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Plus de 15 ans plus tard

Chapitre 1

suite alternative à "rituel"

Inceste
Une quinzaine d’années plus tard (1ère partie)
[ suite alternative à « Rituel », pour les lecteurs qui préféreraient cette version plutôt que celle présentée dans « La main de maman ». ]
Le second volet de l’histoire se passe plus de quinze ans plus tard, alors que j’ai désormais 36 ans et maman 66. Je suis donc un homme accompli et maman une femme au seuil de la vieillesse sans encore être flétrie pour autant. Elle conserve ses formes bien pleines, sa poitrine généreuse, son ventre un légèrement rebondi et son derrière épanoui. Mon second mariage vient de se terminer en divorce et j’ai prévu de passer la fin de l’année civile chez maman désormais veuve afin d’envisager l’avenir. Elle vit seule dans un petit appartement et m’a laissé sa chambre avec son grand lit alors qu’elle dort dans le canapé-lit du salon. Je suis arrivé début juin et tout se passe bien, elle se montre pleine d’attentions envers moi, tout à son plaisir de profiter de la compagnie de son fils. Je ne me préoccupe plus de ses culottes depuis longtemps, ayant découvert une sexualité épanouie et satisfaisante avec les différentes compagnes que j’ai connues.
Elle m’a cependant mentionné l’autre jour, alors que nous marchions dans la rue, qu’elle venait de se racheter des culottes neuves, en ajoutant qu’elles lui avaient coûté cher. Je n’ai pas relevé ni même ne me suis demandé pourquoi elle me reparlait, des années plus tard, de quelque chose d’aussi intime, apparemment sans aucune gêne, le plus naturellement du monde. Un soir alors que nous dînons autour d’une bouteille de vin, elle me raconte que quelques jours plus tôt, juste avant que j’arrive, un petit jeune lui a timidement fait des propositions, qu’il était même prêt à la payer et que ça l’avait choquée. Elle a bien sûr refusé de se prostituer, mais elle veut quand même avoir mon avis sur les motivations qui ont poussé ce garçon à oser l’aborder de cette façon.
Je lui réponds donc un peu gêné que de nombreux jeunes hommes fantasment sur des femmes plus âgées qu’eux, et parfois même sur des femmes très âgées, que ça avait été mon cas à une époque, que je me contentais alors de fantasmer et que ça avait sûrement à voir avec le complexe d’œdipe. C’est tout simplement ce que ce petit jeune, selon moi, avait de mieux à faire, de continuer à vivre avec ses fantasmes et de s’arranger tout seul comme il le pouvait.
— Ça montre quand même que tu plais encore, maman, qu’il te trouve jolie, attirante et... excitante.— Oui, mais quand même, je pourrais être sa mamie, il pourrait se trouver une jolie jeune fille de son âge... moi je préférerais des hommes de mon âge... !— Bon, c’est vrai... tu as peut-être raison...

Puis, saisissant la balle au bond, d’un ton m’invitant à la confidence, et après une grande inspiration, elle se lance.
— Et toi... je sais que c’est un peu indiscret, mais... mais maintenant que tu te retrouves tout seul... tu es encore jeune... comment tu fais... comment tu fais pour... tu... tu t’arranges tout seul...?— Heu... et bien... hem... depuis que je suis tout seul, oui... bien obligé, non ?... Je n’ai pas vraiment d’autre solution... — Et... tu... tu te rappelles du dessin que j’avais trouvé un matin en faisant ton lit... et que j’avais posé sur ton lit ?... On n’en a jamais parlé... mais... c’était... c’était mes culottes que tu avais dessinées... non ?— Heu... hum... je me rappelle, oui... heu... oui maman... c’était... c’était les tiennes...
Je fais semblant d’hésiter alors qu’en réalité je m’en souviens comme si c’était hier. Il s’agissait de deux des petites culottes sexy qu’elle se mettait pour épicer un peu ses ébats conjugaux, et elles m’avaient effectivement provoqué une sacrée excitation à l’époque. Je me sens vraiment tout penaud alors que mon visage a viré au cramoisi. Je ne m’attendais vraiment pas à ce qu’elle me reparle de ça. Le vin aidant (elle a pris des couleurs !) lui s’enhardit à poursuivre, les yeux brillants.
— Bon, je sais que tu as grandi, que tu as connu des femmes... mais... mais puisqu’on parle de ça... ça tombe bien... je ne savais pas trop comment aborder le sujet... ça n’a pas arrêté de me turlupiner... encore maintenant... tu... tu faisais des choses... tu te faisais des choses avec... avec mes culottes...?
— Euh... et bien... je les trouvais... heu... je les trouvais jolies...— Et... et c’est tout... franchement ? tu peux bien me le dire maintenant, tu sais... tu as honte... ?... Il y a prescription, ne t’inquiète donc pas pour ça... tu peux tout dire à ta maman, tu sais... — Bon, heu... ça... ça me faisait des trucs... ça... ça m’excitait... voilà... je sais que c’était pas bien... j’ai honte, oui... tu es ma mère... je... je n’aurais pas dû, je sais... pardon maman... !— Bon... et... et c’était toi aussi qui venais fouiller dans mes affaires le soir dans la salle de bain... tu crois peut-être que je ne m’en rendais pas compte quand je les récupérais le lendemain matin... je me suis toujours doutée que c’était toi, tu sais... ? Une maman en sait toujours plus sur ses garçons que ce qu’ils peuvent bien croire... une maman est capable de se rendre compte de tout un tas de choses... et sait rester discrète... — Heu... bon... d’accord, oui... pardon maman...! c’était vraiment plus fort que moi... pardon !... Et... et tu savais...?... Et tu ne me l’as jamais dit... tu ne m’as jamais demandé...?— Hem... et bien tu sais, je me doutais bien de ce que tu pouvais faire avec... je ne voulais surtout pas te mettre mal à l’aise... et ça me gênait de t’en parler... c’est vrai que j’aurais pu cacher mes affaires, les descendre avec moi le soir... c’est vrai... ce n’est pas facile de parler de ces choses-là, tu es d’accord... ? Et puis je crois... je crois que ça ne me dérangeait pas plus que ça... je ne dis pas que c’est bien, attention... mais tu ne faisais de mal à personne... de toute façon ce qui est fait est fait... ce n’est pas la peine d’en faire toute une histoire, à quoi bon, hein ?... Pas la peine de te mettre dans des états pareils... allez... je te pardonne, va... je me doutais bien que ça devait un peu te tournebouler... mon pauvre petit... allez, ne t’en fais pas... et puis... je ne sais pas moi... mais au cas où... bref, si... si ça t’intéresse encore... bon... tu sais où trouver ce qui t’intéresse... pas la peine que je te fasse un dessin, hein ? Je te donne la permission... si ça peut t’aider, ma foi... t’aider à te faire du bien... — Heu... oui... d’accord maman... je sais pas... et c’est vrai... tu... tu ne m’en veux pas ?
J’avoue que l’idée de revivre les sensations de l’époque où j’étais encore puceau me donne un peu le vertige et l’impression de revenir à la case départ. En même temps, je ne peux m’empêcher de penser qu’en me disant ça, alors qu’elle est assise en face de moi, à travers ses sous-entendus, elle parle justement de sa culotte, de celle qu’elle est en train de porter sous sa jupe. Je ne peux m’empêcher de penser à sa toison, à sa vulve, à ses fesses que ladite culotte recouvre à cet instant précis, alors qu’elle y fait allusion en m’offrant son pardon et toute sa compréhension. En attendant peut-être qu’elle se sente gênée par ce qu’elle vient de me proposer à demi-mot, et c’est en bafouillant un peu qu’elle poursuit.
— Je ne veux pas que tu te sentes obligé, hein... que ce soit bien clair... c’est juste que si je peux faire un petit quelque chose pour ton bien... je sais que les choses ne sont pas faciles pour toi... tu sais, je suis là aussi pour ça... mais c’est comme tu veux... je sais que les années ont passé... même si pour moi c’est toujours pareil... et ça restera entre toi et moi de toute façon... entre moi et mon grand garçon... d’accord ?...Ça restera notre petit secret... — J’ai bien compris maman...
J’ai aussi compris pourquoi l’autre jour maman m’a parlé des culottes neuves qu’elle avaient achetées avant mon arrivée, que c’était donc dans l’intention - avec l’espoir ? - que, piqué par la curiosité, je recommence à aller y mettre mon nez, comme au bon vieux temps. Le repas s’achève dans une atmosphère saturée d’un trouble érotisme, heureusement que la télé est allumée. Une fois la vaisselle faite, après avoir regardé je ne sais trop quelle émission, incapable de me concentrer sur quoi que ce soit, je me lève et me dirige vers la chambre. Si j’ai la tête qui tourne, ce n’est pas à cause du vin, mais bien à cause de la proposition plus qu’explicite que vient de me faire maman, et en essayant de m’imaginer comment va se passer le restant de mon séjour chez elle, durant les mois suivants, à partager tous les deux son petit appartement.
La vérité, alors que je me croyais vacciné pour le restant de mes jours, c’est que le soir même je craque, comme lorsque je n’étais encore qu’un tout jeune homme sans expérience. En allant me brosser les dents avant de me coucher, je ne peux faire autrement que de remarquer, posée bien en évidence sur le panier à linge sale, la culotte qu’a porté maman au cours de la journée, celle-là même à laquelle je pensais tout à l’heure, lorsqu’elle n’a pas eu le cran d’aller jusqu’au bout de sa phrase et de me parler de façon plus explicite. Elle l’a posée bien à plat, quand elle est venue se déshabiller pour se changer, une belle culotte en dentelle blanche, de celles classiques et bien enveloppantes. C’est plus fort que moi, je ne résiste pas à l’envie de m’en saisir et d’en porter l’entrejambe à mes narines.
Je suis immédiatement ramené plus de quinze années en arrière, transporté par les parfums à nul autre pareils du sexe de ma mère, en proie à une terrible érection qui me contraint à me branler. A nouveau, je me noie dans l’irrésistible et excitante odeur du sexe de maman, dans les effluves si suaves et rassurants de sa chatte, ces odeurs qui tapissent le fond encore tiède et humide de la culotte qu’elle vient d’enlever. Je reconnais l’odeur de son excitation et me rends compte qu’elle a dû mouiller abondamment. C’est si intense, si puissant, que je jouis en quelques instants. Une fois terminé, je dépose la culotte à l’intérieur du panier à linge sale, après y avoir laissé un peu de mon sperme sur le fond. Lorsque demain matin, elle viendra prendre son bain, elle se rendra forcément compte que la veille au soir quelqu’un s’est intéressé de près à la jolie culotte qu’elle avait laissé traîner. Elle saura donc que j’ai repris le même petit manège qu’autrefois.
Et le fait est que le lendemain matin, elle me dit bonjour pleine d’allant. Elle est rayonnante, l’air vraiment heureuse en se penchant vers moi pour me faire la bise
— Bonjour ! Tu as passé une bonne nuit ?— Bonjour maman ! oui ça a été.— Je t’apporte ton café... — Merci maman...
Il est neuf heures et elle est déjà habillée, ce qui signifie qu’elle a déjà pris son bain, et qu’elle s’est donc forcément aperçue de ce qui s’est passé pour la culotte qu’elle avait sciemment laissé traîner hier soir. Alors que je bois mon café, elle prend place à table en face de moi, m’adressant la parole avec un je-ne-sais-quoi d’impatient et de fiévreux dans la voix.
— Dis donc mon petit François... tu... tu as utilisé la salle de bain hier soir avant de te coucher ?
Réalisant à quoi elle veut faire allusion, je baisse le regard dans ma tasse avant de lui répondre.
— Oui maman, je suis allé me brosser les dents et... et... — Non, ne me dis rien... bon... et tu... non, rien... il faut que je réfléchisse... je t’en reparlerai plus tard... je te laisse boire ton café, je descends faire quelques courses... tu as besoin de quelque chose ?— Heu... non.
Lorsque je relève les yeux en rougissant, je m’aperçois que son visage s’est comme illuminé malgré elle, qu’elle aussi s’est mise à rougir tout en fuyant mon regard. Maman dévie immédiatement notre conversation sur autre chose, coupant court à d’éventuelles digressions, et elle s’en va faire les courses. La journée se passe sans que l’on ait à parler davantage de ça, je reste juste légèrement perturbé par cette chose dont elle veut me reparler. En attendant le lendemain et les jours suivants, je recommence, chaque soir, elle laisse sa culotte bien en évidence à mon intention et après m’en être servi, je la place à l’intérieur du panier à linge sale. C’est comme une vieille habitude que j’aurais reprise et à laquelle je ne tente même plus de résister. Puis arrive un soir où le train-train se modifie. Au lieu de la culotte blanche habituelle, je découvre une sorte de mini-slip, si minuscule que je me demande comment elle a pu réussir à l’enfiler.
C’est une toute petite culotte en soie jaune pâle dont l’entrejambe est littéralement détrempé. J’éprouve la douceur de son étoffe du bout des doigts et en la frottant sur mon visage. Je me repais des parfums de maman tout en me l’imaginant en train de porter ce petit bout de tissu qui ne doit couvrir qu’une infime partie de ses belles fesses et de sa toison, qui doit certainement l’habiller d’une merveilleuse obscénité. Au moment de jouir, je m’en enveloppe le gland, et pour la première fois, je laisse ma semence se répandre à l’intérieur de la culotte de maman, tout à mon extase de mélanger mes sécrétions avec les siennes et d’ajouter à ses traces d’inondation les abondantes giclées de mon foutre.
Le lendemain matin, alors qu’assis à la table de la cuisine, je la regarde préparer mon café, comme d’habitude elle vient se pencher sur moi pour me faire un bisou et me demander si j’ai bien dormi. Sauf qu’avant de se redresser, elle me susurre à l’oreille,
— merci pour le petit cadeau... ça m’a fait plaisir... !
Puis se met l’index devant la bouche pour m’enjoindre de ne rien dire. Elle a évidemment été vérifier que je m’étais bien occupé du présent qu’elle m’avait laissé comme chaque soir. Quand arrive l’heure d’aller me coucher vers 22h00, je lui annonce un peu nerveusement.
— Maman, je vais m’allonger... tu... tu passeras me faire un bisou ?— J’arrive mon chéri... je ne vais pas tarder non plus à aller me changer...
Je rejoins la chambre et m’allonge sur le grand lit de maman, gardant mon short et mon t-shirt, j’ai allumé la lampe de chevet qui éclaire la pièce d’une lumière douce. Un peu troublé, je repense à la tournure qu’est en train de prendre mon séjour chez maman. Quelques minutes passent et je l’entends faire pipi (elle ne ferme jamais la porte et j’ai laissé la mienne entrouverte) avant de passer dans la salle de bain. Encore quelques instants et trois petits coups tout légers sur la porte se font entendre.
— Tu as une minute... tu es occupé peut-être...?— Non non... j’étais juste en train de réfléchir... — Bon alors voilà... hum... j’ai pensé... j’ai pensé à une chose depuis quelques jours... je ne sais pas si tu seras d’accord... je n’ai pas osé te demander, l’autre matin... bon, je sais... c’est un peu... un peu délicat... ce n’est pas le genre de choses... le genre de choses qu’une maman est censée demander à son garçon... mais au point où on en est... je crois quand même que... que... comment dire... je ne sais pas trop comment présenter ça... ça te dirait de... de me montrer un peu... me montrer comment tu fais... tu sais, ce dont on a parlé à table l’autre soir... tu te rappelles... ? J’y pense depuis tellement longtemps... si tu savais... juste de t’imaginer... ça fait tellement d’années que ça me travaille... et maintenant tu es grand... tu as connu des femmes... et moi je me retrouve toute seule... alors je me suis dit... je me suis dit que j’allais prendre mon courage à deux mains pour... pour te demander... tu l’as déjà fait hier soir...?— Euh... oui... je l’ai fait... tu... bon, tu le sais bien... non ?... Euh, sinon... je sais pas... euh... c’est plutôt gênant... mais... mais oui... si tu veux... oui maman... oui, pourquoi pas... heu... maintenant... ce soir ?— Je ne sais pas, moi... tu... tu vas le refaire, ce soir... ? Ma foi, si tu en as encore envie ce soir... oui... et... et tu auras aussi envie... envie de me montrer ?— Hem... oui... on peut essayer... si ça te fait plaisir... oui maman... — Tu es sûr...?... Tu as envie... ?— Je crois, oui... ça me gêne un peu quand même... tu ne vas pas trouver ça... trop... trop dégoûtant ?— Je... je ne sais... on verra... alors... alors je... je te la donne...?
Elle ne porte que sa chemise de nuit, et dans la lumière tamisée, je peux nettement distinguer ses seins généreux encore bien fermes, dont les tétons grenus pointent à travers l’étoffe, et je ne peux m’empêcher de penser qu’elle a vraiment deux belles mamelles bien lourdes, encore bien pleines. Elle retire et me tend sa culotte après l’avoir ramassée à ses pieds, l’air un peu gênée par mon regard appuyé sur sa poitrine. C’est à nouveau une toute petite culotte, elle est violette et en dentelle très ajourée et j’imagine qu’elle ne doit vraiment pas cacher grand-chose quand elle la porte. Immédiatement, j’en porte l’entrejambe odorant sous mes narines puis le colle contre mon nez, sous les yeux de maman qui me regarde attentivement. Le coton est chaud et tout humide du contact de son sexe. Mon érection est foudroyante tant la magie opère à nouveau, la magie du parfum du sexe de ma mère.
Tout à coup, l’idée que je vais devoir montrer mon sexe en érection à maman me frappe de plein fouet, sans pourtant me faire débander. Elle s’est assise au bord du lit et me regarde.
— Alors... qu’est-ce que tu en penses, de mes nouvelles culottes...? Tu les trouves... sexy...?Heu, oui elles sont drôlement jolies... et... je... j’enlève mon short... ?— Fais comme tu fais d’habitude... je sais pas moi... mets-toi à l’aise... essaie de faire... de faire comme si je n’étais pas là...— Bon... cinq quatre trois deux un... !— Oh la la... non, mais regardez-moi ça... déjà au garde-à-vous !... ho, mais dis donc... c’est qu’elle est drôlement jolie... et il a bien grossi ton petit robinet, dis donc... tu as dû en faire, des heureuses... ! alors c’est maman qui te fait cet effet-là...? Elle sent toujours aussi bon ta petite maman... tu l’aimes toujours autant le parfum de ma minette ?... Si tu savais comme j’ai pu t’imaginer... t’imaginer en train de le faire... — Oh maman...! oh, si tu savais...!... Ça me rend fou... c’est ton odeur...! — Enlève ton t-shirt aussi... que je puisse te voir tout nu... tu veux bien... ?... Non, mais regardez un peu le beau garçon que j’ai...! tu... tu me laisses faire ?... Attends...! voilà... enlève ta main... là... tu laisses maman vider tout ça...?... Ça m’a l’air bien rempli dis-donc...!
Sa voix est devenue un murmure alors qu’elle s’approche de moi et qu’elle vient s’accouder à mon côté. Elle me caresse tendrement le torse et le ventre de sa main libre, puis elle se saisit de ma verge après m’avoir soupesé les couilles et m’avoir doucement décalotté. Pendant de longs instants, elle passe et repasse ses doigts sur toute la surface de ma pine vibrante d’excitation alors que j’en savoure le contact chaud et léger. Elle prend tout son temps pour bien en explorer chaque recoin en la palpant, en la caressant pour bien en éprouver la raideur. Elle commence ensuite à me caresser, à lentement me branler après avoir déposé de la salive au sommet de mon gland. De ma main libre, je me cramponne à son corps à travers le tissu de la chemise de nuit, réussissant à palper ses gros seins qui ballottent au rythme de son bras pendant qu’elle est concentrée sur ma pine.
Je la regarde faire aller sa main de plus en plus vite, me branler de plus en plus rapidement alors qu’elle ne quitte pas ma verge des yeux.
— Oh le vilain petit coquin... le vilain cochon qui tripote les gros lolos de sa maman... ! tu es drôlement excité, dis donc... ils te plaisent mes gros nénés... tu aimerais que maman te les montre... ?... Tu aimerais bien, hein...! — Oh, maman... oh oui maman !— Bon... un jour, si tu veux, je te les montrerai...
Tout cela m’excite tellement que très vite je me sens décharger sur mon ventre et sur sa main
— Oui mon chéri... allez... oh... ! vide-toi bien... donne-moi tout... donne tout à maman !... oui, encore...!... voilà... il y en a encore... allez mon chéri... !— Oh maman !... merci !... merci maman...! tu... tu fais ça vraiment bien, tu sais... ?— C’est vrai ?... Alors, si tu veux on pourra recommencer demain... d’accord ?

Au train où vont les choses vous imaginez sans doute déjà (ou peut-être pas ? ) la tournure que vont prendre les événements. On en reparle ?
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