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Le plombier et le chien.

Chapitre 1

Zoophilie
Parce qu’il ne trouvait pas de plombier professionnel pour réparer son vieil évier, je proposais à mon ami Jacques et sa femme Solange de me charger des travaux, à savoir remplacer les évacuations et toute la robinetterie, les nouvelles techniques facilitaient ce genre de travaux. Je précisais quand même que 3 ou 4 jours seraient nécessaire.
Jacques m’avait confié les clefs de la maison. J’avais insisté pour démarrer dès le Lundi comme j’avais des congés en retard que je voulais écouler rapidement au risque de les perdre définitivement. Donc le Lundi matin je me présentais en bleu de travail, après qu’ils m’eurent confié leurs clefs. Jacques et son épouse partaient au travail.
J’avais passé la matinée à démonter le matériel défectueux. Après une pose casse-croute je retournais à mes travaux, la tête plongée sous l’évier j’étais affairé, quand soudain je sentis une présence à mes cotés. C’était Bill le Labrador de mes amis, nous nous connaissions bien en raison de mes visites fréquentes chez mes amis, je l’avais probablement libéré involontairement en allant dans le garage prendre du matériel.
Le chien me faisait la fête, je décidais d’une pose pour me désaltérer. Assis sur une chaise je dégustais un verre d’eau, le chien avait posé sa tête sur ma cuisse, je le caressais tranquillement. Puis je lui grattais le dessous de la gueule comme il adorait, puis je descendais sous le cou jusqu’au poitrail. Je massais maintenant entre ses pattes avant, visiblement ça lui plaisait.
Soudain le chien enserrait mon bras dans ses pattes avant et se mit à limer comme si il baisait. D’abord surpris, ça m’amusât de le voir s’exciter ainsi. Avait il pris mon geste pour une invitation? Me penchant légèrement je voyais le bout rouge de sa pine sortir de son fourreau. Amusé je poussais ma main vers le fourreau pour la saisir et Bill se mit à limer plus violemment, sa pine était sortie de sa gaine, elle prenait des proportions impressionnantes lâchant des giclées d’un liquide translucide en rafale.
D’abord amusé, cela commençait à m’exciter aussi, comme cela me le faisait dans ma jeunesse lorsque je pratiquais des branlettes mutuelles avec des copains, dont Jacques, ces jeux fréquents s’étaient terminés par des sodomies mutuelles elles aussi ou des pipes délicieuses. Puis avec Martine mon épouse et nos amis nous avions fait quelques soirées sexuelles très chaudes, au cours desquelles nous nous sodomisions Jacques et moi, tout comme nos femmes nous enfilaient avec des godes ceintures. L’idée de faire une pipe au chien m’amusât sans me choquer totalement, toutes expériences méritant d’être testées.

Je me penchais donc la tête contre le flanc du chien. Je goutais sa semence, un peu amère elle ne me déplaisait pas. Du coup je prenais la bite en pleine bouche, ça n’était somme toute pas moins agréable que de sucer un mec. L’enserrant dans mes lèvres, j’avalais le jus au fur et à mesure, surpris quand même par la quantité. Puis je me décidais à reprendre le travail. Bill s’était léché la bite qui était rentrée dans son fourreau.
Alors que j’étais agenouillé la tête sous l’évier Bill revenait me reniflait l’arrière train, alors que je ne m’y attendais pas il m’agrippait aux hanches pour limer comme lors d’une saillie. Amusé je le laissais faire, l’idée jaillit soudain qu’il pouvait m’enculer, je deviendrais une vraie chienne!
En un tournemain je me dégageais pour me mettre cul nu, puis je me replaçais à genoux, le chien était déjà tout excité, il me reniflait le cul, puis illico il me regrimpait, la bite déjà sortie de son fourreau cherchait mon anus. Sa bite tapait un peu au hasard, je le guidais donc, la pine à la taille d’un doigt s’enfonçait en moi d’un coup. Le chien limait de plus b elle, je sentais son engin enfler en moi et sa protubérance enfler, heureusement j’étais bien ouvert de ce coté la.
Je me sentais un peu honteux de cette pratique vicieuse, mais réflexion faite cela semblait naturel pour le chien, peut être que Solange et Jacques l’avaient habitué à "ça", étonnant qu’ils ne nous en aient jamais parlé. J’éclaircirais la question plus tard, pour le moment je voulais juste en profiter tant c’était bon.
En attendant Bill me bourrait le cul à une cadence infernale comme aucun mec ne me l’avait jamais fait. Après une dizaine de minute le chien se retirait dans un bruit de succion, je sentais couler son sperme sur ma raie et mes cuisses. Le chien vint de lui même me lécher le fruit de son plaisir.
J’avais repris mon travail qui avançait bien, mais dorénavant je n’étais pas pressé de terminer, ce qui me donnerait l’occasion de recommencer mes jeux avec Bill, j’avais trouvé cela très bon. L’heure avait tournée, il était bientôt 18h00, comme habituellement Jacques rentrait vers 19h00 je me dis que je pouvais profiter de Bill encore une fois.
A nouveau à quatre pattes cul nu j’appelais mon nouveau partenaire, il arrivait rapidement, me reniflait le cul, Il commençait déjà à bander, sachant ce que j’attendais de lui il s’agrippait de nouveau à mes hanches, sa bite cherchait mon petit trou qu’il pénétrait rapidement puis qu’il limait à tout va.
La voix amusée de Jacques me surprit:     - Ben mon cochon je vois que tu ne t’ennuies pas! Et ce salaud de chien lui profite de toutes les occasions!    - Solange et moi aimons beaucoup aussi.
Jacques en parlant s’était déshabillé, nu il glissait sous moi tête bêche pour sucer ma queue gonflée, la sienne se dressait vers moi, sans hésiter je le pompais. au moment ou Bill se dégageait de mon trou je me lâchais, envoyant une giclée de foutre dans la bouche de mon ami qui me rendait la pareille. C’était trop génial ...
Si ça te plait nous pourrons recommencer lors de nos prochaines soirées, avec un male de plus nos deux salopes vont être comblées! Surtout que ce cochon de Bill aime être sodomisé lui aussi, Martine devrait être partante elle aussi. Jolis programmes en prévision. Mais je me promettais d’essayer dès le lendemain de sodomiser Bill.
Le jour suivant j’en avais presque terminé de mon bricolage, si je ne me laissais pas distraire j’aurais terminé en fin de matinée. J’envisageais de profiter de Bill dans l’après midi. A l’heure du repas j’en avais fini des essais de l’installation: c’était parfait. Je déjeunais rapidement.
Je m’étais mis nu l’envie de me faire sodomiser par Bill était très forte, le chien vint sans problème me prendre une nouvelle fois pour mon grand plaisir. Etais-ce le coté vicieux ou inhabituel de la situation qui me plaisait? Les deux sans doute! Je bandais très fort! Le chien se libérait rapidement, sa bite palpitait encore sous son ventre, je le gratifiais d’une pipe gourmande, profitant du sperme qui giclait encore.
Agenouillé près du chien je salivais abondamment mes doigts avant de lui caresser l’anus. Habitué Bill attendait la suite, je glissais un doigt dans son anus. Aussitôt je sentis le cul du chien "pomper" sur mon doigt, du coup j’enfilais un deuxième doigt qui entrait aisément. Puis placé à genoux j’attirais le chien vers moi, je lubrifiais ma queue de ma salive, pour enfin la placer sur le petit trou du chien.
Ma bite entrait sans difficulté, je m’enfonçais à fond, Bill semblait apprécier. Je limais lentement au début puis de plus en plus vite. L’anus du chien palpitait sur ma pine, quel délice à la fois un cul et une bouche en action. Rapidement je sentais monter ma sève, je me libérais sans retenue lâchant une abondance de sperme.
J’avais découvert de nouveaux plaisirs que je me promettais de renouveler souvent notamment lors des soirées avec nos amis. L’idée de prendre un chien pour Martine et moi faisait aussi son chemin dans ma tête.


tintin29600@hotmail.fr
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