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Le plateau de café

Chapitre 7

Je suis une femme

Travesti / Trans
Je profitai donc de cette journée pour aller faire des courses. Un texto à Karine qui me proposa de me retrouver dans la galerie commerciale du centre-ville. Lui ayant parlé de la visite de Jean-Paul ce matin et de son envie de revenir ce soir. Je décidai donc ce matin d’aller acheter de quoi faire le dîner. J’optai pour un dîner simple, salade de gésier, plateau de fromage et glace en dessert. Une fois mes courses faites, je rejoignis Karine.
— Bonjour ma chérie— Bonjour Karine— Alors ma belle, tu es heureuse ? — Oui, j’ai été surprise de la visite de Jean-Paul ce matin— Je crois que tu lui plais vraiment énormément— J’ai envie de lui faire plaisir et acheter un bel ensemble de lingerie. Tu sais ce qui pourrait lui plaire ? — Je pense oui, je te propose d’aller chez Aubade, on trouvera tout ce qu’il te faut. — Super, j’ai vraiment envie de quelque chose de sexy mais pas vulgaire.
Nous entrons dans le magasin et commençons notre tour, je suis devant des ensembles de lingerie crème que je trouve superbe. Karine quand elle se dirige vers des ensembles mauves. Une vendeuse s’approche alors de moi.
— Bonjour, je peux vous aider ? — Merci pour l’instant je regarde. — N’hésitez pas si vous souhaitez un conseil. — Merci
Karine interpela alors la vendeuse.
— Mademoiselle ?— Oui Madame— Cette jeune femme, souhaite un ensemble pour faire une surprise à son amant. Elle n’a pas vraiment l’habitude de choisir de la lingerie. — Il n’y a pas de soucis, je suis ici pour ça. — Cette demoiselle est un peu spéciale mais je vous laisse vous en occuper, il lui faudra un soutien-gorge, un tanga, le porte-jarretelles assorti et des bas.
— Je vais voir ça. Vous connaissez votre taille de soutien-gorge ? — Je dirais 90A. — On va vérifier, vous avez fait votre choix ? — Je pensais à cet ensemble. — Très bon choix, allez jusqu’à la cabine et je vous rejoins avec l’ensemble. Et pour le bas ? — 38
Je partai vers les cabines, je pris celle du fond en appréhendant l’arrivée de la vendeuse.
— Vous ne vous êtes pas déshabillée ? — Je vous attendais pour avoir la lingerie avant de commencer. — Vous avez besoin d’aide ? — Non ça ira. — Je suis derrière le rideau, appelez-moi quand vous serez prête. — OK
Heureusement, j’avais passé un string ce qui me permit de le garder pour essayer le tanga. Après avoir tout enfilé, je remis ma jupe avant d’appeler la vendeuse.
— Le bonnet A est parfait, le push-up augmente le volume. Mais pourquoi avoir remis votre jupe ? — Je... — N’ayez aucune crainte, j’ai compris tout de suite. Il n’y a aucun problème ici. Il faut que je contrôle si la taille est bonne. — Merci
J’enlevai ma jupe et me retrouvai en petite tenue devant la vendeuse.
— Alors si vous voulez un conseil, passez les jarretelles sous le tanga, comme ça pour aller aux toilettes sans devoir les défaire. — Merci du conseil, c’est la première fois que j’en porte un.
Elle me fit me retourner, resserra les bretelles ainsi que les agrafes. Ensuite, face à elle, elle glissa sa main dans le bonnet afin de replacer mes seins à l’intérieur, cela me provoqua un frisson et mes tétons se mirent à pointer immédiatement.
— Vous êtes très sensible.
Sa main se posa sur le tanga entre mes cuisses, je fermai les yeux sous cette douce caresse. Bien que j’eusse de plus en plus de mal à bander, mon sexe enfla légèrement et je ne pus retenir un gémissement. Elle prit alors ma main pour la glisser sous sa jupe. Je sentis l’humidité de son entrejambe. Alors que je caressai doucement son sexe à travers le tissu fin de sa lingerie, elle m’appuya sur les épaules. Je me retrouvai à genoux, elle remonta sa minijupe, mes narines s’emplir de l’odeur de son entrejambe, je plongeai vers cette chatte offerte, baissai son string et c’est à grand coup de langue que je me mis à faire plaisir à la belle vendeuse. Je la vis se mordre les lèvres, ensuite attraper mon haut pour se le mettre dans la bouche afin d’étouffer ses gémissements. Quand son corps fût secoué de spasmes, je compris qu’elle avait joui. L’air de rien, elle sortit de la cabine en me faisant un clin d’œil. Je me rhabillai avant de rejoindre Karine, je passai à la caisse ou la vendeuse m’offrit les bas.
— Tu as dû lui donner beaucoup de plaisir. — Bon on fait quoi maintenant ? — Moi je dois retourner au travail, tu devrais aller au premier étage, il y a un institut de beauté sans rendez-vous. Tu demandes une épilation totale, et ensuite tu rentres te préparer comme je t’ai appris. — OK — Tu m’appelles ce soir ou demain pour me raconter ? — Curieuse— Oui— Bise Karine— Bise ma chérie
Je quittai Karine et me rendis à l’institut, je précisai ma demande ainsi que mon état et c’est la responsable en personne qui s’occupa de moi. Elle me trouva charmante et me donna une carte de fidélité. J’étais heureuse, toute douce et parfumée pour mon rendez-vous de ce soir. Il était maintenant temps de rentrer pour finir de me préparer. Nerveuse, je me préparai en prenant soin de me laver à plusieurs reprises. Je me maquillai avec soin. Après avoir enfilé ma lingerie en suivant les conseils de la vendeuse, je restai un long moment devant mon armoire. Je ne savais quelle tenue choisir. Je décidai d’envoyer un texto à Karine.
— Je ne sais pas quoi porter ce soir— Met ta robe blanche patineuse— La courte ?— Oui
J’enfilai donc ma robe blanche, en me regardant dans le miroir, j’avais l’impression de ressembler à une mariée. La robe, les dessous et les bas blanc, il ne me manquait que mes escarpins blancs. Je regagnai la salle de bain pour me coiffer. Mes cheveux me permettaient désormais de ne plus avoir besoin de perruque. Un brushing, de la laque pailletée, je me mis des boucles d’oreilles en perles, le collier et le bracelet assortis. Je me trouvais très jolie et le sentiment d’être une jeune mariée était encore renforcé. Je filai au salon, préparai une jolie table, allumai des bougies. Il était temps de préparer le dîner. Lavage de la salade, préparation de la sauce, du plateau de fromage, des gésiers que je cuirais par la suite, j’ouvrai une bouteille de vin et vérifiai que le champagne au frais était à la bonne température. Un peu de musique douce, je tamisai la lumière de l’appartement. J’étais de plus en plus nerveuse en attendant Jean-Paul. Il était dix heures et j’attendais le texto de Jean-Paul m’annonçant son arrivée.
A vingt heures, je reçus enfin le message.
— Bonsoir ma belle, je serais chez toi dans 30 minutes
Que l’attente fût longue, je tournais en rond dans mon appartement. Fébrile, je répondais à l’interphone et ouvrais la porte du hall. Je lui avais indiqué de rentrer directement, que la porte de l’appartement était ouverte. Il entra donc directement, me découvrant stressée dans le salon.
— Bonsoir Christelle, mais tu es superbe ce soir— Merci— Ta tenue toute blanche est magnifique. Elle te va à ravir. — Merci Jean-Paul. — Tu me fais penser à une mariée. — C’est l’effet que ça m’a fait quand je me suis vue dans le miroir. — Si c’est pour moi que tu t’es habillée ainsi, je suis ravi.
Je proposai donc à Jean-Paul de s’installer et je partis chercher le champagne. Je servis deux coupes je m’assis près de mon amant, rougissante, heureuse d’être seule avec lui. Nous avons trinqué à mon avenir, à mes futures opérations. Durant tout ce temps, nous nous embrassions, il me caressait les cuisses, j’avais de plus en plus envie de lui. Je me glissais au pied du canapé entre ses jambes, il se leva pour enlever son pantalon et son boxer. Après s’être de nouveau installé, je prenais son sexe en bouche. Je le suçais avec application, faisant durer le plaisir, arrêtant quand je le sentais prêt à jouir. Au bout d’un moment, il me bloqua la tête et explosa dans ma bouche dans un râle. J’avalais son jus avant de nettoyer son sexe. Il me remercia de ce plaisir. Afin de récupérer, je filais à la cuisine préparer le dîner. Il m’y rejoint avec un verre de vin. Me regardant œuvrer à la cuisine tout en me caressant de temps en temps les fesses et en m’embrassant. Je servais le repas comme toute femme le ferait pour son mari.
— Christelle ? — Oui Jean-Paul ? — Je voudrais savoir ce que tu ressens ce soir. — Je ne saurais trop dire, je me sens femme, et l’impression de naître, je ne pensais pas avoir autant envie d’un homme. — Comment ça ? — Avant de me retrouver habillée en femme, je n’avais jamais regardé un homme. — Et maintenant ? — Je regarde les hommes en ayant envie d’eux et les femmes comme source d’inspiration. — Uniquement comme source d’inspiration ? J’ai pourtant cru comprendre que ce midi tu t’étais lâchée avec une femme. — Oui, je l’avoue, elle s’est totalement offerte à moi. — Christelle, j’ai trop envie de toi maintenant.
Je me positionnai sur le canapé, je voulus enlever ma robe mais il me demanda de simplement la relever. Il caressa mes fesses à travers le tanga. Il passa ses doigts sous la dentelle il me caressait doucement la raie et j’avais de plus en plus chaud. Il fit glisser mon tanga à mes pieds. Je m’offrais maintenant totalement à lui. Il me doigta en m’enduisant de gel lubrifiant. J’attendais maintenant avec impatience le moment où il allait enfin prendre possession de mon anus. Il me chauffait avec ses doigts, je piaffais d’impatience quand je sentis enfin son sexe contre ma rondelle. Il me pénétra en douceur, me laissant apprécier chaque centimètre de son sexe. Quand il arriva à la garde, il attrapa mes hanches et commença à me pilonner. Chaque mouvement de son bassin ne faisait qu’augmenter mon plaisir. Mes gémissements se transformèrent en cris de jouissance, il me sembla qu’il ne voulait plus s’arrêter, il alternait mouvements rapides et lents afin de durer le plus longtemps possible. Ma tête tournait, mon corps était en feu.
Quand je ne puis plus résister, je me suis mise à jouir abondamment sur la table alors qu’il se lâchait en moi. Il sortît enfin de mon anus, me laissant allongée sur la table épuisée. Je partis aux toilettes pour me vider, remettre mon tanga et le rejoindre. Nous avons pris notre dessert et je me suis blottie contre lui le temps d’une série à la télé.
— Ma chérie, je ne peux pas rester avec toi ce soir mais je te promis de le faire ce week-end si tu en as envie. — J’aurais voulu que tu restes. — Je ne peux pas ce soir, mais c’est promis la prochaine fois je reste.
Il m’embrassa et rentra chez lui. Après avoir rangé, je me préparais à me coucher. Déçue de cette fin de soirée, je me suis mise à pleurer une fois au lit. Je m’endormais ainsi.
— Coucou ma chérie alors raconte ta soirée.— Coucou Karine, il est rentré chez lui vers une heure.— Mais tu as passé une bonne soirée ?— Je suis triste qu’il soit rentré.— Ne sois pas déçue, il est très occupé.— Je le suis pourtant.— Bon je passe te voir cet après-midi.— OK bises.— Bises.
14 heures, Karine sonna à la porte, elle avait trouvé un voisin en bas qui l’avait laissée entrer. J’étais en legging et pull.
— Bonjour ma chérie— Bonjour Karine
Après avoir préparé le café, on s’installait dans le canapé.
— Bon alors dis-moi tout
Je passais un long moment à lui raconter notre soirée, elle me demanda le moindre détail, je la sentais émoustillée par ma soirée. Elle avait glissé sa main sous sa robe et se caressait ouvertement devant moi. Je ne pus résister longtemps et glissa ma main sous sa robe pour découvrir son collant trempé. Je la masturbais à travers le tissu jusqu’à sa jouissance. Elle m’embrassa en me remerciant.
— Tu vas devoir me prêter des dessous— Pas de soucis ma douce— Comment ça tu as encore tes vêtements d’homme dans ton armoire. — Ben oui— Ben non, maintenant que tu es une femme, ils n’ont plus rien à faire ici. Apporte des sacs on va s’occuper de vider ton armoire. De toute façon il te faut de la place. — Tu veux les jeter ? — Non on va les donner.
Nous avons passé une partie de l’après-midi à vider mon armoire, je lui avais passé un shorty en dentelle noir.
— Bon ma chérie tu t’habilles et on va emmener tout ça. — D’accord.
Nous avons déposé mes affaires d’homme dans une association. Sur le chemin du retour, elle me caressait les cuisses, je commençais à avoir très chaud. Elle sortit de la ville, emprunta un chemin dans une petite forêt. Elle stoppa la voiture, se pencha sur moi. Elle releva ma jupe plissée, déchira mon collant pour écarter mon shorty et me pompa. Je jouis dans sa bouche et elle m’embrassa pour partager mon sperme avec elle. Nous sommes rentrés à l’appartement. Elle me demanda si je voulais venir dîner chez elle le lendemain soir en présence de son mari. Après un moment d’hésitation, j’acceptais son invitation. Elle me quitta pour rentrer chez elle en me demandant de me faire belle pour le dîner. Une fois seule, je me mettais à réfléchir, je venais de jeter mes vêtements d’homme sachant que de toute façon je ne pourrais plus les porter à la vue de ma nouvelle morphologie et qui allait continuer à évoluer. Jamais je n’aurais pensé que cette idée m’était heureuse. Je ne voulais absolument plus être une autre personne qu’une femme. Et si j’allais au bout de ma pensée, je voulais devenir totalement femme, et je repensais à la vidéo. Oui je voulais aller au bout du processus. Devenir une femme. Une idée vint à ce moment, je voulais avoir un enfant. Je me remémorais ces femmes enceintes aperçues, leur ventre rond, les caresses qu’elles faisaient sur leur ventre. Je me mis à pleurer en y pensant émue. Mes rêves de la nuit furent plein de cette envie. Je me voyais berçant un enfant, le câlinant, prenant soin de lui. J’étais une femme heureuse, épanouie, quand le papa entra dans la chambre, c’est Jean-Paul que je vis.
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