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A poil au Bureau!

Chapitre 1

Voyeur / Exhibition
Depuis qu’on est revenus sur Marseille en 1996, j’ai trouvé une place dans une boîte de conseil d’entreprises. Chaque agence est composée de personnel fixe et d’intervenants indépendants. La nôtre a pour personnel fixe: Martine, qui s’occupe de tout l’administratif et des contacts téléphoniques et se trouve dans le grand bureau d’entrée ; Sylvain, le directeur, qui est aussi sur le terrain pour les audits et les formations avec les divers intervenants, donc rarement à son bureau ; et moi, secrétaire comptable qui fait les devis et les facturations dans mon bureau à côté du sien.
Lundi 28 juin 1999
Martine s’est fait une entorse à la cheville samedi dernier et se retrouve en arrêt pour trois semaines. Si tout va bien, elle revient le lundi 19.

Mercredi 30 juin 1999
Comme Sylvain part en congé une semaine à partir du vendredi 9 juillet, appel au siège pour m’envoyer une remplaçante plus vite opérationnelle qu’une intérimaire.

Lundi 5 juillet 1999
Arrivée de Sophie, la jeune Parisienne envoyée par l’agence centrale pour la remplacer. Rousse à peau blanche, mignonne, mais sans plus, 21 ans et assez naturelle.

Lundi 12 juillet 1999
Il n’y a plus que nous deux pour la quinzaine. Toute la semaine écoulée nous a permis de sympathiser et nous avons pris l’habitude de manger ensemble le midi et de faire des pauses en milieu de matinée et d’après-midi pour boire un café et papoter. Comme il fait chaud cet après-midi et que nous n’avons pas de climatisation dans nos vieux locaux, je le lui fais remarquer:
— Dis donc, on est juste toutes les deux. Ça ne te fait rien si j’en profite pour faire comme on a l’habitude avec Martine ?— C’est-à-dire ?— Eh bien, quand il fait aussi chaud, il nous arrive d’enlever le haut, par exemple.— Ah bon ? Et vous restez en soutif ?
— Ben oui.— Mais s’il passe un client ou un formateur ?— Eh bien, on se rhabille. On a largement le temps, ils sont obligés de sonner pour qu’on leur ouvre et ensuite ils ont les deux étages à monter.— Bon, écoute, fais comme tu veux.
Je déboutonne donc mon chemisier et l’enlève, me retrouvant en soutif sans bonnets. En bas, je n’ai que ma jupe assez courte et rien dessous. Vu la disposition des bureaux, le mien est dans son dos et elle a entre elle et moi l’écran de mon ordinateur. Elle s’était retournée pendant notre conversation, mais tout ce qu’elle peut voir, c’est ma tête, et encore, juste parce que je me suis un peu relevée.
Un moment plus tard, elle se retourne et me demande si je peux lui faire passer un dossier sur lequel je travaille aussi, car elle en a besoin.
Je me décide à me lever dans cette tenue pour lui porter les documents et je me place derrière son fauteuil pour les déposer sur son bureau. Elle reste fixée sur son écran, donc elle ne se retourne pas et ne voit pas ma tenue. Elle a presque mes seins sur sa nuque.
Un peu plus tard, c’est elle qui se lève et vient vers moi avec un document à la main. En étant debout, elle peut maintenant apercevoir les bretelles de mon soutif, mais elle doit croire que c’est un modèle standard. Je continue comme si de rien n’était et ça m’excite un peu, me dressant les tétons. Ce n’est que quand elle commence à contourner mon bureau qu’elle remarque mon soutif qui encadre mes seins et mes tétons qui pointent fièrement. Surprise, elle pousse une petite exclamation:
— Oh, Anna !— Quoi ? Je t’ai demandé et tu m’as dit que ça te dérangeait pas.— Ben oui, mais ton soutif, je m’attendais pas à ça.— C’est vrai qu’il est un peu décolleté.— Un peu décolleté? Mais c’est presque que l’armature avec à peine un peu de tissu en bas.— Tu n’as rien dit tout à l’heure quand je suis venue dans ton bureau.— Non, mais j’avais pas vu, tu étais derrière moi.— Bon, écoute, si tu préfères, je l’enlève carrément, comme je le fais avec Martine.
Et sans attendre sa réponse, je dégrafe l’objet de cette joute verbale. Elle n’ose rien dire, se concentrant sur le travail, puis elle finit par me lancer avant de retourner à sa place:
— Tu as raison, je préfère comme ça, c’est moins perturbant. Mais tout de même, seins nus au bureau, c’est pas commun.— Ici oui, en tout cas. Martine le fait aussi. Tu devrais essayer.
Elle ne répond rien à ça et va se rasseoir dans son fauteuil.
Un peu plus tard, je retourne à son bureau et là, je me penche sur elle en lui montrant des choses sur son écran, lui mettant mes seins directement sous le nez. Elle réagit un peu:
— Dis, c’est tout de même un peu inhabituel pour moi de voir quelqu’un topless au bureau.— Ça va venir. Tu sais, le mieux pour t’y habituer, ce serait que tu fasses pareil.— Non, j’oserais jamais.— Tiens, mets-toi au moins en soutif pour voir. Qu’est-ce que tu risques ?
J’insiste un peu et elle finit par enlever son chemisier elle aussi, mais elle garde son soutif, un modèle sans armature et en tissu simple masquant sobrement son modeste 80B.
Pendant le reste de l’après-midi, elle a plusieurs fois l’occasion de me voir face à elle et elle finit par ne plus y porter cas, non plus qu’à sa propre tenue.

Mardi 13 juillet 1999
Dès le matin, je manœuvre pour rester sur les acquis de la veille, avec pour but de pousser plus loin dans la journée. Je décide donc Sophie à se remettre directement comme hier. Comme il fait déjà une chaleur étouffante, même avec les fenêtres ouvertes, elle ne résiste pas et se remet en soutif pendant que j’enlève le chemisier sous lequel je n’avais même pas pris la peine de mettre quoi que ce soit. Nous continuons à papoter un peu en buvant un café avant de nous mettre au travail. Je fais en sorte d’être la première à m’asseoir derrière mon bureau pour pouvoir passer à la phase suivante:
— Dis, tu dois avoir vraiment trop chaud avec ton jeans, non ?— Oui un peu, c’est vrai. J’ai tellement l’habitude de Paris que je n’ai même pas de jupe.— Eh bien c’est pas grave, t’as qu’a l’enlever et rester en culotte.— Oh tout de même...— Quoi, c’est comme si tu étais en maillot de bain. Regarde, j’enlève ma jupe, moi aussi !
Et je vire effectivement mon dernier vêtement, restant bien assise en le faisant pour qu’elle ne voit pas que je n’ai rien du tout en dessous. Je fais tournoyer ma jupe en l’air:
— Allez, à toi !— Euh, je suis un peu gênée, c’est un string que je porte...— Et alors, moi aussi je porte des strings, même à la plage !— Bon, OK, tu as gagné.
Et elle vire son pantalon, me dévoilant un string tout simple comme son soutif. Elle retourne enfin vers son fauteuil, me montrant de ce fait ses fesses bien fermes sobrement séparées par une fine bande de tissu. Un moment plus tard, elle vient me voir pour un souci sur un dossier et semble plus à l’aise. Elle reste face à moi, ne contournant pas mon bureau, donc elle ne se doute toujours pas que je suis complètement à poil.
Un peu plus tard, je vais à mon tour la voir, mais je reste bien cachée derrière son fauteuil, et c’est très amusant de voir qu’elle ne remarque toujours rien. Surtout qu’elle évite de me regarder directement, ne voulant certainement pas se retrouver le nez entre mes seins.
La fois suivante, je pousse un peu plus le bouchon. J’avance un peu plus à côté d’elle, mais je me sers d’un dossier dans ma main pour masquer ma nudité totale. Elle ne se rend compte de rien, d’autant plus qu’elle continue à ne pas regarder dans ma direction.
La troisième fois, je ne me cache même plus derrière quoi que ce soit, et à un moment de la conversation, je vais appuyer mes fesses contre son bureau, lui dévoilant ma nudité totale. Cette fois, elle voit tout immédiatement:
— Oh, Anna ! Tu es toute nue ?— Ben oui, en fait c’est ça dont on a pris l’habitude avec Martine depuis longtemps.— Mais je t’ai pas vue enlever ton string avec ta jupe.— C’est parce que j’en avais pas, tout simplement.— Tu te balades dans la rue sans rien sous ta jupe ?— Eh oui, ça me fait de l’air !— Ben toi alors, j’en découvre tous les jours.— Et moi je me découvre tous les jours !
Ce dernier mot d’humour la fait un peu rire et ça décontracte l’ambiance. Je n’insiste pas et comme on a fini sur ce dossier, je la laisse un peu souffler. C’est à midi quand nous nous levons pour aller manger au snack à côté qu’elle me revoit évoluer entièrement à poil dans l’espace. Elle remarque enfin vraiment mon épilation totale. Je le sais parce qu’elle fixe mon centre de gravité un moment un peu soutenu, mais elle n’ose pas m’en parler. Elle remet ses affaires et moi aussi, sauf que je n’ai rien du tout dessous.
Au retour du déjeuner, nous buvons un petit café avant de ré-attaquer le boulot. Pendant ce temps, je vire mes fringues sans plus rien lui demander, et je vois qu’elle me suit en enlevant spontanément son haut puis son jeans. Je lui propose alors de m’imiter, mais elle décline la proposition. Je n’insiste pas, on verra demain. Le reste de la journée, je la laisse tranquille, me contentant de ne pas me gêner pour lui montrer toutes mes facettes.
A suivre...
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