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Plongée libertine

Chapitre 5

épilogue

Hétéro
Je te propose d’aller tous les deux dans une pièce. Tout comme je le ferai pour toi, tu acceptes sans me poser de questions. Nous remercions chaudement Marc et Aude, passons aux douches et allons dans une pièce tous les deux.
C’est une des pièces que nous aimons tous les deux, pleine de miroirs et très lumineuse.Une fois rentrés, tu me demandes si je veux que nous fermions la porte. J’ai envie que nous restions tous les deux seulement, mais j’aime beaucoup nous sentir regardés. Je te propose donc de laisser ouvert tout en positionnant le ventilateur devant la porte pour faire comprendre que regarde qui veut, mais sans participer.
Tu acceptes.Je commence par te lécher, j’adore ça, te sentir, te goûter, boire ton nectar et le rendre plus abondant sous mes caresses, c’est délicieux. Je te lèche et glisse mes doigts en toi, tu viens sur moi pour me sucer en même temps. Mais rapidement, je n’en peux plus, je veux te posséder, glisser ma queue dans ta chatte délicieuse.
Nous reprenons la même position que tout à l’heure sur la plage, mais face aux miroirs du côté de la porte. Toi comme moi constatons ainsi que nos gémissements mutuels, surtout les tiens, je pense, ont attiré un public, curieux, mais respectueux de notre barrière.
Je distingue au moins trois hommes et une femme, plus petite devant. Impossible de dire s’il y a un couple ou non, ou si c’est un quatuor, mais franchement, peu importe. Ils nous regardent et ça m’excite plus encore... Comme toi, je le sens à ta fluidité !
Nous bougeons nos bassins en rythme et je vois des mains d’hommes se glisser sous le paréo de la femme qui nous observe avec eux. En un rien de temps, elle se retrouve nue avec des mains partout sur elle et en elle. Ils gémissent, c’est excitant de les entendre, et encore plus grâce à tes mouvements et la vue de tes fesses qui se soulèvent et retombent sur moi, à ton vagin qui enserre mon sexe. La pression monte.Je te demande de passer en levrette, j’ai envie enfin de laisser aller ma jouissance, et c’est de cette manière que je te sens le mieux, que chacune de tes contractions musculaires me subjugue, et que je peux aller au plus profond de toi.
Nous changeons donc, et je vois que la femme qui nous regardait est maintenant penchée en avant, les mains sur le rebord du matelas de la pièce (elle est donc entrée, mais sans jamais s’avancer vers nous, respectant ainsi notre désir), un homme la pénètre pendant que les deux autres la caressent et l’embrassent.
Tu es tellement excitée qu’un seul délicat coup de reins me suffit à te pénétrer totalement. Nous entamons alors notre chorégraphie sexuelle, avec ce quatuor à moins d’un mètre de nous.
Je n’en peux plus, je sens que je vais jouir d’un moment à l’autre. Alors je ressors mon gland, puis le pousse en toi sans avancer plus. Je recommence ainsi plusieurs fois. A chaque fois, je te sens un petit peu plus serrée. De temps en temps, je donne un coup de reins plus énergique que les autres afin de glisser totalement en toi. Puis je recommence. Je veux que ton plaisir soit total, je veux voir sur ton visage cette expression de béatitude après l’orgasme. Je le sens qui monte, qui s’approche, te caresse du bout de ses doigts, pose ses mains, se rapproche encore pour finir par prendre totalement possession de toi au moment où tu lâches un grand cri de jouissance, que tu me serres comme jamais, et que moi aussi, au sommet de mon extase, je finis par exploser au fond de ton couloir du plaisir.
Nous nous effondrons tous les deux côte à côte sur le matelas, épuisés, ivres de plaisir.
Le quatuor continue son activité comme si de rien n’était, les hommes ont (plusieurs fois ?) échangé leurs rôles. La femme tend un bras vers toi alors que nous sommes enlacés en train de les regarder.
— J’aurais beaucoup aimé, mais là, je n’en peux plus, j’ai besoin de me reposer.

Nous les observons ainsi quelques minutes puis nous nous habillons, ou plutôt, mettons respectivement paréo et serviette, direction les douches (nous devons nous doucher au moins 10 fois lorsque nous venons ici !
Nous fumons une cigarette, nous habillons, vraiment cette fois, aux vestiaires, puis prenons le chemin du retour. Avant de monter dans la voiture, je t’enlace, et te serre fort contre moi.
— Je t’aime ma chérie, j’espère, mais je pense que c’est le cas, que tu as pris autant de plaisir que moi ce soir.— Moi aussi mon amour, eh oui, c’était un pur délice. Vivement la prochaine fois. Pas tout de suite, j’ai – physiquement – besoin d’un peu de repos, mais j’ai adoré tout ce qu’on a fait ce soir.

Nous rentrons silencieusement à la maison.
Une fois au lit, nous discutons un peu de la soirée que nous venons de passer, inévitablement arrive le sujet de la comparaison. Est-ce qu’elle suçait mieux que moi, est-ce que tu as préféré la pénétrer que lorsqu’on est tous les deux, etc.Je ne me pose pas ce genre de questions, mais je ne t’en veux pas de le faire au contraire. Mieux vaut poser une question à haute voix que de la garder pour soi et d’imaginer la réponse, souvent mauvaise en plus.
Nous en discutons donc aussi longuement que tu le souhaites, et je t’explique que pour moi, je ne compare pas, c’est juste différent. Le plaisir est très intense, c’est certain, mais il l’est parce que nous sommes ensemble, parce que c’est avec toi que je m’éclate. Jamais, je ne cherche le mieux, je ne cherche rien d’ailleurs, je prends ce qui vient, et avec toi, j’en profite.Je te dis aussi que je suis content du cap que nous avons franchi. Et surtout, je te dis de ne pas t’en faire, ça n’est pas parce que nous l’avons fait une fois que nous devons le refaire, ou le refaire à chaque fois. Jamais je n’irai en club avec à l’esprit une réflexion du genre : « tant qu’on n’a pas fait ça ou ça, je ne veux pas qu’on reparte. ».La phrase magique de ces lieux est et restera, même et surtout au sein de notre couple :
Tout est possible et rien n’est obligatoire ! Seul le plaisir compte.
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