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PokémonVR

Chapitre 32

Le Maître de la Ligue Pokémon

Voyeur / Exhibition
Nous n’étions plus que trois bêta-testeurs encore en vie. Les trois seuls survivants parmi les 20 originaux. Mais tout ceci allait prendre fin. Ayaka, Loser et moi nous tenions devant la porte qui, après la mort de Phoebe et PapaRattata, s’était déverrouillée. Nous l’ouvrîmes. Elle grinça furieusement, comme si personne n’avait jamais été censé l’ouvrir. Comme si personne n’aurait dû survivre. Mais peu importaient les prévisions de Secoya. Il allait devoir payer les conséquences de tout ce dont il était responsable.
Un long couloir se présenta devant nous. Nous le parcourûmes en silence. Trop nerveux pour parler, trop excités pour courir, trop stressés pour nous réjouir. Bientôt, nous atteignîmes une nouvelle porte. C’était à se demander si Secoya ne fantasmait pas dessus. C’était la troisième fois en très peu de temps que nous en ouvrions. Encore une de plus, et je risquais de devenir fou. Néanmoins, je ne deviendrai pas fou. Derrière l’ultime porte que nous venions d’ouvrir se trouvait une salle éclairée par de nombreux projecteurs. La salle concernée, circulaire, était vide de toute chose. Seul son sol était décoré de traits de peinture blanche semblant délimiter les contours d’une arène. Mais ce qui retint le plus notre attention était la personne se trouvant au beau milieu de tous ces traits de peinture. Secoya. À sa vue, une forte envie de l’étrangler me vint, mais il valait mieux s’abstenir. Secoya avait très probablement installé de quoi se défendre en cas de souci.
— Alors c’est toi, le Maître ? interrogea Loser en brisant le silence s’étant imposé depuis bien trop longtemps.— Je ne serai pas si prétentieux, ricana Secoya.
Son rire ne me disait rien qui valût. C’était certain : il nous avait préparé un sale coup. Un coup de pute, comme diraient d’autres. Mais je pense que dans cette situation, cette dénomination était la bienvenue.
— Il faudrait aussi que le Maître puisse se défendre, ajouta Ayaka d’un ton mauvais.— Ce n’est pas très gentil, répondit Secoya en mimant d’être blessé. Ce n’est pas gentil du tout, mon cœur de vieil homme vient de se briser en deux.— Ton cœur de vieillard était déjà détruit quand tu as inventé le principe de la Tour Lavanville, attaque Loser. Tu nous as forcés à tuer une deuxième fois des amis proches. — Oh, ça, j’ai dû prendre l’idée dans un roman, il ne faut pas en tenir compte.
Je serrai les poings. « Ne pas l’étrangler », me répétais-je sans cesse. Sans doute Ayaka et Loser se faisaient les mêmes réflexions.
— Viens-en au fait, Secoya, intervins-je. Qui est notre ultime adversaire, si ce n’est pas toi ?— Tu n’as pas déjà deviné ? répondit-il, vraisemblablement surpris. Je croyais pourtant qu’Ayaka t’avait raconté le pourquoi de ce jeu.— C’était une aire de jeux destinée à Ayaka, ça je l’ai très bien compris. Mais je ne vois pas en quoi...
Une main serra la mienne. Celle d’Ayaka. Je la regardai après m’être arrêté net. Et ce fut en voyant son visage effondré que je compris l’ultime machination de Secoya. Notre dernier adversaire n’était pas notre rival, comme je l’avais deviné, mais notre amie. Ma petite-amie. Ayaka.Une intense douleur me saisit de l’intérieur. Me battre contre ma petite-amie. J’en étais purement incapable. Et quand bien même, qui pourrait la vaincre ? Certainement pas moi. Et d’après ce que j’avais pu voir, Loser non plus n’en était pas capable. Mais même si l’un de nous parvenait à l’emporter, qu’adviendrait-il d’Ayaka ?
— Je refuse, intervint Ayaka, me libérant de mes pensées.
Le sourire de Secoya s’effaça.
— Qu’est-ce que tu refuses, au juste ? l’interrogea-t-il d’un air mécontent.— Je refuse de me battre, tout simplement, répondit-elle en croisant les bras.— Et si je te disais que tu n’as pas le choix ?— C’est moi que vous voulez comme Maître, mais je ne veux pas me battre. De mon point de vue, c’est vous qui êtes coincés.
Un rictus mauvais s’afficha sur le visage du professeur. Je le sentais bouillonner de l’intérieur, mais il parlait avec la nièce de son employeur.
— Si tu ne te bats pas, ils ne pourront jamais rentrer chez eux.— Dans ce cas, j’abandonne, ajouta-t-elle d’un air lassé. Ils ont gagné. Tu peux nous faire sortir du jeu, le Maître est vaincu.
Le sourire mauvais de Secoya ne quitta pas son visage. Au contraire, je pouvais sentir qu’il perdait patience.
— Tu me prends pour un con, Ayaka ? Tu n’as pas idée de tout ce que j’ai eu à faire pour pouvoir te créer ce jeu ! Des heures de ma vie que j’ai perdues à reproduire le plus fidèlement possible l’univers du jeu, et à ajouter différentes options pour mieux coller à un univers virtuel ! J’ai passé des nuits et des jours à faire en sorte que tout fonctionne, y compris la fonction qui te permet de ressentir du plaisir dans le jeu ! Et celle-là, je sais que toi et RedCliff l’avez beaucoup utilisée ! Et après tout ça, tu te permets de te foutre de ma gueule !— À ce que je sache, je n’ai jamais commandé de génocide, à Noël. Ton jeu est l’une des pires expériences que j’ai connues, et il faudrait être complètement taré pour avoir imaginé le contraire. Oui, j’ai toujours voulu affronter des gens forts, mais pas au péril de leurs vies, ça n’a pas de sens !— Je le sais, tout ça ! s’emporta Secoya. Mais quand ton oncle, le grand patron, m’a demandé de créer ce jeu pour toi, je n’avais pas d’autre choix. Du moins, si je voulais garder mon job.— Tu n’as pas eu l’air si gêné de voir tant de joueurs mourir dans le jeu, répondit méchamment ma petite amie. En parlant de ça, les morts étaient drôlement réalistes, tu avais dû passer beaucoup de temps dessus. Et vu la diversité des épreuves que tu nous as fait passer, ne me fais pas croire que tu n’y es pour rien.— Je ne suis pas fou, juste perfectionniste, se défendit Secoya. J’ai passé beaucoup de temps sur chaque détail de ce jeu. Tu sais à quel point il est difficile de coder un vagin ? Tant de petits détails à peaufiner pour que le résultat soit au rendez-vous ! Tant de détails pour que madame la princesse puisse se divertir à fond dans ce monde créé sur mesure ! Tant de détails pour que monsieur puisse te baiser comme dans le monde réel !
Ayaka sentait que Secoya craquait. En le voyant ainsi, il était évident que ce type était fou. Et dire que nous avions sauté tête la première dans son piège.
— Et pourtant, tu as dû pas mal profiter de tes petits réglages, poursuivit-elle.— Qu’est-ce que tu veux dire ?— Tu as dû pas mal mater, de là où tu étais, rit à moitié Ayaka. Tu as dû en voir, de la chatte se faire défoncer par de bonnes bites virtuelles !
Je ne réagis pas, mais la phrase d’Ayaka semblait ne pas laisser indifférent Secoya. Ses yeux ne quittaient pas la jeune femme, comme si Secoya ne pouvait s’empêcher de l’imaginer nue.
— Tu as dû me voir si souvent à poil, dans tant de positions différentes. Ne me dis pas que tu ne t’es jamais soulagé devant ces images ?— Tu es la nièce de mon patron ! s’écria soudainement Secoya.— Et ça t’empêche de me trouver sexy ? Après tout, une chatte reste une chatte, peu importe à qui elle appartient. Et puis, je n’étais pas la seule femme, après tout. Destuky et MissMalice se sont pas mal amusés, eux aussi. Tu as dû te régaler. N’importe quel homme t’envierait, pour ça. Un porno vingt-quatre heures sur vingt-quatre, et que du réel.
J’avais beau réfléchir, je ne voyais pas où voulait en venir Ayaka. Pourquoi disait-elle tout cela ? Pourquoi cherchait-elle à exciter Secoya ?
— Tout ça ne m’intéresse pas ! rugit Secoya.— Tu en es sûr ? Parce que, vois-tu, tu as commis une petite erreur dans ton jeu.— Impossible, je l’ai relu tant de fois que je l’aurai forcément vu !— Et pourtant, il y en a une. Vois-tu, expliqua Ayaka, mon invincibilité vient d’une fonction que tu as sûrement codée au tout début, pour pouvoir plonger dans ton jeu sans y laisser ta peau. Seulement, tu n’as pas fait attention à un détail. Je pouvais savoir quand tu étais connecté pour veiller sur le jeu.— Tu bluffes ! rugit le professeur.— Pourtant, quand j’ouvrais mon menu, une petite diode verte s’allumait quand tu étais connecté. Ne prétends pas le contraire, il y avait écrit « Admin » à côté. Impossible de se tromper.— Peut-être, et alors ?— Et alors, je peux t’assurer qu’à chaque fois que Clifford m’a baisée, cette diode verte était allumée. Chaque fois.
Le visage de Secoya vira au rouge tomate. Le voir ainsi m’amusa, mais je ne voyais toujours pas où Ayaka souhaitait en venir.
— Ne rougis pas, ricana Ayaka. Je dois même t’avouer que c’est plutôt flatteur, de savoir que son corps peut exciter un homme.
Je vis les yeux d’Ayaka monter au ciel. Je suivis discrètement son regard, mais je ne vis rien de particulier au plafond, mis à part cette tonne de béton virtuelle.
— Il serait quand même dommage qu’après tout ce que tu m’as vu faire à travers un écran, tu ne me voies pas directement en pleine action.
La phrase d’Ayaka me prit au dépourvu. Que voulait-elle faire ? Avant même que je pusse lui poser la question, elle commença à se déshabiller. J’étais tellement perturbé par les événements que je ne pus qu’observer. Bientôt, Ayaka fut totalement nue. Ses seins, d’une petite taille que j’adorais, étaient désormais à l’air libre, à la vue de tous. Il en était de même pour son entrejambe, dont le pubis était soigneusement épilé.
— Tu aimes ce que tu vois, Secoya ? demanda Ayaka d’un air plein de fougue.
Le professeur ne dit rien, mais je sentais qu’il n’était clairement pas indifférent au charme de ma petite-amie. Je sentais également que sa main droite tremblait ; il se retenait d’ouvrir la braguette de son jean virtuel.
— Ne fais pas de manière, sors ta bite et branle-toi devant moi. À moins que tu n’aies besoin d’un petit spectacle pour t’y aider ?
Sans perdre de temps, elle se tourna face à moi avant de se mettre à genoux. Secoya la voyait de profil. Il semblait adorer. Quant à moi, j’ignorais jusqu’où elle voulait aller, mais je la laissai faire. Elle semblait savoir ce qu’elle faisait, je la connaissais assez pour savoir que ce spectacle ne serait pas gratuit. Bien au contraire. Avant même que je pusse achever ma réflexion, la main d’Ayaka eut raison de ma braguette et fit sortir mon membre désormais en pleine érection. À peine eus-je le temps de réaliser que sa langue dansait déjà sur ma peau. Je ne pus retenir un petit râle de plaisir. Je jetai tout de même un regard à Loser. Décontenancé, il refusait éperdument de regarder. Nouveau râle de plaisir : mon membre se trouvait désormais dans sa bouche. Elle entama alors une fellation exagérée, augmentant de manière plus que vulgaire le moindre geste et le moindre bruit de bouche qu’elle effectuait. La situation commença alors à devenir embarrassante.
Ayaka me regarda dans les yeux avant de me faire un clin d’œil. Je savais bien qu’elle avait un plan, je l’avais compris. J’espérais simplement qu’elle ne me suçait pas devant Secoya pour le simple plaisir de le voir perdre les pédales.
— Vas-y, salope, suce-moi cette bite ! s’écria Secoya.
Ayaka relâcha mon pénis.
— J’ai l’impression que tu es plutôt loin, tu ne dois pas voir grand-chose. Approche-toi, lui proposa-t-elle d’un ton digne d’une prostituée.
Secoya obéit. Il ne se trouvait plus qu’à un mètre de nous deux. Son membre en main, il le secouait de manière si brusque que j’en avais mal pour lui. Ce type me dégoûtait. Je n’aimais pas du tout les circonstances que cela prenait, mais j’aimais sentir cette langue prendre soin de moi. Comme si elle avait entendu le fond de ma pensée, la bouche d’Ayaka s’occupa derechef de moi. Elle fit jouer sa langue autour de ma peau et la caressait vigoureusement. J’en avais des frissons de plaisir malgré la situation embarrassante dans laquelle nous nous trouvions.
— Je suis sûr que tu as aussi envie de voir ça, ajouta Ayaka en écartant outrageusement les jambes.
Secoya avait désormais une vue dégagée sur ses parties intimes. Le professeur adorait ; ses mouvements de poignet se faisaient de plus en plus rapides. Je n’aimais pas le fait que ma petite-amie se donnât ainsi en spectacle, mais je fermai les yeux. Toutefois, je sentis que je commençais à monter. J’en informai aussitôt Ayaka qui relâcha mon pénis avant de le secouer vigoureusement de sa main droite. La semence arrivait, je la sentais monter. Puis j’explosai. Le visage et les seins d’Ayaka furent bien arrosés d’une substance blanchâtre dont l’odeur semblait exciter plus encore ma petite-amie. Elle lâcha finalement ma verge qui, petit à petit, perdait en vigueur jusqu’à reprendre une taille plus modeste.
— Prends-toi ça, petite salope !
Bientôt, Secoya s’approcha d’Ayaka avant qu’il n’éjaculât. La peau d’Ayaka fut alors parsemée d’une autre semence que la mienne, ce qui me donna envie de frapper le professeur. Mais je me retins. Ayaka savait certainement ce qu’elle faisait.
— Ça suffit ! gronda une voix venue du ciel.
Un large sourire apparut sur le visage de ma petite-amie. Je vis alors à cet instant qu’elle venait de gagner son duel contre Secoya.
— Bonjour, mon oncle, dit-elle fièrement.
Je me figeai sur place. L’oncle d’Ayaka nous observait. Mais comment avait-elle su ? Ce fut à ce moment que je me rappelai de la fameuse diode verte qu’Ayaka venait de mentionner. Elle savait que quelqu’un les observait, et que ce ne pouvait être Secoya puisqu’il se trouvait dans le jeu. Elle en avait déduit qu’il s’agissait de la seconde personne au courant de ce jeu mortel : son oncle.
— Qu’est-ce que c’était que ça, Mégane ?— Je suçais mon mec, ça te pose un problème ? répondit-elle avec un air de rébellion.— Et pour Secoya ? demanda l’oncle.— Alors lui, je te jure. Je voulais le remercier d’avoir si gentiment codé une fonction qui lui permettait de prendre son pied dans le monde virtuel, et il finit par me dégueulasser.
Secoya rougit en comprenant dans quel piège il venait de se fourrer. Si l’oncle d’Ayaka était capable de créer un jeu mortel et de sacrifier dix-neuf personnes uniquement dans le but d’amuser sa nièce, alors je n’osais pas imaginer ce qu’il pouvait faire à quelqu’un qui venait d’éjaculer sur le visage de sa nièce.
— Monsieur, c’est un malentendu ! se défendit le scientifique. Elle m’a invité à le faire.— Elle t’avait invité à regarder et à te toucher, pas à la recouvrir de ton foutre !
Secoya se tut. D’ailleurs, je n’osai pas parler non plus en espérant que l’oncle oublierait que j’avais également vidé ma semence sur le visage de sa nièce.
— Pour ta peine, tu vas prendre la place d’Ayaka ! tonna la voix.— Qu’est-ce que vous voulez dire ? — Tu joueras le rôle du Maître, expliqua l’oncle. Tu affronteras Loser, puis le petit-ami de ma nièce.
Je me tus. J’espérais qu’ainsi, il ne ferait pas de remarques sur ce qu’il venait de voir. Pour mon plus grand bonheur, il n’en fit aucune.
— Et si je perds ? demanda Secoya d’une petite voix brisée.— Je ne t’ai pas accordé l’immortalité, si tu vois ce que je veux dire, ricana allègrement la voix de l’oncle d’Ayaka.
Le visage de Secoya se déforma par la terreur. Cette vision me donna presque un second orgasme. L’arroseur arrosé. Cette ordure allait connaître les émotions par lesquelles on passe lorsque l’on joue sa vie sur un plateau.
— Je t’importe les six Pokémon que tu avais gardés en réserve. Je ne sais pas pourquoi tu as fait ça, mais je m’en moque. Tue-moi ces deux avortons, et je penserai à oublier ce que j’ai vu.— Et si l’un d’eux l’emporte ? intervint Ayaka.— Le jeu sera vaincu, et tous deux sortirez indemnes de ce logiciel.— Mais, monsieur ! se plaignit Secoya.
Aucune réponse. Secoya était désormais livré à lui-même. Pour la première fois depuis le début de ce jeu, il allait connaître ce sentiment de peur devant une mort potentielle.
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