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Chapitre 3

Zoophilie
Il ne la laisse pas tout à fait seule. Alors qu’elle se retourne vers l’intérieur de l’étable elle s’aperçoit qu’il a laissé le chien. "Daemon, il t’a oublié... ton maître est une brute". Il y a de la rancœur dans son expression, elle s’approche du chien, se penche, lui caresse le bout du museau, frotte de son ongle, délicatement, le poil entre les yeux, glisse le bout des doigts sous le museau... le chien aime... Elle s’accroupit, imprudemment, les genoux écartés, elle caresse le chien qui avance la tête... "Tu as senti quelque chose qui t’inspire mon beau" plaisante-t-elle. Sans bien réfléchir elle laisse faire, il la sent, elle réalise vaguement que... mais déjà il lèche.... elle sursaute, se relève brutalement, consciente que ce n’était pas désagréable mais que.... et... NON... à ce moment là la porte s’ouvre, il vient chercher son chien... mais ce n’est pas lui, qui est-ce ?Elle est nue, il l’a surprise devant le chien dans une attitude... et c’est un inconnu... un peu plus jeune que le père de Lise, mieux habillé... Elle prend le parti de ne rien cacher... les bras le long du corps elle le regarde, attend qu’il se présente, mal à l’aise et consciente que cela doit se voir. Il la regarde, la détaille sans se gêner. Son regard s’attarde sur ses seins, ses hanches, ses jambes, entre ses cuisses, on doit y voir les traces de ce qu’elle vient de subir, ...de faire. "Bonjour Florence, je suis un ami de François". François, oui le père de Lise, l’homme qui vient de faire d’elle une femme. Il m’a dit de passer vous voir. Pas seulement vous voir bien sûr.... vous regarder... et ... comment dire.... je vais vous répéter ce qu’il m’a dit, de me servir si vous me plaisiez, il m’a dit que vous consentiriez.". Elle s’affaisse, ça va vite, il la donne déjà... elle a consenti, promis presque..."Je vous apporte ça aussi, je suis médecin, ce sont des pilules, à prendre après. C’est préférable.... Il a raison vous êtes bien faite. Tentante." Elle se tait "Vous êtes tentante, nue, excitée.... Vous étiez avec Daemon ? Soyez prudente, ce n’est pas un chien comme les autres. Il aime les femmes, et quand elles y ont goûté les femmes ne peuvent plus s’en passer. C’est pour cela qu’il vous l’a laissé. Pour vous familiariser."Après ce coup de langue juste entre ses cuisses, là où le sperme sortait goutte à goutte.... elle en avait eu l’intuition.. "Vous devriez appeler Lise pour lui demander ce qu’elle en pense. Elle ne peut plus s’en passer, je me demande comment elle va faire en Angleterre, sans son Daemon...." LISE !!!!!!!! si comme il faut.... si discrète et pudique ... "Qu’est-ce qu’elle faisait Lise ?""Ce que vous allez faire, et ce que vous avez fait...." "Ce que j’ai fait aussi ?""Oui, très exactement la même chose. Elle n’a jamais protesté.... et j’ai aussi été le second.... et je lui ai aussi présenté ce qui l’attendait.... Et elle en a redemandé... elle était insatiable.... serez-vous insatiable, Florence ? Inutile de dire que cela nous conviendrait bien....". Silence, il laisse pénétrer dans l’esprit de Florence tout ce qu’il vient de dire. Il reprend : "Nous : au complet nous sommes cinq, François, moi (moi c’est Pierre) et trois autres hommes. Nous ne serons peut-être jamais au complet, c’est les vacances.... Parfois la mère de Lise vient participer un peu, je ne sais si elle le fera. Et il y a Daemon. Un amant exceptionnel, je n’ai jamais entendu une femme jouir comme avec lui, Lise semblait s’évanouir de plaisir, sa mère n’en est pas loin. Quand Daemon est là, pas toujours, c’est François qui décide, nous nous servons les premiers, puis nous regardons, parfois nous reprenons un petit quelque chose.... Comme vous l’avez compris, nous passons par où nous voulons, maintenant vous savez.... vous avez beaucoup appris en un peu plus de vingt quatre heures...."Il ne cherche pas trop a connaître l’avis de Florence, il la regarde, évalue ses réactions. Semble chercher à la rassurer par ses intonations, par certains regards.... Elle ne lui semble pas indignée, ni en colère, ni en voie de partir outragée... elle avait compris bien des choses sans doute. Et elle avait déjà ses propres fantasmes depuis la veille, depuis tout à l’heure, depuis qu’elle est devenue une femme, qu’elle a joui d’un homme, elle s’était dit, dommage qu’il ne me prenne qu’une fois... "j"en reprendrais bien un tour...." L’idée de se donner au médecin ne la contrarie pas... même si elle n’est pas arrogante, aguicheuse.... L’idée du chien la laisse perplexe.... Elle a entendu des choses là-dessus, mais n’y croyais pas trop... mais elle sait .... la langue râpeuse l’a électrisée... Il s’approche maintenant, il va la baiser à son tour, il pose sa main sur elle, caresse ses seins.... la regarde dans le yeux... sa main descend, effleure son estomac, effleure ses hanches.... "Tournes-toi...." elle obéit, présente ses fesses, il les caresse, et s’écarte, se recule, la regarde "tu as une jolie croupe.... écarte un peu les jambes, .... cambre-toi.... recule tes jambes... Bon dieu que tu es bien faite... Il revient vers elle caresse ses fesses de nouveau, ses mains remontent vers ses seins, il les soupèse, modèle sa main sur leur forme, agace la pointe de ses tétons,les pince un peu... pendant qu’une main continue de jouer avec elle, l’autre l’abandonne, elle sait pourquoi.... les mouvements derrière elle, les bruits la renseignent, et quand elle sent un membre chercher à la pénétrer elle se cambre un peu plus, offre sa fente... "que c’est bon.... ".Il est moins brutal, il la caresse partout pendant qu’il commence à la baiser. Lui aussi murmure des mots qu’elle n’avait jamais entendu de la part d’un homme. Florence lâche prise, s’abandonne à ce nouvel amant, à son plaisir à elle, à son plaisir à lui. Elle se laisse pilonner, mais va aussi chercher cette queue qu’elle veut tout au fond. Elle crispe se doigts sur la main qui tient un sein, pour encourager l’homme à le presser, à y enfoncer ses doigts. Il fait durer, il la fait jouir, plusieurs fois, la seconde fois elle a réussi à contrôler la progression de son orgasme, jusqu’à ne plus pouvoir se retenir, et à exploser.... lui aussi lui met la main sur la bouche. Quand elle sent, oui elle le sent, qu’il va jouir, elle y met tout son corps lance sa croupe vers lui comme une furie, manque de le faire sortir, et elle explose en sentant le sperme envahir son ventre de nouveau. C’est chaud, elle était si près de jouir encore qu’elle repart de plus belle. Lui aussi sent les spasmes de ce con vigoureux.... Il reste en elle, débande, mordille sa peau derrière son épaule. Il se retire, se rajuste. Elle reste là, offerte à ses regards, elle sent le sperme qui goutte de nouveau entre les lèvres, glisse sur l’intérieur de ses cuisses.... Des idées, des sensations la traversent, à peine formulées, mais conscientes : "Oui on doit pouvoir les prendre les uns après les autres.... on doit finir par jouir sans arrêt...., c’est tellement bon ce truc chaud et dur qui vient remplir mon ventre et y déposer cette crème.... s’il y en avait un autre je le sucerais après qu’il soit sorti, je me demande quel goût ça a après : mon jus à moi, son sperme..."Un peu abrutie elle se retourne, le regarde. "Tu as aimé ? Oui tu as aimé, je te soupçonne d’être comme ta copine... Tu ne pourras pas le cacher... et d’ailleurs à quoi bon." Il va vers elle : "Tu devrais te rhabiller...." ... "Quoi que..." il regarde Daemon qu’ils avaient oublié, et qui attend.... Elle secoue la tête, non, pas question. "Je ne te propose pas de te faire saillir.... François ne me le pardonnerais pas... pourquoi ne pas voir si Daemon ne te nettoierais pas un peu avec sa langue.... ?"Bien sûr... pourquoi pas... ça a l’air excitant ce truc là... elle y va, s’accroupit, les genoux écartés, avance en canard... attend... et quand le chien s’y met, elle laisse faire "Putain que c’est bon... je vais jouir s’il continue..." .elle se retient.... et se prend un orgasme de 6 sur l"échelle de Richter... Elle jouit comme jamais, plus fort qu’avec les deux hommes... Il la laisse crier, tant pis, et puis..., c’est bon signe... "Vous ferez de bon copains touts les deux. Et crois-moi, quand il te montera, tu seras encore bien au-delà, demande à Lise quand tu lui téléphoneras....""A demain" il lui sourit.A son tour il va sortir, il détache le chien, l’emmène ; François ne l’avait pas oublié.... Les salauds quand même.... Ils calculent tout....Quand elle rentre, elle le fait le plus discrètement possible, monte à sa chambre sans voir personne, se change, court à la salle de bain, prend une douche chaude.... Elle est épuisée. Elle va dormir d’un coup, sans avoir besoin d’un petit plaisir personnel...
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