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Le plus vieux métier du monde ...

Chapitre unique

Erotique
Je m’appelle Louise Tapine et j’ai aujourd’hui 42 ans. Je suis une femme épanouie, mariée avec deux enfants et j’ai la chance de faire le plus vieux métier du monde.Je dois avouer que j’ai eu la vocation très tôt ! Dès les premiers cours de SVT, je suis devenue passionnée par le sexe. Je trouvais extraordinaire les dessins pédagogiques que notre professeur, monsieur Jacquouille, nous présentait. Oui, j’étais fascinée par ces schémas détaillés de minou et de zizi. Curieuse comme j’étais avec mes couettes et mes taches de rousseur, je ne pouvais m’empêcher de lever la main pour poser les questions qui me venaient. Je me souviens ainsi du jour où nous avons abordé la reproduction.-    Oui Louise, tu as encore une question ? me demande monsieur Jacquouille voyant mon doigt pointé vers le ciel-    Oui monsieur ! Comment un truc tout mou comme une guimauve peut-il faire pour arriver à rentrer dans le minou bien fermé ? lui demandé-je.Monsieur Jacquouille était un pédagogue extraordinaire. Il prend alors dans sa main droite une sorte de ballon de baudruche allongé tout dégonflé qui pendouille comme un zizi. De son autre main, il se saisit d’une grosse aiguille en bois qui doit bien faire un mètre et, nous faisant face, il nous explique.-    Vous voyez la nature est bien faite, commence-t-il. Quand votre maman fait de la couture, vous avez dû voir qu’elle mouille le fil pour le rendre plus dur et ainsi l’enfiler plus facilement dans l’aiguille. Eh bien, pour la reproduction, c’est pareil ! Lorsqu’on a envie de faire un enfant, le corps des garçons réagit tout seul.Et ce disant, devant mes yeux écarquillés, il contracte plusieurs fois sa main droite comme s’il pompait et le ballon se gonfle progressivement pour finir raide comme un bâton dressé vers l’avant. Puis ses deux mains se rapprochent et l’extrémité rose du ballon pénètre facilement dans le chas de l’aiguille comme le ferait le gland du garçon dans la chatte de la fille.Oui, c’était vraiment un sacré pédagogue monsieur Jacquouille, un vrai magicien, et moi une élève très attentive.
Quelques années plus tard, étudiante en faculté, j’ai continué à m’intéresser aux choses du sexe. Déjà bien calée sur le plan théorique car j’avais choisi une filière des sciences de la vie, je serais tentée de dire que je savais tout dans le moindre détail sur l’anatomie des êtres humains. J’avais toujours les meilleures notes !Mais sur le plan pratique, je suis restée novice très longtemps, trop longtemps. Heureusement, en plus d’un bon QI, la fée qui s’est penchée sur mon berceau à ma naissance m’a également dotée d’un joli visage, d’une poitrine généreuse et de fesses bien comme il faut. Autant dire que je disposais et dispose encore de tous les outils pour procéder à de nombreux travaux pratiques.Ces années d’études ont donc été pour moi l’occasion de mener de nombreuses expériences, toutes aussi variées les unes que les autres. Bien sûr, il y eut quelques échecs à cause de paramètres et mouvements pas très bien maîtrisés mais globalement, ce fut de sacrés moments et j’en ressortais les jambes coupées. A la fin de mes études, j’en étais certaine, ma vocation de petite fille restait inchangée « Je veux vivre du sexe ! ».
Ce lundi matin, assise dans mon fauteuil et repensant à tout cela, je ne peux que me réjouir devant le chemin parcouru. Je n’ai aucune honte ! Mon mari est au courant et mes enfants aussi. Comme nous avons un grand appartement au premier étage d’un immeuble art déco, nous l’avons restructuré pour que je puisse travailler à domicile. Deux petites pièces bien équipées sont aménagées à l’extrémité de l’appartement et on y accède par un petit escalier en bois. L’accès au reste de l’appartement, à usage privatif, se fait quant à lui normalement par le grand escalier en marbre et métal ou par l’ascenseur art déco qui date de 1923.Je jette un coup d’œil à mon planning du jour, me demandant si je vais commencer par un homme ou une femme. Cela peut surprendre mais moi je ne me suis pas spécialisée sur un genre ou un autre. Non, moi ma spécialité c’est le sexe, quel que soit le genre !Un coup d’œil dans les livres d’histoire montre d’ailleurs qu’il en a toujours été ainsi. Le plus vieux métier du monde n’a jamais été réservé à l’un ou l’autre des genres. Allez vous faire voir chez les grecs antiques et vous verrez ! Au moins ce qui est bien aujourd’hui c’est que l’on milite pour que tous les métiers soient accessibles à toutes et à toutes. Mais revenons à notre premier cas du jour ! Oui, c’est un monsieur et j’avoue que je préfère toujours commencer ma journée de travail par un homme. C’est un peu comme un café, ça vous booste pour le reste de la journée.
9h00, il est déjà installé dans la petite salle d’attente ! Oui, j’aime les laisser poirauter un peu afin qu’ils s’assurent de leur véritable envie de me rencontrer. Même s’il faut réserver avant de venir me voir, je n’interdis pas de battre en retraite au dernier moment. Comme la réservation se fait juste en donnant nom et prénom, sans aucune autre formalité, cela ne coûte rien d’abandonner juste avant le rendez-vous.Je lui demande de me suivre dans la plus grande pièce et le fais asseoir sur le divan tandis que je m’installe dans un fauteuil face à lui. Avec moi, ni ordinateur ni appareils sophistiqués, j’ai toujours pensé que c’était un métier où le contact humain est essentiel. J’ai cependant une petite tablette informatique pour prendre quelques infos afin de suivre celles et ceux qui reviennent plusieurs fois. Je la consulte.-    C’est la première fois que vous venez ? lui dis-je.-    Euh oui madame ! C’est ça ! me répond-il d’une voix hésitante.Comme beaucoup, la première fois est un peu stressante alors je lui demande de m’en dire un peu plus sur lui. Cela met en confiance avant de voir les choses plus en détail ensuite.Il me dit s’appeler Henri, 25 ans, étudiant aux Beaux-Arts, provincial et habitant dans une chambre de bonne dans le XVIème, plutôt réservé et pas très confiant en lui. Le cas-type dirais-je !
-    Qu’attendez-vous de moi ? lui demandé-je.Oui, j’ai toujours pensé qu’il ne faut jamais proposer un service particulier mais faire du sur-mesure. Disons que j’ai fait mien le fameux slogan « Avec moi, le client est roi ! ».
Le jeune Henri hésite et je comprends qu’il va falloir le pousser un peu dans ses retranchements.-    Mettez-vous à l’aise Henri, lui recommandé-je. Et allongez-vous sur le divan.Il semble hésiter, réfléchit puis me regarde des pieds à la tête. Mon allure BCBG doit le rassurer !-    Je retire tout ou seulement le bas ? me demande-t-il sans oser me fixer dans les yeux.-    Faîtes comme vous voulez, c’est vous qui décidez ! lui dis-je de ma voix la plus douce pour l’encourager à faire vraiment comme il veut.Le voici qui retire lentement son pull et son tee-shirt ; bien musclé le jeune homme ! Il retire ensuite ses chaussures et ses chaussettes avant d’enlever jean et boxer. Il s’étend enfin. S’il n’avait enlevé que le pantalon, comme le font certains, cela ne m’aurait pas ennuyée mais je préfère les voir à poil, l’âme mise à nu. Certains, parfois même, restent habillés ; parler suffit !Il s’allonge mais je le devine toujours angoissé par cette première.-    Vous souhaitez que je ferme les rideaux ? Vous préférerez être dans la pénombre ? lui proposé-je.Il est allongé sur le dos, immobile comme un gisant, les bras de part et d’autre du corps.-    Oui, je crois que je serais plus à l’aide dans un peu d’obscurité, me répond-il.D’un petit coup de télécommande je baisse un peu les stores et diminue l’intensité de la lumière.
Je quitte mon canapé et viens m’asseoir au bout du divan à ses pieds. Il a les yeux ouverts et regarde le plafond ; je regarde son sexe au repos.-    Dîtes-moi Henri, comment ça se passe avec les filles ?-    Pour tout vous dire madame, je leur plais bien ! me répond-il. Mais ….-    Mais quoi ? insisté-je.-    Eh bien, je suis un grand timide et une fois que je les ai embrassées, je n’ose pas aller plus loin, me confie-t-il.-    Et vous vous masturbez de temps en temps ?-    Oui le soir dans mon lit, avoue-t-il.-    Vous êtes donc toujours vierge ?-    Oui madame et c’est pour cela que je viens vous voir. Je me dis que vous pouvez peut-être faire quelque chose, finit-il par avouer.Voilà, nous en sommes enfin arrivés à l’essentiel.
Même si je suis une professionnelle du sexe, je ne suis jamais sûre de répondre aux attentes. Non pas parce que je ne suis pas à la hauteur mais simplement parce que l’autre n’est pas dans les dispositions pour profiter de toutes mes compétences. Heureusement, de nombreuses années de pratique m’ont appris à ne pas brusquer les choses et à mettre en confiance.-    Henri, racontez-moi donc à quoi vous pensez quand vous vous masturbez le soir dans votre lit, lui demandé-je.Glisser en douceur du rêve à la réalité est l’un des procédés que j’utilise le plus souvent avec les puceaux. Cela permet d’atteindre des résultats insoupçonnés ! Mais dans les cas comme celui-ci, le plus dur est de saisir l’instant où la réalité va se mêler à la fiction.Voilà Henri qui commence à me raconter que le soir dans son lit, en regardant une vidéo sur son téléphone, il s’imagine assis dans la salle d’un cinéma porno. Dans l’obscurité, personne ne le voit vraiment et il ose se débraguetter lentement. Il glisse ensuite sa main dans son pantalon et commence à se caresser les bourses. Alors que le film est déjà commencé depuis une bonne dizaine de minutes, une femme vient s’asseoir sur le siège à sa gauche. Sa timidité le rattrape et il retire vite la main qu’il a dans le pantalon. Il ne faudrait pas se faire prendre la main dans le sac, surtout par une inconnue !Je devine que l’instant où je vais pouvoir intervenir dans son rêve est proche. Je me lève et m’assoie sur le divan à la hauteur de ses genoux. Tandis qu’il poursuit son récit, je note que sa respiration s’est accélérée et son cœur semble battre un peu plus vite.
A l’instant où il me raconte que la femme pose une douce main sur sa cuisse, je fais pareil. Il sursaute un peu au contact de ma peau sur la sienne. L’instant devient crucial, un peu comme en cuisine lorsqu’on est en train de faire une mayonnaise. Il ne faut pas aller trop vite, il faut prendre le temps de faire les choses bien.Maintenant, je suis là près de lui sur ce divan mais aussi avec lui dans le rêve qu’il me raconte. Dans l’immédiat, je n’ai pas grand-chose à faire, simplement faire coïncider fiction et réalité en exécutant simplement ce qu’il raconte.Ma main remonte et je lui caresse doucement les bourses. Sa queue réagit parfaitement, elle s’anime lentement comme l’ombre d’un cadran solaire sous l’action des rayons. Je poursuis mes caresses sur ses bourses et ses cuisses, voilà c’est bon ! il bande bien dur. Ma paume remonte sur sa tige et je la prends à pleine main. Je pourrais presque prendre sa tension et ses palpitations en la tenant bien serrée mais c’est inutile, je vois bien que tout fonctionne normalement.Tandis qu’il me dit que la femme assise à côté de lui a commencé à le masturber, ma main coulisse lentement sur sa tige, sans la branler mais simplement en la caressant.J’attrape une petite boite dans la poche de ma robe-blouse, l’ouvre et en sort un petit bonbon blanc.-    Tenez Henri, sucez ce Vichy et contentez-vous de continuer à vivre votre récit sans le raconter, lui dis-je.D’une main je glisse le bonbon dans sa bouche tandis que l’autre enserre un peu plus fort sa queue pour entamer une lente masturbation.
Au propre et au figuré, je prends la main sur le récit d’Henri puisqu’il ne peut plus parler, occupé comme il est à sucer le Vichy. Il n’y a donc plus qu’à choisir le bon moment, comme un train à un aiguillage, pour quitter la voie de la fiction et emprunter celle de la réalité. En souplesse, tout en douceur, je vais entraîner ce jeune puceau sur le chemin qui va en faire un homme.Tout en continuant à bien le branler, je dégrafe, un à un, les boutons de ma robe-blouse. Henri a les yeux grands ouverts et me regarde retirer mon léger vêtement. J’espère que ce qu’il voit lui plait. Soutien-gorge demi-balcons rouge et ivoire, large porte-jarretelles assorti retenant de fins bas gris et un string fendu assorti. Bien évidemment, je suis perchée sur de jolis escarpins noirs à très hauts talons pour être certaine de bien dominer mon sujet.Je me penche maintenant vers le bas-ventre du jeune et j’excite son gland de ma langue. Comme je connais bien les puceaux, qui représentent une bonne partie de mes visiteurs, je sais qu’il faut y aller doucement pour éviter un plaisir trop rapide, donc sans grand intérêt.-    Respirez bien Henri, détendez-vous et laissez-vous aller, lui dis-je.Délicatement je me redresse et viens me mettre à califourchon au-dessus de ses jambes. C’est maintenant que je vais devoir mettre en œuvre toutes mes compétences professionnelles, fruits de mes longues années d’étude et de pratiques sexuelles.
Je prends en bouche son sexe et entame une douce fellation en veillant à bien saliver pour que sa queue coulisse entre mes lèvres comme dans un fourreau bien lubrifié. Le jeune Henri comprend vite tout l’intérêt qu’il a à accompagner ma fellation de légers mouvements du bassin. Ainsi, régulièrement, son gland turgescent vient cogner au fond de ma gorge avant de repartir en arrière comme un piston.Si j’en crois mes lectures des grands philosophes antiques et mes expériences personnelles, la fellation est apparue en même temps que le plus vieux métier du monde. Il est fort probable qu’en suçant un phallus, la femme - ou l’homme – replonge dans les doux souvenirs de son enfance lorsqu’il ou elle suçait son pouce. Malheureusement trop longtemps, à tort, on a considéré cela comme une perversion ou une déviance. Quel dommage !Henri me semble maîtriser la situation et je peux donc enserrer un peu plus fort sa queue dans ma bouche. Il réagit instantanément en se contractant un peu comme s’il cherchait à injecter encore plus de sang dans sa bite pour la rendre plus grosse. Voilà encore un point important que j’ai appris de ma longue pratique du sexe, ce n’est pas la grosseur ou la longueur du pénis qui sont importantes. Non, l’essentiel c’est de tenir la distance !
Un petit coup d’œil à la pendule murale accrochée entre deux grands tableaux érotiques, me rappelle que je ne dois pas trop tarder à finaliser cette première visite matinale. En effet et bien que travaillant selon des tarifs conventionnés, je ne compte pas mes heures mais il ne faudrait pas que je sois contrainte à décaler mon rendez-vous suivant.Je remonte donc un peu plus haut sur le corps d’Henri, toujours allongé sur le divan, et m’excite la fente sur la pointe de son gland déjà bien lubrifié par ma salive. J’ondule sur lui en appuyant les paumes de mes mains sur son torse et petit à petit son glaive d’acier glisse dans un fourreau encore bien plus chaud et plus humide que ma bouche.-    Laissez-vous aller Henri, libérez le mâle qui sommeille en vous, lui dis-je tout en me cambrant davantage pour m’empaler un peu plus sur sa queue.Il semble avoir compris car le voici qui me saisit par les hanches et se met lui aussi à onduler. Bien vite nos ondulations se calent sur le même tempo et j’avoue que tout cela ne me laisse pas indifférente.J’ai en effet pour principe de ne pas prendre de plaisir lors de mes rencontres professionnelles et de me contenter de simuler. C’est si facile, surtout avec les petits jeunes ou les vieux vicieux ! Je n’ai pris aucun rendez-vous professionnels la semaine dernière car nous étions aux sports d’hiver et mon mari me néglige un peu ces derniers temps car trop pris par son travail, peut-être suis-je en manque de sexe d’où cette envie matinale de bien profiter de ce jeune puceau.
Sans nous désaccoupler, je dégrafe et retire mon soutien-gorge. Aussitôt, comme hypnotisé par mon 90C et mes larges aréoles, Henri redresse le buste et sa bouche se colle sur mon sein droit.-    Très bien ! Continue à te laisser aller à tes envies, lui conseillé-je.Ses mains m’enserrent un peu plus fort pour mieux me river à son bas-ventre, il me dévore les seins et la bouche ; le puceau est en train de jeter sa gourme !Pour éviter qu’il ne se fatigue trop et pour qu’il profite pleinement du bouquet final, je l’oblige à reposer le dos sur le divan et c’est moi qui m’incline davantage sur lui. Aussitôt, ses mains se plaquent sur mes fesses et il accélère le rythme de ses coups de boutoir.-    Que vois-tu au plafond ? lui demandé-je.Il lève les yeux et découvre le grand miroir fixé au plafond et dans lequel se reflètent nos étreintes fougueuses.-    Je nous vois tous les deux, me répond-il.-    Et que te vois-tu en train de faire ?Il hésite et n’ose pas répondre.-    Alors ! Que fais-tu ? insisté-je.-    Je vous baise madame ! me répond-il enfin.Et soudain, comme un geyser de champagne célébrant la plus importante des victoires sportives, son foutre explose en moi tandis que je m’écroule sur lui.Une fois repris nos esprits, nous restons emboités encore quelques instants sur lit.-    Tu vois, lui dis-je, tu ne dois plus avoir peur de ta timidité et tu ne dois plus faire de complexes avec les filles. Ce que tu as fait ce matin pour la première fois, tu es capable de le refaire bien d’autres fois.-    Oh merci madame ! me répond-il.
Quelques minutes plus tard, rhabillés, nous nous faisons face ; lui assis sur le rebord du canapé et moi dans mon fauteuil. Je pianote quelques lignes sur ma tablette car, même s’il n’est plus puceau, il risque de revenir me voir pour d’autres conseils. Pour les ultimes formalités, je prends le petit terminal informatique posé sur la console près de moi. Il ouvre aussitôt son portefeuille et en extrait sa carte bancaire qu’il me tend. Je le prends tout en lui disant-    Votre carte Vitale aussi !Oui, je fais le plus vieux métier du monde et j’ai pignon sur rue. Une belle plaque en laiton doré fixée à droite de l’entrée de l’immeuble en atteste : Docteur L. TAPINE Sexologue.
FIN
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