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Poker slave

Chapitre 1

Mise en place

Avec plusieurs hommes
Mais qu’est-ce que je fous là moi, à cette table de poker, entouré de quatre mecs que je ne connais que depuis à peine quatre heures ? J’y ai joué adolescent c’est vrai, mais bon... je ne sais même plus si une quinte flush c’est mieux qu’un carré pour tout vous dire !
Bref, il est une heure du matin passée depuis un bon moment déjà et me voilà avec, en main, une paire de dames, deux valets et un huit de trèfle. Et pas la moindre idée de ce que je vais bien pouvoir en faire. Ça me semble pas mal deux paires quand même. J’essaie de ne rien laisser paraître sur mon visage, me contraignant à la plus parfaite des impassibilités. Ce qui est un exercice terriblement difficile à cet instant-là, tant je sais que je vais enfin pouvoir me refaire. Et éviter ainsi que Lou, ma Lou... Enfin, laissez-moi vous expliquer un peu comment j’en suis arrivé là.
Comme il savait que je ne roulais pas sur l’or, notre ami et complice Loïc m’avait parlé de parties de poker « à enjeux modérés » qui étaient organisées certains soirs à Paris, à domicile, par des amis russes. Il m’avait donné les coordonnées de l’un des types qui s’en occupaient. Un certain Dimitri. J’avais évidemment pris ça comme un signe. Un « compatriote » vous imaginez bien ! J’ai donc appelé ce type un après-midi, pendant que je poireautais - une fois de plus à une audience. Contact sympa. Il a aimé que mon prénom soit Piotr et nous avons rapidement évoqué ce pays que nous avions en commun. Rendez-vous fut donc pris un samedi soir à la maison. Avec lui et trois amis à lui, Russes également.
Pendant les deux semaines qui ont précédé ce soir-là, je n’ai eu de cesse d’apprendre les règles du poker, ses subtilités. J’ai regardé de nombreux tutos pour être bien sûr de connaître les ficelles et les pièges de ce jeu. Je t’avais demandé de te faire la plus sexy possible. Et je dois dire que lorsque tu es entrée dans la pièce en me demandant si « ça allait » pour cette soirée, la mâchoire m’en est tombée ! Tu portais une robe noire toute simple, près du corps en haut et évasée en bas. Plutôt courte. A l’évidence sans soutien-gorge, car la robe, comme une tenue du premier empire, épousait la forme de tes seins opulents à la perfection. Je n’osais cependant pas pousser le vice jusqu’à te demander de la soulever afin que je puisse admirer tes dessous (ou leur absence évidemment !). Tes talons étaient hauts. Je te répondis que tu étais par-fai-te et nous nous embrassâmes langoureusement, nos mains virevoltant librement sur nos corps.
20h00. Sonnerie à la porte. J’allais ouvrir et quatre types, à l’air manifestement slave, pénétraient dans notre intimité. Ils se présentèrent un à un : Dimitri (mon contact et semble-t-il ami de Loïc), Pavel, Sacha et Bogdan. Des quadras plutôt pas mal, assez grands et virils, à l’exception peut-être de Bogdan, qui était plus petit et plus rond, mais avait néanmoins sur le visage un sourire qui n’était pas sans charme. Puis tu étais sortie de la chambre, et j’ai alors vu leur regard à tous les quatre s’allumer. De cette petite lumière qui était née dans le mien lorsque je t’avais vue pour la toute première fois, prélude à notre amour. Ils te firent la bise sur les joues chacun à leur tour. Je dois dire qu’il se dégageait de ces quatre types une espèce d’animalité, de bestialité presque. Une aura de mâles.
Et en premier lieu de ce Dimitri, qui semblait être le mâle dominant de cette petite troupe : barbe de trois jours, sourire carnassier, regard pénétrant, muscles apparents sous sa chemise blanche, jean noir plutôt moulant et mocassins, noirs eux aussi.
Le seul qui, d’ailleurs, osa mettre la main sur ton épaule lorsqu’il te fit les deux bises. Je t’ai sentie immédiatement troublée par cet homme. Je l’étais aussi d’ailleurs. Cette assurance et cette virilité m’avaient immédiatement impressionné, comme cette façon de t’amener à lui avec sa main.
Nous avions tout bien préparé et tu es arrivée avec un plateau sur lequel étaient posées six coupes de champagne. Nous avions tous les cinq les regards vissés sur toi et ton aisance à te déplacer devant nous, féline et sensuelle, était extrêmement troublante. Moi qui te connaissais parfaitement, je sentais ta gêne légère d’être ainsi observée. Puis tu t’es assise avec nous, en face de moi et de Dimitri, entre Sacha et Bogdan. Ce dernier, à l’air rigolo, était totalement subjugué le pauvre ! Le croisement répété de tes jambes me permit de constater avec plaisir que tu avais opté pour des bas noirs. Comme Dimitri, à mes côtés, dut également s’en apercevoir, lui qui ne te quittait que rarement des yeux. Je voyais les tiens, d’ailleurs, se promener, appréciateurs, entre lui et moi. Une fois nos verres finis, j’allais vite ouvrir une seconde bouteille et nous resservis tous.
Tu commençais à être plus joyeuse, moins tendue, l’alcool pétillant commençant à produire les effets que j’en attendais.
Tu riais beaucoup, charmante jusqu’au bout de tes lèvres roses. Tu croisais et décroisais tes jambes gainées de plus en plus souvent, et riais de plus belle à chacune de nos blagues. Nous-mêmes étions plus libérés et j’aperçus même, à un moment, la main de Bogdan se poser sur ta cuisse. Rapidement. Pavel semblait le plus timide et ne t’observait qu’à la dérobée, du coin de l’œil.
Tu te levais alors pour mettre un peu de musique et ce sont cinq paires d’yeux qui te suivirent à chacun de tes pas chaloupés. Ces cinq paires d’yeux ne te quittèrent ni lorsque tu t’accroupis devant la chaîne stéréo ni lorsque tu t’affalas sur le canapé en riant, ta robe largement relevée sur tes cuisses. A partir de ce moment-là, nous sûmes tous les cinq que tu portais des bas. Même si tu la remis en place assez vite.
Il devait être 21h lorsque Dimitri annonça qu’il fallait désormais passer aux choses sérieuses. En disant cela, il t’adressa un sourire que je qualifierai d’ironique et coquin. « Vous jouez aussi, Lou ? » demanda-t-il.
Tu lui répondis en t’esclaffant, la tête rejetée en arrière, que tu allais juste me soutenir dans cette partie.
Il sourit à son tour et dit « c’est bien, c’est bien ».
Nous nous installâmes tous les cinq autour de la grande table ronde du salon, dans l’ordre suivant : Dimitri, Bogdan, Sacha, Pavel et moi. J’étais donc assis juste à côté de Dimitri, ce qui ajoutait à mon trouble.
Tu étais debout derrière moi.Dimitri dit, en t’effleurant la hanche : « vous n’en profitez pas pour regarder mon jeu, n’est-ce pas Lou ? », ce qui te fit beaucoup rire à nouveau. Je sentis également ton trouble, à nouveau. Et tes frissons, que j’aperçus sur tes avant-bras nus.
Il fixa les règles de la partie : mise de 1000 €uros, sans possibilité de dépenser plus, Texas Hold’em. Ouf, j’avais révisé ce poker moderne !Je venais de recevoir d’un client cette somme exacte quelques jours auparavant, ça tombait bien.Et la partie commença, longue, stressante, pénible. Tu étais debout derrière moi, me massant parfois la nuque et les épaules. Je voyais bien, moi, ta cuisse se frotter contre le bras de Dimitri, tant l’espace était réduit. Il restait cependant imperturbable, professionnel.
Je gagnais un peu au début, de temps en temps, suivant scrupuleusement les règles et trucs que j’avais appris sur internet (notamment sur les tutos de Patrick Bruel !).Mais je perdais, surtout.Au bout de deux heures et demie, il ne restait plus que 150 €uros devant moi.Les types jouaient tous très bien il faut dire, manifestement habitués à ces parties.Bogdan était celui qui jouait le mieux et gagnait le plus. Avec son air bonhomme et rond, il était impossible de lire quoi que ce soit sur son visage.Dimitri gagnait pas mal également. Imperturbable lui aussi. Excepté à chacun de tes effleurements. Car oui, je voyais ta main se poser parfois sur son épaule, négligemment.
Vers minuit, tu dis brusquement : « bon moi je commence à fatiguer à rester debout comme ça. Je vais dans la chambre ».A l’oreille, tu me glissas, de façon à ne pas être entendue des autres « je t’attends dans la chambre mon cœur. Essaie de te refaire, mais si tu perds tes derniers 150 €uros, arrête je t’en prie ».Puis tu fis le tour de la table pour embrasser tous les joueurs, manifestement troublés. Tu t’attardas un peu plus longtemps sur les joues de Dimitri et nous tournas le dos pour rejoindre la chambre, juste à côté. Nous t’observâmes tous les cinq marcher avec grâce, dressée sur tes talons hauts.Je perdis vite les 150 €uros qui me restaient et la place devant moi se trouva bien vide.Et voilà comme je me retrouve avec une bonne main et ces deux dames et ces deux valets. L’occasion unique pour moi de me refaire enfin et de récupérer un peu d’argent.Il n’était même pas envisageable qu’avec deux paires je renonce !
Au moment où j’allais relancer, Dimitri intervient.
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