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Police !

Chapitre 1

Hétéro
Dans ma jeunesse, je fréquentais une fille, Chantal, qui souvent se déplaçait sur de longue période.
Un soir, je reçois un appel au domicile de mes parents (le téléphone portable n’existait pas encore), c’était Chantal qui revenait d’un déplacement, et qui désirait me voir.
Nous nous sommes donné rendez-vous au bas de mon immeuble (j’habitais dans une citée, et je n’avais pas de voiture)
Elle arrive au volant de la voiture de son père. Comme il faisait froid, et que nous habitions tous les deux chez nos parents, la voiture était notre seule solution pour nos ébats en hiver. Nous voila donc partis pour une balade en amoureux.
Connaissant un parking à l’écart dans notre petite ville, je lui ai dit de s’y rendre. Une fois arrivé, nous nous arrêtons à un endroit à l’écart, non éclairé, et commençons à nous rouler des pelles.
Je mets son siège conducteur en position « couchette » et commence à la peloter. Je glisse d’abord ma main sous son pull et dégrafe son soutif afin de pouvoir caresser ses petits seins, dont les bouts étaient dressés d’excitation.
De son côté, elle passe ses mains sous mon pull afin de me caresser. Je glisse ensuite ma main sous la ceinture de son jean. Elle déboutonne celui-ci afin que je sois plus à l’aise. Ma bite étant à l’étroit dans le mien, je le déboutonne aussi.
Immédiatement, elle glisse sa main dans mon caleçon et commence à me branler. De mon côté, je lui caresse le minou. Mais bon, dans la voiture, ce n’était pas très facile.
Au bout de quelques minutes, je lui demande de me tailler une pipe. Toujours volontaire pour ça, elle ne se fait pas prier. Pour être plus à l’aise, je descends mon jean à mi cuisse et elle se met à genoux sur le siège conducteur, elle peut ainsi gober plus profondément ma queue.
Elle commence à me sucer de façon très studieuse. Vu sa position, je n’ai plus accès à son sexe, aussi, je décide alors de glisser ma main dans son jean, par derrière, c’est-à-dire en glissant ma main contre ses fesses.
Avec mes doigts, je fais des reptations afin d’atteindre le saint graal, son sexe. Je descend petit à petit, et trouve sur mon chemin son œillet. Je pousse un doigt inquisiteur dans son petit trou. Je sais que ma copine n’aime pas ça, ses grondements (façon, non pas ça, la bouche pleine) me le confirme. Toutefois, je décide de passer outre son avis, et pousse un peu plus. Je sens sa rondelle céder sous la pression de mon doigt. Ca y est, une phalange entre. Génial !
Soudain, des coups à la vitre, une lumière aveuglante et une grosse voix qui dit "Police, veuillez ouvrir la vitre".
Merde, les flics, Avec la buée sur les vitres, nous ne les avons pas vu venir. Sous la surprise, ma copine lâche ma bite tout en poussant un cri. Je dit, "oui, 2 secondes" et essaie de remonter mon jean pour cacher mon érection, pendant que ma copine se rhabille. Pas facile. Au bout de longues secondes, nous sommes à peu près présentables, j’actionne alors la manivelle de la vitre pour descendre celle-ci.
Le flic se fait un malin plaisir de nous éblouir de sa torche et nous dit, sur le ton de l"autorité "allez les jeunes, allez faire ça ailleurs, c’est dangereux ici. Bonne soirée". Nous balbutions quelques mots "oui, excusez-nous, d’accords, on s’en va...". Je ferme la vitre, ma copine démarre la voiture, cale sous le coup de la précipitation, redémarre, enclenche la marche arrière sous le regard hilare du flic et de son collègue.
L’excitation et la magie de l’instant ont disparus, la soirée est fichue. Ma copine me ramène chez moi. Après cette mésaventure, plus jamais elle n’a voulu faire l’amour dans la voiture, ce qui a limité grandement nos possibilités de baise. Quelques semaines plus tard, nous avons rompu. Relation de cause à effet ?
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