Florence dormit profondément, avec de temps en temps des sensations encore toutes piquantes dans le ventre, des traces de ses orgasmes, qu’elle cherchait à garder en elle en repliant ses jambes. Et c’est très tôt qu’elle se réveille.... Elle jette un œil sur son téléphone pour avoir l’heure.... Se remémore tout ce qui s’est passé, ce qu’on lui a dit... c’était ... Pour un peu elle y retournerait tout de suite.... Et sans y penser davantage elle retrouve le numéro de Lise. La petite sainte.... imagine le médecin en train de la baiser, le chien qui la lèche, il va falloir qu’elle lui raconte.... mais elle ne répond pas.... Florence recommence... attend, et finalement la voix de sa copine... assoupie, assourdie : « Flo., mais qu’est-ce qui te prend de me réveiller, ... je me suis couchée tard.... ». Et Florence de devoir s’excuser, elle n’a pas pensé à l’heure.... mais, elle a des choses à lui demander, des choses qu’elle n’aurait jamais cru ... elle ne sait plus comment elle va aborder le sujet.... Je sais pas comment te dire... ! Et elle se lance à l’eau. « Lise, j’ai rencontré un médecin hier, Pierre, tu vois de qui je parle ? ». Au silence qui suit, Florence devine que, oui, Lise voit bien de qui il s’agit. « Il m’a parlé de toi, de lui, et d’autres choses », le silence perdure... « Je l’ai rencontré dans une étable, et.... il m’a baisée..., ton père avait commencé... il m’a ... prise par derrière d’abord, ils m’ont fait jouir... je n’avais jamais fait ça, jamais baisé, et il m’a fait lécher par le chien, Daemon, j’ai encore joui, .... Il m’a dit de parler du chien avec toi... tu veux bien me dire ? ». « Qu’est-ce que tu veux savoir ? » « Tout, dis moi ce qui se passe avec le chien, il t’a... prise ? saillie ? comment ça se passe ? Je vais y passer aussi... qu’est-ce que ça fait ? Il est gros ce chien... »... « Tu vas y passer..., et avec leurs copains ? Si tu savais comme Daemon me manque.... Je vais te dire....». Et elle commence à raconter, de façon décousue, passant du coq à l’âne, du membre du chien à la double pénétration, aux fellations en série... au goût du sperme du chien par rapport à celui des hommes.... Elle raconte le sexe du chien qui la pénétrait, qui pilonne si profond.... ils l’ont fait ... ça a été progressif... elle a branlé le chien, puis elle l’a léché, sucé, non c’est pas pire qu’un sexe d’homme même si c’est un peu bizarre au début. Il coule tout le temps... et c’est très sensible, attention à tes dents.... ils lui ont mis un collier de chien.... une laisse, non à elle.... à quatre pattes ... et le chien est venu, a léché sa fente d’abord, sa langue râpeuse, c’est excitant !!!, mais tu sais... et puis il a mis ses pattes, comme pour me tenir... et le chien a commencé à pilonner sans trouver le chemin d’abord, mais c’était ... excitant, inquiétant et il a trouvé.... d’un coup, il est entré.... c’était... tu m’écoutes ? Toutes deux vont se l’avouer elles se caressent en parlant.... elles n’y tiennent plus... de temps en temps des gémissements retenus, des rires étouffés, partagés... je crois que la première fois j’ai joui sans arrêt.... sa grosse queue entre, me pilonne et grossit..., il m’a tout mis.... « Tout ? » oui, il m’a mis son nœud, qui a continué à grossir.... il me dilatait... dedans ... c’est chaud, ça prend toute la place, j’étais remplie... rien à voir avec un homme.... j’ai joui sans arrêt, il s’est mis a m’envoyer son sperme, je ne savais plus où j’étais, je ne voyais plus rien... il n’y avait plus que mon con profond, sa queue, son nœud, ses coups de boutoir, je crois que j’ai perdu le contact... tu verras, il n’ y a rien de pareil.... j’ai crié de plaisir, hurlé, et il est resté, comme ça, sa tête près de la mienne, à décharger.... c’est chaud, ça commence à couler sur tes cuisses, ... et puis il est sorti, un grand vide.... le minou qui vibre encore.... tu sens que ça coule, tu récupères.... la première fois ils m’ont laissée tranquille.... Après, ils venaient profiter de moi, mais souvent ils ne voulaient pas me baiser, après le chien ... alors ils me la mettaient dans la bouche, et ... ils m’enculaient.... « Alors tu aimais ça, et ça donnait du plaisir, ça fait mal le nœud ? ». « Oui j’AIME, ça me manque, je me fais jouir toutes les nuits en pensant à Daemon, tu ne peux pas imaginer, pas un homme ne te fera jouir comme ça. C’est pas la peine d’y aller par étapes, dis que tu veux commencer par là. Directement, par la saillie... » Florence enregistre, questionne, Lise répond, en rajoute, sur le poids du chien, la langue, le goût, la bave, oui la bave, on s’y fait. Et les hommes... cinq, oui, parfois ils sont tellement excités que certains la baisent plusieurs fois. Oui, Elle aime tout, oui elle en redemande, une fois elle les a sucés tous les cinq, les uns après les autres, et elle a tout avalé, puis le chien.... Ils aiment se faire sucer pendant que le chien la monte, et elle aime aussi.... mais comme elle perd le contrôle ils n’en abusent pas.... elles rient... et se disent ce qu’elles font, leurs petites manies quand elles se caressent, elles expérimentent et ensemble, elles se conduisent progressivement vers l’orgasme.Fin de la communication quand elles partagent le silence de la récupération.... Florence en sait beaucoup plus.... Et elle part pour sa journée ordinaire, de plus en plus excitée à l’idée de ce qui peut bien l’attendre ce soir-là, dans l’étable.... Petit déj, cheval, déjeuner, cheval : elle n’y est pas, manque de tomber, se fait engueuler par le moniteur qui en a marre d’une fille qui ne fait pas attention, qui va se casser la gueule sur un obstacle et se blesser, si elle ne s’y met pas mieux il ne la prendra plus. Elle baisse la tête, sait que c’est vrai. « Il a raison... faut que je fasse attention ». Elle se reprend. Fin du cours, maison, goûter, dîner à préparer, table, dîner, vaisselle... Elle fait tout ça sans protester, à la grande surprise de tout le monde : « tu grandis, tu deviens adulte, enfin... ». En elle même... : « Oui, beaucoup plus que vous ne le pensez.... ».Enfin... elle peut sortir prendre l’air...., façon de parler....Elle se dirige lentement vers l’ancienne étable.... Elle profite de l’attente, de l’effet que l’excitation a sur elle... Elle mouille pour elle en quelque sorte.... et puis c’est l’attente qui est la plus excitante... après elle saura, elle ne pense qu’à cet orgasme que Lise lui a décrit, encore et encore, à ce membre qui va la pilonner comme aucun homme ne le fera jamais.... Quand elle pousse la porte elle est au bord de l’orgasme.... Il n’y a personne. Pas de chien, pas d’homme. Elle s’assied, attend, ... attend, ... ils ne viennent pas.... Elle se fait jouir en attendant, sans précaution particulière : s’ils entrent, ils verront, mais après tout, ça n’a aucun importance... le jean ouvert, elle se caresse, se fait jouir en repensant au matin et à ce plaisir partagé avec Lise, elle doit la rappeler demain matin pour lui raconter....Ils ne viennent pas, elle se lève, ferme son jean, ouvre la porte et sort.... AHHHH NONNNNN........ Deux hommes qu’elle ne distingue pas l’attrapent, emprisonnent ses bras, l’empêchent de crier, lui bandent les yeux, ouvrent son pantalon... elle a beau deviner de qui il s’agit elle se défend violemment, ils baissent son jean, la dénudent, et pendant qu’ils la tiennent un troisième arrive, la prend, aussi brutal que la première fois, et tous les trois la baisent... dans l’obscurité. Elle se laisse prendre, elle jouit. Il y en a un qui en profite une seconde fois... Ils la laissent. S’en vont sans qu’elle puisse les voir.Elle en a pris une bonne ration... quatre fois... oui, c’était ... quelle excitation.... le premier qui l’a prise, ooouuuaaahhh.... au paroxysme de l’excitation... ce n’est pas ce qu’elle attendait, mais ... quatre fois... le chien ce sera pour une autre fois.... Comme elle prend le chemin de la maison elle rencontre Pierre et François qui l’attendent, à un calvaire, là où deux chemins se rencontrent ... : « ça t’a plu ? ». Oui elle a aimé, même si elle a eu peur au début, et si elle s’est défendue comme une tigresse... Qui est-ce qui était avec vous ? tu verras bien. Qui m’a baisée deux fois ? Personne... Ah vous étiez quatre... oui... tu avais cru reconnaître quelqu’un ? rires... François s’en va, Pierre reste : « J’en reprendrais bien.... ». Elle retire son jean, sa culotte qui est dans un triste état, se tourne et s’appuie contre les gilles du calvaire, dans l’ombre.... Il la prend presque tendrement, se retire... et doucement la sodomise....
