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Le plateau de café

Chapitre 9

Le départ

Travesti / Trans
Je reprenais le travail le lundi, j’étais rentrée à mon appartement le dimanche soir afin de me reposer. Nous avions passé un dimanche entre fille sage et très agréable. Après une douche rapide et un dîner léger, je prenais le soin de choisir ma tenue pour le bureau demain. Mon choix se porta sur une robe cintrée grise, une paire de collants brillants effet jambes bronzées, ma lingerie sera un ensemble composé d’un tanga et de son soutien-gorge assorti de couleur blanche. Satisfaite, je me couchai vers 23h en regardant de nouveau la vidéo de la clinique. J’avais de plus en plus hâte de partir, et en même temps, j’appréhendai ce qui allait se passer.
Lundi matin 7h30, je prenais ma voiture pour me rendre au bureau, j’avais prévu d’aller m’acheter une commode après le travail, car j’en avais assez d’entasser ma lingerie dans des boîtes sur des étagères. Je garai ma voiture dans le parking avant de rejoindre le cabinet. Je posai mes affaires à mon bureau et filai préparer le café dans la salle de pause. J’étais impatiente de revoir tout le monde et plus particulièrement Jean-Paul.
A 8h30, Jean-Paul arriva, il me fit la bise, me complimenta sur ma robe avant d’aller s’enfermer dans son bureau.
— J’ai une réunion téléphonique avec un client, je te vois après pour qu’on discute de notre voyage et de ton séjour à la clinique.— D’accord. je t’apporte un café ?— Oui merci.
Après avoir déposé son café, je faisais le tour des bureaux afin de saluer tout le monde. Karine arriva vers 9h15, elle avait été prise dans un bouchon suite à un accident.
— Bonjour ma chérie, tu es charmante.— Bonjour, toi aussi Karine, toujours aussi belle.— Merci, alors ces petites vacances t’ont fait du bien.— Oui, j’en ai profité pour faire du shopping, prendre soin de moi.— Très bien, tu as fait le nécessaire pour le voyage ?— Oui, tout est prêt.— Parfait, on fait une dernière mise au point aujourd’hui pour le départ de vendredi.— Les filles ! On peut y aller si vous êtes prêtes. — C’est bon pour nous.— Parfait, vous allez dans mon bureau, j’arrive dans 5 min.— OK.
Nous nous sommes installés dans le bureau de Jean Paul.

— Bon ma chérie, tu te sens prête pour la grande transformation ?— Oui, je suis tout à fait prête et décidée à devenir une femme à part entière.— Parfait, j’ai tous les papiers nécessaires pour le voyage, ton passeport, les papiers de ta nouvelle identité pour le retour et les documents pour la clinique.— Je suis certaine qu’elle sera parfaite, elle devient de plus en plus femme et se sentira en parfaite harmonie avec son nouveau corps.— J’en suis certain aussi. Christelle, tu es bien certaine de ton choix, il n’y aura pas de retours en arrière possible une fois arrivée à la clinique. Dès qu’ils entameront les opérations, tu seras définitivement une femme.— Je suis certaine de mon choix, de toute façon, avec les hormones que Karine m’a fait prendre, je me féminise de plus en plus. Vu l’action qu’elle m’a décrite, mon corps va produire en permanence des hormones féminines, donc ne voulant pas ressembler à une trans, je préfère devenir une femme à part entière. De toute façon, je me sens de plus en plus femme.— Donc c’est parfait. Et toi Karine, tu as pu te dégager avec ton mari ?— Oui aucun souci, et depuis le séjour de Christelle à la maison, il a de nouvelles occupations et va pouvoir les assouvir le temps où je serais absente.— Je suis ravi de le savoir. Donc je vous accompagne jusqu’à la clinique et ensuite je vous abandonne. Je reviendrais vous voir au bout de quinze jours.
Nous avons terminé notre réunion et repris nos activités. La semaine me sembla interminable, la routine me pesait, ayant hâte de partir. Le jeudi à midi, je quittai le travail avec Karine afin que nous puissions nous reposer pour notre départ à 6h le lendemain matin. Karine allait prendre ses bagages chez elle et dire au revoir à son mari avant de me rejoindre chez moi pour la nuit.Il était 19h quand Karine arriva chez moi, j’avais préparé un dîner léger composé d’une salade verte accompagnée de gésiers, un peu de vin blanc, et pour le dessert, du fromage blanc. Un repas léger pour la ligne.
— Bonsoir ma belle, alors ça y est, le grand jour arrive vers ta nouvelle vie.— Oui, j’ai hâte d’être à la clinique, un peu moins de subir toutes les opérations.— Je comprends. Mais tu verras après, tu seras vraiment une femme et tu pourras faire tout ce qui te plaît.— Je n’aurais plus honte en allant m’acheter de la lingerie et en passant en cabine pour essayer et peur de me faire surprendre.— Bon on dîne et on se couche, on ne va pas faire de folie ce soir.— Tu as raison, il faut être en forme pour demain.— Ton repas est parfait.— Merci, j’ai fait avec ce qu’il me restait au frigo.— Je file prendre une douche et je me couche.— Je finis de ranger et je te rejoins après la mienne.— Oki ma chérie.
Après avoir fini de ranger, je filai me doucher, en entrant dans ma chambre, Karine s’était endormie, ses magnifiques courbes soulignées par sa nuisette en satin mauve. Je me glissai doucement dans le lit, vêtu d’une nuisette en satin blanc cassé. A peine allongée, elle se blottit contre moi et je m’endormais à mon tour.Le réveil sonna à 3h30, Jean Paul nous attendrait en bas de chez moi dans 1h. Cela nous laissa juste le temps de nous préparer. Depuis des semaines, je devrais m’habiller en homme afin de ne pas avoir de problèmes à l’enregistrement et au passage des contrôles en France avant l’avion, et cela me fit tout drôle.
— Ne t’en fais pas, c’est la dernière fois que tu t’habilles ainsi, à notre retour, tu seras 100% femme et personne ne devinera que tu as été un jour un homme.— Oui je sais, mais cela me fait tout drôle.— Je comprends. Bon, on doit se dépêcher, Jean Paul va nous attendre.
Nous approchions de la voiture et Jean Paul sortit pour mettre nos bagages dans le coffre. Il embrassa Karine et hésita avant de me faire la bise.
— C’est enfin le grand jour.— J’ai hâte d’arriver, les 10 heures d’avion me font peur, je n’ai jamais fait un voyage aussi long en avion.— Tu vas enfin devenir une vraie femme, cela te fait plaisir ?— Je piaffe d’impatience à l’idée d’être enfin définitivement une femme, mais les étapes pour y parvenir me font peur.— Nous avons beaucoup discuté avec Karine et il a été décidé qu’elle restera avec toi tout le temps nécessaire. Tu seras moins seule et moi j’aurais une personne de confiance pour te surveiller.— Karine, ton mari ne dira rien.— Elle va être très occupée, des amis et amies vont prendre soin d’elle.— Elle ?— Oui depuis notre WE, elle est de plus en plus souvent en femme, elle a eu une révélation.— Bon si nous partions ?— Oui Jean-Paul.— Donc il est souvent en femme.— Elle, comme toi, ça a été une évidence, même si nous n’irons pas au point de ce que tu es en train de faire, elle a décidé de vivre sa féminité, elle va en tailleur au travail depuis 2 jours, ce qui déplaît à ses partons, mais elle ne veut plus revenir en arrière.— Comme moi, je ne pourrais plus redevenir un homme. Physiquement déjà avec les transformations déjà présentes.— Nous allons aussi lui administrer des hormones, elle rêve d’une petite poitrine qui remplira ses soutiens-gorge.— Et toi, tu es heureuse comme ça ?— Oui, comme pour toi, j’ai toujours vu son côté féminin. Il fallait juste que j’arrive à enclencher le processus.— Mesdames, n’oubliez pas que je suis là aussi.— Jean-Paul, nous ne pouvons t’oublier.— J’ai hâte de te revoir dans tes tenues de femmes, je ne m’y fais pas à ton jean et ta chemise.— Moi aussi, j’ai hâte de me remettre une robe, je suis pas du tout à l’aise comme ça.— Dès que nous serons dans l’avion, tu pourras te changer.— A notre arrivée, nous passerons par un salon privé. Il n’y aura pas de problèmes, la clinique s’occupe de tout.
Afin de diminuer mon stress, Karine me fit prendre un somnifère, je me réveillai une heure avant l’atterrissage. Nous passions par le salon privé où nous attendait une infirmière de la clinique, pas de passage administratif, nous montions dans la limousine, direction la sortie de la ville.La clinique est un complexe ultra-moderne, tout y fait pour accueillir les patients et les accompagnants dans un luxe extrême. J’aidai Karine et Jean-Paul à s’installer dans leur appartement avant de rejoindre ma chambre. Une chambre ou plus exactement une suite, composée d’un salon immense, d’une grande salle de bain et d’une belle chambre. Le lendemain, je ne verrais pas Jean-Paul et Karine, car je devais subir toute une série de tests et d’examens médicaux et rencontrer l’équipe médicale.
Le personnel était au petit soin pour moi, on m’examina sous toutes les coutures, mesurée, pesée, prises de sang, ainsi de suite, je rentrai à ma chambre fourbue. Jean-Paul et Karine passèrent prendre le dîner avec moi avant de me laisser me coucher tôt.
J’étais rassurée de savoir que Karine resterait avec moi tout le séjour et Jean-Paul s’engagea à lui donner des nouvelles de Frédérique et de surveiller son évolution. J’étais jalouse de sa réponse, repensant à nos premières fois. Et me disant que Frédérique pourrait le séduire.
Le lendemain matin, j’allais subir ma première opération de la série qui ferait de moi une véritable femme. N’arrivant pas à trouver le sommeil, une infirmière m’apporta un somnifère vers 1h du matin.Au réveil, un bisou de Karine me réveilla, accompagnée d’une jeune infirmière, elle venait m’aider à me préparer et m’accompagner pour cette première opération.Elles m’emmenèrent dans la salle de bain, Karine m’ôta ma nuisette pendant que l’infirmière se déshabillait, simplement vêtue d’un bas de maillot, elle me prit la main pour me diriger vers la douche.Elle me lava, puis m’enduit de bétadine avant de m’habiller d’une blouse transparente rose pâle.Deux autres infirmières arrivèrent avec le brancard, on m’allongea dessus, après un rapide baiser à Karine, j’empruntai un ascenseur, puis longeais plusieurs couloirs avant d’entrer dans le bloc. On m’appliqua un masque sur le visage et ce fut le noir total.
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