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La plénitude, enfin...

Chapitre 1

Hétéro
La porte claque, enfin... Minuit déjà, j’ai pas encore fermé l’œil, je saute hors du lit, nu comme un ver, le sexe érigé...
Un bref passage à la salle de bain, puis la voilà qui entre dans notre chambre, toujours vêtue, tellement désirable. Ce regard espiègle que je ne reconnais pas, mais qui illumine littéralement son visage, malgré une fatigue certaine ! Son sourire mutin complète à merveille ce si beau tableau, elle se mord le côté de la lèvre inférieure, provoquante...

Je la dévore du regard, la déshabille rien qu’avec mes yeux qui décèlent déjà tant d’indices !Elle fait un pas vers moi, dépose ses lèvres sur les miennes, sa langue force le passage pour aller à la rencontre de la mienne :Aucun doute, ces odeurs, ces goûts, ces sensations tant désirées s’offrent enfin à moi !
Elle embaume le tabac, son haleine est chargée, presque forte, le goût d’une infidélité bien consommée !
Mes mains osent se poser sur ses hanches, encore couvertes de sa petite jupe en jean que j’aime tant ! Je dévie rapidement sur ses petites fesses bien fermes, je m’enhardis, la pétris complètement. Nos lèvres toujours soudées, nos langues toujours emmêlées. Je me délecte de cette haleine inconnue, malgré vingt années de vie commune, sans aucun accroc...
D’un geste hésitant, je me risque à abaisser cette jupe, ayant pleinement conscience du danger que cela représente. Je n’ai plus d’autre choix, impossible de rester dans cette zone de confort dans laquelle j’étais confortablement installé depuis toutes ces années.
Sa jupe glisse lentement sur ses jambes fines, élancées, gainées dans ces bas noirs d’un érotisme absolu. La barrière de tissu enfin à terre, mes mains remontent lentement, prenant grand soin d’effleurer toute la longueur de ses sublimes gambettes, et, stupeur !!!
Plus le moindre centimètre carré de tissu, bien que ses strings soient minimalistes, elle me revient bel et bien cul nu sous sa jupe, à la merci d’une main audacieuse, de doigts vicieux !!!
Jamais elle ne m’a offert tel cadeau!

N’y tenant plus, je me mets à genoux pour inspecter sa vulve complètement lisse pour l’occasion : toujours cette odeur de tabac, les mêmes effluves aux notes poivrées, subtilement boisées que celles rencontrées dans sa bouche ! Pourtant, on est loin, bien loin d’un hypothétique cours d’œnologie !
Je commence à lécher ce sexe offert, visiblement visité il y a peu, ce que certaines substances blanchâtres me permettent d’affirmer ! Elle est remplie, pleine, elle dégouline, toute poisseuse... Je cesse un instant cette toilette intime, pourtant tellement nécessaire, pour plonger mon regard interrogatif dans ses grands yeux verts :

— Trois fois, il a joui trois fois au plus profond de mes chairs.
C’en est trop, je me redresse, l’embrasse à pleine bouche pour lui faire constater l’état désastreux de son entrecuisse, la jette presque violemment sur notre lit conjugal et m’empresse de retourner à ma tâche, le nettoyage de toutes ces preuves accablantes d’une infidélité bien consommée !
— Tu aimes me retrouver la chatte pleine, mon petit cocu ?— Oh oui, merci pour ce cadeau, non, ce fantasme enfin réalisé.
Après plusieurs minutes d’un nettoyage méticuleux, le travail est terminé ! Je remonte, elle est toujours en chemisier, je défais tous les boutons, libère ses seins du joug de son soutien gorge pour la pétrir sans ménagement :
— Il a aimé tes seins ?— Bien sûr, il a été surpris par leur taille, mais il en a bien profité.
N’y tenant plus, je la pénètre d’un coup sec, sans aucun ménagement ! Son sexe est tendre, doux, accueillant... Cependant, j’éprouve des sensations inconnues jusqu’alors : ses chairs sont distendues, je ne reconnais pas cette chatte, sans doute malmenée par des assauts d’une puissance sans commune mesure à ses habitudes avec moi.
Elle sourit, non, elle rit ! Elle se fout clairement de ma figure !
— Jte sens pas chéri. T’as voulu que j’aille me faire démonter, jpeux t’dire que c’est fait, très bien fait même ! J’ai crié comme une chienne, c’est une bête, un animal... Ses photos étaient bien réelles, son sexe est carrément surdimensionné, j’ai surkiffé !!! Maintenant, fais vite, je commence à être fatiguée par cette soirée de débauche... Petit cocu...
Sous ses mots, sous son humiliation, je jouis en moins de temps qu’il faut pour le dire, lui mettant une nouvelle rasade de nectar masculin. Je me retire, ma bite est poisseuse, maculée des sécrétions de son amant.
Elle s’endort aussitôt, ne prenant même pas la peine d’aller se rafraîchir, le sexe rempli, au risque de maculer nos draps conjugaux de toutes ces sécrétions, témoins incontestables de sa nuit de débauche. Je ne sais rien de plus de sa soirée, elle est installée confortablement au creux des bras de Morphée...
Elle est belle, sereine, apaisée...
Je suis nerveux, anxieux, jaloux, honteux...
Je sais qu’on vient de négocier un virage très serré de notre vie de couple, Cécile l’a négocié telle une pilote chevronnée, tandis que je me retrouve comme un con dans le bac à graviers...
Tant de questions me taraudent, des remords, de la culpabilité, mêlés à une plénitude que je ne pensais jamais atteindre.
Je lui susurre au creux de l’oreille que je l’aime, je la remercie de m’avoir offert ce fantasme candauliste, bien que tronqué par rapport à ma démarche initiale...
Je me blottis contre elle, je sais que cette nuit va changer fondamentalement notre vie jusqu’alors linéaire, presque monotone. Je sais également que ce fantasme réalisé, non sans mal, fait entrer un rival de taille dans ma vie, un mâle en rut, dominant, tel le roi des forêts de Chambord qui rebute tous ses semblables en prenant grand soin de ne rien laisser aux plus faibles, dont j’ai l’intime conviction de faire partie...
Que va-t-elle choisir ? Virevolter d’un mâle à un autre comme défini initialement, me revenir en laissant tous ces nouveaux plaisirs derrière elle, ou se laisser dompter par ce chef de harem, influant, respecté ?
Mon sommeil sera tourmenté par ses phrases : "j’ai crié comme une chienne", "je te sens pas", "petit cocu".

À suivre...
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