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Plongée Caraïbes

Chapitre 2

Avec plusieurs femmes
— nous c’est juste pour toi. J’ai envie que tu me possède. Et ce sera notre secret. Tu vois j’aime aussi les hommes et la langue de Sophie si agile soit-elle ne remplacera jamais un bon gros coup dans les fesses...— et donc cela doit rester secret ?— oui. C est le prix à payer. Je suis en couple avec Sophie et j’entends que cela le redte encore longtemps.— tu veux que je te réponde quoi à part que j’accepte ?— rien si ce n’est que tu aimerai bien me payer de l’huile solaire, je crame et tu auras l’occasion de découvrir mes formes...Je met plein gaz vers un endroit abrité. Vida quasi nue est étendue à l’avant du bateau, prélasse ses formes généreuse sous le soleil. L’ancre jeté je m’approche d’elle comme une bête en manque. Mon sexe en érection déforme mon maillot. La bouteille d’huile à la main je fais couler un fin filet de ses pieds jusqu’à ses seins, commence à la massser. Elle pousse des soupirs de contentement puis roule sur le ventre pour que je m’occupe de l’autre coté. Ses fesses son si bien rebondies, comme seule l’Amérique centrale et du sud savent en faire, un cul de brésilienne. Mes mains remontent le long de ses cuisses ferme et elle se cambre pour faire ressortir ses fesses. Mes doigts passent sous les ficelles qui retiennent son string et j’ai vite fait de faire sauter les noeuds qui retiennent le bas de son maillot. Elle se cambre un peu plus et ses fesses s’ouvrent comme un abricot trop mur. Mes doigts lui caressent la raie et ses soupirs se changent en râle. Mes doigts glissent sur ses petits trou et elle tressaille à chaque passage.la première phalange de mon index se plante dans son anus tandis que mon majeur fait de même avec son sexe.— je ne savais pas que tu aimais aussi par là.— j’aime tout ce que la nature nous offre. Et avec toi elle a été généreuse.Sur ces mots je plonge ma langue à la rencontre de ses orifices qui sont si chaud et humide. Elle jouir rapidement sous mes coups de langue qui cherchent à la pénétrer. Après un moment elle me repousse et s’agenouille devant moi. Elle enduit ses mains d’huile de massage, en fait couler sur ses seins et mon sexe et commence à le lécher le bout du gland. Je suis au paradis quand elle enserre mon sexe de ses deux gros seins et me masturbe avec. Je suis sur le point de jouir quand elle s’arrête brusquement pour me reprendre en bouche et avaler mon éjaculation. Le souffle court elle me demande.— tu veux des photos non volées ? — oui j’aime tellement.— va chercher ton appareil. Pour les dix prochaines minutes je suis ta poupée chiffon.Je la mitraille alors, dans toutes les positions, je fais des superbes macros des petit plis délicat de son anus, de ses lèvres vaginales pulpeuses de ses seins qui pendent alors quelle se tiens à quatre pattes.— pose ton appareil et viens me prendre.Elle se retourne, le centre appuyé sur le bord du bateau, elle m’offre ses fesses. Parfaitement ouvertes. Je m’approche le sexe tendu et dur et je m’enfonce d’un coup sans m’interrompre en elle tant nous sommes lubrifiés par l’huile. Elle pousse un long cri alors que j’entame des va et vient. D’une main experte elle s’écarte une fesse pour m’offrir une meilleur vue alors qu’un doigt de son autre main puis un deuxième s’enfonce et ressortent de son anus au même rythme que mon sexe.— de toute façon je sais que tu va vouloir passer par là alors autant que je me prépare...— tu as raison je vais te prendre aussi par là. Je m’allonge sur le pont et lui demande de s’accroupir sur mon sexe. Je lui tiens les chevilles alors que ses fesses se rapproche et se pose sur son autre petit trou. Il ne s’ouvre pas tout de suite mais le poids de son corps et l’huile et fait céder. Son anus s’écarte sur le passage déchirant de ma bite qui n’attendais que ça. Arrivé jusqu’à la base je la sens contracter son muscle anal et me tire un cri de jouissance. Elle à la tête penchée en arrière et elle à un violent orgasme. Le miel coule à flot de sa chatte alors que dans un effort intense elle relève son cul pour se libérer de ma pénétration. Presque sorti de son cul elle se laisse retomber lourdement sur moi, enfonçant mon sexe encore plus violemment et profondément en elle. A chaque fois cela lui arrache un cri plus fort. Au final elle est prisme d’un grand spasme qui la secoue. Je me redresse et l attrape dans le dos en lui tenant les épaules. Je me met à onduler du bassin et la lime de toute mes forces. Elle crie de jouissance et se laisse aller à son orgasme. De mon coté l’étroitesse du passage et la violence de la pénétration me font libérer un grosse quantité de sperme dans son ventre. Haletant nous nous séparons de quelques centimètre mais je reste fiché en elle. Je n’ai pas envie de ressortir. Mais elle, le cul endolori me repousse.— wow doucement quand même ! Et tu bandes toujours !— j’ai envie de revoir encore tes fesses— tu aimes mes fesses ?— oui vraiment beaucoup, remet les en l’air s’il te plait !Vida à genoux et le visage sur le pont du bateau tend ses fesses vers le ciel, elles brillent dans ce soleil qui monte sur l’horizon. Du sperme s’échappe de son petit orifice alors que debout, je met mes jambes de part et d’autre des sienne et plie les genoux poux que mon sexe arrive face au sien. Sa vulve pétille d’impatience. Je fais glisser mon gras entre ses lèvres et butte sur l’entrée de son vagin, il est enfoncé entre ses grosses lèvres qui ruissellent de plus belle. J’entre doucement un petit millimètre après l’autre et ressent chaque petit recoin de son anatomie. Je continue à me laisser glisser à l’intérieur jusqu’à ce que mon entre jambe stoppe sur ce cul rebondi. Elle pousse comme un soupir de soulagement alors que mon gland touche le fond de son ventre. Mon gland palpite et réclame plus de sévérité dans mes mouvement mais je résiste et ressort tout aussi lentement, je ressors complètement, mon sexe pend à l’entrée de ses fesses et rentre à l’aide de mes doigts de nouveau dans son petit trou du cul endolori. Elle arrache un cri de mécontentement alors que je retourne dans sa chatte. Jj je recommence passant de l’un à l’autre. Vida est partagé entre la douleur et un immense bien être. Ce dernier l’emporte et je la vois de décrisper. Lorsqu’elle est bien détendue les deux trou ouverts, béant j’entreprend de lui limer sa petite chatte bien vigoureusement. Elle gémit de plaisir sous chacun de mes coups de rein, elle à le souffle court au moment ou je me répands par jet sur ses fesses. Nous nous asseyons pantelant et ruisselant de sueur.— on remet ça quand tu veux. Merci je commençais à en avoir un grand besoin.— parles pour moi qui vous vois, deux lesbiennes superbe se bécoter à longueur de journée et parfois plus encore. En tout cas ce petit numéro était parfait.
— merci, n oublie pas c’est notre secret et seulement à cette condition tu pourras utiliser mon corps. Si tu manques à ta parole tu nous perdra tout les deux.— j’ai bien compris et je n’ai vraiment pas envie que cela soit le cas. Je serai en plus mon stressé grâce à ta participation...— alors on est d’accord me lance t’elle avec un clin d’oeil.Nous nous désaltérons, et calmes comme après un yoga nous nous mettons à l’eau. Après 45 minutes à déambuler entre les roches et les coraux mou, il est enfin là, jaune et irisé sous ma lampe d’appoint à ultra violet. Je fais des dizaines de clichés, je ne veux pas le louper. Je reprends des poses encore et encore. Jusqu’à ce que fatigué de servir de modèle il se détache de son pied de corail pour se cacher dans une anfractuosité de la roche. Plus que satisfait nous décidons de rentrer plus tôt au club. Sophie est en train de lire dan un hamac, à l’ombre.— On l’a trouvé ! Je vais enfin finir ce bouquin !— cool ! Faites moi voir !Pas envie de refaire la même erreur que la dernière fois je ne montre que quelques clichés et prétexte l’envie de terminer mon livre pour ne pas trop remonter dans l’historique des photos.

Je me rends à mon petit bureau et quelque chose sonne faux, mon mac n’est pas comme je l’avais laissé. Un petit coup d’oeil dans le dossier des éléments récent. Rien, vide, nettoyé de son contenu. Je m’attaque plus avant aux fichier et découvre que Sophie a été jeter un oeil dans mes photos, une vingtaine de minutes, je l’imagine en train de se caresser sur ma chaise et cela me donne des frissons. Je décide de cacher les photos de Vida dans un autre endroit pour plus de sureté. J’installe aussi un petit programme qui s’il n’est pas désactivé filme l’utilisateur à son issue, je colle enfin un petit sticker qui masquera la diode d’activité de la caméra intégrée. Finalement je regarde les photos prise de l’hippocampe mais je ne suis pas satisfait. Trop de particules et le focus n’est pas convenable. Belle excuse pour repartir cet après-midi avec Vida et laisser mon mac sans surveillance. A peine le repas fini, Vida embrasse Sophie à pleine bouche en me vrillant dy regard. Quel numéro elle me fait ! A peine croyable. Nous sautons sur le bateau et à peine 100 mètre de parcouru qu’elle se jette à genoux devant moi pour dévorer mon sexe qui n’attendait que ça. J’essaye de demeurer imperturbable alors que reprenant son souffle elle me demande.— tu te touches souvent en pensant à nous deux, enfin Sophie et moi je veux dire ?— autant être franc, dès que j’ai quelques secondes de temps libre. J’imagine tout le temps vos langues glisser dans le miel coulant de vos chattes.— faudrait que j’arrive à convaincre Sophie de te laisser nous regarder. Enfin si tu es d’accord.— comment dire non à une telle proposition..— et si ça marche avec le temps tu te joindra à nous...L’image explose dans ma tête au même moment ou je me déverse dans sa bouche. Gourmande elle n’en perds pas une miette. L’idée même me met dans tout mes état et refait naitre une érection.— prends moi par le petit. Ce matin j’ai adoré que ru me fasses mal par là. Tu es si brutal et délicat en même temps que je vais devenir accroc.Je met en panne le moteur et me rue sur elle. Nous nous étalons sur le fond du bateau et nos langues se mélangent. Mes doigts passant de son sexe à son anis rapidement pour le lubrifier. J’écarte son petit bikini et crache dans ma main, salive que j’étale sur mon gland et présente à l’entrée de ses fesses. Elle se détend pour me laisser le passage et rentre de nouveau en elle. Cette chaleur douce et brulante est un vrai bonheur. Tout ses replis intérieur me masse le sexe à chaque allée et venue dans son ventre. Rapidement j’atteins l’orgasme et grogne alors que je me vide sur ses fesses. Elle étale ma semence sur ses fesses et se lèche avidement la main dans un petit soupir de délectation.— je vais devenir accroc tu sais.— tu es mon dealer Vida. Je suis ton meilleur client junkie. Accroc à tes formes et tes orifices.— tu es surtout un gros cochon pervers.— aussi, c’est clair.Vite rhabillé nous rejoignons le mouillage du matin et retrouvons rapidement notre bestiole. Cette fois les conditions son parfaites et je suis sur de mon coup. Sur le chemin du retour, Vida pose pour mon objectif en se masturbant pour l’oeil de mon appareil. Sans retenue, faisant glisser ses doigts fin dans toutes ses entrées disponibles. Arrivé à quai Sophie remarque mon érection qu’il m’est impossible de dissimuler.— on s’ennuie pas pendant mon absence visiblement !— surement la chaleur et mon petit maillot ! Rigoles vidant en rangeant ses affaires.— les deux vous allez me rendre dingue, il va falloir que je trouve une solution et vite !— tu n’as qu’a vider le trop plein avec les photos de Johanna !Sophie baisse la tête et pars vite s’occuper ailleurs, consciente de s’être trahie. Je ne relève pas et fait mine de ne pas avoir entendu. De retour dans ma chambre j’ouvre mon petit logiciel qui contient une séquence de quinze bonnes minutes. Sophie s’est assise dans ma chaise, j’ai repassé plusieurs fois le moment ou elle baisse sa culotte avant de se rassoir les pieds sur le bureau. Elle se penche pour attraper une banane qu’elle a apporté, la lèche avec la peau, comme s’il s’agissait d’un sexe puis se la rentre doucement dans sa petite chatte. L’autre main libère ses seins et elle se caresse la poitrine, se pinçant les tétons. Elle fini par jouir et lécher son miel sur la banane et sur ses doigts. Enfin elle referme les documents et remet tout en place. Les photos ouvertes sont toutes des gros plans de mon sexe dans la bouche ou les fesses de ma partenaire. Mais aussi mes orgasmes sur leur visage. J’y vois clairement une ouverture, reste à espérer que Vida se montre convaincante et moi.. patient.Le soir lors du repas je demande s’il reste des bananes. Sophie rouge déclare qu’elle à fini la dernière.— pas besoin de rougir pour ça Sophie c’est pas bien grave, nous en reprendrons à nos prochaines courses. Le soir après m’être caressé plus que de raison devant l’image de Sophie, j’arrive enfin à boucler ce livre dont j envoie un exemplaire pour relecture. Je suis vraiment satisfait et le fait lire à Sophie et Vida en lui mettant sur son iPad. Elle sont surprise de lire que je leur dédicace la préface. "A Sophie et Vida qui ont rendu mon rêve possible et réel. Aux femmes de ma vie". Elles parcourent le livre avidement pages après pages, commentant et retrouvant leurs textes. Nous ouvrons une bouteille de champagne. Même si le succès sera relatif, réservé à un petit cadre de passionnés je suis heureux du résultat. J’ai une idée pour un prochain ouvrage et je leur fait part de mon idée.— les filles j’ai une idée dont je voudrais vous parler pour un prochain livre.— tu veux parler de quoi cette fois ?— je voudrais faire un ouvrage de photos sexy, de plongeuses sexy. Je suis un privilégié de vivre avec vous et je voudrais avec votre accord partager votre beauté avec le reste du monde. Je vous trouve superbe et ce serait vraiment magnifique.— tu te fous de ma gueule ? Réagis vertement Sophie— moi je trouve l’idée pas si mal — Merci de ton soutien Vida. Sophie je ne comprends pas ta réaction surtout avec ce que tu as fait la saison dernière !— ça n’avait rien à voir, c’était deux pauvres plongeurs et tu t’es servi de moi ensuite sur le site web.— avec ton accord !— oui mais la c’est différent !— en quoi !?— je ne sais pas, je.. Faites chier !— allez Sophie réfléchi ! — je n’en sais rien laisser moi la nuit pour y réfléchir.— Sophie, je veux faire du soft, en bikini au maximum et en noir et blanc, ou sépia, comme des photos vintage, ce ne sera surement pasPlayboy !— tu dit ça maintenant.. Mais tu en voudras plus ensuite, je me rappelle bien des photos volées de Vida, tu es obsédé, tu n’arriveras pas à te limiter.— on ouvre un pari ?— quel enjeu ?— celui qui perds sera l’esclave de l’autre une journée, sans restriction. — tu es folle Vida !! Hurles Sophie— Alors tu n’es pas si sure de gagner ?— bien sur que si, ok je pose et pari tenu !— tu vas souffrir mon coco !

Nous finissons le champagne et la soirée, un peu ivre nous rejoignons nos chambres. Ca va être dur de gagner. Je rêve d’images pornos de Sophie et de Vida. J’en ai quelques mais c’est de la vidéo de piètre qualité. Ma nuit est agité d’images vulgaires et salaces, de corps qui s’emboitent et s’emmêlent. Au petit déjeuner nous décidons de fermer trois jours la semaine prochaine, deux pour rassembler l’équipement, les tenues et le maquillage, et trouver idéalement deux autres modèles. Et une pour les photos. Nous sommes d’accord de prendre les photos à une vingtaine de kilomètres, il y a une petite crique très isolée, avec des décors variés, des coraux à profusion, des palmiers qui plongent vers la mer. Finalement après âpre négociation, j’arrive à leur imposer des couleurs sur les photos.

Les jours passent et nos conversation s’orientent sur les poses, le maquillage, les tenues... Je suis heureux que les filles participent autant et s’implique à ce point dans le projet. Entre temps l’éditeur nous à validé le premier livre qui part sous presse dans les prochaines semaines, et il est clairement avide d’obtenir le nouveau volume que nous préparons. Sophie ironise sur le coté cochon des hommes et Vida acquiesce. Sur le choix des modèle nous sommes d’accord de proposer à Sarah, une jolie rouquine qui bosse de l’autre coté de l’île. J’ai Tina en tête, même si elle est serveuse dans un strip, elle est métisse black et cela pourrait faire un joli mélange, en même temps après ce qu’elle à subit la dernière fois je suis pas sur qu’elle m’adresse de nouveau la parole.— les filles j’ai une idée pour le 2e modèle.— ouh toi tu as une sale idée derrière la tête pour prendre un ton pareil.— j’admet, elle n’est pas du monde de la plongée.— elle bosse dans ?— un strip.— tu déconnes ? Me lâche Sophie.— non c’est une "pro"— ben bravo, et on peu savoir d’ou tu l’as connais ?— oui mais non, de toutes façon vous vous doutez bien, moi je n’ai pas de partenaire pour me détendre le soir. Alors je fait comme je peux ! Ok ! Je l’ai vu une seule fois si vous voulez bien passer à autre chose !— tu es désespérant des fois.— tant que c’est seulement des fois...— tu essayeras pas de te taper la rouquine j’espère.— ca ne dépends pas de moi !Le jour J est là, direction la grande ville pour chercher des maillots de bain sexy, je finance tout de A à Z. Sophie est partie dans un coin du centre, commercial, Vida chercher du maquillage et moi parti convaincre Tina. Avant de partir j’attends que Sophie s’éloigne pour attraper Vida.— Vida j’ai besoin de toi. De ton expertise— et dans quel domaine ?— la fellation, suis moi !— toi tu va avoir du mal à tenir ton pari avec Sophie !J’entraine Vida dans un petit bosquet à la périphérie du parking, avec toutes ces idées en tête je ne tiens plus en place ! Nous sommes juste sous la rampe d’accès, invisible des passant, je défait en toute hâte le noeud qui retient mon short, juste assez pour libérer mon sexe qui me saute dans la main. Vida se penche et embrasse mon gland de manière douce. Je boue quand elle m’annonce.
— Tu n’auras rien ces jours, je veux te voir perdre, je veux que tu perdes les pédales, il est hors de question de transformer Sophie en esclave !— C’est vraiment vache ta manoeuvre !— Mais je compte bien aussi en profiter !— La solidarité féminine c’est vraiment limite pour le coup !— Surement, et tu n’en es pas bénéficiera, désolée. Ricanes t’elle.
J’abandonne Vida qui va acheter du maquillage et je pars chercher Tina, qui bosse dans son bar non loin de là.
    * Salut Tina !— Tu veux me faire plaisir et dégager ! Après ce que tu as fait la dernière fois je vais appeler le videur et te faire mettre dehors comme un malpropre.— Ne fais pas ça, je m’excuse j’étais vraiment à cran. Désolé, enfin pas vraiment c’était une expérience hors norme pour moi. Je regrette juste que cela ce soit passé comme ça.— Facile de dire ça maintenant ! Qu’elle perversité t’amène cette fois ?— Je voulais savoir si tu voulais bosser «en dehors».— Un truc de pervers encore ?— Pas vraiment, en fait je fais un livre de photos soft autour du monde de la plongée, j’ai déjà deux modèles, Sûrement un troisième bientôt et comme tu es spécialement belle, je tenais à ce que tu y participe.
— Ca paye ?— Je te donne trois cent euros pour la journée de vacances, et une participation sur le résultat si je rentre dans mes frais.— Je vais y réfléchir, je te donne ma réponse dans quelques jours.— Je voudrais savoir maintenant, la séance est prévu pour après demain.— D’accord, mais du soft seulement, je veux être payée maintenant. Et si je sens un truc foireux tu me verras partir dans la seconde.— C’est ok pour moi.
Je lui verse son argent et on se donne rendez-vous au club deux jours plus tard. Je suis vraiment content qu’elle ne me prête pas trop à conséquence de mes actes passés et qu’elle prenne part au projet. Un peu plus tard, je rejoins Sophie et Vida sur le parking. Elles ont acheté pleins de maquillage dont je n’ai aucune idée de leur utilité si ce n’est les rouges à lèvre criard ,mais par contre je salive en voyant les maillots de bains sexy, bikini fluos, string ficelles, lunettes de soleil, petit short arborant des hibiscus… Je me réjouis d’avance. Non décidons d’aller au club de Sarah qui est de l’autre coté de la côte. Après une heure de route nous arrivons à destination ou Sarah est dans une chaise haute à fumer une cigarette, à l’ombre d’un palmier.
— Hello Sarah. Ca faisait un bail. Les affaires sont bonne pour toi ?— Bof pas terrible ces derniers temps et ton club me rafle pas mal de clients. Mais bon quand je vois tes monitrices je comprends vite pourquoi.— Je te présente Sophie et Vida.
Les filles se font la bise et se mettent à parler comme si elles se connaissaient depuis toujours. Je reste un peu à part et vais discuter avec un autre guide, Sean, qui bricole dans son coin. Notre conversation dérive indubitablement sur ce petit groupe de filles qui parlent entre elle. Sean rêve de finir avec Sarah mais il est triste d’être avant tout un excellent ami pour elle. Sarah est en couple avec un type qui vit à des milliers de kilomètre de là et ils ne se voient que quelques jours par an. Bref c’est pas la belle vie pour lui. Je lui parle de Sophie, en comme avec Vida, mais je ne lui en dit guère plus si ce n’est que j’ai besoin de lui emprunter Sarah «pour des cours». Il me dit que les affaires ne sont pas trop bonne et qu’il devrait pouvoir se passer d’elle sans trop de peine. Un regard vers vida qui me fait un signe du pouce. Apparemment l’affaire est entendu, je ne sais pas trop ce qu’elle lui ont dit pour la convaincre mais c’était plutôt rapide. Je rejoins les filles et fait une bise pour dire au revoir à Sarah, rendez-vous après demain matin au club. De retour dans la voiture je leur demande.
— Je peux connaître votre secret les miss ?— Notre secret ?— Vous avez convaincu Sarah en moins de quinze minutes, pour moi c’est plutôt un exploit !— Facile, si elle accepte, elle viendra bosser avec nous !— Nan mais tu plaisantes j’espère ?— Pas du tout, certes on va pas mal s’agrandir, mais après deux ans regarde comme ta petite paillote a changé, en particulier grâce à Sophie qui à lancé le concept de plongée sexy.— Je vais perdre les couples… Ce n’est pas bien grave je pense. Me lance Sophie— A voir… Mais vous allez vous entendre avec Sarah ?— Oh oui je pense bien ! Et pour toi c’est mort elle est en couple.— J’ai appris ça… Mais ça m’a pas l’air bien solide…— Non c’est même une histoire bidon pour que son collègue la laisse tranquille, mais bien évidemment, je t’ai rien dit.— Evidemment.
Nous nous arrêtons sur la route pour déguster un poulet grillé, et quelques rhum dans un restaurant local que nous apprécions, nous trinquons à plusieurs reprises à ce projet amusant et à l’aventure qui nous attends.Le lendemain nous préparons tout le matériel, tout semble en place. Nous mettons un coup de propre au combinaison qui vont servir, les filles font briller les chromes du matériel de plongé pendant que je met un coup de peinture sur les bouteilles que nous allons emporter avec nous. Je vais également emprunter un peu de matériel de chasse, filet, et harpons. Je ressors également du matériel vintage que je stockais dans une caisse, vieux masques rond et un vieux gilet stabilisateur fenzy. Enfin les filles ont été faire quelques provisions et faire tresses des pagnes en feuille de palmier. Je suis hilare en les voyant revenir avec un soutien-gorge taillé avec deux moitiés de coco.

La nuit est longue, je prépare et revérifie mille fois mon matériel photo, je fabrique un grand réflecteur de lumière avec du papier d’aluminium et des bambous. Voilà, il me reste à me coucher et attendre cette formidable journée de demain.

Le grand jour est arrivé, toutes les filles sont là devant le club, mes yeux n’arrivent pas à se poser sur l’une d’entre elle tellement je fais face à tant de beauté sur si peu d’espace. Les filles sont toutes excité de commencer. Je décide de faire un cliché pour immortaliser le début de l’aventure et c’est riant que nous prenons quelques photos. Le bateau s’élance en direction de la baie, les filles sont dans les sacs choisir les maillots de bain, les accessoires qu’elle préfèrent. Tout se passe dans la plus grande bonne humeur possible alors que je me mur dans une certaine forme de mutisme, j’ai aussi un pari à ne pas perdre…

A l’abri des courant les filles se maquillent l’une l’autre se coiffe et font briller leurs cheveux avec des huiles de monoï, cette odeur est envoutante. Je prends des photos à n’en plus finir, assisté des autres filles qui s’encouragent et m’aide avec l’éclairage ou d’autres accessoires, elle sont force d’idée et je me laisse porter par leur enthousiasme. Sophie en petit pagne de palmier avec un harpon de chasse pour cacher sa poitrine, les hanches et fesses de la sublime vida sous l’eau jouant avec avec une étoile de mer, Tina émergeant des flots alors que l’eau ruisselle sur son corps. Sarah en petit bikini en train de monter son matériel de plongée… La petite collation sur la plage est faite dans la liesse, nous rions aidé par les cocktails que Sarah nous as ramené, je fais une autre série de photo, les filles se battant avec de l’eau, je photographie leurs sourire, leurs rires et leur formes, les photos sont sublimes, je les prends aussi se reponsant sur le sable à l’ombre des palmiers, prends des macro des grains de sable collés sur la joue de Sarah, dont les yeux vert sont parfait alors que des mèches rousses lui barrent sa bouche pulpeuse… La course du soleil dans le ciel semble s’accélérer et la lumière décline sur la baie, j’en réalise encore une immense quantité au coucher du soleil, immortalise aussi leurs fesses, en rang les unes à coté des autres. Je suis tellement absorbé par ce que je fais que je ne peux pas vraiment laisser exploser ma sexualité. Je réaliserai sûrement plus tard cet instant que je ne revivrai sans doute jamais. La nuit est tombée. Nous faisons un petit feu avant de reprendre la mer et rejoindre notre port d’attache.

Tout le monde est heureux de cette journée, et je suis fier d’avoir gagné mon pari si facilement. Sophie vient s’asseoir à coté de moi.
— Tu ne seras pas trop méchant j’espère…
Je la regarde interdit. Elle est sublime, les flammes dansent dans ses yeux, elle est si fragile et si désirable à la fois.
— Sophie je ne peux simplement pas honorer ce pari, tu as bouleversé ma vie dans tout les sens du terme et même si j’admet te désirer physiquement plus que de raison, je pense que je t’aime quelque part la dedans. Mais que la vie fait que cela ne marchera pas, jamais. Je me fais une raison de cela. Embrasses moi simplement et nous serons quitte.

Elle m’embrasse tendrement, je sens sa langue glisse sur la mienne. Elle me regarde dans les yeux en m’embrassant puis après quelques secondes qui me semble des heures, se lève et sonne la fin de la journée.

La traversée de retour est plus calme tout le monde est sonné, fatigué de cette journée au final éprouvante. Nous recouvrons le bateau d’une bâche, trop tard pour décharger. Sarah dormira dans ma chambre alors que je me mettrais dans le hamac. Tina quand à elle à déjà repris la route. Je me demande si elle à raconté notre aventure aux autres filles mais j’en doutes. C’est aussi une pro et ce qui se passe au boulot y reste.

Tout le monde dors quand Sarah à pas de velours attrapes une chaise et me rejoins.
— Merci pour la proposition de boulot. Je supportais plus l’autre lourd. — Moi il va plus me parler après ça…— Il va te manquer ?— Pas vraiment, quand je venais c’était surtout pour te voir.— Dis moi, toi et Sophie…?— C’est une amie, c’est tout, à mon grand regret cela restera toujours ainsi.— Oui je sais pourquoi… Et tu sais quoi ?— Non ? — Tant mieux pour moi…
Sarah se penche sur moi et m’embrasse tendrement, une main me caresse le torse, ses cheveux tombent en cascade sur mon visage et sa chaleur irradie le mien.
— Viens tu ne dors pas dehors ce soir.
Sarah m’entraine en me tenant la main vers ma chambre, s’allonge sur le lit, me regarde intensément.
— Fini de te déshabiller et éteins la lumière.
Je m’exécute rapidement, je m’allonge sur le lit et elle me lance. Je vais à la salle de bain, patiente un instant. Instant qui s’éternise quand la lumière jaillit de la porte, elle est là devant moi, mes yeux habitué au noir n’arrive pas a capter ses formes dans la lumière qui éclaire dans son dos. Elle referme la porte derrière elle. S’allonge a coté de moi et malgré l’obscurité je sens sa main se refermer mon sexe qui durcit sous ses doigts. Je soupire de bien-être quand sa bouche se pose sur mon sexe qui gonfle encore. Elle pousse des petits gémissement alors que sa tête monte et descend le long de mon pénis, une main posé sur sa tête, je sens ses cheveux qui me caressent les cuisses, les testicules, je suis en pleine extase.
— Sophie c’est tellement bon.
Je sens la tête se crisper une seconde puis continuer. Je ne sais plus si j’ai dit Sophie ou Sarah, mais je suis vraiment un blaireau sans nom ! Bon même si je me suis trompé visiblement elle ne l’a pas trop mal prit… Son mouvement s’accélère alors qu’elle se couche sur le coté pour me présenter ses fesses, je me colle contre elle et la pénètre doucement sans aucun a coup tant son sexe est humide et dégouline de miel… Après quelques va et vient je me redresse et la pénètre de nouveau à genoux, derrière ses fesses, que je prends un plaisir infini à caresser. Le grain de sa peau est parfait, sa chaleur douce pulse dans mes main et mon sexe est dans un endroit magique. Des guerres ont éclatés pour cette sensation et à cet instant précis je comprends pourquoi. C’est le saint des saint. Je n’ose pas imaginer comment je me sentirai dans ses fesses et décide de me réserver ce privilège pour plus tard… En attendant je couche Sarah sur le dos et descend vers son pubis avec ma langue qui glisse le long de son ventre plat, parfait. Je m’attarde sur son nombril, fente si fine et continue ma descende vers ce pubis parfaitement rasé, doux et délicat. L’odeur intense qui s’échappe de son entre-jambe me fais perdre la raison et je me jette affamé sur ses lèvres, dévorant le miel qui dégouline à flot et m’acharnant sur ce clitoris déjà si dur. Sa respiration s’est accéléré sensiblement alors que je glisse un doigt dans son sexe et que ma langue joue avec son clitoris. Elle se met à émettre des petits couinement alors que l’orgasme monte en elle, je sens son vagin se resserrer autour de mon doigt alors que celui-ci va et vient encore plus rapidement en elle. Elle fini par pousser un long cri alors que son corps se tend violemment dans une intense contraction d’orgasme. Puis une seconde plus tard elle retombe le souffle court, haletante. Elle se retourne et malgré le noir complet je devine sa paire de fesses qui se dressent à mon intention. Mon gland se présente à l’entrée de son vagin encore serré par la jouissance précédente, malgré tout j’entre en elle sans résistance et lime ce postérieur parfait, mes mains explorent sans fin ces courbes parfaites, délicieuses et à mon tour je me répands dans son corps dans un immense qui rauque. Je m’effondre alors sur le dos. Elle se retourne et viens lécher mon sexe recouvert de miel et de sperme, sa caresse buccale est douce et est comme un massage après un intense moment sportif, calmant.

Je m’endors rapidement. Au réveil je suis seul dans la chambre. Au bruit les filles déjeunent dehors. Elles sourient en me voyant. Vida me lance :
— Alors Casanova, bien dormi ?— J’ai passé la meilleur journée et nuit de ma vie juste après celle qui m’a fait rencontrer Sophie pour être franc.— Pas mal. Réagit Sarah.— Les filles, vous pensez pouvoir gérer les clients qui viennent cette semaine ?— A trois on aura aucune difficulté.— Je vous cache pas que je vais vivre comme un cafard ces prochains jours, j’entends bien boucler le livre en un temps record.— Pas de problème pour nous. Va nous faire rêver !
Je rejoins mon petit bureau et commence le tri. J’envoi par mail une photo à mon éditeur afin qu’il se fasse une idée de ce que je vais faire. Sa réponse ne tarde pas et je crois que pour lui l’attente est simplement insoutenable. Il m’offre un meilleur pourcentage sur les ventes à la condition que je l’accueille pour plonger d’ici un moi. Bien volontiers j’accepte. Il souhaite que je choisisse une centaine de photos pour le livre. Mais c’est simplement impossible, si je m’écoutait j’en sélectionnerai un bon millier. Ces filles sont simplement l’encyclopédie universelle de la beauté. Rien de plus et une centaine de clichés ne serait que la préface de cet ouvrage. Un hymne à leur beauté sans égale. Après plusieurs heures, je passe de mes cinq mille photos à mille puis deux cent. En fin de soirée les filles m’aident à retenir les cent dernières. La discussion est brève quand à la photo de couverture. Ce sera Sophie, ceinte dans un petit bikini qui photographiée sous l’eau semble défier la gravité, on dirait qu’elle vole dans cette eau cristalline, au milieux des poissons et des coraux.

Après quelques jours de retouche photo, rien à faire sur le corps si ce n’est ajuster les couleurs, la mise en page est rapidement réalisée. Me reste à écrire la préface. C’est rapide tant les mots me sortent du coeur. «Amoureux de la mer, je le suis également des femmes. La mer et les femmes forment un toute la beauté de ce monde. Ils sont l’évasion et le rêve, le calme et un monde sans fin de sensations. Je ne peux vivre sans l’un ni l’autre. Je suis prisonnier d’un rêve que chaque matin me permet de réaliser. C’est pour elle que je vis et que mon coeur bat.» L’éditeur est ravi de la réalisation. Pendant ce temps nous avons reçu par la poste l’ouvrage sur les poissons qui d’un coup me parait bien fade.

J’ai repris l’activité de moniteur le livre finit et ce matin nous partons avec trois autres plongeurs une épave profonde. Sophie et Vida assurerons la sécurité en surface. Tout est prêt alors que nous descendons dans l’abime avec ma palanquée. Pendant la descente un dauphin siffle en passant à notre proximité et nous ralentissons pour le regarder s’éloigner. La plongée s’annonce sous les meilleurs hospices. Moins 55m le sable s’étale sur la gauche et le vieux bateau rouillé, fragile, couvert de corail est sur notre droite, nous le rallions en quelques coup de palmes. Un de mes plongeurs me fait signe qu’il ne va pas bien et alors que je vais le prendre en charge je me sens pas bien également, ma vision se trouble et mon dernier regard se perds dans cette immensité bleuté qui me recouvre…

Vida déballe le livre, la couverture noire sans fioritures révèle toute la beauté de Sophie qui s’étale sous les eaux, les trois filles dévorent l’ouvrage et rient en se rappelant le bon moment passé à faire les photos. Elles finissent par lire mon texte et Sarah pleure. Sophie elle le visage froid se tourne vers Vida
— Tu penses qu’il savait que c’était moi et non Sarah ce soir là ?— Je n’en sais rien, je sais seulement qu’il n’aurait jamais pu vivre meilleur moment dans sa vie.

La saison touche à son terme. Le club est fermé ce jour est inscrit sur la petite pancarte blanche qui orne la porte du club. Les filles sont parties se relaxer dans une petite maison louée sur une île déserte loin de mon île de rêve. Je n’en partirai jamais. J’y serai toujours, avec l’eau qui s’écoule sur ses galets multicolore.
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