Le site de l'histoire érotique
  • Histoire érotique écrite par
  • Fantasme
  • Publié le
  • Lue {{{NB_VUES}}} fois
  • 74 J'aime
  • 2 Commentaires

Le plateau de café

Chapitre 8

un beau WE

Travesti / Trans
Je fus réveillée par la sonnerie de mon téléphone. Le temps de réagir et l’appel bascula sur mon répondeur. Je regardais l’écran, un appel de Karine.
— bonjour ma chérie, je passe te prendre ce soir, prépare un sac, tu vas passer le week-end chez moi avec mon mari. Bisous à ce soir”

Passer le week-end chez Karine en présence de son mari, je la soupçonnais d’avoir une idée derrière la tête. Je passais la matinée à me chouchouter, une bonne douche, une inspection pour enlever les poils récalcitrants, je finis par me maquiller avant de filer dans ma chambre pour choisir ma tenue du jour et préparer un sac pour ce week-end. J’enfilais une robe cintrée, ma silhouette de plus en plus féminine, mes hanches larges, mon cul rebondi, ma taille affinée, les coupes féminines m’allaient vraiment de mieux en mieux. Je me laissais aller à me caresser la poitrine à travers ma robe, ma culotte devint rapidement humide avant que l’orgasme me gagne. J’avais joui uniquement en me caressant la poitrine et en rêvant à ce que ce serait en ayant un clitoris à caresser et pincer.
Bon, changement de collant et de culotte, je finis mon sac, y mets une tenue pour la nuit, une jupe courte moulante, plusieurs hauts du plus transparent au plus sage, une robe à dos ouvert moulante ainsi que plusieurs ensembles de lingerie. Je décidais d’envoyer un texto à Karine.
— Je te rejoins à la sortie du travail, je vais faire un tour en ville.” — OK à ce soir”

Je profitais de cet après-midi pour déambuler en ville, je me retrouvais devant le magasin de lingerie. J’aperçus la vendeuse à travers la vitrine, elle me regarda et me fit signe de rentrer.
— Bonjour, tu vas bien ? — Oui merci et toi ? — C’est très calme cet après-midi, je n’ai pas eu une seule cliente. — Ah oui, en effet, tu dois t’ennuyer. — Elle se dirigea alors vers la porte, la ferma à clef et descendit le rideau de fer. — Mais maintenant que tu es là, je vais être occupée.
Je m’approchais d’elle pour l’embrasser, elle descendit directement ma fermeture éclair et fit tomber ma robe. Je passais ma main sous sa jupe. Elle m’appuya sur les épaules et je me retrouvais à genoux, je remontais sa jupe et posais ma bouche sur sa culotte en dentelle. Je baissais sa culotte et commençais à la lécher. Elle plaqua ma tête fermement contre elle, elle jouit, m’aspergeant de cyprine. Alors qu’elle se remettait doucement, elle me prit par la main, m’entraînant vers une chaise, elle me demanda de m’asseoir, elle baissa ma culotte et prit mon sexe en bouche tout en me caressant la poitrine, très vite, je me mis à gémir avant de jouir dans sa bouche, elle remonta pour m’embrasser et partager mon sperme.
— Ma chérie, tu es délicieuse et tu lèches divinement.
— Merci tu es douée aussi. — Je vais devoir rouvrir la boutique, tu peux te refaire une beauté dans la pièce derrière. — Merci.
Je reprenais ma robe alors qu’elle me glissait sa culotte dans la main avant de rouvrir la boutique. Je reprenais mon maquillage et décidais de remplacer ma culotte par la sienne. Un dernier baiser et je reprenais la direction du cabinet. Je montais rejoindre Karine, une bise et je faisais le tour des bureaux pour saluer tout le monde. Je finissais par le bureau de Jean-Paul. Je frappais et attendais une réponse.
— Entrez.— Bonjour Jean-Paul.— Oh, bonjour ma chérie, quelle bonne surprise, que fais –tu ici ? — Je suis venue rejoindre Karine, elle m’a invitée pour le week-end. — Ah, c’est très bien ça.— J’en ai profité pour venir dire bonjour à tout le monde.— Très gentil de ta part.— Et surtout, j’avais envie de te voir. — Ah bon ? — Oui, tu me manques.— Alors tu as un peu de temps devant toi ? — Oui, Karine ne va pas finir avant une demi-heure.— Parfait, ça nous laisse assez de temps.
Il se leva, défit son pantalon et s’installa dans le canapé.
— Viens ma chérie, viens me donner du plaisir avec ta bouche.
Je m’approchais de Jean-Paul, m’installa à genoux entre ses jambes et prenais son sexe en bouche, je savais parfaitement comment m’y prendre et il ne tarda pas à être en pleine forme. Je remontais ma robe sur ma taille, enlevais mon collant et la petite culotte de ma vendeuse coquine et je m’empalais sur le sexe tendu. Je coulissais de plus en plus rapidement attendant le moment où Jean-Paul jouirait en moi. Il ne tarda pas à se raidir et je sentis son sperme m’inonder. Je me retirais doucement, enfilais un tampon avant de me rhabiller.
— Ma chérie, tu es de plus en plus coquine. — Non, j’aime de plus en plus te sentir en moi et me sentir femme. — Bientôt, tu le seras encore plus.— J’ai hâte.— Dans quinze jours, nous partons. Karine nous accompagnera. — C’est super ça.— Oui elle restera 5 jours et ensuite, elle reviendra à la fin des opérations le temps de ta convalescence et de ta nouvelle vie de femme. Elle te guidera comme elle l’a fait depuis le départ.
Un appel à l’interphone.
— si Christelle est prête, nous allons partir” — Bon, ma chérie tu dois y aller. — Oui je pense.— Bon week-end.— Merci Jean-Paul, toi aussi.— Tu m’as déjà donné un grand plaisir avant de le commencer.— Un dernier baiser et je rejoignais Karine.
Ça va ma chérie ?
— Très bien et toi ? — Heureuse que le week-end arrive, sans toi au bureau la semaine a été assez dure. — Je suis désolée.— Ne le sois pas, tu avais besoin de prendre du temps pour toi.— Merci.— Bon, si tu es prête, on y va. — Je suis prête.— Parfait.— On va faire quoi alors ce week-end ? — C’est une surprise.— Ton mari ne trouve pas étrange que tu m’invites ? — Non, il a hâte de te rencontrer, je lui parle souvent de toi.— De quelle manière ? — De ta découverte de ta féminité, de ce que tu deviens, de la femme que tu seras. — Il ne trouve pas ça étrange ? — Il est curieux de te voir, intrigué par la manière rapide dont tu t’es sentie femme. — Tu m’y as beaucoup aidée et poussée. — Je sais, mais j’étais certaine de moi. — Je ne te dirais pas le contraire maintenant, tellement je me sens bien en femme.— Je suis heureuse pour toi.
Le trajet me parut court, car nous avons papoté tout du long. En arrivant devant sa maison, je rencontrais Frédérique, un homme d’un mètre soixante-dix environ, très fin, les cheveux longs retenus par un catogan, habillé d’un jean slim et d’une chemise rose pâle.
— Bonjour Christelle.— Bonjour Frédérique.— Bonjour mon amour.— Bonjour mon cœur.— Entrons.
Karine me conduisit à ma chambre et me proposa de me rafraîchir avant de les rejoindre. Je passais par la salle d’eau attenante à la chambre, me refaisais une petite retouche de maquillage et décidais de passer ma jupe et mon chemisier blanc transparent, il laissera apparaître ma lingerie rose.
— Tu es superbe.— Merci.— Oui très jolie.— Merci Frédérique.— Tu veux un verre ? — Oui volontiers, je prendrais la même chose que vous. — Alors un verre de blanc.— Parfait.— Va t’installer dans le canapé, j’arrive.
Je prenais place dans le grand canapé et Frédérique dans un fauteuil en face de moi. Karine arriva avec un plateau sur lequel étaient posés trois verres et des gâteaux apéritifs. Je voyais le regard appuyé de Frédérique sur moi. Karine s’installa à mes côtés, posa sa main sur mon genou.
— Tu vois Frédérique comment une jupe lui va bien.— Oui je vois ça.
Nous avons papoté de tout et de rien pendant une bonne heure, Karine me caressant régulièrement la cuisse, faisant ainsi remonter ma jupe. Frédérique ne pouvait détacher son regard, il me regardait de haut en bas, je sentais une certaine gêne dans son regard.
— Bon je vais faire chauffer le dîner. — Tu as besoin d’aide ? — Non, reste avec Frédérique, je vous appelle quand il sera temps de passer à table. — OK.— Tu veux un autre verre ? — Avec plaisir.— Tiens.— Merci.— Je peux te poser une question ? — Oui, bien sûr.— Tu as ressenti quoi la première fois ou tu as porté une tenue de femme ?
J’étais gênée au départ, mais en même temps, je me sentais à l’aise
— Et c’était quoi comme tenue ? — Un pantalon de ta femme.— Et pour la jupe ? — Un moment de bonheur intense.— D’accord.— Tu n’as jamais essayé ? — Non, Karine me l’a proposé, mais je n’ai jamais voulu passer le cap. — Pourquoi ? — Sûrement le fait que ce ne soit pas naturel.— Tu sais, c’est vraiment très agréable.— Vous pouvez venir manger.— On arrive, mon amour.— Karine m’installa à côté de Frédérique, elle en face, et nous mangeâmes. — Alors de quoi avez-vous discuté ? — De tout et de rien.— Je lui ai demandé son ressenti de ses premières tenues de femme.— Et alors ? — Elle m’a dit avoir quasiment tout de suite aimé ça.— Je te l’avais dit, elle était déjà une femme dans sa tête.— Oui je crois aussi, Karine a su me révéler.— J’ai du mal à croire que juste en portant une tenue de femme, ça a révélé ta féminité. — Je ne pourrais pas te l’expliquer autrement.— Mon amour, tu n’as jamais voulu essayer, alors, tu ne peux pas comprendre. — Et pourtant tu aurais bien aimé.— J’aimerais toujours que tu me demandes d’essayer. — Oui je sais bien.— Mais bon, tant que tu auras des a priori sur le fait de porter une tenue de femme, tu ne pourras pas connaître le bonheur de porter une jupe, des collants et de la lingerie. — Je me demande pourquoi tu insistes.— J’aimerais beaucoup te voir habillé en femme, je suis certaine que tu serais superbe. — Je pense aussi, il a la même morphologie que moi avant.— Oui, tu vois, je ne suis pas toute seule à le dire.
Karine se leva, me prit par la main et me fit tourner.
— Tu vois, on ne devinerait jamais que sous cette jolie jupe se cache un sexe.— Elle est très belle en effet. — Et elle sait qu’elle est sexy en plus, tu vois, elle a choisi une minijupe pour nous faire plaisir.— J’adore cette jupe, je trouve qu’elle me fait un joli cul.
La discussion tournait sur le fait que j’adorais et que j’avais découvert le plaisir de porter des tenues de femme et je voyais Frédérique de plus en plus troublé. Karine me colla à elle et caressa mes fesses à travers ma jupe, je me mis à bander. Frédérique nous regardait sans dire un mot. Karine m’embrassa.
— J’aime trop savoir que sous ces vêtements, se cache un sexe tendu.— Tu cherches à me donner envie Karine.— J’aimerais que tu réalises comment cela m’excite.— Je suis en train de m’en rendre compte.— Et encore, si tu sentais comment ma culotte est trempée.
Frédérique s’approcha de sa femme, glissa sa main entre ses cuisses, sous sa jupe.
— En effet, tu es trempée.
Elle s’accroupit face à moi et remonta ma jupe, descendit ma culotte et prit mon sexe en bouche. Je me mis à gémir de plaisir.
— Tu ne m’as jamais fait cela comme ça.— Tu ne portes pas de jupe alors c’est impossible.
Karine caressait le sexe de son mari à travers son pantalon, excitant son mari au maximum. Je ne pouvais continuer à résister, je voulus prévenir Karine, mais elle ne quitta pas mon sexe et j’emplis sa bouche de ma semence. Elle se releva et embrassa son mari puis moi partageant ainsi mon sperme. J’étais très excitée, l’envie d’un sexe en bouche très forte, Karine savait que maintenant, je ferais tout ce qu’elle voudrait, elle ouvrit le jean de son mari, le descendit jusqu’au genou ainsi que son caleçon, le bloquant complètement, son sexe tendu ainsi offert, elle me dirigea dessus. Je ne demandais pas mon reste et l’avalait complètement avant de le faire coulisser dans ma bouche. Il gémissait très fortement, il se crispa rapidement et m’emplit la bouche de son sperme. J’avalais sa semence avec plaisir.
— Mes amours, vous avez été superbe. — Mon amour, je n’ai jamais pris un tel plaisir.— Je sais et encore, tu n’as rien vu, elle peut t’en donner beaucoup plus et moi aussi, mais pour cela, il te faudra faire un effort. — Lequel ? — Tu ne devines pas ? — Je pense oui.— Tu fais comme tu veux, mais si tu le fais, tu vas passer un week-end inoubliable. — Je ne sais pas.— Je te laisse le choix, mais tu as eu un aperçu de ce dont on est capable. Et tu pourrais te découvrir aussi. — Christelle, dis-lui comment tu te sens.— Épanouie, heureuse, j’adore le sexe d’un homme.— Frédérique ? — Oui mon amour.— As-tu envie que l’on passe un week-end entre femmes et que tu découvres ces plaisirs ? — Je ne sais pas trop, j’ai ... — Viens avec moi.— OK.— Christelle, tu viens avec nous ? — Avec plaisir.
Elle demanda à Frédérique de se mettre nu, elle ouvrit ses tiroirs, sortant lingerie, collants, jupe et petit débardeur. Elle aida Frédérique à s’habiller puis me demanda si je voulais le maquiller. Les yeux ronds de Frédérique en disaient long sur sa surprise. Je le maquillais sobrement, elle défit ses longs cheveux qu’elle mouilla avant de les faire onduler et le coiffa. Il/elle était bluffant. Quand il se regarda dans le miroir, il fut surpris de sa transformation. Je dois avouer que je l’ai trouvé très belle.
— Regarde-toi mon amour, j’étais certaine que tu ferais une femme magnifique. — C’est surprenant.— Oui en effet, tu es faite pour ça, tu en penses quoi Christelle ? — En effet, je dois reconnaître que la tenue lui va super bien et elle a un joli cul.— Je trouve aussi.
Frédérique n’arrivait pas à détacher son regard de son reflet. Karine s’approcha de lui, l’embrassa avant de le prendre par la main.
— Je te trouve très belle.
Elle l’allongea sur le lit, remonta sa jupe et commença à le caresser à travers le collant et la lingerie en dentelle, il ferma les yeux, son sexe parlant pour lui. Elle continua à le masturber et il finit par jouir dans ses dessous.
— Punaise, c’est tellement bon ! — Je te l’avais dit que tu découvrirais plein de choses.
Elle se leva, prit un nouveau collant, mais cette fois à la place d’un shorty, donna à Frédérique un string en satin. Il se laissa faire, nous sommes redescendus au salon afin de boire un verre. Frédérique ne savait pas trop comment se tenir, mais rapidement, on le surprit à adoucir ses mouvements, changer sa façon de se déplacer.
— Tu veux essayer des chaussures pour compléter ta tenue ? — Pourquoi pas ?— Karine sortit dans le garage et revint avec une paire d’escarpins à talon bloc. — Celle si seront plus facile pour une première fois. Les gros talons sont plus stables.
Il les enfila et se mit debout en vacillant, ce qui nous fit rire toutes les deux. J’avais très envie de Frédérique que je trouvais superbe dans sa petite jupe.
— Les filles, je suis heureuse de cette soirée.— Karine, tu exagères.— Pourquoi tu n’es pas plus une femme qu’un mec ce soir dans cette tenue ? — Si tu as raison.— Tu en penses quoi Christelle.— Je la trouve très féminine.— J’étais certaine que cela lui irait très bien, ta tenue te plaît mon amour ? — Je dois avouer qu’à part le string qui me rentre dans les fesses, la tenue est très agréable à porter.
Le string, c’est juste pour te faire comprendre l’effet que ça fait quand tu me demandes d’en porter. Maintenant tu sauras.
— Bon d’accord je suis vaincu.— Mais non, mon amour, ce n’est pas le but de te vaincre, juste de te faire découvrir le plaisir de la féminité. D’ailleurs, nous allons passer dans le jardin, tu vas voir comment c’est agréable de sentir l’air sur des jambes gainées.
Nous sommes sorties dans le jardin, alors que Frédérique s’alluma une cigarette nerveusement du fait de se retrouver dehors en jupe, Karine se colla à moi pour m’embrasser et me glissa à l’oreille.
— Merci de m’avoir aidé à le convaincre, je suis certaine qu’à la fin de ce week-end, c’est lui qui me demandera de l’habiller en femme. — Tu m’as invitée pour ça ? — Non, pas seulement, mais disons que ça en faisait partie. — Tu es diabolique.— Vous vous racontez quoi, les filles ? — Rien mon amour, alors dis-moi, ce petit tour dans le jardin ? — C’est vrai que c’est agréable, je sens l’air remonter sous la jupe comme une caresse. — Je t’aime mon amour.— Moi aussi.
Je les regardais s’embrasser, m’imaginant une scène identique avec Jean-Paul à mes côtés dans notre jardin. Il commençait à se faire tard et toutes mes cavalcades de la journée m’avaient épuisée.
— Si cela ne vous dérange pas, je vais me coucher.— On ne va pas tarder non plus.— Bonne nuit les filles.— Bonne nuit.
Après une bonne nuit réparatrice, je descendais dans la cuisine, je portais une nuisette en satin pourpre avec un short assorti et fut surprise de trouver Frédérique préparant le petit-déjeuner, habillé d’une nuisette noire en satin et dentelle courte. Quand il se pencha pour prendre du lait dans le placard, je pus voir un joli shorty noir en dentelle.
— Bonjour Frédérique.— Bonjour Christelle, bien dormi ? — Super bien, jolie tenue ce matin.— Karine voulait que je reste féminine.— Cela te va très bien.— Merci.
Tu es très jolie aussi.
Merci.
J’avais envie d’aller voir sous la nuisette afin de goûter à nouveau à ce sexe si doux. Quand il se tourna vers moi, sa tenue ne pouvait dissimuler son érection.
— Dis-moi, c’est ta tenue ou moi qui te font cet effet.— Les deux je dois dire, jamais je n’aurais pensé que porter de la lingerie m’aurait fait cet effet.
Je m’approchais de lui/elle pour caresser son sexe, puis me suis mise à genoux, baissant son shorty pour engloutir son sexe. Karine entra alors dans la cuisine. Me voyant suçant son homme, ma main glissée sous la dentelle de sa nuisette lui caressant et lui pinçant les tétons. Il gémissait, tenant ma tête afin de m’enfoncer son membre au plus profond de la bouche. Il jouit fortement et je remontais vers sa bouche pour l’embrasser et partager son sperme.
— Bonjour mes filles, un petit plaisir du matin.— Bonjour mon amour.— Bonjour ma chérie, je n’ai pas pu résister, elle était trop excitante dans sa nuisette avec son sexe tendu. — Je te comprends, ma chérie.
Nous prîmes notre petit-déjeuner, nous caressant et nous embrasant à tours de rôles. Nous maintenions Frédérique dans un état d’excitation. Je devinais les envies de Karine et souhaitais lui faire plaisir. Nous sommes ensuite allés nous préparer, je passais une jupe crayon accompagnée d’un chemisier rose, des bas et un ensemble de lingerie noir. Je prenais le temps de me maquiller et de me coiffer. Karine sortit de sa chambre en portant une élégante robe près du corps. Frédérique lui emboîtant le pas, il portait une tenue semblable à la mienne, à la différence des couleurs, pour elle, une jupe rose pâle et un chemisier blanc, dessous, on y voyait un caraco en dentelle, les bretelles d’un soutien-gorge dans lequel Karine avait glissé des faux seins. Le maquillage assez soutenu, ses cheveux coiffés en chignon, il était d’une féminité incroyable. Seule sa démarche un peu gauche sur ses talons fins trahissait son manque de pratique.
— Tu es splendide Frédérique.— Merci, toi aussi.— Merci, toi aussi Karine.— Merci, bon maintenant que nous sommes toutes les trois prêtes, nous allons sortir. — L’angoisse dans les yeux de Frédérique. — Pas de soucis, tu vas partager une journée entre filles, tu vas adorer. — Tu es sûre que je peux sortir comme ça ? — Christelle, dis-lui.— Oui, personne ne peut se douter que tu es un homme, tu es très belle.
Nous avons pris la voiture, Karine prit l’autoroute et nous avons parcouru les 120 kilomètres nous séparant de notre destination. Nous avons passé la journée à nous promener, centre commercial, restaurant, boutiques diverses, une journée shopping où Frédérique termina avec les pieds en feu, par chance, Karine lui avait prévu une paire de ballerines. Le soir approchant, nous sommes allés dîner en terrasse d’un restaurant du centre-ville, je décidais d’inviter mes hôtes. Après avoir été dans quelques bars où Frédérique rencontrait un grand succès, Karine nous annonça la suite de la soirée.
— Ce soir, je vous emmène dans un club privé.— Quel genre de club ? — Un club où vous serez très bien accueillies, les filles. — Mon amour, c’est un peu trop.— Tu n’as pas le choix de toute façon, tu ne vas pas rester ici toute seule.— Mais je... — Christelle, tu es partante ? — Oui, bien sûr.— Alors c’est OK.
Nous entrâmes dans le club vers 1h30 du matin, de nombreuses personnes y étaient déjà présentes et je peux vous dire que quand elles virent trois femmes sexy entrer, plusieurs têtes se tournèrent vers nous. Nous nous installâmes sur une banquette. Frédérique ne savait pas comment se comporter. Il avait peur et en même temps et était fasciné par ce qui se déroulait devant lui. Des hommes, des femmes s’embrassant, se mélangeant. Karine nous embrassait, nous caressait, quand un homme vint me voir pour m’offrir un verre, je l’acceptais tout excitée, il s’installa près de moi et nous commençâmes à nous embrasser. Karine se concentra sur son mari, le masturbant sous sa jupe, il était dans un état second excité comme jamais. Un homme s’approcha de lui, posa ses mains sur ses genoux avant de remonter sous sa jupe. Il avait remplacé Karine et quand il approcha ses lèvres de celles de Frédérique, ce dernier se laissa embrasser.
Karine ouvrit le pantalon de l’homme et posa la main de Frédérique sur son sexe. Il commença timidement à le caresser avant de se pencher sous l’incitation de Karine et le prendre en bouche. Karine en profita pour caresser les fesses de son mari, puis remonta sa jupe, déchira son collant et écarta son string. Elle fit signe à un homme de venir. Ce dernier, sans se faire prier, baissa son pantalon et présenta son sexe à Karine, après avoir préparé son mari qui, concentré sur le sexe qu’il avait en bouche, ne se rendait plus compte de rien. Quand elle jugea son mari prêt, elle caressa le sexe de l’inconnu et l’enduisit de gel avant de le coller sur l’anus de son mari. Il pénétra Frédérique qui ne pouvait absolument rien faire, maintenu par le premier et masturbé par Karine. Il se fit pilonner un bon moment et quand les deux hommes se lâchèrent, le premier lui emplissant la bouche et le second dans son intimité, il s’écroula, comblé. Karine venait de faire son mari une femme.
Elle venait d’avoir son premier orgasme anal et de sucer un homme à fond.
— Ma chérie, je suis fière de toi. — C’était très agréable.— Je savais que tu aimerais et que tu finirais par te sentir vraiment femme. — Je n’aurais jamais osé, habillé en homme.— Je sais, mon amour.
Frédérique commença à pleurer, il venait de comprendre qu’il avait adoré être une femme et se faire sodomiser.
— Ce n’est rien mon amour.— J’ai aimé ça plus que quand je te fais l’amour, j’ai ressenti un tel bonheur, des sensations tellement fortes. — Tu verras mon ange, tu vas aimer ça de plus en plus.— Karine, je t’aime, mais là, je crois que je viens de découvrir quelque chose de très fort. J’ai adoré sucer et me faire défoncer. — Ce n’est pas grave mon amour, je voulais que tu aimes ça autant que moi.
Je venais de finir avec mon amant du soir et je fus émue de la réaction de Frédérique. Quand nous quittâmes le club à l’aube, nous avions eu plusieurs amants chacune. Et Frédérique venait de se découvrir femme, c’est elle qui avait eu le plus d’hommes.
Diffuse en direct !
Regarder son live