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Au plus profond des pyramides.

Chapitre 1

Hétéro
L’immense porte couverte de poussière en son sommet et recouverte de sable à sa base grinça sinistrement lorsque le jeune explorateur, Rockhard Ick, l’ouvrit en poussant de toutes ses forces. Il arpentait les cryptes, pyramides de toutes civilisations et autres vieilleries architectural depuis près de dix ans maintenant, la seule différence, c’est que cette pyramide égyptienne était le première qu’il explorait en tant que véritable archéologue et non pas en tant qu’apprentie. L’émotion le faisait transpirer presque autant que la chaleur étouffante du désert, et il se retenait de pleurer de joie face aux découvertes qu’il comptait faire ici.
La Vallée de Kehmri, découverte depuis peu, était encore vierge de toute présence humaine depuis près de 3000 ans, et Rockhard était donc le premier archéologue à pénétrer dans ces créations époustouflante faite par l’homme. L’inconvénient était toutefois qu’il n’y avait donc aucun guide possible dans ces bâtisses de pierre, sans compter l’étroitesse des lieux ainsi que l’humidité ambiante, rendant presque nulle l’éclairage par les torches, même électrique. Tout occupé à ses pensées, Rockhard continuait d’avancer dans les couloirs sinueux, tâtant les parois fraîches et parfois dégoulinante d’une chaude humidité.
_Pour un peu je pourrai avoir l’impression de me trouver dans un vagin géant. Chaud, humide et sombre, et-
Rockhard ne finit pas sa phrase, et déglutit difficilement. Il continua à avancer le long des couloirs, tout en pensant au fait que cela faisait presque 4 ans qu’il n’avait plus eu de rapport, son travail l’empêchant de trouver des femmes qui lui plaisait, dans une profession ne comprenant presque que des hommes. Il était depuis quelques semaines tellement en manque, que la simple allusion à caractère sexuelle suffisait à lui donner une érection, et cette faiblesse l’attristait beaucoup. Il s’efforçait donc de se concentrer sur ce long tunnel, ce couloir doux aux pieds, chaud et humide, dans lequel il s’enfonçait, lui seul, et dont il était le premier à fouler, à pénétrer l’espace sacrée. Ses pieds l’amenèrent finalement dans une grande pièce circulaire, comprenant en son centre un sarcophage d’une forme qu’il n’avait encore jamais vu, un sarcophage entièrement rond, comme un ovule.
_Voilà que je me prends pour un spermatozoïde moi ! pensa Rockhard tout haut.
Sa voix résonna dans la pièce, et seul son « sperm » continua son chemin dans les couloirs, répandant la syllabe dans toutes les directions. Ick s’assit sur le sable à ses pieds, le dos contre le sarcophage, l’esprit embrouillé. Son visage s’était fortement empourpré, et il ressentait de plus en plus l’augmentation de sa pression artérielle caverneuse. Regardant autour de lui fugacement, il finit par ouvrir sa braguette et sortit son sexe, avant d’ouvrir également sa chemise, puis commença à se masturber, doucement d’abord puis très vite frénétiquement. Il se releva, son pantalon en toile à ses pieds mais encore enfilé, et pris appui sur le sarcophage de sa main droite, sa main gauche occupée à secouer son membre gonflé de plaisir de bas en haut. A un moment, les doigts de sa main en appui sur le sarcophage glissèrent, et l’un d’eux fini dans un orifice creusé, et Ick senti une succion venant de se troue. Surpris d’abord, il recula un peu, laissant sa branlette de côté, mais l’excitation aidant, il prit une décision stupide et rentra son sexe dans l’orifice, sans réfléchir. Le peu de sang qui avait pu remonter à son cerveau fut immédiatement renvoyé vers son sexe, prit dans un tourbillon de plaisir. Lui-même n’en revenait pas, il se faisait faire une fellation par un sarcophage vieux de plus de 3000 ans ! Et pourtant cette sensation était des plus agréable, son sexe était pompé tellement fort qu’il n’avait même pas besoin de se tenir au sarcophage, et attela ses mains à lui caresser ses tétons, qu’il malaxa et pinça de plus en plus fort, allant même jusqu’à se mordre les lèvres de plaisir, gémissant de plus en plus fort jusqu’au sommet du plaisir, et finit par ne plus pouvoir tenir. Il se laissa venir dans cette boite de pierre contenant la mort, et répandit sa semence probablement à l’intérieur.Il essaya alors de retirer son sexe de l’orifice, mais constata que la succion était toujours active. Il força un peu, mais se rendit compte qu’il ne faisait que se faire mal à la bite. Il jura, puis paniqua.
_Maismaismais, nom de dieu de nom de dieu, c’est quoi cette merde ? Tu vas lâcher ma queue oui ?
Rockhard s’énerva, se débattit, se fit mal, puis s’inquiéta. Il écarquilla alors les yeux quand il entendit un bruit de roche qu’on déplace. Il regarda le sarcophage, et constata avec horreur qu’il s’ouvrait lentement. Il cria de peur, et essaya de se retirer une fois de plus, mais toujours avec aussi peu de succès, et finit par prier tous les dieux qu’il avait croisé aux cours de ses pérégrinations, avec toujours aussi peu de succès là aussi. Il perdit alors l’usage de la parole, lorsqu’il vit une main momifiée agripper le bord du sarcophage, puis une deuxième, tandis qu’un râle rauque s’échappait du plus profond de la boite mortuaire…
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La cruauté n’avait jamais été la plus grande qualité de la princesse Khadi, qui lui préférait la bonté, la compassion et la vertu. Son père, le Pharaon de la Vallée de Kehmri lui avait enseigné la patience ainsi que tout ce dont elle aurait besoin plus tard pour régner d’une main de velours dans un gant de fer. Lorsque son père trépassa, Khadi se retrouva seule à l’âge de 14 ans sur le trône, et à devoir gérer l’une des plus grandes citées égyptienne de son temps. Bien que la tâche qui lui incombait été énorme, la jeune princesse se révéla être de taille, et régna pendant cinq ans d’un règne paisible et prospère. L’essor de Kehmri était sa priorité, et sous ces cinq ans, la population jamais ne fût plus heureuse. Cependant, les conseillers de feu son père, qui avaient espérer à la mort de ce dernier se retrouver avec une jeune princesse manipulable, voyaient son joug d’un mauvais œil, et fomentèrent dans son dos un complot horrible, visant à supprimer la Pharaonne, de la même manière qu’ils avaient éliminé son prédécesseur.
La pureté de leur reine était toutefois si grande, qu’aucun d’eux n’osa véritablement la tuer. Si bien qu’ils décidèrent en lieu et place de l’empoisonner, de l’enfermer vivante dans un sarcophage, et elle fût placé au fin fond de la plus belle pyramide de la Vallée de Kehmri. Car si une aussi époustouflante Pharaonne devait dormir à tout jamais, cela ne pouvait être que dans le plus beau monument que son peuple avait battit. La reine fût ainsi enfermée vivante, et pour ne pas entendre ses cris, elle fût placée dans un sommeil qui jusqu’à la nuit des temps devait durer. Afin d’éviter qu’un importun ne la réveille par accident, les conseillers mirent au point un stratagème habile : seule la semence d’un homme pourrait jamais la libérer de son état. Pendant des siècles et des siècles, la jeune reine resta endormie, et subit les dommages du temps sans pouvoir vieillir ni mourir : sa peau autrefois lisse et mâte était désormais parcheminée, sèche et craquelée, ses cheveux autrefois soyeux étaient désormais cassant et terne, presque blanc. Elle était devenue une momie vivante, un être à la lisière de la vie et de la mort, et le sable, le vent et le temps finirent bientôt par engloutir son tombeau. Une reine devait disparaître à jamais, mais un secret perdue fût retrouvé lorsque par l’ironie de sort, les éléments qui l’avaient balayée la firent émerger, trois millénaires plus tard. L’entrée fût retrouvée par un jeune explorateur avide de faire ses preuves. L’intrépide voyageur s’aventura au plus profond des pyramides, et trouva un sarcophage, dans lequel il plaça, pour une raison plus que saugrenue, son pénis.
La jeune reine Khadi, endormie depuis des millénaires, se réveilla soudain lorsqu’elle sentit une petite goutte de semence tomber sur son visage tuméfié. Elle reprit conscience miraculeusement et ne se rendait pas compte de ce qui lui arrivait : elle essaya de bouger, mais son corps ne semblait pas vouloir lui obéir –ses muscles atrophiés par le temps et complètement desséchés-, et ses yeux devenues aveugles à force de ne plus être hydratés, ne pouvaient lui fournir d’image de l’endroit où elle se trouvait. Cependant, d’autres gouttes de semence finirent par rejoindre la première, et à chacune d’entre elles, Khadi semblait retrouver des forces, sa peau s’imprégnant de la force vitale qu’elles contenaient, et après en avoir reçu suffisamment, elle arriva enfin à lever un bras, puis deux, et à se relever. Elle ouvrit la bouche, et l’air rentra en elle dans un son guttural et funèbre, avant de toucher le couvercle en pierre de son sarcophage, qu’elle poussa avec la force surhumaine qui caractérise les êtres ni mort, ni vivant.

_Ouaaaaaarg ! Nom de dieux de nom de dieux de merde, putain, un zombie ! Cria le jeune explorateur, tétanisé par la peur.
Ick se débattait comme un beau diable, désirant plus que tout quitter ce carcan de pierre, et s’éloigner le plus possible la momie vivante, et au moment où les mains de l’hideuse créature effleurèrent sa peau, la succion prit fin, libérant le jeune qui tomba en arrière. La chute le surprit tellement que dans un mouvement automatique il s’accrocha pour ne pas tomber, et attrapa pour ce faire les bras de la créature cadavérique, qui dans un murmure rauque, qu’on aurait pu assimiler à de la surprise, le suivit dans sa chute. Ick ferma les yeux lorsque son crane toucha le sol, et les rouvrit pour tomber nez-à-nez avec la momie, qui le fixait de ses yeux déshydratés… Ick paniqua tellement qu’aucun son ne parvint à sortir de sa bouche, il resta à trembler, bouche bée, pendant qu’il voyait la momie se tortiller sur lui, à la recherche de quelque chose, et un léger rictus –à moins que ce ne soit un sourire, la peau tendu et parcheminée ne permettait pas bien de distinguer- se dessina sur le visage de la créature lorsque celle-ci toucha ce qu’elle comprenait être la source de sa renaissance : la verge du jeune Rockhard.Dans les minutes qui suivirent, Ick –sans pouvoir bouger- vit la momie se trémousser pour essayer d’atteindre sa fontaine de jouvence. Il la vit empoigner son sexe, ouvrir grand sa bouche dans un bruit de bois qui craque, et la rentrer dedans, tandis qu’une langue semblable à un pruneau séché s’activait lentement sur le gland. Puis Ick tomba dans les pommes. C’est un bruit des plus excitants qui réveilla le jeune homme, un bruit de succion mouillée, perverse, qui sonnait comme du Mozart ou du Wagner dans ses oreilles. Il ouvrit lentement les yeux, et pensa pendant un moment que tout cela n’était qu’un rêve –les pyramides, la momie- qu’il était encore chez lui, et qu’il se faisait sucer par une fille lambda qu’il aurait ramenée dans son appartement. Il se souvenait de la dernière qu’il avait vu, une jeune femme superbe du nom de Salomé, et qui lui avait dit avoir couchée avec la mère noël –il avait le don, pensait-il, de se coltiner toutes les nanas les plus tordu- sans vraiment y croire. Seulement, lorsqu’il finit d’ouvrir les yeux, que les images du plafond atteignirent son cerveau, il se rendit compte que ce n’était pas le cas. Il releva lentement sa tête, s’attendant à revoir la désastreuse momie, mais jamais il ne vit pareille beauté : c’était une jeune femme, la peau mate et cuivrée, lisse et brillante comme un métal polie, de grands yeux verts en amande, à moitié cachés par une chevelure d’ébène rehaussée de bijoux en or incrusté de turquoise. Ses habits en haillons, déchirés, laissaient apercevoir sa peau, ses fesses fermes et luisantes, et lorsqu’elle remarqua qu’il était réveillé, elle stoppa net son action, gênée, tandis que ses joues se couvraient d’une couleur cuivrée plus foncée signe qu’elle rougissait. Elle se releva, timide, et voyant que ses lambeaux de vêtements ne cachaient qu’un seul de ses seins, elle plaqua ses mains contre sa poitrine. Ick ne savait que faire, il avait appris à lire l’égyptien antique, mais jamais à le parler, la langue étant légèrement morte depuis plusieurs millénaires, et c’est la jeune femme qui parla la première.
_Dit la jeune femme en essayant de rester digne.
_Euh… Hein ? Fit Ick, l’air abasourdi. Vous pouvez répéter la question ?
Devant l’incompréhension de son interlocuteur, la jeune femme sembla se vexer, puis se releva d’un coup, les sourcils froncés, avant de se mettre à crier sur Ick, dans son langage qui s’avéra être tout autant incompréhensible avec un volume supérieur.
_
_Houlà du calme pouletas, t’as t’es règles ou quoi ? Demanda Ick en se levant à son tour, dépassant la jeune femme d’une bonne cinquantaine de centimètre. Je ne comprends pas non plus ce qui se passe, mais je sais que si quelqu’un devrait crier ici c’est moi. Je veux dire TU as abusé de moi pendant que j’étais inconscient !
Se rendant compte qu’il accusait une jeune femme belle comme un cœur d’avoir accompli l’un de ses plus grands fantasmes, il se mordit la lèvre, avant de se rasseoir sur le sol. Il observa la jeune femme -satisfaite de le voir se remettre par terre ce qui lui évitait de devoir lever la tête- continuer de parler dans sa langue, et il décida de suivre le b à ba de la survit en milieux hostile : hocher la tête en signe affirmatif à tout ce que peut dire une femme. Il hocha donc la tête à chaque phrase de la délicieuse créature, fermant les yeux en signe approbateur, les bras croisés, lorsqu’il vit quelque chose d’étrange se produire : la peau de la demoiselle était en train de sécher à vitesse grand V. La jeune femme sembla s’en rendre compte et, paniquée, regarda Ick avant de se jeter vers son entrejambe, de sortir son sexe, et de commencer à le sucer à nouveau, laissant ce dernier pousser un soupir de surprise, qui se transforma en ronronnement de plaisir. Tout à son ouvrage, le derrière relevé tandis que son visage était enfouit dans l’entrejambe du jeune homme, Ick observa d’un œil distrait le sarcophage, et distingua des hiéroglyphes sur tout son tour, et piqué par la curiosité, il essaya de s’en rapproché, se traînant assis sur le sol, la jeune femme grognant tout en restant accroché à lui, marchant à quatre patte pour ne pas perdre sa prise. Il finit par lire ce qu’il voyait, et poussa un long « putain » de stupeur, dont la dernière syllabe se changea en « taaaaaaaaaaain » quand il se sentit venir au fond de la gorge de la demoiselle, qui se releva, ravie. Il posa les yeux sur elle, et observa sans y croire, sa peau qui regonflait, reprenant son lustre cuivré. Ick comprit alors que les inscriptions sur le coffre mortuaire étaient véridique : la demoiselle avait été maudite par les prêtres, en plus d’être enfermée vivante, et elle garderait sa forme de momie desséchée tant qu’elle ne serait pas infusé du « liquide de vie » d’un homme. Abasourdi par cette histoire, Ick tenta alors d’établir un contact avec la jeune reine. Il traça sur une feuille de papier des hiéroglyphes, formant ainsi une phrase très simple, avant de tendre son stylo à Khadi qui, heureuse de communiquer enfin avec le jeune homme, répondit avec hâte, l’air guillerette.
Après de longues heures passées à noircir les feuilles, ils avaient réussi à établir un contact oral : la reine –pas si jeune que ça au final- semblait prédisposé à l’accroissement de ses connaissances, si bien qu’elle parlait presque couramment français maintenant. Ick n’en revenait toujours pas, et exultait de joie face aux nombreuses récompenses qu’il tirerait en présentant une véritable Pharaonne vivante à l’ensemble de la communauté archéologique ; sans compter que la reine devait connaître l’emplacement de milliers de trésors –rien que ceux qu’elle portait sur elle devait suffire à acheter l’appartement qu’il louait !-, et en somme, un avenir radieux l’attendait. Elle lui expliqua alors ce que les prêtres de son époque lui avait fait, pourquoi, et comment cela se traduisait chez elle. Seule la semence d’un homme pouvait lui faire reprendre -et garder- son apparence de jeune femme, mais les prêtres la pensaient trop pure pour ne serait-ce qu’aborder le sujet avec qui que ce soit, si tant-est qu’elle pouvait reparler un jour, et ainsi sortir de son éternel sommeil.
_Donc si je comprends bien tu devras, hum, heh bien, avaler du sperme régulièrement pour ne pas redevenir le vieux truc flippant de tout à l’heure ?
Khadi frappa le jeune homme pour son manque de respect, mais lui répondit à l’affirmative.
_C’est exacte, paysan. Il ne semble pas exister d’autres moyens… Non pas que celui-ci soit des plus déplaisa-
Ick ouvrit grand les yeux à la fin de la réponse, et lui coupa la parole –prenant une baffe au passage pour le manque de respect- mais c’est avec un sourire non dissimulé qu’il lui proposa alors un arrangement.
_Ecoute, heu je veux dire, écoutez-moi ma reine. J’ai une proposition à vous faire : si vous acceptez de venir avec moi au dehors de cette pyramide, que vous acceptez de m’accompagner dans ce monde dont vous ignorez tout, j’accepterai en retour de vous fournir la dose dont vous aurez besoin. Ainsi personne au monde ne saura que vous faîte ce genre de chose pour survivre, car croyez-moi, il existe des brigands qui en profiteraient ! Qu’en dites-vous ?
Khadi sembla réfléchir un instant, mais elle se savait dépendante de ce jeune homme, et dans le seul but de garder une image convenable face au monde, elle accepta. Tandis qu’Ick sautait de joie dans son dos, la reine regardait les fresques murales, pensant à son peuple, disparue à tout jamais, et se dit qu’elle pouvait, si Râ le voulait bien, être la génitrice de la nouvelle peuplade égyptienne. Elle se tourna alors vers Ick, le fusilla du regard pour son comportement puéril, puis s’approcha de lui d’un pas décidé. Elle l’attrapa par le col de sa chemise, le força à se pencher pour que les 50 centimètres de différence de taille ne soient plus un problème, et collant son nez contre le sien, plongeant ses yeux dans les siens, elle lui ordonna de lui donner sa dose avant qu’elle ne ressente les effets désagréables de la dégradation temporelle. Ick devint plus rouge qu’aucun homme ne fut jamais, et s’activa immédiatement à l’accomplissement du souhait de la reine.
Il prit son membre gonflé dans sa main gauche, le secouant activement devant la reine, qui le regardait faire les yeux brillants et les joues cuivrées foncées la respiration saccadée. Ick fermait les yeux habituellement pour se masturber, mais cette fois-ci, il les avaient ouvert, et remarqua le regard de Khadi, puis, tout en continuant de se masturber, il lui demanda, entre deux coups de poignés, ce qui lui arrivait. Elle lui répondit sans quitter le sexe de son interlocuteur des yeux, qu’elle se sentait bizarre, sans savoir pourquoi. Elle lui dit qu’elle avait plus chaud que d’habitude dans le ventre. Rockhard se mordit les lèvres et leva les yeux au ciel : elle avait beau avoir plus de trois milles ans, elle avait les connaissances sexuelle d’une enfant, et il trouvait cela aussi mignon que dérangeant. Tandis qu’il débattait intérieurement sur de nombreux points –était-elle un genre de super milf ? Y avait-il un nom particulier pour les gens qui aimait sexuellement coucher avec des momies vivantes ? Une femme de trois milles ans mais qui avait dormit justement pendant trois milles ans était-elle à considérer comme elle l’était avant de dormir ? Est-ce que le fait de s’être fait sucer par une momie voulait dire que son amie avait vraiment pu coucher avec la Mère Noël ?- il vit Khadi emmener une de ses mains vers son entrejambe, glisser à travers les aillons, et commencer à se toucher. Ick se posa alors une toute dernière question –rhétorique- : est-ce que cela importait vraiment au fond ? Il cessa immédiatement sa masturbation, et se mit à genoux à son tour, devant Khadi. Il lui demanda ce qu’elle faisait était agréable, elle répondit que oui, et il lui demanda si elle voulait sentir quelque chose d’encore plus agréable, ce à quoi, dans un murmure timide, elle répondit oui.
Ick retira la main de Khadi de son l’entrejambe de cette dernière, et la fit s’allonger sur le dos, les jambes repliées. Il les écarta doucement, pendant que la reine couinait légèrement –elle n’avait surement pas l’habitude d’être dans cette position dans l’Egypte antique !- et il s’approcha lentement, pour déposer un baiser sur les lèvres inférieurs de la reine. Il jeta un coup d’œil vers elle sans quitter sa position, et voyant qu’elle semblait plutôt bien, il recommença, mais en tirant la langue, qu’il fit glisser le long des douces lèvres sucrées de la demoiselle apparente –qui était plus une dame qu’autre chose- avant de la faire glisser petit à petit à l’intérieur de la reine, qui laissa échapper un soupir de plaisir. La demoiselle commença à se tortiller quand le plaisir devint trop grand pour elle –après trois milles ans d’abstinence, il y avait de quoi comprendre que ça monte vite pensait Ick- et elle plaqua ses mains dans les cheveux du jeune homme, pour le faire s’arrêter de la lécher, pressentant qu’il allait lui arriver quelque chose s’il continuait ce qu’il faisait, mais Ick tenta de la rassurer. Il s’arrêta un instant, passant sa tête entre les jambes de sa partenaire pour la regarder dans les yeux, et lui dit que tout allait très bien se passer pour eux deux, et finit par être suffisamment convainquant pour qu’elle lui fasse confiance. Il replongea sa langue, et savoura chaque millimètres carrés qu’il sentait d’elle, sa chaire rosée intérieur avait un goût d’amande, et le jus de plaisir mielleux de la dame le rendait plus ivre que n’importe quel alcool. Ick remonta sa langue et téta goulûment le mont du plaisir de la reine, qui gémit en se tortillant toujours plus. Il avança un doigt vers les lèvres de cette dernière, qu’il fit glisser facilement à l’intérieur, avant de le ressortir, et d’en mettre un autre puis, une fois ces préparatifs terminés, il entama un Papillon de Vénus. Ses doigts s’enfoncèrent naturellement dans sa partenaire, qui agrippa à nouveau la tête du jeune homme, à la différence qu’elle lui ordonna cette fois-ci de ne s’arrêter sous aucun prétexte, et entre deux succions aux bruits obscènes, il lui répondit que même si elle le suppliait de stopper, il n’obéirait pas. Ick avança sa main gauche vers son propre entrejambe et repris sa masturbation –son sexe frétillant comme un chien attendant une caresse ou une récompense- d’une main vigoureuse, son esprit embrumé par l’excitation, et les gémissements mêlés aux autres composants de ce qui se produisait en ce moment même, lui firent comprendre qu’il ne tiendrait pas longtemps cette fois… Par chance, c’est ce moment que Khadi choisi pour jouir, criant son plaisir qui raisonna dans toute la pyramide avec une force incroyable, tandis qu’un jet de cyprine remplissait la gorge d’Ick qui s’empressa d’avaler avant d’étouffer, et quand la reine lâcha son emprise sur le jeune homme, celui-ci se leva, et approcha sa verge de la bouche de sa camarade de jeu, qui engloutit le gland goulûment, les yeux brillants d’une étincelle perverse, puis pompa le bout de chair gonflée, faisant échapper un long soupir de plaisir du jeune homme, soulagé d’avoir pu se retenir pour subvenir aux besoins –ô combien merveilleux lui semblait-il- de la reine.
Les deux personnes s’écroulèrent alors l’un à côté de l’autre, épuisés mais heureux, et fermèrent les yeux, reposant dans un bonheur complet, quand un tout petit caillou tomba sur le crâne d’Ick. Le jeune archéologue ouvrit les yeux, curieux, et vit alors une large fissure dans le plafond. N’y croyant pas trop au début, il constata que la fissure grandissait, à vitesse grand v, et un énorme morceau de pierre tomba entre ses jambes, à quelque centimètre de son intimité. Gardant un calme stoïque, Ick se tourna vers Khadi, la prit par les épaules, et la secoua légèrement –pendant une fraction de seconde- avant de paniquer superbement. La reine ouvrit les yeux, et constatant un tremblement dans toute la structure, conseilla à son ami roturier de s’en aller au plus vite, avant de finir par dormir à nouveau mais pour l’éternité. Ils se levèrent et détalèrent comme des lapins à travers les couloirs, tandis que le plafond s’écroulait derrière eux dans un nuage de poussière et un bruit assourdissant, et Ick réalisa alors qu’il n’avait rien emmené de cette pyramide, pire encore, qu’il avait précipité son oblitération en faisant crier la rein un peu trop fort ! Refoulant ces désagréables pensées au fond de lui-même, Ick accéléra le pas ne fois la sortie en vue, et attrapant Khadi par le bras, il sauta hors de la pyramide, au moment même où l’intégralité de l’édifice s’écroulait sur lui-même… Il se releva en se massant le bas du dos pendant que Khadi sortait la tête hors du sable -et en crachait en grande quantité- puis il regarda le désastre culturel qu’ils avaient fait. Le soleil se couchait au lointain, et le crépuscule donna une teinte rouge sang au sable blanc à leurs pieds. Il pensa à tous les trésors historiques perdu, toute la connaissance perdu, puis il se retourna vers la reine –qui crachait toujours du sable- et un sourire se dessina sur son visage fatigué.
Finalement, il avait sauvé la seule chose de valeur du plus profond de cette pyramide.
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