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Poker slave

Chapitre 3

Avec plusieurs hommes
Les hommes t’ont assise sur la table et le tapis de jeu de couleur verte. Tes fesses sont posées à même les cartes à jouer. Tes jambes sont écartées et se balancent dans le vide. Entre tes cuisses, accroupi, il y a Bogdan. Nu. Son visage y est enfoui et je devine ce qu’il te fait aux mouvements saccadés de son crâne. Tes mains sont posées doucement sur ses cheveux. Tu es allongée de tout ton long. Bogdan, le rondouillard, semble bien s’y prendre car tes gémissements bientôt s’accentuent.Dimitri est près de ton visage et le caresse avec tendresse. Pavel et Sacha sont de chaque côté de ton corps superbe. Nus et en érection.Ils vous observent tous les trois, et je vous observe tous les cinq.Cette scène est la plus torride que j’aie jamais vue.Dimitri, brusquement, se penche vers toi, prend tes joues dans ses mains et approche ses lèvres des tiennes, vos visages inversés. Et un long baiser commence entre vous, langoureux, profond, humide.
Tes mains quittent les cheveux de Bogdan et se posent sur les joues de celui qui t’embrasse.Tu les lui caresses tendrement, consciencieusement.Et votre baiser se prolonge. Ses mains à lui passent de tes joues à tes cheveux, puis de tes cheveux à tes épaules, puis de tes épaules à ta gorge, puis de ta gorge à tes seins, quand ses deux amis lui en laissent la possibilité. Tu es caressée partout par ces huit mains d’homme.Je bande comme un taureau et, d’après ce que j’ai pu apercevoir dans cette semi-pénombre, Dimitri bande lui aussi également très fort.De temps à autre, il te laisse reprendre ton souffle.Je n’en peux plus. Je n’ai certes pas été invité mais je veux voir. Mieux. Alors je prends le risque et m’aventure un peu plus loin dans le salon.
Dimitri me voit du coin de l’œil et cesse son baiser pour me regarder droit dans les yeux. Alors tu relèves la tête à ton tour, te demandant ce qui a fait cesser son baiser. Et tu me vois.Je me demande ce que Dimitri va décider. Va-t-il m’autoriser à rester dans la pièce, près de vous, ou bien va-t-il me demander de sortir de la pièce immédiatement ?Il chuchote à ton oreille, tu me regardes à nouveau, puis lui réponds tout aussi silencieusement, avec un large sourire.Dimitri ne dit rien et reprend son baiser. J’en déduis que ma présence n’est pas inopportune ! Ouf !Tu te trémousses de plus en plus sur cette table, tentant de resserrer tes jambes solidement maintenues par Bogdan.Je détaille leur queue à tous pendant ce moment suspendu.
Celle de Bogdan, comme on pouvait s’y attendre, est assez trapue et épaisse. Pas très longue et assez poilue.Celles de Pavel et de Sacha sont plus fines mais plus longues, légèrement poilues, assez semblables finalement. Petit détail : Sacha a de gros testicules. Vraiment gros.Mais la cerise sur le gâteau, c’est le sexe de Dimitri. Sa queue est à la fois longue et épaisse. Facilement quatre ou cinq centimètres de plus que la mienne. Il a un gland superbe. Et sa tige est veinée. C’est la queue d’un mâle alpha, sûr de sa sexualité et du pouvoir de sa queue sur les femmes. Tu ne l’as pas encore vue, mais je sais déjà que tu l’aimeras et que tu aimeras l’avoir en toi.Bogdan te relève les jambes et commence à te dévorer l’entrecuisse. Sacha et Pavel te maintiennent appuyée contre la table tandis que Dimitri s’enhardit dans ses baisers. Les bruits mouillés sont les seuls, avec tes gémissements, que l’on entend dans la pièce surchauffée.Alors moi :

— Vous serez mieux dans notre chambre les amis
Silence. Tout le monde se fige.Puis une petite voix brise ce silence.
— Mais mon chéri … c’est notre lit …— Il a raison, on sera mieux là-bas
Dimitri, évidemment. Leur « chef ».Alors Bogdan relâche tes cuisses, semble-t-il à regret, et te laisse te redresser.Ton regard se pose sur la queue de Dimitri. J’y lis le vice, l’appréciation, l’envie et la luxure. Comme j’aime ce regard de femelle jaugeant le sexe du mâle. Tu t’arranges d’ailleurs pour l’effleurer légèrement, du bout des doigts. Connaisseuse. Puis tu te lèves. Dimitri s’approche tout près de toi, te saisit par les hanches et te soulève comme on porterait une mariée pour qu’elle franchisse le seuil de sa nouvelle demeure. Tu t’abandonnes dans ses bras et dit : 
— Puisque c’est à cause de lui que j’en suis là, j’exige que mon chéri reste à la porte— A tes ordres, Lou (Dimitri, toujours !!)— Mais il peut laisser la porte ouverte, ça je veux bien. Ça sera ta punition mon chéri (me dit-elle avec un sourire plein d’amour, d’innocence et de promesses).
Et voilà notre Dimitri, nu, la queue triomphale touchant probablement ton dos, qui te transporte dans notre chambre. Les trois autres sont sous sa domination, c’est flagrant, car ils attendent qu’il soit entré avec toi pour entrer à leur tour dans la chambre. Puis Dimitri te jette sur le lit conjugal. Tu te retrouves sur le dos, les jambes écartées et les cheveux défaits. Il n’attend pas et te tend les mains. Les ayant attrapées dans les siennes, il te redresse jusqu’à ce que tu te retrouves assise au bord du lit. Il se place devant toi et patiente. Il n’a pas à patienter bien longtemps, car tu ne tardes pas à avancer ta bouche vers son membre fièrement dressé. Tu titilles son gland de la pointe de ta langue, faisant le tour comme tu sais si bien le faire, insinuant cette pointe dans son méat. Puis tu le lèches le long de la tige, de haut en bas puis de bas en haut, tout en malaxant ses testicules gonflés. Dimitri semble apprécier le traitement et tient ta tête avec fermeté pendant que ta bouche s’active et l’avale le plus loin possible.Pavel et Sacha (j’apprendrai plus tard qu’ils sont frères) se placent sur les côtés et reprennent leur massage de seins. Chacun le sien. Bogdan, lui, reste un peu en retrait pas très loin de moi. Son gland est violacé tant l’envie se fait sentir. Il t’observe lécher son ami – et peut-être boss. Tu passes tes mains sur les fesses de Dimitri. Comme elles sont belles et fermes ! Je vois ses muscles jouer tandis qu’il donne des petits coups de boutoir entre tes lèvres. Tu les lui agrippes avec passion, et les griffes aussi. Ce qui n’a pas l’air d’être considéré par lui comme une atteinte à son autorité (ouf). 
Ses coups de bassin sont de plus en plus puissants. Il utilise ta bouche comme j’aime le faire parfois. Il la baise sans pitié. Ses amis sont subjugués, tout comme je le suis. Personne n’ose faire un geste qui viendrait briser la magie de ces instants. Il accélère la cadence. Et accélère encore. Vigoureusement. Tout à coup, je le sens se crisper. Puis il arrête ses mouvements en tenant fermement ta tête. Il pousse un cri. Unique. Tu ne bouges plus. Je l’imagine se déverser dans ta bouche en des flots saccadés. Tu ne fais rien pour te retirer et le bois en longues goulées gourmandes. Je vois les mouvements de ta gorge. Tu avales sa semence sans protester. Et même avec plaisir si j’en juge par ton regard, dirigé droit vers le sien. Ta poitrine se soulève. Puis Dimitri se recule et j’aperçois du sperme à la commissure de tes jolies lèvres. Tu souris et y passes ta langue, ne souhaitant pas en perdre une goutte. Oh comme tu prends tout cela à cœur. Pour moi ! Enfin ... pour moi ...Ma queue est plus dure que jamais tandis que tu caresses la sienne du bout de tes doigts, de tes ongles peints. Il y a énormément de tendresse dans ce geste d’après jouissance.• À votre tour, друзья моиAlors, dans un bel ensemble, les trois hommes viennent se positionner devant notre lit, la queue bandée. Tu t’agenouilles sur celui-ci et commences à sucer celle de Sacha, qui se trouve le plus à ta gauche. Est-ce que ce sont ses gros testicules qui ont guidé ton choix ? Comment en être sûr ? Je le devine toutefois. Tu le suces à merveille. Sacha a fermé les yeux et Dimitri t’observe, dominateur et appréciateur. Il n’a pas débandé et sa verge se dresse crânement, touchant presque son nombril. Puis tu passes d’une queue à l’autre, infatigable et consciencieuse. Pavel, puis Bogdan. Sa queue à lui, épaisse, déforme tes joues. Puis tu reprends celle de Sacha, à pleine bouche, à pleines lèvres. Et ainsi de suite jusqu’à ce que l’un d’entre eux manifeste son intention de jouir.
Enfin, c’est ce que nous comprenons tous car ses mots sont russes. D’un geste, tu les resserres tous les trois et fais jouer le bout de ta langue sur chaque queue pendant qu’ils se masturbent avec force. Leurs trois sexes se touchent presque à l’orée de ta bouche avide.• Jouissez sur moi messieursJ’ouvre des yeux ébahis et fiers.Puis, quasiment dans le même mouvement, excités par ta langue et ta bouche grande ouverte, ils giclent dans des flots ininterrompus. Du sperme gicle dans ta gorge, sur tes joues et ton nez, sur ton front, sur tes seins et ton ventre. Ils poussent des gémissements ressemblant à des cris. Tous les trois. Ta langue parcourt tes lèvres pour récupérer le plus de semence possible. Tes yeux rient. Tu touches leurs cuisses, et leurs couilles. Dimitri passe son doigt sur tes joues, y prend un peu de sperme et le glisse dans ta bouche. Tu lui suces le doigt d’un air vicieux. Cette vision est presque aussi excitante que d’y voir des sexes. Dimitri est toujours dur.Quant à moi, mon érection est presque douloureuse. Je décide alors de sortir mon sexe de son habitacle étroit. Et de le tenir à pleine main, bien serré. Je le caresse doucement.L’odeur dans notre chambre est capiteuse, troublante.
 Sacha et Pavel ont débandé et je vois leur sexe retomber doucement entre leurs cuisses. Repus. Bogdan, lui, bande encore. Tu t’allonges sur le lit, me regardant avec infiniment d’amour. Tu me souris. Oh comme je t’aime ! Et comme j’aime cette façon que tu as de répondre à mes fantasmes en accomplissant les tiens. Mais nos russes n’en ont pas fini avec toi. Quelle aubaine pour eux. Tout le monde s’assoit sur le lit. Sauf moi qui reste debout à observer la scène, en coulisses en quelque sorte. Et Dimitri qui, d’autorité, s’allonge à tes côtés et fait aller ses mains partout sur ton corps alangui. Lesquelles mains s’attardent particulièrement sur tes seins pleins et ton ventre. Puis descendent jusqu’à ta fourche. Je vois un de ses doigts s’insinuer en toi. Puis deux. Aux tremblements de ton corps, aux vibrations qui te secouent, je sais que ton désir arrive. Fort. Impétueux. Sauvage. Tu poses ta main sur la sienne et l’encourage par tes mots à introduire davantage de doigts. Et ce sont bientôt trois, puis quatre doigts qui te fouillent. Je me souviens alors de Loïc et de sa divine technique si experte pour te faire hurler. Le mouvement de ses doigts s’accélère. Tu essaies de te dégager mais ses comparses, s’étant approchés de votre couple, te maintiennent solidement en place. Alors tu te tends comme un arc électrique, soulèves tes fesses. Mais Dimitri continue sa pénétration.
Sa queue est si belle à quelques centimètres de ta peau. Il enfonce maintenant ses doigts en toi à une vitesse effrénée. Tu gémis, tu cries, tu suffoques, tu sues. J’imagine les doigts trempés de cet homme au plus profond de toi. Et je bande plus fort encore. Les sexes des deux frères ont repris une nouvelle vigueur de te voir ainsi ouverte, offerte, soumise. Le mien n’a rien perdu de la sienne.N’en pouvant plus, tu chuchotes, croyant que Dimitri est le seul à t’entendre :• Baise-moi maintenant Dimitri. Je te veux en moiAlors les hommes te lâchent. Dimitri se couche sur toi, et, en homme expérimenté, te pénètre d’un coup sans s’aider de ses mains ou des tiennes. Il faut dire que la raideur triomphante de sa verge ne le dessert pas. Tu pousses une sorte de hoquet en le sentant toucher le fond aussi brusquement. Sa tige épaisse te possède avec brutalité. J’entends ces bruits excitants et humides à chacun de ses coups de queue. Tes mains attrapent ses hanches, son cul, et attirent ce mâle plus profondément en toi. Je devine tes sensations : l’envahissement de ta grotte en feu, la soumission au mâle dominant, son poids sur ton corps moelleux, la provocation de ton homme, juste à côté. Je sais que tu me punis, aussi. Tu me punis de t’avoir jouée aux cartes. Et ce faisant, tu joues ton rôle à la perfection en t’offrant à tous ces hommes dans notre chambre, dans notre lit d’amour.
Mais pour le moment, c’est Dimitri qui te baise. Et qui te baise très bien. Je connais tes réactions par cœur et je sais, je vois que tu aimes. J’observe avec délectation, la queue à la main, ses fesses musclées monter et descendre entre tes jambes fébriles. Tes talons viennent s’appuyer sur ses reins, ouvrant ainsi ton compas, et donc ta chatte brûlante, à sa pénétration profonde. Alors il attrape tes cuisses avec fermeté, te soulève tout en se levant et continue à te prendre ainsi. Il est ton mâle ce soir, ton maître. L’homme de toutes tes vibrations. Il est flamboyant, possessif, et tu es prise sans ménagement.Dimitri pilonne ton sexe devant un auditoire qui se masturbe sans gêne. Je lis l’admiration dans le regard de ces hommes. Et ils liraient certainement la même dans le mien. Comme c’est bon de te voir possédée, pénétrée, prise, baisée, sautée, par cet homme qui ne se pose aucune question, qui veut simplement jouir de toi et te faire jouir. Je m’approche un peu et constate à quel point sa queue est belle, épaisse et veinée. Il semble qu’à chaque coup de rein il s’enfonce plus profondément dans tes chairs, et qu’à chacun de ces coups de rein tu gémisses plus fort encore. Tu es à lui. Tu griffes ses cuisses, ou les attrapes à pleines mains. A son accélération brutale, je devine qu’il n’est pas loin de jouir. A tes cris, je comprends que tu ne vas pas tarder toi-même à jouir. Tu hurles « coït » tandis que Dimitri, dans un cri de rage, explose en toi. Tu cries son prénom plusieurs fois de suite en le ramenant à toi et en le contraignant à s’effondrer sur ton corps. Il reste quelques minutes enfoncé dans ton sexe certainement hypersensible.
Vous vous embrassez avec feu. Tu le caresses partout pendant ce long baiser humide et bruyant. Tes yeux sont cernés du plaisir que tu as pris. Il te caresse aussi, avec douceur. Tu as fait jouir l’homme et il t’en est reconnaissant.Puis il sort de ton corps et s’affale à tes côtés, sur le dos. Et là tu fais une chose que je trouve très excitante. Tu diriges ta bouche vers son sexe à demi bandé et le prends délicatement entre tes lèvres pécheresses. Puis, de ta langue, tu le nettoies de vos sécrétions, te tournes vers moi et me dis :• Viens m’embrasser mon chéri. Viens goûter mes lèvresÉvidemment je n’hésite pas une seule seconde et m’approche de toi, sous le regard goguenard de nos amis et celui, vantard, de Dimitri. C’est comme si, à cet instant-là, c’était lui qui m’autorisait cette privauté ! Nous nous embrassons et je sens dans ta bouche un goût légèrement épicé. Pas mauvais du tout. Mais Dimitri ne compte pas me laisser profiter trop longtemps de la situation et, comme il l’avait fait auparavant, indique à ses hommes que leur tour est venu. Alors, légèrement penaud, je me retire, non sans avoir passé rapidement ma main sur tes seins meurtris et sur ton sexe souillé. Puis je retourne à la porte de la chambre, mon lieu d’observation de ce soir.
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