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Chapitre 9

Zoophilie
Elle n’a pas rencontré Pierre, ni ses amis, ni personne... Et il ne s’est rien passé avant le vendredi soir, sinon que ses parents sont partis passer le week-end avec des amis en bord de mer, peut-être sur un bateau, si le temps le permet, ils sont si peu marins....Et le soir à l’heure du dîner la voilà devant la porte de cette ancienne étable, entrouverte, dont s’échappent des bruits de vaisselle, des odeurs de cuisine, des voix d’hommes. Bloquée là, immobile rassemblant ses esprits, elle se prépare à ce qui l’attend quand elle aura franchi la porte, elle va vers un moment dont elle ne sait pas ce qu’il lui réserve, elle est tout excitée, émue, c’est le grand soir.... Mais aussi craintive, inquiète, jusqu’où cela va-t-il l’emmener.... Elle a déjà fait tellement de choses dont elle n’aurait jamais imaginé qu’elle les effleurerait seulement un jour.... sur lesquelles elle n’aurait jamais osé jeter un regard sur internet....
Elle n’a pas à se décider à pousser la porte, quelqu’un sort, la voit, la dévisage, la détaille de la tête aux pieds..., elle regarde aussi, il est bien habillé..., plus que ça même, classe... ! : « Florence je suppose ? Je suis Guillaume » elle tend la main par habitude, « Enchantée », elle se sent un peu ridicule dans une ou deux heures il la baisera comme une putain, ou bien il la traînera devant un chien ou bien il amènera le chien et regarder la saillie de près pour voir le membre du chien dans sa vulve.... Elle n’a pas le temps d’expliciter tout ça, il lui prend la main, la porte à ses lèvres.... Incroyable, il lui fait le baise main : « Nous aurons tout le temps de faire connaissance dans la soirée, entrez donc, François vous attendait, allez le voir, il a quelque chose pour vous ». Décidément François a toujours quelque chose pour elle... Quand il la voit il sort une enveloppe d’une poche : « Tu es venue de ton plein gré ? Bon oublions..., enfin si on veut. Nous somme sept, et il y aura trois chiens : Restes-tu ? ». Oui, elle reste. « Tu as bien compris, sept hommes et trois chiens ? », Oui il l’agace...
« Tu te sens toujours considérée comme une putain ? ». Parfois, oui, quand ils la prennent pour tirer un coup, vite fait, elle écarte les cuisses et ils la baisent... oui elle pense parfois qu’ils la traitent comme une putain. « Alors voilà pour toi, on s’est cotisés, chacun selon ... je ne sais quoi : ses fantasmes, son idée de ce qu’il allait de faire subir, le prix du spectacle auquel il assisterait... et que sept homme et trois chiens c’est beaucoup et qu’il faut une compensation. Tu peux le comprendre comme tu veux.... Tu prends et tu ouvres, je veux savoir que tu sais ce qui est dans l’enveloppe ». Elle prend et ouvre, regarde, écarquille les yeux : « Si tu restes, tu acceptes çà ; si tu le refuses tu t’en vas. Si tu acceptes, tu comptes ! ». Elle sort le contenu. ... Elle vient d’accepter.... Elle compte.... Elle recompte... parce que .... Six cents euros.... Faut-il décrire ses réactions ? C’est beaucoup d’argent. Elle vient d’accepter.... Elle en tremble. Elle a une voix mal assurée quand elle confirme : « Je reste ». Il la regarde, sans expression sur son visage : « Bon voilà, on a réorganisé l’étable : coin repas avec une grande table, coin... "divertissement" avec un lit, enfin matelas, draps comme tu vois on peut y tenir à plusieurs..., et coin... "chenil" : il y aura les chiens. Comme tu vois on y a mis canapé, paille recouverte de bâche et couverture pour que tout soit confortable. Tu trouveras tes vêtements, enfin quelque chose qui en tiendra lieu un temps, sur le canapé. Tu te changeras quand Guillaume sera revenu, les autres comme tu le vois sont en train de boire le champagne. Tu viens avec moi boire une coupe avec eux. Tu auras le droit de manger, comme nous mais sur la petite table à côté, de boire, comme nous, mais peu, tu ne t’enivres pas. Tu te changeras sans te cacher, sans pudeur. Tu nous feras le service... pour ce prix là tu peux... Personne ne te prendra avant le dessert, mais cela ne veut pas dire que tu seras à l’abri des mains baladeuses.... ».
Il la présente aux convives, elle va enfin connaître les noms des deux copains de Pierre qui l’ont déjà baisée.... François continue de jouer le maître de maison, normal il est chez lui : « Je vous présente Florence, que certains connaissent déjà ». A peine un sourire sur le visage de ces deux là justement, oui ils la "connaissent". « Flo, voici Pierre que tu connais déjà, Laurent et Georges, que tu as déjà rencontrés, tu as croisé Guillaume, voici Antoine et Beaudouin. ». Ils la regardent tous, bien sûr, elle "sent" leurs idées, leurs regards, ils se demandent le plaisir qu’ils vont pouvoir tirer d’elle et de son corps... de ce corps là encore caché... « Bonsoir ». La voix de Florence n’est pas plus assurée que ça, elle prend la coupe que lui tend François. La lève, comme pour dire à votre santé, et se sent aussitôt ridicule, boit, lentement, essayant de reprendre ses esprits... le temps de deux petites gorgées. La porte s’ouvre, Guillaume entre, vient s’assoir à la table, prend sa coupe. « Florence, c’est le moment d’aller te changer » François, toujours en maître de cérémonie. Elle finit sa coupe d’un trait, la pose, se lève, les jambes un peu fragiles... va vers le canapé, découvre des sous-vêtements en dentelle fine, blancs, presque transparents, un petit tablier, des bas blancs aussi avec dessins très fins, des chaussures avec hauts talons, son premier geste est de les essayer, elle sont à son pied... comment ont-ils eu sa pointure ?Il faut se déshabiller... elle n’ose pas se retourner, ni regarder en coin, elle est tout d’un coup comme une statue de sel... elle enlève les chaussures qu’elle vient d’essayer, ... est-ce qu’elle va se changer de dos ou face à eux... le temps s’éternise, et personne ne dit rien..., elle perçoit ce silence ... ils la regardent, se réjouissent de son embarras ... « décide-toi bon sang ». Elle se retourne. De face. « Comme dans un vestiaire, tu leur fait pas de strip-tease, d’abord tu sais pas faire, comme dans une cabine d’essayage ». Elle se déshabille, la veste en jean, les petites chaussettes, puis la chemise, le soutien-gorge, le pantalon, la culotte... voilà. Pause, elle se tient devant eux pour qu’ils la regardent, les jambes ni serrées ni écartées... elle prend le soutien-gorge en dentelles, oui bien sûr il laisse les tétons découverts... Et puis elle ose... elle va leur en donner pour leur argent, enfin un peu plus... Elle déplie les bas lentement, les lisse de la main pour qu’ils pendent légèrement, puis elle s’assoit sur le canapé, et elle commence à les mettre lentement. Elle soigne la façon de les mettre, impudique, faisant le choix d’écarter un peu les jambes devant eux, de lever la jambe qui enfile le bas, de lisser le bas de la paume des mains, enserrant la cuisse entre ses doigts à mesure que sa main remonte... un bas, puis l’autre, puis elle se lève, lisse à nouveau ses bas en remontant du mollet à la cuisse très haut, plus haut que la limite des bas, jusqu’à effleurer son bas ventre et sa toison de son poignet pour finir le mouvement ... Enfin elle met la culotte, légère, en dentelle, fragile et transparente. Ils doivent voir sa légère toison à travers. Elle se lève et met le petit tablier, bien court, il ne cache pas les tétons non plus et il s’arrête au-dessus de sa toison.... Face à eux, elle ne les a pas regardés jusqu’à présent, elle lève les yeux, ils sont tous tournés vers elle, muets, gourmands....
« Bon, tu nous sers ? ». Florence commence le service, du foie gras... Guillaume annonce que ça vient de chez son voisin... Puis Florence s sert le vin : « Porto ou Sauternes » annonce François, ils sont tous pour le sauternes, c’est en les servant, passant à côté de chacun, qu’elle sent les mains qui commencent à se promener, ses fesses, ses cuisses, l’intérieur des cuisses, caressé de bas en haut... assez haut... elle n’ose pas se retirer tant que la main reste sur elle... ils ont payé.... Pierre lui se distingue, sa main remonte si haut que son pousse effleure la culotte, il hésite et le promène le long de sa fente... elle se contracte... tous ont remarqué le geste de Pierre et la regardent.... et elle sent bien que son corps commence à la trahir : elle voulait rester insensible, elle mouille... et rougit sous leurs yeux... elle repassera pour un deuxième tour de sauternes, les mains ne sont pas beaucoup plus baladeuses, sauf Pierre qui poursuit, ses sa main qui enveloppe son pubis, ses doigts glissent sur la dentelle, qui glisse sur sa toison... elle mouille....
Le repas est assez lent, elle sert et ressert, s’ils la laissent servir les plats tranquillement, chaque service des vins est l’occasion d’explorations entreprenantes, ses sein, ses cuisses, ses fesses, entre ses cuisses. Sa culotte colle à ses grosses lèvres, elle se sent vite trempée.... parfois un doigt se glisse sous la dentelle et caresse une lèvre, pénètre légèrement, ou plus profondément. Ils savent à quel point elle est excitée.... Le dessert arrive... qu’elle appréhende un peu la suite. Elle refait encore le service des vins, et bientôt sa culotte étant abaissée, entre ses genoux, elle prend le parti de la laisser tomber entre ses jambes. Elle est entre Pierre et Guillaume à ce moment là... et tous les deux, jouent là un moment là : entre ses cuisses, sur les lèvres de son sexe, ou parfois plongeant leurs doigts dedans, tous les deux. Elle va bientôt y passer.... elle sent son vagin s’inonder.... et Guillaume essuie ses doigts sur l’intérieur de ses cuisses... « Ramasse ta culotte »... « C’est parti... » Elle se penche, mais découvre sa fente et des doigts la pénètrent par derrière profondément..., elle plie les genoux, les doigts se retirent, mais elle réalise, alors qu’il est trop tard, que sa tête est à la hauteur qui convient pour être captée.... Guillaume... la main sur la tête de Florence... lui murmure à l’oreille « A genoux ma belle, je ne peux plus attendre... » il abaisse la tête de Florence, la pousse sous la table, à genoux, tête baissée. Coincée sous la table, elle dégrafe la ceinture, ouvre le pantalon, sent sous ses mains lors des premiers contacts qu’il bande, découvre le sexe et s’applique... elle le suce, le pompe, essaie de le prendre aussi profondément qu’elle le peut dans sa bouche, le sent à l’entrée de sa gorge... elle a du mal à contrôle ses réflexes, hoquette, tousse, recommence... Lui se laisse faire, pousse sa queue de temps en temps pour la mettre dans sa gorge... il est tellement excité que ça ne peut durer longtemps, il gémit, mets ses mains sous la table, tient la tête de Florence, grogne.... Jure tout d’un coup et elle sent en même temps qu’elle entend une voix devenue toute rauque le sperme jaillir dans sa bouche... elle tête, elle veut tout prendre, elle boira tout ce soir... elle en garde dans la bouche lèche le gland, le reboutonne... sort de dessous la table.... Tous la regardent sauf Guillaume qui boit un verre de Pacherenc.... Elle les regarde, et pour se donner une contenance entrouvre la bouche, laisse passer un peu de la matière blanche et gluante qu’elle a recueillie, puis l’avale.... « A ta santé ma belle » dit Guillaume qui a repris ses esprits, tous le reprennent, lèvent leur verre : « A ta santé » « Et au pied qu’on va prendre » ajoute Georges. Pierre qui se tient près d’elle la retient par un bras, écarte rapidement son assiette, ses verres, la pousse dans le dos, se lève, la courbe sur la table, les seins écrasés, la tête dans les bras ; des pieds il lui écarte les jambes. Il la prend, d’un coup, brutal il la pénètre. Elle se sent humiliée, ça va si vite, être ainsi baisée devant tous, quand elle ne s’y attendait pas, sur la table. La moindre de ses réactions, le plus faible gémissement, tous les partagent... Elle se laisse aller, abandonnée aux coups de boutoir de Pierre qui la baise comme une brute, ses cuisses cognent sur la table, c’est parfois douloureux.... Puis elle sent un orgasme monter, elle sent sa conscience se restreindre peu à peu à son corps, son con, à cette queue qui la bourre, puis à ses spasmes, les spasmes de ses muscles de son vagin, les spasmes du sexe qui cogne tout au fond, et les jets chauds qui relancent son orgasme, les grognements de Pierre.... Ses cris à elle, qui soudain jouit comme une folle, depuis le temps qu’elle mouille voilà que d’un coup tout ce qu’elle a accumulé de désir sous leurs caresses se libère, en cris aigus, en spasmes. Elle agrippe la nappe et lâche sans retenue les cris de jouissance qui la traversent, des cris animaux, rauques ou aigus, pour le plus grand plaisir de tous.... « La salope, elle jouit comme une chienne ! » Laurent traduit ce que tous pensent, ils rient, une chienne ça tombe bien ! Et ils bandent, tous, c’est bientôt leur tour....

Plus tard elle reprendra ses esprits sur le lit, tirant un peu de couverture pour se remettre, se réchauffer, se retrouver. Ils y sont tous passés, entre ses cuisses, dans sa bouche, dans son cul... Elle ne pourrait pas faire le compte de ses orgasmes. Elle a joui, encore et encore. Deux d’entre eux l’ont emmenée sur le "lit", elle en a sucé un pendant qu’un autre la baisait... elle a tout avalé, des images lui viennent comme ça... François l’a enculée... il lui a fait le coup du dernier tango à Paris, du beurre.... Ils sont là tout autour, Antoine, encore assis tout près, lui a baisé la bouche, elle a cru étouffer une fois ou deux..., elle a avalé ce qu’elle a pu, affolée elle a cru avaler de travers, le salaud.... Les autres sont debout, aussi détendus que s’ils étaient habillés, ils rigolent, échangent leurs impressions, d’acteur ou de spectateur.... elle voit quelques mains qui massent des sexes, ce qui ne peut signifier qu’une chose : ce n’est pas fini. Au point où elle en est... elle est prête à tout.... Beaudouin qui se faisait bander en se massant tranquillement la reprend, allongée, à la missionnaire, puis se retourne, la met sur lui, l’enfonce sur sa bite. Elle gémit, ferme les yeux.... et soudain, tandis qu’elle roule des hanches pour mieux sentir la bite qu’elle a en elle, elle sent des mains qui la caressent, qui étreignent ses seins, une bite qui glisse sur son dos, descend.... la voix de Georges : « Tu aimes aussi qu’on t’encule ma belle.... ». Il la pénètre, pousse sa queue d’un coup et l’empale. Les deux queues en elle... séparées par une mince paroi... elles glissent l’une sur l’autre.... ils jouissent tous les trois, presqu’ensemble, Florence sombrant dans un semi brouillard.... Elle sent quand même quand ils se retirent que du sperme coule, de partout... « Je suis une vraie salope ce soir... ».
Et puis soudain.... Beaucoup d’animation, elle réalise d’un coup ce qui se passe, odeurs, bruit, brouhaha... les chiens arrivent. « Vous avez laissé les chiens dehors ? » une voix de femme, c’est imprévu manifestement. « Qu’est-ce que tu fais là ? » C’est la voix de Guillaume.... Des explications qui échappent à Florence, couvertes par le bruit des chiens, par les voix des hommes dont certains s’esclaffent. Daemon est là.... alors que personne ne fait attention à elle, pour la première fois depuis le début de la soirée, elle va vers lui presque à quatre pattes. Des hommes qui sont encore autour d’elle la voient et se reconcentrent sur elle : ils ne veulent rien perdre du spectacle. Florence joue avec le chien, l’embrasse, ouvre la bouche quand il lui lèche le visage, prend le bout de sa langue entre ses lèvres, se colle contre lui, elle livre aux regards des hommes tout son désir pour Daemon, et se tourne, s’appuie sur le canapé, à genoux, le chien tourne pour se placer derrière elle au bout d’un moment, la poitrine contre la croupe de sa femelle, les pattes avant glissent bientôt sur les hanches de Florence, égratignent sa peau, se rejoignent entre ses cuisses pour la tenir, et Daemon commence à pilonner. Nerveusement il cherche la fente, sa bite cherche la fente, et la trouve. Les hommes le devinent puis en ont la confirmation sonore : ce cri retenu, expulsé plutôt comme si la bite du chien avait chassé de l’air de s poumons de Florence, et les gémissements qui suivent.... Elle a accepté le reste pour ce moment-là. Elle le découvre en même temps qu’elle sent le membre du chien l’ouvrir, la remplir. Elle a accepté pour se faire saillir devant tous ces hommes, parce qu’aucun ne saura la faire jouir autant, ne pourra comme Daemon la remplir de sa bite, même pas à moitié, aucun ne pourra déverser tout le foutre qu’elle va recevoir là, de son amant, même en s’y prenant à deux fois.... Et à nouveau elle s’abandonne. Comme lors de la saillie précédente c’est une femelle qui se fait saillir, dont le chien remplit le con, le dilate, une femelle qui sent son ventre gonfler.... Elle crie, il lui met son nœud... ça gonfle... ça palpite, c’est chaud, il éjacule, c’est chaud, c’est gluant, ça tapisse tout son con, elle l’appelle, l’encourage : obscène par la couleur de sa voix autant que dans ce qu’elle dit : « Vas-y, j’aime ta bite, cogne, baise-moi, Daemon!!!. ». Pas un homme n’a eu droit à ses encouragements.... Elle le laisse glisser sur le côté, à nouveau cul à cul, collée devant ces hommes qui n’ont fait que la baiser quand ils croyaient la posséder... Elle se laisse tirer par le membre du chien encore gonflé en elle, collée comme une chienne après la saillie, recevant encore des jets de sperme. Au bout d’un long moment le sexe du chien jaillit de la vulve. Daemon se retire et va lécher son membre. De la vulve qui n’en finit pas de vibrer coule un liquide épais, par jet ou goutte à goutte. La vulve ne se referme pas et semble même parfois s’ouvrir pour laisser passer un nouveau flot..., béantes, gonflées les lèvres n’en finissent pas de palpiter.... La vulve dilatée semble encore trahir la présence interne du nœud qui aurait laissé la forme d’une grosse balle.... Florence qui s’accroche au canapé pour se reposer reste à genoux, offerte aux regards et en attente d’une seconde saillie.... Après que les deux chiens suivant l’ont saillie, un berger et un danois, presque aussi gros qu’elle, elle s’effondre..., se replie, attrape une couverture et se laisse aller. Les chiens l’ont saillie rapidement, elle était si prête, si ouverte qu’ils n’ont eu aucun mal à la prendre, ils l’ont pilonnée comme des chiens peuvent le faire, nerveusement, frénétiquement. Elle se sent pleine de leur sperme, ça coule. Elle se sent couverte de l’odeur de leur fourrure, de leur bave.... Elle n’a pas conscience de penser à rien, elle perçoit ses réactions, son environnement, son corps, ses épaules, ses seins, son vagin, ses cuisses... comme une femelle animale le ferait...

Elle réalise qu’une femme se fait baiser sur le matelas... pas Anne, pas Lise....Guillaume vient remettre Florence en appui sur le canapé, retire la couverture, et l’encule sauvagement. Il est en colère....Heureusement le sperme de deux hommes qui étaient déjà passés par là, et le beurre de François, servent de lubrifiant... et son cul encore presqu’ouvert est préparé à recevoir, aussi brutal que ce soit, une queue qui n’est plus aussi glorieuse qu’à sa première érection. La femme jouit, peut-être pas la première fois, on dirait qu’Antoine et Georges s’y sont collés pense-t-elle... le mot lui plait bien.... François aussi peut-être. Et voilà que la femme arrive, plus jeune qu’Anne, plus vieille que Florence.... Elle aussi est déchaînée, elle colle sa bouche sur celle de Florence qui épuisée, excitée, tout entière tournée vers le sexe se laisse faire, répond, avec autant de passion que si sa partenaire avait été Anne.... Quand la femme cherche sa vulve Florence la lui offre... et les voilà parties dans un soixante neuf de folie.... Leurs bouches à toutes deux collées sur leurs vulves, léchant, fouillant de la langue, buvant le sperme qu’elles avaient reçu. Elles se sucent leurs clitoris, le mordillent, elles se font jouir, devant les hommes qui n’en demandaient pas tant.... Cela n’en finit pas, elles semblent affamées, assoiffées, les cuisses coincent les têtes, les seins s’écrasent, roulent, les deux femelles secouent la tête au rythme de leurs orgasmes... Puis décident qu’elles ont eu leur comptant.... Elles se libèrent et se séparent après un dernier baiser. Florence s’allonge sur le canapé reprend la couverture dans laquelle elle s’enveloppe.... Avant de sombrer dans un sommeil dont elle ne sortira que quelques heures plus tard elle a juste le temps d’entendre Guillaume crier plus qu’il ne le dit « Tu es contente de toi ? » et son épouse répondre encore tout haletante : « J’ai pris beaucoup de plaisir ici, j’ai joui comme une folle tu as vu ? Toi aussi ou je me trompe ? ».
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