanches ondulant malgré elle, incapable de se retenir de se cambrer à l’extrême, impatiente de ressentir le plaisir. L’homme devant elle saisit sa chevelure à pleines mains. La beurette de quartier sentit qu’il approchait de la jouissance et se retenait. Elle, elle avait lâché prise, et ne se contrôlait plus. Les reins cambrés, les jambes écartelées, elle appelait de tout son corps le sexe de son deuxième partenaire. Celui-ci lui donna enfin satisfaction, la pénétrant d’un seul coup de reins, s’activant en elle au même rythme qu’elle caressait de sa bouche le sexe de l’autre homme. Sara n’avait jamais rien connu de tel. Son corps lui semblait en feu, entre cet homme empoignant sa chevelure afin de la guider selon son désir, et les coups de boutoir de son autre partenaire, qui s’enfonçait chaque fois plus profondément en elle tout en pétrissant ses seins sans ménagement. Quand le plaisir surgit, ce fut avec une violence inouïe, une jouissance comme elle n’en avait jamais éprouvé qui se répandit jusqu’aux moindres extrémités de son corps. La beurette de quartier craignit de s’évanouir, mais lorsque les deux hommes explosèrent, sa bouche libérée hurla en même temps qu’eux. La beurette soumise se laissa aller sur le lit, épuisée. Le relâchement de son corps après une telle jouissance la plongeait dans une douce béatitude.
