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PokémonVR

Chapitre 23

L'Expiation d'Ayaka

SM / Fétichisme
Je relus le message plusieurs fois afin d’être certain de l’avoir correctement compris. Après trois lectures, j’avais encore du mal à croire à tout ceci. Ayaka était la nièce du concepteur de ce jeu mortel. Cela me semblait totalement irréel. Mais tout était réel. L’oncle d’Ayaka avait bel et bien été le bourreau de douze bêta-testeurs qui lui étaient totalement inconnus. Dans ce sens, je comprenais pourquoi Ayaka se sentait coupable bien qu’elle n’en sût rien. Mais il fallait absolument que je fisse disparaître ce sentiment.
— Alors, tu penses toujours que je n’ai rien à voir avec tout ça ? me demanda-t-elle d’une voix faible. — Je n’arrêterai jamais de le penser. Et si on en parlait avec les autres, ils seront sûrement du même avis.
Lorsqu’elle m’entendit parler des autres bêta-testeurs, son regard plongea vers le sol. Ses mains se mirent derechef à trembler avant qu’elle ne me répondît.
— Je n’en suis pas sûre. Je pense plutôt que si je m’approche d’eux, ils essaieront de me tuer.— Pas si je plaide ta défense, argumentai-je.
Ayaka voulut contester, mais je lui intimai de se taire en plaçant mon index devant son visage.
— Je ne veux plus rien entendre, l’avertis-je.
Elle me fixa du regard, et je ne pus deviner s’il s’agissait de surprise, de colère ou d’une autre quelconque émotion. Puis, tandis que ses yeux continuaient de me dévisager, je lui attrapai les épaules et rapprochai mon visage du sien.
— Maintenant, je vais t’aider à extérioriser tout ce que tu as sur le cœur. Appelle ton Florizarre.— Pourquoi est-ce ….— Je croyais t’avoir dit que je ne voulais plus rien entendre. Maintenant, sors ton Florizarre. Tu comprendras bien assez tôt.
Son visage, dont la surprise se lisait pleinement sur ses traits, se figea pendant quelques secondes avant qu’Ayaka ne se décidât à m’obéir. Elle lança la Pokéball contenant ledit Pokémon de type Plante/Poison qui apparut à quelques centimètres de nous. Le Pokémon ressemblait à une tortue de couleur verte, et une énorme fleur poussait sur son dos.
— Maintenant, déshabille-toi entièrement.
Elle ouvrit la bouche, mais en voyant mon regard sévère, elle se ravisa avant d’ôter son tee-shirt blanc. Son jean le rejoignit bientôt, suivi de ses sous-vêtements bleu clair. Mes yeux se posèrent sur sa poitrine féminine. Au milieu de ses aréoles, deux tétons, encore au repos, m’attiraient inexorablement. Toutefois, je pris mon mal en patience.

-Secoya, je vais avoir besoin que vous annuliez le dôme d’Ayaka.
Un message apparut presque aussitôt devant mes yeux.
Pourquoi devrais-je faire ça ?
— Vous voulez que j’aide ma petite-amie, oui ou non ? Ne vous en faites pas, je ne compte pas la mettre en danger.
Une vingtaine de secondes s’écoula dans un silence des plus pesants. Puis, après cette vingtaine de secondes, un nouveau message apparut.
C’est fait
Je m’approchai de Florizarre afin de lui murmurer quelque chose dans l’oreille. Je fis en sorte qu’Ayaka ne m’entendît pas afin de ne pas l’effrayer. Le Pokémon de ma petite-amie resta de marbre. Il ouvrit la bouche et poussa un « Zarre ! » en me toisant du regard. Mais, lorsqu’Ayaka lui intima, d’un signe de tête, d’obéir à ce que je venais de lui ordonner, il libéra quatre lianes qui vinrent s’enrouler autour des bras et des jambes de ma dulcinée. Elle se retrouva bientôt suspendue dans les airs, totalement nue, tandis que deux nouvelle lianes vinrent s’enrouler autour de ses seins.
— Clifford, qu’est-ce que tu fais ?!
Je claquai des doigts ; une septième liane vint fouetter les fesses de ma petite-amie. Elle poussa un cri aigu sans doute dû à la douleur. Je me mordis la lèvre en espérant que ce que je faisais fonctionnerait.
-Je croyais t’avoir dit que je ne voulais plus rien entendre, dis-je d’un ton faussement froid.
Je me replaçai en face d’elle d’un pas lent et régulier. Je vis dans ses yeux qu’elle avait compris ce que j’étais en train de faire. Je crus voir, dans ses iris marron, une étincelle de désir ; j’espérai ne pas avoir rêvé. J’attrapai ses cheveux et les tirai légèrement en avant ; son corps bascula jusqu’à ce qu’elle se retrouvât en position allongée, sur le ventre, suspendue par ses bras et ses jambes. Sa poitrine, pressée par les lianes du Pokémon d’Ayaka, pendaient dans le vide. Ses tétons, contrairement à précédemment, pointaient fièrement vers le sol. Je sifflai, puis une huitième liane vint rejoindre l’entrejambe de ma bien-aimée. Elle poussa un gloussement lorsque ladite liane commencer à caresser sa vulve en se frottant contre elle. Elle émit un petit gémissement de plaisir ; je claquai des doigts. La septième liane vint alors frapper les fesses de ma partenaire. Elle me lança alors un regard à la fois excité et interrogatif.
— Je ne veux rien entendre, répétai-je en insistant très fortement sur le mot « rien ».
Un sourire barra son visage. Il fut cependant contraint de disparaître lorsque, après avoir ôté mon pantalon et mon caleçon, je forçai l’entrée de sa bouche avec mon pénis. Elle fut surprise de cette initiative légèrement féroce, mais elle ne s’en plaignit aucunement. Elle ne put retenir un gémissement dû soit aux frottements de la liane contre ses lèvres intimes, soit à ma verge dans sa bouche. Quelle que fût la raison, je claquai des doigts ; un nouveau coup de liane retentit dans le silence de la forêt. Tandis que mon gland allait et venait contre sa langue, je la sentais m’aspirer avec envie. Ses gémissements se multiplièrent, les coups de liane également. Je m’aperçus alors qu’Ayaka criait volontairement. Je souris en constatant cela, puis, sans prévenir, j’imposai mon rythme à cette fellation étrange. Mon pénis allait et venait plus rapidement, et sa langue peinait à suivre le rythme. Elle eut droit à de nombreux autres coups de liane, puis je décidai qu’il était temps de passer aux choses sérieuses. Je sortis mon sexe de sa bouche et la fis pivoter de cent quatre-vingt degrés afin que ses fesses me fissent face. Son visage désormais tourné vers Florizarre, elle écarta davantage les jambes ; sa grotte intime se dévoila parfaitement à moi. Je m’accroupis afin de mieux observer les petites lèvres pendant dans le vide que j’avais pourtant vues des dizaines de fois. Une substance translucide partait de la partie rose de son vagin et s’écoulait le long de sa peau. Je ne pus m’empêcher de ramasser cette douce sauce à l’aide de ma langue, puis je remontai le long de sa cuisse jusqu’à ce que ma langue se perdît dans le l’antre humide de ma petite-amie. Ma bouche collée à son entrejambe, je me servis de ma langue afin de caresser ses parois intimes. Lorsque l’un de mes doigts vint titiller son clitoris, Ayaka ne put contenir un gémissement involontaire. Un violent coup de fois vint frapper ses fesses. J’entendis le claquement, et un courant d’air frais vint me caresser les cheveux. En revanche, à cause du coup, Ayaka eut un sursaut qui fit s’enfoncer ma langue plus profondément encore entre ses lèvres ; elle poussa un nouveau cri qui engendra un nouveau coup. S’ensuivit alors un cercle vertueux qui ne prit fin que lorsque je détachai mon visage de son sexe coulant. J’avais de la mouille partout sur le menton et autour de la bouche, mais cela ne me déplut guère. Au contraire, cela ne fit qu’attiser mon excitation. Je me relevai sauvagement et plaquai mes mains contre ses fesses. Le léger claquement engendré par le choc entre nos deux corps me fit vibrer de l’intérieur tandis que je pressai le bout de mon gland contre les parois de son vagin. Je le caressai habilement par quelques va-et-vient entre ses lèvres intimes avant de la pénétrer dans un râle puissant. Ayaka ne put se contenir ; un énième coup vint frapper la base de ses fesses qu’elle avait désormais rouges. Je me mis alors à lui faire l’amour sauvagement tandis qu’elle était suspendue dans les airs par les lianes de son propres Pokémon. Elle criait souvent, ce qui lui valait à chaque fois un nouveau coup bien placé. Mes oreilles se régalaient des sons qu’elles entendaient, celles de légers clapotis luxurieux. Je sentais mon scrotum frapper à la petite sonnette de sa porte secrète, et elle semblait le ressentir également. Je persévérais et maintenais constants mes mouvements de bassin pendant plusieurs minutes avant que je ne sentisse mon bas-ventre s’échauffer plus que de raison. Cette sensation s’empara bientôt de moi : j’accélérai subitement la vitesse et la brutalité de mes coups de boutoir. Ayaka n’en gémit que plus intensément. Puis vint la délivrance. Je sentis un plaisir incommensurable traverser ma verge gorgée de sang. Ce flot continu se déversa jusqu’à l’extrémité de mon urètre avant de m’échapper complètement. Ce flot se propagea jusque dans le vagin de ma dulcinée qui, sous cet ultime assaut, hurla tandis que je sentis une substance chaude et aqueuse m’éclabousser les cuisses. Un dernier coup de fouet retentit parmi notre concert coïtal. Je ne bougeais pas, j’attendais que la jouissance engendrée par notre expérience commune s’évaporât avec légèreté. Puis, lorsque je sentis que mon corps s’était calmé, je fis sortir mon sexe de celui de ma bien-aimée. Une légère coulée blanchâtre s’échappa de sa vulve avant de tomber sur l’herbe verte de la forêt. Je claquai deux fois des mains ; Florizarre reposa Ayaka au sol avant de ranger ses lianes autour de la fleur qu’il portait sur son dos.
— Tu as été génial, articula Ayaka en m’enlaçant.
Elle reposa sa tête sur mon épaule gauche. Sa poitrine nue était pressée contre mon torse. J’enroulais mes bras autour d’elle et déposai un baiser sur son front.

    J’étais parvenu à convaincre Ayaka de rattrapper le groupe de bêta-testeurs que j’avais laissé à Safrania. Ma petite-amie nous y emmena à dos de Roucarnage. Lorsque nous atterrîmes dans la ville dans laquelle la tour de la Sylphe SARL s’était écroulée sur diverses habitations, je pensais que j’avais bien fait de récupérer le Lokhlass donné par un PNJ avant que la tour ne s’écroulât, lors de notre dernière visite catastrophique. Nous nous dirigeâmes tous vers l’arène de la ville. Cinq bêta-testeurs s’y trouvaient, assis devant l’entrée. Sans doute le sixième se trouvait-il à l’intérieur, pensai-je. Cependant, lorsque je rejoignis le groupe, je compris, en voyant leurs airs graves, que ce n’était pas du tout le cas. Parmi les six bêta-testeurs que j’avais laissés derrière moi avant de retrouver Ayaka, il en manquait un. Sleepless avait échoué.
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