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Plein Soleil

Chapitre 3

Petite fête en famille

Zoophilie
Plus on est de fous plus on rit
Puis je perçois des pas feutrés, la présence de quelqu’un d’autre, quelqu’un qui s’assoit sur le fauteuil d’en face. C’est Daniel. C’est lui, j’en suis sûre !Mon mari est venu me voir me faire prendre par son oncle et ses deux autres employés. Ça l’excite de me voir prise par d’autres mâles. Ça, je le savais déjà. Comme s’il m’offrait en cadeau. Je dois dire que c’est loin de me déplaire; l’excitation monte de plus en plus en moi depuis que je sais qu’il est là.Daniel m’a révélée à moi-même ; une partie de ma personnalité que je ne connaissais pas. Je sais que ce soir après cette petite séance il va vouloir me prendre comme une pétasse. Comme il l’avait fait à la sauvage, juste après notre mariage, dans la grange près de la mairie. Après m’avoir obligée à sucer tous les témoins (des copains à lui) et recevoir leur semence en pleine figure.
C’est un dingue de sexe. Et là, il se voit déjà me prendre dans le lit conjugal, se délectant pour l’heure, de m’offrir à son oncle en vue de son futur héritage. Les deux employés de Daniel perdent toute retenue se disputant ma bouche, voulant y introduire leur engin. Ils sont de plus en plus insistants au fur et à mesure que l’excitation monte. Depuis un petit moment déjà, Jacques joue en frottant ses doigts en crochet sur mon petit coussinet interne tout en faisant ventouse sur mon clitoris avec ses lèvres. Soudain, je pars en jets sur son menton, ne pouvant plus me retenir d’être caressée, prise de tous les côtés devant mon mari. Jacques reçoit une belle gerbe en pleine figure.
— Oui, oui, ouiiii ma toute belle ! Tu es très réactive, c’est bien, ça me plaît ! Tu es belle et tu aimes le sexe ma petite caille. Sultan t’adore aussi. Nous sommes faits pour nous entendre...
Soudain faisant preuve d’une force extraordinaire, mon oncle m’arrache aux deux autres qui se relayaient dans ma bouche et me retourne comme une crêpe. Je me retrouve en levrette sur le canapé. Il attrape mes deux fesses entre ses larges mains, creuse mes reins avec son poids et me pénètre de force, m’arrachant un cri de surprise. Son sexe énorme me transperce inexorablement.
— Oohhhh, Ooouiii... Tu es encore joliment serrée ma poulette ! Tu me fais penser à Jenny, ma petite génisse que j’avais encore il y a deux ans... Je devais me contenter d’elle à l’époque. M’est avis que ça va pas durer vu les obsédés qu’il y a dans le coin ! Laisse-moi profiter de ton petit tunnel !
Ce disant, il déclenche l’hilarité générale. Jacques éructe comme un forcené, me prenant de force comme il a l’habitude de prendre ses femelles dans son étable. Les autres attendent leur tour en me matant et en se faisant sucer chacun leur tour me guidant par ma queue-de-cheval. J’ai toujours deux mains qui maintiennent ma tête dans la bonne position. Je les sens s’exaspérer de plus en plus, voyant le vieux prendre son pied et devant ronger leur frein depuis le début. Mais Jacques n’est qu’un homme après tout et n’est pas gratifié souvent. Soudain, il perd toute contenance, s’extrait brutalement de mon corps et s’effondre sur le canapé.

— Vite les gars, donnez-moi sa bouche... avant que ça ne gicle partout !
Les deux gars dirigent ma bouche sur le sexe du vieux qui me pénètre jusqu’à la gorge. Je l’attrape à deux mains, n’arrivant pas à gober tout le truc et m’étouffant à moitié.
— Bouffe-moi bien petite... je veux que tu gardes tout ! Sinon tu seras punie !
Un râle horrible perce mes tympans. Un jet chaud et gluant envahit ma bouche comme jaillissant d’une petite pompe. Je m’emploie à l’absorber du mieux que je peux, mais j’ai du mal à tout garder en bouche tellement il y en a. D’autant que les autres pour m’empêcher d’y arriver s’amusent à tirer sur ma queue-de-cheval. Ce qui devait arriver arriva. Un filet de bave mêlé à une substance blanchâtre s’échappe, coule le long de sa queue et macule ses couilles.
— Vas-y beauté continue... lèche-moi tout. Il en reste encore... Vas-y mange-moi bien... Il y en a encore... là... vas-y, ma jolie !
Il me caresse les cheveux au fur et à mesure que je finis de tout avaler et que je m’emploie à tout bien nettoyer, sa queue puis ses deux boules, que je lèche et lèche encore attendant le top de fin, je sens sa queue qui se dresse à nouveau et recommence à grossir entre mes mains malgré la quantité qu’elle vient de cracher. Je commence à redouter le pire. J’entends des marques d’admiration de la part de ses comparses devant les capacités sexuelles de Jacques : il bande encore comme un taureau ! Aussi raide et aussi dur ! Il replonge son vit dans ma bouche et l’enfonce dans ma gorge à m’en étouffer avec !Mais les autres perdent patience.
— Bon à notre tour maintenant !
Un des deux passe derrière moi et m’enfonce son dard profondément derrière. Je le sens entrer sans résistance dans mon petit trou ; un cri de soulagement lui échappe. Le temps de s’y faire et de trouver le bon rythme, il entame un va-et-vient frénétique s’enfonçant à chaque fois jusqu’à la garde. Son sexe n’est pas aussi gros que celui de Jacques, mais il frotte là où il faut. Il tire sur ma queue-de-cheval comme s’il me chevauchait et tirait sur des rênes, m’obligeant à me cambrer au maximum. Son acolyte gifle mes gros seins ballants pour me stimuler et rentre sa langue profondément dans ma bouche.
— Tu vas me prendre en doublette ma jolie ! Tu vas pas tarder à me prendre devant !
Perdant patience, il signifie à son copain qu’il veut en être lui aussi. Il s’allonge sur le vieux canapé en cuir, se love sous mon corps pour venir loger son engin dans mon sexe pendant que l’autre continue de m’usiner lentement derrière sans se laisser perturber. Il essaye de s’immiscer, m’arrachant des cris tellement je suis serrée. Une vague de sueur m’envahit le dos et le ventre, trahissant mon émotion. Puis le plaisir s’installe, au fur et à mesure qu’ils trouvent leur rythme. Nos cris se mêlent sous les encouragements de Jacques qui ne s’est pas calmé, loin de là. Son imagination débordante me réserve d’autres surprises : Il décide de m’attacher les poignets et m’accroche à un système au-dessus de ma tête qui a déjà dû servir dans le passé. Je repose sur mes genoux, les yeux bandés, prise en sandwich par deux péquenots et accrochée comme un jambon. Celui qui est en dessous en profite pour gifler mes seins avec des cris d’admiration, rendant hommage à leur masse et à leur volume.
— Mon Dieu qu’elle est belle votre femme patron ! Ça c’est de la belle pouliche ! Vous êtes vraiment un patron généreux ! Merci, merci patron !
Entendant mon éloge fait à mon mari, étant prise de tous les côtés, je ne peux m’empêcher de jouir encore, me répandant largement sur le gars en dessous. Mes cris traversent la pièce et doivent s’entendre jusque dans la cour. J’entends Sultan aboyer à côté. Jacques pince mes bouts de sein inlassablement, ayant l’intention de continuer à jouer avec moi.Sentant un liquide chaud se répandre sur lui, mon baiseur ne peut s’empêcher de jouir lui aussi. Celui qui est dans mon dos accélère la cadence pour l’obliger à se vider. Mais tel est pris qui croyait prendre !
— Ooohhhh... c’est trop tard !Tu m’as eu... ma salope ! Vous m’avez eu tous les deux !
En voulant faire une bonne blague à son complice, celui de derrière s’explose aussi finalement, presque en même temps. Il s’effondre sur moi, se vidant complètement en plusieurs saccades. Avec les deux, c’était bref, mais intense. Mais ce sont de gros niais finalement ! Jacques a beaucoup plus d’expérience ! Justement il intervient.
— Fichez-moi le camp maintenant, la fête est finie ! Déguerpissez ! Et fermez la porte en partant !
Les gars filent en moins de deux sans demander leur reste. Jacques s’approche de moi.
— Tu te rappelles ce que je t’ai dit tout à l’heure ? Tu devais tout me prendre sans en faire tomber une goutte. Tu vas être punie maintenant puisque tu n’as pas réussi !— Mais Jacques. C’était trop... Il en avait trop ! Ce n’est pas de ma faute, j’ai fait de mon mieux !— Te fatigue pas ma jolie, j’en ai pas fini avec toi. Daniel, va chercher le chien !
Jacques pince mes bouts de seins entre ses doigts et secoue mes nibards pour m’exciter.
— Ça te plaît, ça ? D’être forcée, hein ?! Je l’ai tout de suite vu, dès ton arrivée. Hein ???...Ça te plaît ça, d’être prise comme une salope ? Dis-moi que ça te plaît quand je te tords les seins comme ça !— Ouiiii Jacques !— Oui, mon oncle !— Ouiii... mon oncle !
J’entends le chien qui revient et apparemment c’est mon mari qui le tient en laisse. Immédiatement Sultan se remet à gémir.
— Tout doux, le chien ! Je sais que tu l’aimes bien notre Tatiana. Tu vas pouvoir en profiter toi aussi. Vas-y Daniel, approche le chien ! Ils ont déjà fait connaissance tout à l’heure.
Je sens de nouveau la large langue de Sultan laper mes grosses lèvres.Ses coups de langue sont peu précis, mais la situation m’excite tellement...Puis Jacques m’assène une fessée, puis deux, puis trois.
— Ça c’est pour tout à l’heure. Quand je te dis de tout gober, tu gobes tout. Même si tu me lèches les boules, ça ne change rien.— Pardon mon oncle ! Je ne le ferai plus.
Ses coups deviennent réguliers, de plus en plus rapprochés, comme tout à l’heure dans l’entrée. Tous les prétextes sont bons pour me punir.Mais je m’en fiche, j’aime tellement ça. Cet oncle est décidément très gentil avec moi. Et tellement excitant !
— Aaah !!! Tatiana tu aimes ça en fait, que je te fasse rosir les fesses ! Je m’escrime pour rien depuis dix minutes. Tu es incorrigible ! Mais tu me fais bander ma jolie !
Tiens prends-moi encore... comme tout à l’heure !Jacques m’attrape par la taille ; je sens son sexe qui se présente à nouveau à l’entrée. D’une main, il dirige son vit qui rentre en moi comme dans du beurre pendant qu’il souffle son plaisir dans mes cheveux. Le chien quant à lui, plus excité que jamais, lui lèche les couilles entre mes jambes.
Jacques crie son plaisir. Il est très loin à l’intérieur de moi maintenant ; il s’est enfoncé complètement et reste fiché en moi. Dès qu’il bouge d’un poil, je ressens une décharge électrique dans l’échine. Jacques est lui-même au bord d’exploser et n’ose plus bouger.
Daniel a très envie de participer à son tour ; n’ayant plus envie de maîtriser le chien, il l’enferme dans la pièce d’à côté. Jacques me détache les poignets pour me laisser reprendre mon souffle ; toujours fiché en moi, il s’étale sur le canapé.
Me tenant fermement par la taille, il me positionne au-dessus de lui, jambes écartées, son visage noyé dans mes cheveux. Jacques me susurre à l’oreille :
— Tu es prête petite Tatiana ? Ton mari a très envie de te partager avec son oncle. Tu vas nous prendre par tous les trous, belle Tatiana !
Attends... bouge pas... écarte bien ; là... il arrive, il vient en toi. Daniel écarte mes jambes et me pénètre. Je le sens défaillir de me prendre enfin après cette journée où il n’a pas arrêté de m’imaginer ou de me voir prise par tous ces hommes dans toutes les positions. Les deux sexes profondément enfoncés en moi et pris de mouvements désordonnés me font perdre la notion du temps.
— Ohhh... ma fille, que tu es bonne ! J’aime te prendre comme une traînée, ma femme adorée ! J’ai pas arrêté de bander comme un âne depuis ce matin ! Tu m’as fait bander dès que je t’ai sentie nue à côté de moi au réveil.
Daniel me défonce de plus en plus fort pendant que son oncle me tient fermement, serrant ses bras osseux autour de ma poitrine, écrasant mes seins, son gros sexe planté en moi comme un gode monstrueux. Mon mari m’embrasse goulûment, me témoignant son désir et sa reconnaissance. Sa langue fouille ma bouche comme une queue vigoureuse m’empêchant d’émettre une parole.
— Tu es si bonne fille ! Tu es si bonne, tu es la femme idéale, l’objet de tous mes fantasmes !— Aahhh ! Ça tu en as de la chance, mon salaud ! Avoir réussi à dégoter une bombasse pareille. C’est comme si tu avais gagné au loto. Tu m’en feras profiter encore, dis ? Je suis ton oncle adoré !— Aaaaahhhh Ouiiii ! Encore... Vous m’excitez tous les deux ! Je vais jouir !— T’entends ça, Daniel ? Ta bombasse aime être prise par nos deux belles bites de la campagne ! Vas-y continue de la défoncer ! Elle en redemande la petiote !— Ooohh... ouiii ! J’en redemande. Ne m’abandonnez pas, pas maintenant, j’y suis presque...
Vous pensez peut-être que l’on exige trop de moi ? Je dois vivre intensément ce pour quoi je suis là. D’autant que je n’ai pas l’intention de m’éterniser maintenant. Juste vivre ces quelques expériences à fond.
Tout est déjà prêt. Mon après est déjà prévu. Cette nuit lorsque Daniel sera bien repu au fond de son lit et que tous les gars seront éreintés de s’être vidés en moi, je me glisserai avec ma petite valise dans la nuit, remplie de mes économies, mes plus beaux effets personnels achetés par Daniel, de mes papiers et de mon ticket d’Euro Millions gagnant, qu’un des témoins à mon mariage a glissé dans le panier de la mariée.
C’était vraiment une idée géniale qu’il avait eue là. Quelle ne fut pas ma surprise lorsque seule et incrédule dans la cuisine, j’ai vu défiler tous les numéros un à un sur mon téléviseur ! Tous les numéros sont sortis ! Jamais je n’aurais cru cela possible. Jamais je n’aurais pensé pouvoir avoir autant de chance, mais je ne pouvais que me rendre à l’évidence. J’étais devenue riche en quelques minutes ! Et ça ne pouvait pas mieux tomber !
Et libre du coup !Le lendemain ayant croisé le vétérinaire venu à la ferme pour les veaux, je lui demandai innocemment s’il pouvait venir me prendre en voiture le surlendemain après une heure du matin, car j’avais une affaire importante à régler en ville.
Il accepta sans trop de réticences, sans poser de questions, se doutant que notre couple à Daniel et à moi n’était pas très catholique. Il devait me déposer plus tard au TGV de cinq heures direction Paris.
Je lui demandai la plus grande discrétion et le rendez-vous était prévu maintenant pour dans quelques heures.
Il s’agit désormais de les faire éjaculer et que chacun regagne son lit bien mérité.Moi-même je n’ai qu’à bouger d’un chouïa et le plaisir va monter. Inexorablement.M’entendre décupler mes cris au moment de mon orgasme autorise Jacques à éjaculer à son tour. Il se vide en moi. Un râle douloureux et étouffé s’écrase sur ma nuque.
— Ooohhhh, tu es magnifique ma jolie fleur des champs ! Tu m’as bien vidé les couilles ma ponette !
Mais, bouge pas. Daniel n’y est pas encore ce gros lourdaud. Mais vu ses yeux il n’en est pas très loin lui aussi. Aussitôt, Daniel explose en moi. Il finit par s’effondrer sur ma poitrine, ne cessant de se vider par petits spasmes. C’est moi qui décide finalement de mettre un terme à cette petite sauterie. Je me dégage enfin non sans peine. Je remets ma robe sexy et me dirige vers la cuisine pour au moins goûter à la pâtisserie que j’avais préparée et qui attend toujours sur la table.
Je les dévisage et les invite à goûter à tous mes mets après tous ces efforts. Sur ce, je ramasse ce qui reste de mes affaires éparpillées, leur tourne le dos et décide de les planter là. Je me dirige vers la maison pour me rafraîchir et mettre de nouveaux vêtements. Il est bien après minuit et le temps que je finisse de me préparer, ce sera l’heure. En quinze minutes, je suis prête. Je me dirige vers la route carrossée de cinq cents mètres qui mène à l’entrée de la ferme, où j’ai demandé au vétérinaire de stationner en retrait et de m’attendre. Derrière moi, je vois Daniel et Jacques en train de bâfrer à travers la fenêtre de la salle à manger, comme pour se récompenser d’une belle journée fructueuse. J’ai dit à Daniel que je voulais prendre un bain et me coucher tôt et que je fermerais la porte de la chambre, car je ne souhaitais plus être dérangée. Il était censé prendre ses quartiers ailleurs.
À présent, j’aperçois le vétérinaire près de sa voiture en contrebas du chemin un peu à l’écart. Visiblement, il ne s’est pas débiné et c’est plutôt réconfortant. Il ouvre ma portière comme je m’approche et très galamment me dit :
— Je ne sais pas quelle est votre destination, mais une chose est sûre : c’est une nouvelle vie qui semble commencer pour vous !— Je crois oui. Je vous dois une fière chandelle et je saurai m’en souvenir. Allons-y maintenant si vous le voulez bien !— C’est parti ! Attachez votre ceinture. Mais, vous ai-je déjà dit madame... Mademoiselle, que vous étiez très belle ?— Non. Pas encore. Mais je sens que ce ne sera pas la dernière fois. La nuit ne fait que commencer.

Fin
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