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Poker slave

Chapitre 2

Partie perdue !

Avec plusieurs hommes
— Tu n’as plus de mise Piotr, tu ne peux pas relancer— Ce n’est rien, je mets 500 €uros pour voir— Nous avions fixé les règles au départ mon ami. 1000 €uros et pas un centime de plus— Allez les gars, s’il vous plait— On peut lui laisser une chance non ? (Bogdan) - Impossible (Dimitri) - Allez quoi !!! Soyez cools les gars— Bon, c’est bien parce que nous sommes compatriotes … (Dimitri) - Oh merci attendez je vais chercher les 500 €uros— Ah non non, pas d’argent Piotr (Dimitri) - Mais … comment alors ? - Ta femme. Tu joues ta femme— Tu plaisantes Dimitri ou quoi ? Lou n’est pas à vendre voyons ! - Qui te parle de l’acheter. Si tu perds cette partie, tu nous laisses ta femme pour le reste de la nuit— … - Alors ? - C’est d’accord, mais à une condition. J’y assiste— Aucune condition, ce sera moi qui décide— Bon … jouons !
 Je note le regard concupiscent des trois autres, et celui, sûr de lui de Dimitri qui venait d’obtenir une première victoire. Et je joue. Un tour se passe, puis deux … Et Pavel mise pour voir. C’est le moment de vérité. C’est le temps pour chacun de retourner et d’étaler ses cartes.

 Pavel : une paire de dix Sacha : un jeu sans points Bogdan : une paire de neuf et une paire Moi : une paire de dames et une paire de valets Toujours gagnant … Et Dimitri abat son jeu, carte après carte … Un roi, un neuf, un sept, un autre roi (non non pas un troisième roi pleaaaaase !!!) et … un troisième roi ! Un brelan bordel !!!! Qu’il étale avec un plaisir même plus dissimulé.
 Tout s’effondre en moi … J’ai encore perdu. Et je commence à mesurer les conséquences. Je joue alors mon va-tout.
 - C’était pour rire hein Dimitri … On ne peut pas jouer des personnes … surtout quand elles ne sont pas au courant. Je vais chercher les 500 €uros et je te les donne— C’est hors de question Piotr. Une parole est une parole. Surtout au poker— Mais enfin comment veux-tu que je lui annonce ça ??? Et puis elle n’a pas consenti … - Ça, Piotr, c’est TON problème. Dette de jeu, dette d’honneur. N’as-tu aucun respect de la parole donnée ? - Si bien sûr, mais … Lou … Et puis c’est toi qui as gagné, pas tes amis ! Pourquoi en profiteraient-ils, eux, après tout ? - Parce que tu t’y es engagé, c’est aussi simple que ça
 Je ne trouve rien à répondre à ça. Moi qui ai toujours un mot à la bouche, là je reste sans voix. J’observe le regard égrillard des trois autres, plein d’envies.
 - Bon … je vais voir ce que je peux faire …
 Et je te rejoins dans la chambre.
 - Ça y est mon chéri ? Elle est finie votre partie ? - Oui— Oh toi tu as tout perdu … Ta mine … Viens là— C’est pire que ça mon cœur— Pire que d’avoir perdu tes 1000 €uros, me demandes-tu en riant ? Non là je ne vois pas. Allez viens, nous allons saluer nos amis et ensuite … ensuite je serai toute à toi ; cette soirée et leur regard m’ont émoustillée— euh … - mais quoi mon cœur ? Parle, voyons ! - C’est difficile … - Tu m’as toujours parlé sans détour. Vas-y mon amour— Voilà … comme je n’avais plus d’argent … ben … - Ben quoi ??? - Je t’ai jouée ! Voilà ! - Pardon ?? Tu m’as « jouée » ? Mais je n’ai pas donné mon accord moi ! Je ne t’appartiens pas, ni encore moins à ces quatre types … Et puis quoi, ils m’emmènent ce soir et me prostituent ? - Mais nooon voyons … c’est seulement pour cette nuit. Ici— Ben voyons ! « seulement » ! Eh oh je ne suis pas une pute moi ! - S’il-te-plait mon cœur … Tu sais Dimitri est plus ou moins trafiquant … Je n’ai aucune idée de ce qu’il pourrait me faire si je n’honorais pas ma dette … - Il fallait peut-être y penser AVANT à ça mon cœur … Pfff … - Je suis désolé, vraiment— Tu peux hein … (sourire) Bon, attends je vais aller les voir et les faire changer d’avis. J’ai une idée— Oh la la … Reste polie quand même
 Et là tu me fais ta moue préférée, bouche relevée d’un côté. Et un petit clin d’œil. Je choisis de rester dans la chambre, porte ouverte, afin d’écouter ce qu’il s’y passe. (exclamations satisfaites. Un sifflement aussi)
 - Oui bon, ne vous emballez pas messieurs. Mon chéri ne pouvait pas me jouer, donc je n’accepte pas son marché et je ne serai pas à vous cette nuit— Ah ah Lou, ça ne fonctionne pas comme ça (Dimitri). Dette de jeu … - … dette d’honneur oui je connais la chanson. Mais non. Impossible. Je choisis toujours mes amants— Et bien c’est ce que nous verrons. Je n’ai pas l’habitude de plaisanter avec l’honneur Lou, et ton homme nous a donné sa parole. Le reste est un problème entre vous (tiens, il te tutoie à présent) - Bon, je vois … alors je vous propose quelque chose, puisque vous êtes joueurs— Dis toujours, chère Lou— Voilà. Je sais jouer aussi un peu au poker. Nous faisons un strip poker, selon les mêmes règles que tout à l’heure. Si je gagne, la dette de Piotr est annulée. Si je perds et que vous parvenez à me mettre nue, alors j’honorerai sa dette. Et je vous en donne ma parole
 (silence, qui se prolonge, conciliabules entre eux, et puis la voix ferme de Dimitri)
 - C’est d’accord. Mais pas d’entourloupe— Allons-y alors ! Et celui qui perd choisit le vêtement ou le sous-vêtement qu’il enlève on est bien d’accord ? - Oui, kanietchna— Ah oui ! Aussi : si l’en seul d’entre vous perd avant moi, je considère que j’ai gagné— Evidemment, Lou, cela va de soi. Chacun pour soi
 J’entends alors des bruits de cartes que l’on bat, distribue, pose sur la table ronde.  J’entends quelques « merde » en russe, de certains d’entre eux. J’entends aussi les tiens, en français, de temps en temps, et les rires de Dimitri qui suivent. J’entends des bruits de tissu qui se froissent. J’entends, aussi, des bruits de verre que l’on sert, et de bouteilles heurtant leur bord. N’en pouvant plus, je jette alors un œil dans le salon. Dimitri est torse nu. C’est un bel homme, bien foutu, assez poilu. Très viril. Il a encore son pantalon sur les jambes mais n’a plus ni chaussures ni chaussettes.  Bogdan n’a plus de pantalon, lui, et c’est en boxer que je l’aperçois. Pavel et Sacha n’ont apparemment rien enlevé. Mais c’est en te voyant que je jubile. Tu portes toujours ta robe et te tiens assise entre Dimitri et Bogdan. Tes chaussures sont posées pas loin. J’observe le tour suivant. C’est vrai que tu es désavantagée car non seulement ils portent plus de vêtements que toi, mais en plus ils sont quatre.  
 Tu cries un « merde » vigoureux en te « couchant », probablement parce que ta main est mauvaise. Alors je te vois avec ravissement te lever sous le regard brûlant des quatre comparses et passer ta robe par-dessus ta tête. Tes seins jaillissent et, après être remontés du fait du mouvement ascendant de la robe, retombent délicieusement sur ton torse. Fermes et ronds. Je vois également – comble du bonheur, que tu ne portes plus ta culotte. En as-tu d’ailleurs porté pendant toute cette soirée ? Je trouve bien vite la réponse à cette question muette en apercevant, également à tes pieds, ta jolie culotte noire (que j’aime tant) roulée en boule. Tu avais évidemment, sachant tes seins nus, choisi d’ôter celle-ci avant d’ôter ta robe ! Maligne ma coquine. Tu te rassois entre eux, nue à l’exception de tes bas. Je te vois gigoter, sans savoir si cela est dû à la gêne ou à l’excitation. Peut-être à cause des deux.
 - Voilà, tu as perdu Lou ! Tu es nue à présent— Ah non ! Je proteste ! réponds-tu en riant fort. Les bas comptent, et comme ils sont deux, ils comptent pour deux— Très bien, très bien … continuons la partie alors
 Et la partie continue, sous mon regard discret et excité. Les t-shirts de Pavel et de Sacha suivent bientôt le chemin de la défaite, au sol. Comme leur pantalon. Puis c’est au tour du pantalon de Dimitri, qui perd avec classe et sans jamais se départir de son sourire coquin. Il est à présent en boxer et je peux admirer nonchalamment sa musculature parfaite, ciselée. Tu perds un bas en rouspétant très fort, et le mouvement que tu fais pour l’ôter de ta jambe est délicieux. Oh comme tu résistes bien à tous ces mecs ! Tu te bats, tu bluffes, tu abats tes cartes, tu feintes, tu coupes, tu bats et tu rebats. Les gars deviennent un peu nerveux car Pavel n’a plus que ses chaussettes. Il en perd une la partie suivante. Cette partie-là sera cruciale. Si Pavel perd, ma dette est honorée et ils n’auront plus qu’à rentrer chez eux, la queue derrière l’oreille. Si c’est toi, en revanche, tu seras à eux. Cette partie s’éternise, personne ne veut lâcher. Ni Pavel, ni toi bien sûr. Les enchères montent vite, les tours se succèdent. Et Sacha finit par enchérir « pour voir » (j’apprécie le jargon du poker, qui colle si bien à la situation). C’est le moment décisif. Je n’ose pas regarder, alors je reviens dans la chambre, les oreilles grandes ouvertes. Et j’entends un « noooooooooooooooooooon » retentissant. Le tien. Tu as perdu. Vont-ils aller jusqu’au bout ou n’était-ce qu’un jeu de plus pour eux ? C’est le silence dans le salon. Total. A l’exception de quelques rires étouffés et quelques froissements. A l’exception également d’un « une parole est une parole … c’est pour Piotr que j’accepte » sortant de ta bouche avec résignation. Puis quelques bruits attirent mon attention plus que les précédents. Des bruits mouillés, et de très légers gémissements qui semblent provenir de toi. Je sors ma tête. Le plus discrètement possible. Fébrile.
 Et là … LA vision.
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