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Le plateau de café

Chapitre 1

Travesti / Trans
Juin 2014, après six mois de galères après un déménagement forcé, je viens enfin de trouver un job.Rien de très impressionnant mais ce boulot de classement et de numérisation des archives de ce cabinet d’avocat me permet de remettre les pieds à l’étrier. J’arrivais bientôt en fin de droits et au bout de mes économies. Ce travail bien que temporaire et prévu pour durer six mois me permettait de renouveler mes droits au chômage mais surtout d’avoir un salaire correct et l’envie de me lever tous les matins.Le cabinet composé de quatre avocats, deux juristes et une secrétaire était dirigé par Jean Paul, un homme âgé de 55 ans, il avait par son travail et sa rigueur monté un des cabinets d’avocat les plus renommés de la ville. J’avais intégré l’équipe depuis quelques semaines, le travail était fastidieux devant numériser l’ensemble des archives et les classer sur un serveur, je passais la majorité de mon temps dans le sous-sol à manipuler des centaines de pages de dossiers par jour. Le matériel mis à ma disposition, me permettait de travailler plusieurs dossiers en même temps.Je rendais compte à Jean Paul régulièrement de l’état d’avancement de mon travail. Le reste du temps, je travaillais en autonomie et seule Karine la secrétaire venait me rendre visite. Un jour alors que j’étais occupé à enlever le bourrage d’un des scanners, Karine venait m’apporter un café. Je ne l’avais pas entendue arriver derrière moi et je me redressais subitement. Le plateau s’envolait, le café atterrit sur mon pantalon me brûlant au passage avant de s’étaler au sol et de nous éclabousser tous les deux. Karine d’abord en colère finit par rire en voyant la tache de café au centre de mon pantalon et sur les jambes. Elle avait du café sur ses chaussures et son collant.
— Ah ben nous voilà beaux maintenant— Je suis désolé, je ne t’ai pas entendue arriver— Ce n’est pas très grave pour moi en tout cas, un coup de chiffon sur mes chaussures et je vais changer de collant, j’en ai toujours un de rechange dans mon sac à main mais toi tu es sacrément tâché.— Oui, et moi je n’ai pas de quoi me changer dans mon sac à main
Nous sommes repartis à rire. Je ramassai les tasses et le plateau, les redonnant à Karine.
— Bon pour le café c’est raté— Je vais me nettoyer et me changer, tu veux quelque chose pour toi.— On ne va pas pouvoir y faire grand-chose.— Tout le monde va partir d’ici une heure, il ne reste que Marc et Stéphane, les avocats sont au tribunal et ne vont pas repasser par ici ce soir, je viens te voir quand tout le monde est parti.— OK comme ça je pourrais quitter ma grotte sans qu’on y voie les dégâts.— Tu vas juste devoir rentrer comme ça
Elle éclata de nouveau de rire.
— Je te déposerais chez toi je ne vais pas te laisser rentrer en bus ainsi.— C’est gentil mais je ne veux pas te déranger— Je suis toute seule ce soir, mon mari est en déplacement jusqu’à dimanche et les enfants sont chez mes parents en vacances pour 2 semaines donc je ne suis pas pressée de rentrer.
— C’est sympa, à tout à l’heure.
Je finissais ma journée en prenant soin de ne pas monter. Karine descendit vers 18h, elle avait changé de collant, ce dernier était noir et non plus clair comme tout à l’heure. Elle avait ôté ses escarpins pour enfiler une paire de tennis.
— Tiens j’ai trouvé un pantalon pour toi, j’y ai repensé après être montée, j’en ai un en cas de soucis dans le placard du bureau.— Je ne suis pas sûr de rentrer là-dedans.— Mais si, la taille est élastique et il est assez large.— Bon OK j’en ai assez de sentir le café et d’être mouillé.— Oui je ne voudrais pas avoir du passé autant de temps que toi dans cet état.
Je me glissais derrière un rayonnage pour ôter mon pantalon et enfiler celui de Karine. Mon caleçon étant dans le même état que mon pantalon, je décidais de l’enlever également.
— Alors, ça va ?— Oui, il me serre un peu au niveau de la taille.— C’est ça ou alors ma jupe qui elle à une taille élastique et donc suffisamment extensible pour toi.— Très drôle Karine— Bon, tu sors de ta cachette ?— J’arrive— Ce n’est pas si mal que ça, bon il est taille haute c’est pour ça, tu n’as pas l’habitude.— Non de porter un pantalon de femme c’est une première.— Bon, je te remmène, ou tu rentres en bus ?— Je veux bien que tu me déposes.
Nous avons rejoint sa voiture, heureusement, il faisait noir et nous avions accès au parking par la porte arrière de l’immeuble. Après une petite demi-heure de voiture, nous sommes arrivés au pied de mon immeuble. Je proposais à Karine de venir prendre un verre.
— Avec plaisir— C’est la moindre des choses.
Nous sommes arrivés au 4e étage, et rentrés dans mon petit appartement. Composé d’une pièce principale salon, cuisine, d’une chambre et d’une salle de bain, je ne pouvais pour l’instant m’offrir plus. Le mobilier assez sommaire, un canapé, une table basse, 2 tabourets contre le comptoir servant de séparation avec la cuisine, une bibliothèque où s’entassaient des dizaines de livres, un meuble télé, je me contentais de peu. C’est le minimum que j’avais récupéré de mon divorce houleux avec ma femme.
— Mets-toi à l’aise et installe-toi— Merci— Tu veux boire quoi, j’ai de la bière, du vin blanc ou rosé et du martini rouge.— Un martini si tu as du citron— J’ai ça
Je préparais deux verres et m’installais à côté de Karine. C’est en m’asseyant que je me rappelais que je portais le pantalon de Karine quand ce dernier entra entre mes fesses.
— Je vais me changer— Pourquoi ? tu sais il te va plutôt bien ce pantalon.— Il est un peu trop moulant à mon goût— Au contraire, il te fait de jolies petites fesses.— Bien sûr, mais je pense qu’il te va sûrement mieux qu’à moi.— Honnêtement, non, il a toujours été un peu large, je le laisse au travail pour son côté classique qui s’accorde avec tout.— Merci mais bon je vais enfiler un jean, je le passerais à la machine avant de te le rendre.— Non, garde-le pour l’instant— Tu es folle— Un peu oui, mais j’ai toujours aimé les garçons androgynes et c’est l’effet du pantalon sur toi.— Je n’ai jamais été une pédale— Tout de suite les clichés, non tu es juste très élégant avec un pantalon ajusté, plus qu’avec tes pantalons sans formes que tu portes habituellement.— Sympa ta remarque.— Avoue que tu ne t’habilles pas avec goût.— Non, ça n’a jamais fait partie de mes priorités— Allez trinquons. — Et à quoi on trinque ?— Disons à notre drôle de journée— Oui c’est pas mal ça
Nous avons passé un long moment à discuter, elle me raconta sa vie de famille et je lui racontais mon arrivée en ville suite à mon divorce et mon besoin de changer d’environnement. Vers 10h je commandais des pizzas pour le dîner. Elle quitta la maison vers 1h du matin après que nous ayons continué nos bavardages. Je me déshabillais en réalisant que j’avais fini par passer la soirée dans le pantalon de Karine. Je le posais sur une chaise et filais me coucher. Le lendemain matin, je repartais au travail en ayant oublié de reprendre le pantalon. Je retrouvais Karine à son bureau, après la bise de rigueur, je lui expliquais que je lui rendrais son pantalon après l’avoir lavé.
— Il n’y a pas de soucis, je ne le porte pas de toute façon. Dis-moi tu serais disponible à midi ?— Oui pourquoi ?— J’ai envie de faire un peu de shopping, comme c’est vendredi et qu’on a fait des heures sup toute la semaine, Jean Paul nous autorise à prendre l’après-midi.— Je vais prendre du retard sur mon planning.— Mais non, profite un peu, Jean Paul a vu ton travail, il est très content et t’autorise un après-midi de pause.— Bon alors OK, je te retrouve à midi et je t’invite.— Non ce midi ce sera moi.— OK
Je passais ma matinée à scanner et archiver un maximum de dossiers afin de tenir mon objectif hebdomadaire. A midi, Karine m’appela par l’interphone. Je remontais du sous-sol pour la rejoindre dans le hall. Egale à elle-même, toute en élégance qui accentuait sa féminité, elle portait un joli tailleur gris clair réhaussé par une écharpe rouge. Elle enfila son long manteau et prit son sac à main. Nous sortîmes de l’immeuble pour rejoindre sa voiture et nous avons filé vers l’extérieur de la ville dans la grande zone commerciale. Pour le déjeuner, direction, la galerie commerciale de la grande surface qui disposait de toutes sortes de restaurants. Brasserie, pizzeria, fast-food, elle choisit une brasserie située en face d’une entrée. La discussion porta rapidement sur les vêtements, le style, les formes, les couleurs. Elle me faisait remarquer les tenues des femmes qui rentraient, celles des garçons, me demandant régulièrement mon avis. Je répondais machinalement sur telle ou telle tenue, la mode n’ayant jamais été une préoccupation pour moi.
— Bon et si on commençait notre virée shopping ?— Si tu veux.
Nous avons commencé par des boutiques pour hommes où elle me fit essayer et acheter des jeans serrés, des chemises près du corps, ces dernières dans des couleurs pastel. Nous avons fini par un magasin de prêt-à-porter mixte. Elle passait de rayon en rayon côté femme, sortant tantôt un chemisier, tantôt un pantalon ou une jupe. Elle me les faisait porter, empilés sur mes bras. Lorsqu’elle se dirigea vers les cabines d’essayage, elle me fit un grand sourire.
— Vas-y rentre— Pardon— Entre dans la cabine
Je m’exécutais, le magasin quasi désert à cette heure proche de la fermeture, je me demandais ce qu’elle attendait de moi. Elle tira le rideau en m’ayant pris des bras toutes les affaires qu’elle y avait empilées.
— Déshabille-toi et attends
J’enlevais mon pantalon et ma chemise. Par le côté du rideau, elle me passa un pantalon et un chemisier rose.
— Essaye ça— Mais c’est pour les femmes— Et alors, tu en portais bien un hier soir, essaye-les, juste pour te rendre compte qu’un homme peut porter une tenue féminine sans faire clown.
J’enfilais le chemisier et le pantalon, encore un modèle taille haute, avec une double rangée de boutons, il me fit un ventre plat immédiatement, lui signifiant que j’étais habillé, elle écarta le bord du rideau pour regarder.
— Sublime, tu es fait pour ce genre de pantalon, une taille fine, un ventre plat, ça te va à merveille.
Il est vrai que ma silhouette que me renvoyait le miroir était élégante, les fesses moulées dans le pantalon, la taille bien, dessinée, le chemisier en satin rose accentuait ce côté sexy.
— C’est joli mais je ne me vois pas sortir comme ça dans la rue.— Et comment tu te sens dedans ?— C’est super agréable à porter.— Tu vois et en plus la tenue te plaît.— J’aime bien oui mais c’est vraiment une tenue de femme.— Un peu oui, bon maintenant passons à une autre tenue.— Quel genre ?— Surprise, enlève celle-là et je te passe la suivante.— OK
Je ne contestais absolument pas ce qu’elle me demandait, si elle voulait me voir essayer ce dont elle avait envie, je le ferais, pas spécialement par envie, juste pour lui faire plaisir et passer du temps avec elle. Je la savais mariée, mais depuis des mois, une personne m’accordait du temps et juste pour ça, je souhaitais faire durer ce moment. Je vis apparaître une jupe rouge, et un haut, pas un t-shirt ou un autre chemisier mais un body. Mon ex-femme en portait parfois et je trouvais cela très sexy et on ne peut plus féminin. Ce dernier, noir, était brillant, arrondi dans le dos.
— Tu enfiles d’abord le body et ensuite la jupe— C’est un peu trop là— Ecoute c’est juste pour plaisanter, vas-y— Tu vas trop loin— Tu préfères que je te plante là ?— Non mais pourquoi tu me fais essayer des fringues de femmes ?— Parce que je suis certaine que tu vas aimer ça. Je vois bien comment tu me regardes quand je suis habillée. Tu n’as pas un regard pervers du genre à me déshabiller mais plutôt celui de quelqu’un qui prend plaisir à regarder les tenues des femmes, je t’ai observé pendant le déjeuner, tu commentais spécialement les femmes en jupe ou robe avec une lueur dans ton regard.
Je finis par passer la tenue qu’elle m’avait donnée. Et c’est rouge de honte que je lui indiquais quand j’eus fini. La jupe étroite, le body plaqué sur mon torse, soyeux, très doux. Cela me provoqua une érection que je ne pouvais pas masquer.
— Tu es magnifique. — Je ne ressemble à rien oui— Tourne-toi, très jolies fesses, mais bon c’est sûr qu’avec tes poils ce n’est pas le top mais la jupe te sied à ravir et le body est parfait.— Bon c’est fini on arrête maintenant tu as bien profité.— Oui on va rentrer chez toi mais avant, tu passes à la caisse avec les vêtements. J’ai juste un truc à faire et je te rejoins à la voiture.— Tu veux que j’achète ces fringues ?— Ben oui tu pensais que je les ai choisis juste pour un essayage ?— Oui— Tu es mignon, non c’est pour que tu aies des fringues féminines. — Je n’ai pas envie, tu m’as déjà fait acheter des fringues tout à l’heure.— Oui, des tenues plus jeunes et plus adaptées à ta morphologie, mais ceux-là c’est juste pour toi et te faire plaisir chez toi.— Je n’ai pas envie de porter ces fringues— Je pense le contraire vu l’effet qu’ont eu sur toi la jupe et le body.
Une nouvelle fois je cédais et partis à la caisse avec les vêtements. Elle me laissa seul, je l’attendais à la voiture où elle me rejoignit en portant un sac qu’elle posa dans le coffre sans que je puisse voir l’intérieur. Nous avons regagné mon appartement.
— Maintenant j’ai une surprise pour toi— Encore tu ne crois pas m’en avoir fait assez— Ouvre le sac, c’est tout pour toi
J’y découvrais deux ensembles de lingerie, un blanc et un noir, ainsi que plusieurs collants et bas.
— Tu es folle— Non, je viens de découvrir une copine— Une copine— Oui je pense que dès que tu auras essayé une tenue complète de femme, tu y prendras goût et tu deviendras aussi féminine que moi.— Je ne comprends rien à ce que tu racontes. — Laisse-moi faire et tu vas comprendre.
Dubitative, elle m’indiqua ce qu’elle attendait de moi, je me mis en caleçon avant de la rejoindre dans ma salle de bain. Elle m’installa sur un tabouret et commença une épilation à la cire qui fût une torture. Quand elle m’ordonna d’ôter mon caleçon, je refusais. Je reçus pour toute réponse une claque sur la joue.
— Ce n’est pas une demande, tu fais ce que je te dis c’est tout.
Obéissant à sa demande, nu face à elle, honteux de cette humiliation, je la laissais me poser la crème épilatoire sur le sexe, entre les jambes, sur mon derrière.
— C’est bien, tu es une gentille fille. Désormais quand je te dis quelque chose tu obéis sans discuter.
Elle continua en me passant une crème qui sentait la vanille sur toutes les parties de mon corps qui avaient été épilées. Elle me fit enfiler les dessous blancs, le shorty qui dessina mes deux globes fessiers, puis un collant fin, brillant, quelle douceur sur mes jambes nues, je bandais de nouveau. Elle m’enfila le soutien-gorge, puis le body et fini par la jupe. Elle me demanda de ma rassoir sur le tabouret dos au miroir. Elle sortit de son sac à main tout un tas de produits de beauté. Elle passa de longues minutes à les appliquer, les joues, les yeux, les lèvres, je me doutais de ce qui se passait mais je ne pouvais pas voir le résultat. Après un long moment, elle tourna le tabouret face au miroir. Le maquillage, la tenue, une très grande féminité se dégageait de moi.
— Tu vois une vraie femme.— C’est fou— Oui je me doutais bien que tu serais belle avec tes traits fins et ton corps de femme— Mais comment as-tu pu penser ça ?— Hier quand je t’ai vu dans mon pantalon, ta taille de guêpe, m’a donnée envie de voir à quoi tu ressemblerais en femme.— C’est une drôle d’idée— Je faisais ça avec mon frère quand il était jeune. J’ai toujours aimé transformer les garçons en fille. Mon mari n’a jamais aimé l’idée mais comme tu t’es laissé faire quand je t’ai demandé de garder le pantalon hier je me suis dit que je pourrais essayer d’aller plus loin.— Je n’en reviens pas de ce que tu as fait, me transformer comme ça. Et en plus je me vois jolie, féminine et j’aime cette image de moi.— Je suis contente, bon tu nous fais à manger et on passe une soirée entre copines.— Si tu veux. Je n’ai pas grand-chose, je peux te faire des pâtes avec des lardons ou alors on commande.— Les pâtes, ça ira très bien.
Alors que je m’activais dans la cuisine sentant mes pas retenus par la jupe serrée, l’air s’engouffrant dessous, je prenais de plus en plus de plaisir dans cette tenue que je découvrais avec bonheur. Karine me regardait évoluer, souriante.
— Alors comment te sens-tu ?— Très bien— Et la jupe ?— C’est très agréable, je vous trouvais belle quand je vous voyais en jupe, maintenant je comprends le plaisir d’en porter une.— Je suis heureuse que tu aimes ça.— Et les dessous ?— Etrange d’être un peu à l’étroit mais quelle douceur la dentelle, le collant sur les jambes, j’adore.
Elle s’approcha de moi pour caresser mes jambes gainées en remontant sous ma jupe.
— Petite coquine, ça te fait beaucoup d’effet.— J’avoue, je n’arrive pas à me calmer— Tu vas découvrir de nouveau plaisir ma puce.— Ma puce ?— Christelle, je pense que je vais t’appeler Christelle— Christelle, pourquoi pas, pour une soirée entre filles.— Entre copines.
Nous passâmes la soirée ainsi, elle continuant à me parler au féminin et moi acceptant de plus en plus de l’être. Elle quitta l’appartement vers 2h du matin, je ne pus ni me démaquiller ni me changer, je me couchais donc ainsi habillée en femme. Au réveil, le maquillage avait coulé, j’envoyais un SMS à Karine lui demandant que faire. Elle me répondit qu’elle avait laissé du démaquillant dans la salle de bain. Si je pus enlever le maquillage, je ne voulais pas ôter ma jupe et mon body, je déambulais ainsi habillée toute la journée à l’appartement. Le soir après une douche, je passais le pantalon et le chemisier et en changeant mes dessous. Je fis une machine avec la jupe et les autres affaires en y mettant le pantalon de Karine.
— Je te rapporte ton pantalon lundi — Non tu peux le garder, cadeau — Tu es sûre ? — Oui — Merci — Habillée comment ? fille/garçon — Fille — Jupe — Pantalon et chemisier — Avec les dessous — Oui — C’est super Christelle — A demain — A demain
Ce fut mon premier de très nombreux week-ends et moments en femme.
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