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Plongée libertine

Chapitre 1

nous nous enfonçons, de plus en plus dans le libertinage... avec un plaisir infini ! entre réalité et fiction !

Hétéro
Il est 17 heures en cette semaine de vacances. Les enfants ne sont pas là, nous n’avons pas fait grand-chose de la journée, nous sommes avachis sur le canapé, en train de légumer et de profiter du calme de la maison.Je te demande ce que tu as envie de manger ce soir. Tu hésites un petit moment pour me regarder avec un regard qu’il s’illumine d’un coup :
— J’irais bien au restaurant, qu’en penses-tu ?— OK, de quelle cuisine as-tu envie ?
Après un court instant d’hésitation, tu me dis que tu mangerais bien une belle entrecôte ou en tout cas de la viande rouge.
— OK, j’appelle pour réserver alors.

En te levant nonchalamment, tu me dis que tu vas te préparer. Tu files à la salle de bain, j’entends que tu t’épiles, puis au bout d’un petit moment, tu sors, complètement nue comme si de rien n’était. Je te soupçonne de le faire exprès, pour que je puisse t’admirer dans tes plus beaux vêtements... c’est-à-dire sans rien.
— Tu as réservé pour quelle heure ?— Pour 19 heures, comme ça, si on veut aller faire un tour ensuite, on sera libérés de bonne heure. — Bonne idée !

Tu retournes dans la salle de bain, à t’apprêter comme tu sais si bien le faire.
Tu ressors de la salle de bain, resplendissante, une jolie petite robe sans manche qui te va si bien. Colorée, elle met ta poitrine en valeur, et s’arrête au-dessus des genoux comme j’aime.Tu as mis un peu de maquillage, tu es aussi belle sans qu’avec, mais j’aime te voir ainsi apprêtée.
Je file à mon tour dans la salle de bain pour me préparer. Je dois me mettre à ta hauteur, il n’est pas question que je reste habillé comme tous les jours alors que tu t’es faite si belle.
Je me douche et j’en profite également pour m’occuper des quelques poils que j’ai, principalement ma toison pubienne. Je la taille courte, comme je sais que ça te plaît, je me rase autour, en dessous, à côté, toujours selon ce que je sais que tu aimes. J’imagine déjà sentir la douceur de tes doigts sur ma peau, et ça commence à me faire un petit effet. Mais chaque chose en son temps, je dois finir de me préparer, j’enfile un pantalon habillé, une chemisette, il fait quand même plus de 20 °, même en soirée, du parfum que tu aimes, et me voilà !Tu me rejoins dans la salle de bain, m’entoures de tes bras et renifles mon cou. Tu adores ce parfum, je sais qu’il t’enivre. Et c’est un peu le but d’ailleurs.
Nous voilà prêts tous les deux, il est l’heure, nous avons étés parfaitement synchronisés. Nous nous chaussons, et je sors sur le palier de la maison quand tu m’interpelles d’un coup :
— Attends, j’ai oublié quelque chose. Va démarrer la voiture (tu sais que je n’aime pas du tout être en retard), j’arrive tout de suite.

Je me dirige donc vers la voiture, démarre et manœuvre pour être prêt à partir. Tu arrives 2 ou 3 minutes plus tard, un grand sourire sur tes lèvres.
— Qu’avais-tu oublié ? Ça a l’air de te mettre en joie !— Rien d’important, un truc de fille.

Ah, moi qui m’imaginais déjà une soirée coquine, je me dis qu’un truc de fille pourrait bien être un obstacle à mes plans... Mais ça n’est pas un drame, ça ne nous empêchera pas de passer une excellente soirée tous les deux. Pendant les 15 à 20 minutes que dure le trajet, je te vois te tortiller, comme impatiente.
— Tu as envie d’aller aux toilettes ?— Non, je suis pressée d’arriver, j’ai la dalle !

Je jette un œil au GPS, et t’indique qu’il reste à peu près 5 minutes de trajet, tu pourras bientôt te remplir le ventre !
Effectivement, nous arrivons presque tout de suite au restaurant, je me stationne. En ayant réservé à 19 heures, nous sommes en début de service, il n’y a quasiment personne dans la salle. Le serveur nous demande si nous avons une préférence pour manger, dehors ou dedans. Sachant que tu es un peu frileuse (quelle femme ne l’est pas ?), et même si la chaleur est encore présente, je sais que la fraîcheur tombe rapidement en soirée. Je lui demande donc de nous placer à l’intérieur, pas trop près des haut-parleurs qui diffusent la musique d’ambiance, histoire que nous puissions discuter tranquillement.
Nous sommes à l’écart de la salle principale, dans un recoin tranquille. Nous nous asseyons, tu as un gigantesque sourire accroché aux lèvres, tu rayonnes. J’aime tellement te voir ainsi.Nous commandons un apéritif, Piña-colada, notre cocktail.Le serveur nous les apporte assez rapidement et prend notre commande dans la foulée.Nous vidons nos verres le temps que le plat arrive. Juste quand le serveur pose nos assiettes et repart, tu me dis que tu as besoin d’aller au petit coin et t’absentes quelques courts instants.
Tu reviens, toujours aussi souriante. Tu te penches vers moi, m’embrasses avec passion, celle-là même qui anime notre couple depuis plusieurs années maintenant. Tu attrapes ma main et je te sens y déposer quelque chose.C’est en tissu, j’y jette un œil, c’est bien ta culotte. Je suis aux anges, j’ai toujours rêvé que tu fasses ça. Mais alors que je pense la ranger dans ma poche, tu me demandes mon autre main. Tu y glisses une autre chose. C’est la télécommande de ton œuf vibrant ! Alors là, je pense que les idées se bousculent dans ma tête pendant que je me sens bien à l’étroit dans mon pantalon.
— C’est ça que tu avais oublié tout à l’heure ?— Exact ! Tu ne m’en veux pas d’être retournée le chercher ?— Comment te dire... bien sûr que non ! dis-je, souriant comme jamais. Et d’enchaîner : — Attention, je l’allume.

Je préfère faire un petit test lorsqu’il n’y a personne, on ne sait jamais, le bruit de la vibration est peut-être trop fort et s’entendrait, ou alors ça peut être inconfortable pour toi (c’est la première fois que nous l’utilisons en extérieur). Dans ma tête, je te visualise, nue sous ta robe, certainement passablement excitée, ce petit œuf planté en toi. Je suis très excité.
Lorsque j’appuie sur le bouton de mise en route, je te vois sursauter, avoir le regard à la fois curieux, gêné, et amusé. Premier point positif, le bruit ambiant couvre largement les vibrations, pour ma part, je n’entends rien.
— Alors, c’est agréable ?— C’est bizarre, mais très agréable en effet. J’ai peur de mouiller ma robe... et la chaise, tellement la situation est agréable.— Tu me dis si tu veux que j’arrête ou si tu ne te sens pas à l’aise, je le coupe et je le remettrai plus tard. N’hésite pas à me demander si tu as envie que je l’allume.

Nous mangeons notre plat, délicieux soit dit en passant, et j’allume de temps en temps l’œuf. J’attends le moment où le serveur vient prendre la commande de dessert, et j’allume l’œuf et le monte en puissance que les vibrations soient un peu plus intenses pour toi. Je vois que tu me regardes, toujours avec cette expression mêlée de plaisir et de gêne. Je questionne, plus longuement que je ne l’aurais fait en temps normal, le serveur sur les desserts qu’ils ont et leur composition.Pourtant, avant même qu’il n’arrive, je savais que j’allais prendre un café, tout comme toi.
— Quand même, tu exagères, il aurait pu entendre !— Tu n’aimes pas ma chérie ? Désolé si je t’ai mise dans l’embarras.— Non, j’aime beaucoup, mais comme c’est une première... je découvre.— En tout cas, moi j’adore, même si je ne sens rien bien sûr, mon imaginaire, et ton visage empourpré se chargent de tout. Je vais aller changer de taille de pantalon !— Je reviens mon chéri, à tout de suite.
Tu retournes en direction des toilettes qui sont à l’étage. Je te vois monter l’escalier, et ta petite robe légère vole au rythme de tes pas. Lorsque tu es en haut de l’escalier, j’entre-aperçois la naissance de tes jolies fesses, je sais qu’aucun tissu ne fait obstacle entre ton intimité et le monde extérieur. Je suis vraiment très à l’étroit sous la table.Une fois que tu es arrivée tout en haut, je te vois vérifier que je t’ai bien suivie du regard. Je te soupçonne d’avoir volontairement accentué tes petits sauts sur les marches pour me dévoiler tes fesses en montant.Le serveur derrière sa caisse en a peut-être également profité, je ne sais pas. J’étais trop concentré sur toi pour regarder s’il te suivait du regard. Quoi qu’il en soit, il a le sourire aux lèvres, peu importe la raison, c’est toujours agréable de voir des personnes joyeuses.
Un court instant passa, et tu reviens vers moi, récupères tes affaires et ton sac à main, tu y déposes quelque chose (l’œuf j’imagine), et tu me demandes d’y aller. Tu vas m’attendre dehors pendant que je règle. Le serveur, toujours souriant, ne me semble pas faire la moindre allusion à ce qu’il aurait pu entrevoir lors de ta montée des marches, si ce n’est un :
— Passez une excellente soirée Monsieur, je pense qu’elle a bien débuté !

Libre à moi d’interpréter ces paroles comme je le souhaite. Effectivement, la soirée a plus que bien débuté, et j’espère que la suite sera du même acabit.
Tu es dehors, le gilet sur tes épaules, une cigarette à la main et tu m’en tends une. Nous fumons tous les deux avant de prendre la voiture pour rentrer.
— Ça t’a plu de jouer avec moi ?— Carrément, j’ai adoré te faire vibrer, au sens propre. Et encore plus quand il y avait du monde autour.— C’était excitant, j’avais à la fois peur d’être découverte et ça ne rendait mon plaisir que plus grand. — Je me demande si le serveur n’a pas pu constater que tu ne portes plus de sous-vêtement lorsque tu es allée aux toilettes avant de partir.— Ah bon, tu crois ? C’est pas bien grave, au pire, ça aura égayé sa soirée, il aura un truc à raconter.— J’aime quand tu es coquine mon amour, fais attention à ne pas attraper froid.

Je joins les actes aux paroles et je te glisse la main sur les fesses en prononçant ces mots.
— Je crois que je ne risque certainement pas d’attraper froid, un peu de fraîcheur me fera le plus grand bien même !

Je souris, et nous montons en voiture.Pendant le trajet, je pose ma main droite sur ta cuisse dès que je le peux. Tu t’installes en remontant ta jambe gauche afin de me laisser libre accès au fruit de mon désir. Et je ne peux que confirmer, tu ne risques effectivement pas d’attraper froid !Tu es toute humide, et le contact de mes doigts avec ton intimité brûlante provoque en toi un petit sursaut.Lorsque nous sommes arrêtés au feu, je me penche vers toi et en profite pour laisser mes mains et mes doigts être encore un peu plus aventuriers et te donner un avant-goût de la suite de la soirée. Tu as l’air très impatiente que nous arrivions.
Mais,un peu avant que nous ne soyons chez nous, tu me demandes une « faveur ».
— J’ai envie d’aller au sauna... qu’en dis-tu ?— Je crois qu’en règle générale, je serais toujours partant pour y aller, et avec ce début de soirée, j’en brûle d’envie. Allons-y !

Je bifurque peu après, et en cinq minutes, nous voilà sur notre lieu de plaisir favori. Le seul à vrai dire, mais nous l’apprécions beaucoup, je ne pense pas me tromper en avançant cela.Nous descendons de la voiture, le parking est déjà pas mal rempli, mais difficile de savoir qui est partie humide, qui est partie sèche. Le nombre de voitures laisse peu de doute sur le fait que les deux moitiés doivent être chacune bien remplies.Nous nous dirigeons vers l’entrée du sauna, fumons une petite cigarette avant de sonner.
— C’est agréable ?— De quoi ?— De ne rien porter sous ta robe ?— Ah oui, en effet, j’aime bien sentir le vent sur moi, ça m’apaise et m’excite en même temps.— En tout cas, moi j’adore, quand je me colle à toi et que je glisse mes mains sur tes fesses, ne sentir aucun tissu en dessous, c’est troublant.

Encore une fois, je joins les actes aux paroles, et je t’embrasse à pleine bouche pendant que ma main se pose sur tes fesses, et j’ose même m’aventurer plus loin en remontant carrément ta robe sur tes reins pour découvrir ta face cachée que mes mains flattent avec passion.
— Attends qu’on soit à l’intérieur quand même !

me dis-tu un petit sourire aux lèvres.
Nous sonnons donc finalement, le portier passe la tête par la petite lucarne et nous ouvre. Quelques instants après, nous pénétrons à l’intérieur, dans la pénombre. Impossible de voir qui est présent tant le contraste avec l’extérieur est important. De toute façon, nous ne connaissons personne, nous pourrions à la rigueur voir s’il y a des personnes à notre goût. Ce sera donc pour plus tard. Je paye l’entrée, tu récupères serviettes, paréo et le bracelet avec la clef de notre casier.Nous allons nous changer, un autre couple est déjà en train de se déshabiller, Madame est nue devant nous, son compagnon baisse son boxer. Ils sont tous les deux à poil et nous saluent le plus naturellement du monde. J’adore cette ambiance décalée.
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